Procès ayant opposé Azazel23
Azazel23 était accusé de Sorcellerie.
Nom du procureur : Zippo
Nom du juge : Aribe
Date du verdict : 03/12/1456
Lieu concerné par l'affaire : Guyenne
Monsieur le juge, vous avez à juger une personne dont il est absolument certain qu'elle a commis des actes de sorcellerie. Est-elle une invocation ou un invocateur ? Nul ne sait. Ce qui est assuré, c'est qu'elle a perpétré ces crimes en compagnie de Revolta1987.
De tels actes sont véritablement effroyables. Cependant, monsieur le juge, n'oublions jamais que cette ignoble créature, transfigurée par un affreux rictus qui est celui du Malin, est une créature de Dieu. Pour lui donner une petite chance d'échapper à la damnation éternelle, je vous demande donc la brûler sur la place publique.
Obéissant aux consignes laxistes du pouvoir temporel, nous allons néanmoins écouter le prévenu nous dire qui, parmi les personnes accusées, est l'invocateur, et qui sont les invocations. Peut-être, monsieur le juge, serez-vous touché par le témoignage du sorcier et ne le condamnerez-vous pas à la peine maximale. Je vous recommande, quant à moi, d'être clément envers l'âme du pêcheur, en étant sévère avec son corps.
L'évèque Zippo
La personne intéressée ne s'est pas manifestée
En ce Mercredi 3 décembre de l’an de grâce 1456, en vertu des pouvoirs conférés par sa Grâce le Duc de Guyenne et fort de notre autorité, faisons savoir ce qui suit :
Attendu les paroles de Monseigneur l’évêque Zippo qui certifie sur l’honneur de le culpabilité de l’accusé et qui fort de sa représentativité et de son statut d’évêque ne peut, à travers ses paroles, que refléter une intense vérité et un désir de clairvoyance absolu.
Attendu que la défense n’a su à aucun moment émouvoir ou convaincre la justice de Guyenne en notre personne.
Attendu que l'accusé ne s'est pas présenté devant la cour.
Attendu la gravité des faits.
Attendu que l'accusé a enfreint les règles pourtant bien lisibles.
C'est avec regret pour l'accusé que nous Juge, déclarons l’accusé coupable de sorcellerie et le condamnons à être brûlé vif céans.
Il ne revient pas à la justice des hommes de juger de l’âme d’un individu, mais nous avons le droit de juger de la bêtise et de l’incandescence d’une personne portée par le mal et désireux d’apporter de l’ombre en ce bas monde.
Ainsi soit-il !
Le prévenu a été condamné à l'éradication totale