Procès ayant opposé Ciji au Duché de Guyenne
Ciji était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Arnaut_de_chesnais
Nom du juge : Phillau
Date du verdict : 20/07/1456
Lieu concerné par l'affaire : Guyenne
*Le procureur se présenta au tribunal pour plaider une affaire.
Il passa sa main dans ses cheveux et prit la parole d’une voix audible.*
J’ouvre en ce 16 Juillet de l’an de grâce 1456 un procès à l’encontre de Dame ciji sous le qualificatif de trouble à l’ordre public :
"Article III : Du trouble à l'ordre public
Tout comportement portant préjudice à autrui ou portant atteinte à l'intégrité physique ou morale d'un habitant de Guyenne, ou à l'ensemble de la communauté pourra être considéré comme trouble à l'ordre public"
Permettez moi de vous présentez Dame Ciji qui, malgré les nombreux courriers de l’autorité de Blaye a persisté à défier les officiers de police en s’installant dans la ville.
Il s’avère donc que cette personne soit actuellement résidente de Blaye. Et ce malgré l’interdiction et la loi martial en vigueur dans notre Duché.
Celle-ci a le droit de faire appel à un avocat en la personne de Totort qui se fera force de représentativité dans ce tribunal.
J’appel à la barre le Sergent Oz66 qui confirmera et témoignera de la condition d’étranger de Dame Ciji avant qu’elle emménage dans la ville.
je suis arrivée il y a quelques temps en effet dans votre Comté. Deux ou trois jours après mon compagnon. Je pensais qu'il avait fait les démarches auprès de vos autorités pour nous annoncer. Or j'ai appris à mes dépends que rien n'avait été fait, J'ai entrepris alors les démarches mais en vains.
mais trop tard, notre voyage avait pour but de nous marier ici en Guyenne a vrai dire à Agen puis que c'est la ville de mon compagnon.
Aujourd'hui je suis citoyenne de Blaye.
et vous conjure de nous laissez la possibilité de vivre notre dans ce comté
*Le procureur écouta les paroles de l'accusé, il resta de marbre.
Il fronça les sourcils lorsque celle-ci fit allusion à son emménagement en terre Guyennoise.*
Monsieur le juge, permettez que je rebondisse sur un fait précis qui me désole au plus haut point. J’ai vu, en ce tribunal, des gens venant des terres étrangères palliant à la loi martial.
Ils refusaient tout bonnement de quitter notre terre, ce qui constituait un acte illégal.
Aujourd’hui, nous avons devant nous une personne qui non content de transgresser la loi, essaye par tous les moyens de la contourner !
*Regarde l’accusé d’un œil glacial*
Vous saviez pertinemment les lois en vigueur dans notre Duché.
Vous saviez que vous ne pouviez pénétrer sans autorisation ! Mais portée par un désir de manipulation infecte, vous avez essayé de corrompre l’autorité sur place en usant de quelques charmes. Tenter en vain de vous substituer en habitante Guyennoise.
Vos actes sont d’autant plus répréhensibles qu’ils constituent un désir manifeste de défier les autorités de Guyenne.
Vous apprendrez vite, Mademoiselle, qu’il ne suffit point de se prétendre Guyennois pour l’être !
Monsieur le procureur
Vous m'accusez d'avoir user de mon charme auprès de vos autorités.
Sachez que je ne suis pas de ces femmes.
Je n'ai rie fait de celà. On m'a proposer de l'aide que j'ai accepté.
C'est sur leurs bons conseils que je suis devune Guyennoise. Tout devait s'arranger selon leurs dires.
Oui je s'avais qu'il fallait des autorisations, mais je vous répète que je pensais que mon compagnon avait fait les démarches nécessaires.
La personne intéressée ne s'est pas manifestée
Dreune s'approcha
Je peux simplement vous dire que Dame Ciji m'a fait état quelques fois de sa situation en taverne et que je lui ai conseillé de se tourner vers qui de droit. Je crois en sa sincerité. Après il est vrai qu'elle ne possedait pas de laissez-passer. Il en ai donc a vous de prendre les decision qui s'impose.
Dreune alla se rasseoir pour suivre la fin du procès.
Oz s apprcha de la barre et leva la main droite et dit je jure en fais dame ciji est arrivee dans la ville sans autorisation et avant hier elle ete toujours pas habitant.
Djiinn entra au tribunal et regarda la prevenue
Je n'ai pas grand chose à dire si ce n'est que cette personne s'est entetee a entrer sur notre territoire bien que n'ayant pas de laisser passer. Elle a de plus essaye de soudoyer sergent et lieutenant pour ne pas avoir a quitter la guyenne.
je demande juste l'application de la loi comme exemple.
Au nom de la justice Guyennoise,
Au nom de sa grâce Ombres, Régente de Guyenne, voici mon verdict,
Compte tenu des paroles tenues par les agents de la prévôté,
Compte tenu des circonstances entourant les faits,
Je vous condamne, dame Ciji, des charges qui reposaient sur vous dans le cadre d'un vice de forme manifeste.
Ce verdict fait de vous une Guyennoise à part entière.
Qu'il en soit ainsi.
Faict le vingtième jour de juillet de l'an de grasce 1456.
Le prévenu a été relaxé.