Procès ayant opposé Yamakun à la mairie de Mortagne.
Yamakun était accusé de Esclavagisme.
Nom du procureur : Hardcore
Nom du juge : mortesot
Date du verdict : 01/12/1456
Lieu concerné par l'affaire : Mortagne
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Première plaidoirie de la défense
Que dire...j'ai fais vite et je me suis trompé d'un écu....bon c'est vrai que c'est pas la première fois, la première fois j'avais pas pris connaissance de la grille. J'ai mis un prix qui correspondant à se que j'avais en poche, j'ai reçu un courrier que je n'ai malheureusement pas pris le temps de lire, en même temps, je suis assez débordé et je n'ai pas le temps de faire attention à tout, bon là j'suis accusé d'avoir oublier de donner un écu, un misérable écu...
Excusez moi mais je prend plutôt ceci pour une blague.
Je n'ai qu'une chose à dire, faites se que vous voulez, je m'en tamponne l'oreille avec une babouche!
* Hard s'avance à la barre *
Je suis désolé, Monsieur le Juge a oublier de me donner la parole. Je vais donc faire mon réquisitoire ici.
Bon voilà, je peux comprendre que tout le monde fait des erreures. Mais justement, le courrier est là pour les personnes qui ne le font pas exprés. Je peux comprendre aussi qu'on l'on est débordé, mais un malheureux courrier...
Enfin bon, j'vais pas non plus vous punir comme un criminel.
Monsieur le Juge, je demande 3 ecus d'amende et l'obligation de rembourser un (misérable) ecus à Sibiliota.
Par Hardcore,
Le 21 Octobre 1456
Dernière plaidoirie de la défense
Bon et bien vu que Sieur Hardcore ne s'est pas présenté c'est surement qu'il s'est rendu compte que le fait sur lequel il se basé n'était qu'une simple erreur de ma part.
Je vous laisse enfin décider du verdict, que l'affaire soit close une bonne fois pour toute car elle ne rime à rien si ce n'est embêtant les honnêtes gens qui patauge dans la boue toute la journée et à qui il arrive de se tromper car l'erreur est humaine!!
Le 20 octobre 1456,
Sieur Yamakun
1 malheureux écu … un malheureux courrier … une erreur peut-être … mais une blague, surement pas !
Monsieur, vous êtes reconnu coupable d’un esclavagisme et êtes condamné à rembourser selon toutes modalités à définir avec la JAP la somme d’1 écus à la victime. En sus, il vous sera prélevé la somme de 3 écus pour le compte du Roy et vous vous acquitterez en place publique d’une tirade longue et plaintive sur la gravité de l’esclavagisme, sur la tristesse d’avoir une tête aussi vide qu’elle ne peut servir à lire un courrier ainsi qu’un message de prévention pour éviter une épidémie de babouches dans l’oreille car en ces temps hivernaux cela risque fort de déséquilibrer l’humeur oreillale de notre population et provoquer une épidémie de rhume du lobe.
J’ai dit !
Mortesot, Juge d’Alençon
01 dec 1456
Le prévenu a été condamné à une amende de 3 écus et à la peine de substitution suivante : Remboursement de 1 écu à la victime