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[RP]Le Berry informe la Bourgogne

Dernhelm
Lu la réponse de Crézus... DECEVANTE.

Il arrêta même sa lecture avant la fin tant ses pensées auraient pu passer pour coupables : Un seigneur Bourguignon qui refusait de laver les affronts faits par le Berry à sa terre, à sa province, à sa famille à son honneur ... et qui se dérobait en prétextant deux ou trois malheureuses fautes d'orthographe !

Enfin... Il est vrai qu'une épée tue, pas le ridicule...
Allons, il et temps d'aller au front !

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Luane
Elle avait prit le temps de quitter sa troupe pour venir zieuter ce qui se passait, en temps que capitaine de bourgogne il fallait quand même qu'elle montre sa jolie frimousse, son amri étant toujours chez les moines, elle les suspecter de l'avoir attacher pour ne pas qu'il s'échappe, cela lui donné une raison de sortir le museau de sa tente et de venir aux nouvelles.

Elle avait eu écho des courriers du Duc du Berry et avait quand même voulu aller la lire...La capitaine fronca les sourcils en voyant les deux courriers mais quand elle regarda celui du Duc de la Bourgogne, elle fit un sourire, il avait completement raison, c'etait bourré de fautes! is auraient au moin pu s'appliquer au lieu d'envoyer ce genre de torchon qui finira surement a la cheminée cette hiver...

Son regard se tourna vers les personnes presentent, elle n'avait pas le temps...ou pas l'envie???? de bavarder avec eux, ses devoirs en temps que capitaine ainsi que ses obligations l'appeler, pas le temps pour le blablatage quotidien.
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Effelissianor
Effie regarda songeuse les diverses affiches....

Plus aucun doute, c'était bien le Berry qui voulait absolument la guerre .

Aussi, elle fit ce que tout brave Bourguignon ferait, se défendre et protéger les Bourguignons !

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L_impiccato


Rien de tel qu'une bonne guerre pour pouvoir s'envoyer, en plus des calomnies habituelles, les pires sournoiseries possibles et imaginables !

Jubilatoire !

Teo.
Revenant s'informer des dernières annonces éventuelles, La Rose s'arrêta devant une affiche et ne put contenir son envie de rire.
C'était parfaitement exagéré, cuisson à point... Fallait bien amuser les enfants après tout...

Dommage que l'auteur ne semblait pas présent, elle l'aurait remercié pour le coup...

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Ambroise.
Ambroise et Marie Alice était éloigné de la foule, ils étaient à présent sur un banc. Il n’avait donc pu entendre Messire Dernhelm lui parler, trop préoccupé par sa besace.

Vilain poussin ! s’exclama-t-il en examinant la déchirure dans le cuir avec Marie Alice.

Elle lui explique qu’il était possible de réparer la besace en posant une pièce de cuir par-dessus. Le jeune frère acquiesce et l’espoir lui revient alors.


Oh ce n’est pas bien grave. Nous autres humains, gardons bien aussi les cicatrices de blessures du passé. Certaines se voient encore après des années. Du moment que ça tienne, c’est le principal.

Mais si vous me la réparer, en remerciement, j’aimerais vous inviter chez moi, à Cheny pour partager un bon repas. Je vous présenterai ma douce Angeline. Accepteriez-vous ?


Enfin, si elle avait le temps, car il se doutait bien qu’elle fût une dame bien prise par ses charges, comme l’est son amie Della.
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Mariealice
Cela reste un animal, il a forcément cherché à se libérer. N'auriez-vous fait de même dans sa situation?

Elle sourit, caressant toujours des doigts le cuir, examinant pour mieux voir ce qu'elle pourrait faire pour que cela soit aussi discret que possible.

Vous n'avez pas à me remercier, je vous l'ai proposé mais si cela peut vous faire plaisir je viendrai.

Nouveau sourire.

Après tout, nous devions bien nous voir pour discuter autour d'un verre. Ce sera autour d'un repas.
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Ambroise.
La noble dame philosophait à présent. Il se souvient alors de sa malencontreuse visite dans les geôles d’Autun, suite à la condamnation au procès qui l’y avait amené. Un souvenir qui l’avait marqué à vie.

Brrrrr ! Ah oui ! Je veux plus être séquestré en prison moi ! Je déteste les rats qui y résident …

Et un frisson vient le surprendre lui donnant la chair de poule, et pas de poussin ! Souriante, Marie Alice continue son examen. A sa proposition de repas, elle ne voulait pas être remerciée.

Ah mais si, le Père Mathieu m’a toujours dit qu’il faut remercier son prochain quand il me vient en aide.

Ambroise répondit à son sourire et ajoute.

Ah ! Chouette ! Marché conclu ! Vous verrez, vous ne serez pas déçue. Angeline est une excellente cuisinière.

Il savait de quoi il parlait, gourmand qu’il était, mais aussi gourmet. Il avait pris l’habitude d’apprécier les bons petits plats de sa douce. Sûr que cela lui changeait de la tambouille de l’abbaye. Mais comme les moines disaient, il faut remercier le Très-Haut de ce qu’on a, alors que des miséreux meurent de faim.

Comment fait-on ? Cela va être long la réparation ? Parce que je ne sais pas comment porter mes affaires sans ma besace.
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Mariealice
Frissons à l'évocation de cet animal dont elle avait une sainte horreur.

Seigneur, moi aussi. Ces bestioles me rendent malades.

Rien qu'à cette idée, elle ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'oeil à droite et à gauche, des fois que l'un d'eux n'ait la lumineuse idée de se promener par là.

C'est surtout que je n'ai rien ici pour faire la réparation. Ni cuir, ni aiguille, ni fil pour pouvoir le travailler. Par contre.....

Tout en parlant, une idée lui était venue. Si elle n'avait rien pour soigner la besace, elle avait dans la sienne de quoi le faire pour les hommes et notamment des bandes et un linge, ainsi que de quoi recoudre les blessures. Ni une ni deux, elle se mit à coudre, le linge ferait office de besace et la bande de lanière pour la porter à l'épaule. Ce serait provisoire évidement.

Cela devrait vous aider à rapporter vos affaires chez vous mais soutenez bien le linge en dessous. Je vous rapporterai la vôtre quand je viendrai dîner chez vous si cela vous convient.
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Azharr
Un retour peut être esperé..


Hum brouf.
Bon peuple de Bourgogne,
Après cette regrettable absence de ma part, je crois nécessaire d'apporter mon ressenti à propos des palabres de ces derniers jours. Tout d'abord je suis fort aise de retrouver nos terres comme je les ai laissés.
Toujours fières, toujours vaillantes et préparées à recevoir les hordes débilitantes du Velu qui restent agglutinés aux frontières.

Etrangement, celui ci semble avoir quelques reticences à nous attaquer, peut être ne se sent il pas tant que cela dans son bon droit..
Alors, voila qu'il se perd en propositions risibles, en alternatives ineptes.

Je pense en premier lieu à ce fameux "jugement de Dieu", la tentative de coup fourré la plus grossière que j'ai pu voir de mon existence..encore relativement brêve toutefois, je ne désespère pas de voir pire un jour. Or donc, Georgepoilu, porteur bien connu de la parole de Déos impose une date, un lien et la forme du défi, saupoudre le tout de divin pour rendre comestible son hors-d'oeuvre et le Berry s'offusque de notre refus, nous traitant de lâches car nous refusons de jouer à leur jeux dictés avec leurs règles. Ben voyons..
Crezus a fait montre d'un immense bon sens de ne point céder à futile provocation.

Un autre point suscite mon interet, je ne dispose peut être pas encore de tout les éléments, d'où mon conditionnel, mais le Berry aurait exigé que lui soit remit Angelyque, ma mère en otage le temps de mon retour. Outre le fait que cette nouvelle sournoiserie me soulève le coeur, me donne l'envie de mettre à bas les armées berrichones à moi tout seul afin de parvenir jusqu'à George et l'étrangler avec ses propres poils tant il est vrai que, moi vivant, on ne touche pas à ma maman, outre tout ça donc, je me pose la question..Pourquoi ?

En vertu de quoi ? Je veux dire..Sinon quoi ? La Bourgogne sera attaquée ?
Encore un faux ultimatum pour vous donner bonne conscience ? Montrer vos efforts de conciliation face à ces vilains Bourguignons si bornés ?

Mais je leur dis moi aux instances Berrichones, allez au bout de vos convictions bon sang, assumez vos positions belliqueuses, attaquez nous !
Faites massacrer des peuplades innocentes, autant Bourguignonnes que Berrichones, faites intervenir tout ces brigands dégénérés à vos crochets si cela ne suffit pas, montrez votre véritable visage ! Et ne craignez rien..Justice vous sera faite..
Ambroise.
A l’évocation des rats, Ambroise fût agréablement surpris de la réponse de la dame.

Ah ? Vous aussi ? Je ne suis donc pas le seul. Si j’avais un chat, je pourrais les chasser loin …
Rassurez-vous, il y en pas icelieu, je crois que le poussin les a tous fait fuir.


Ambroise se doutait bien qu’elle ne pouvait pas réparer la besace sur le banc. Alors, il la regarde faire une besace de fortune avec des lingues et des bandes de lins pour recoudre les blessures.

Ingénieux ! Oh oui ! Vraiment ingénieux ! dit-il en voyant avec quelle dextérité Marie Alice utilise ses aiguilles.

J’ai bien appris à coudre les plaies à mes cours de médecine … mais ça, je ne pourrais pas faire.

Une fois fini, il transféra toutes ses affaires dans la besace de linge, ses ptits pots, des fioles, des sachets d’herbes séchées, sa boite à biscuits, son nécessaire pour écrire, son missel et enfin son chapelet qu’il glisse dans sa poche. Un dernier regard vers sa besace de cuir vide, il répondit à sa bienfaitrice.

Milles mercis Madame. Prévenez-moi lorsque vous viendrez dîner que j'en avise Angeline. Cheny est prêt de Tonnerre, sur les terres de Seignelay qui appartiennent à Della. Vous saurez trouver ?

Il passe la lanière de lin au-dessus de la tête et prend la besace de linge dans ses bras pour le soutenir. Voilà qui allait l’aider à rentrer chez lui.

Il faut que je rentre à présent, Angeline va s’inquiéter sinon. A très bientôt Votre Seigneurie.

Le jouvenceau avait retrouvé son sourire, content de pouvoir rentrer chez lui avec ses affaires, content aussi de bientôt retrouver sa besace réparée. Et puis bientôt, il partagerait un repas avec la dame bien gentille qu’il pourrait présenter à sa bien-aimée.
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L_impiccato


Comme les deux camps opposés passaient plus de temps en palabres qu'en action véritable et sanguinaire, il fallait bien remuer un peu le lisier au fond de la fosse à purin (toute ressemblance avec les palais ducaux est fortuite^^).

La tiédeur et le manque de matériel au fond des braies de ces Messires étaient un véritable aveu d'impuissance chronique.

Une nouvelle esquisse montrerait à tous ô combien ils étaient ridicules !

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