*Phillau rentra dans la salle du tribunal, le juge ichimaru était déjà installé sur sa plateforme et les gardes venaient d'ouvrir les portes, permettant aux gens de rentrer.*

Votre Honneur, messire le Juge,

En ce jour du V février de l'an de grasce mil quatre cent cinquante six sous le règne de nostre bien aimé souverain le Roy Lévan III de Normandie, j'ouvre donc un procès contre messire Kev38 sous le qualificatif de Trouble à l'ordre publique agravé.
Cet homme a en effet tenté de prendre d'assaut la mairie de bazas dans la nuit du premier au deux février dernier.

Il a été arrêté dans sa folie par messire Reani et messire Valdy, tout deux chef-maréchaux de la ville de bazas.
Ces actes mettent en danger l'intégrité et la sureté de notre patrie et méritent donc d'être punis

* Phillau se retourna donc vers l'accusé *
Sachez messire que la duchesse de Guyenne, de sa plus haute autorité vous accorde le droit de demander l'assistance d'un avocat afin de vous assister tout au long du déroulement de ce procès.
Sachez que vous avez enfreint l'article III de l'Op.1 du livre IV du grand coutumier de Guyenne. Si vous le souhaitez, il vous en sera fournit une copie, si vous ne le pouvez, il vous en sera fait la lecture.
L'accusation a appelé Reani à la barre
Voici son témoignage :
*Reani était là depuis que l'accusé était rentré, il sourit en entendant l'accusé essayé de se defendre, puis viens son tour de témoigné.*

Monsieur le juge, monsieur le procureur, monsieur l'accusé, mesdames et messieurs.

Je me nomme Reani Zunt-Moncor, chef maréchal de Bazas,

Je trouve étrange la manière dont l'accusé se defend, et il me parait anormal de prendre d'assaut une maire sans avoir reflechis sur son acte. Prendre une fourche et venir à l'assaut d'une mairie ce n'est pas ce qu'on appel un travail comme un autre, l'on ne peut se tromper !

Encore, dans une guerre, si on tue un civil, je veux bien, surtout s'il se trouve sur un champ de bataille, mais se ruer contre la mairie, contre des hommes même, un fourche dans les mains, je ne vois pas comment un homme pourrais se tromper à ce point.

C'est pourquoi j'affirme que l'accusé à bien, en son âme et conscience, attaqué la mairie, et c'est rendu coupable de trouble à l'ordre publique, et que en plus, il a occasionné du travail à la maréchaussé, au procureur, et au juge. C'est pourquoi toute excuse me parait inutile.

Merci de m'avoir écouté.

*Reani retourna a sa place*
*Phillau s'éclaircit la voix et lu*
Article III : Du trouble à l'ordre public
Tout comportement portant préjudice à autrui ou portant atteinte à l'intégrité physique ou morale d'un habitant de Guyenne, ou à l'ensemble de la communauté pourra être considéré comme trouble à l'ordre public


J'appelle donc à la barre messire Reani et messire Valdy comme témoin de l'accusation.

*Phillau termina son acte d'accusation et la greffière inscrivit la date à la fin de son résumé.*

je ne vouler pas faire sa mé je me suis tromper et je suis désolé

* Le Comte de Cognac se leva après avoir écouté la défense de Messire Kev38, une défense des plus plates et des plus simple ! Il s’éclaircit la voie et dit *

Votre Honneur,

La défense de Messire est fort simple, il ne se défend en rien mais il a le mérite de reconnaître sa culpabilité ! Il ne voulais pas ca a t il dit cependant il l'a fais ! Mettant en péril toute une cité et la Guyenne en danger !! Ceci est intolérable !

* Montrant l'accusé du doigt *

Cet homme !! Oui cet homme que vous voyez là est un homme dangereux dont il faut se prémunir au plus vite !!

* Il fit une pause et se tourna vers Doudoud5151, le Juge de Guyenne*

Votre Honneur,
Pour l’acte que Messire a commit, je vous demande de lui infliger une amende de 100 écus et qu’il aille croupir deux jours dans les geôles de Guyenne !

Merci de votre écoute !

*Il attendit ensuite le verdict que le Juge allait prononcer*

votre honeure
je mexcuse davoir fé sa spt pardoné moi

Reani était là depuis que l'accusé était rentré, il sourit en entendant l'accusé essayé de se defendre, puis viens son tour de témoigné.*

Monsieur le juge, monsieur le procureur, monsieur l'accusé, mesdames et messieurs.

Je me nomme Reani Zunt-Moncor, chef maréchal de Bazas,

Je trouve étrange la manière dont l'accusé se defend, et il me parait anormal de prendre d'assaut une maire sans avoir reflechis sur son acte. Prendre une fourche et venir à l'assaut d'une mairie ce n'est pas ce qu'on appel un travail comme un autre, l'on ne peut se tromper !

Encore, dans une guerre, si on tue un civil, je veux bien, surtout s'il se trouve sur un champ de bataille, mais se ruer contre la mairie, contre des hommes même, un fourche dans les mains, je ne vois pas comment un homme pourrais se tromper à ce point.

C'est pourquoi j'affirme que l'accusé à bien, en son âme et conscience, attaqué la mairie, et c'est rendu coupable de trouble à l'ordre publique, et que en plus, il a occasionné du travail à la maréchaussé, au procureur, et au juge. C'est pourquoi toute excuse me parait inutile.

Merci de m'avoir écouté.

*Reani retourna a sa place*

ne se sont pas présentés

Attendu que les faits reprochés à Messire Kev38 ont été prouvés et acceptés;

Attendu que le Duché ne tolère aucune tentative de prise d'une mairie de Guyenne;

Attendu les excuses de l'accusé;

Nous, Doudou5151, en qualité de juge de Guyenne prononçons le verdict suivant:

L'accusé est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés par la procure.

Selon le Grand Coutumier et la Nouvelle Charte Royale des Juges, l'accusé est condamné a purger une peine de prison de 1 jours ainsi que le versement d'une amende de 55 écus.

Qu'il en soit ainsi !

Faict le 24 février de l'an de Grâce 1456