Procès ayant opposé Sirjipitou au Comté du Languedoc
Sirjipitou était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Aeris_g.
Nom du juge : Bentich
Date du verdict : 08/03/1457
Lieu concerné par l'affaire : Carcassonne
En ce jour du 05 Mars 1457, nous Aeris_g., mettons en accusation Sirjipitou pour trouble à l�ordre publique à Carcassonne. En effet, voilà plus de 24h que cette personne se balade en lance dans notre comté sans autorisation.
Voici la preuve donnée par l�Ost
http://img401.imageshack.us/my.php?image=rapportpourlancedecarca.jpg
Voici les articles de loi entravés par l�accusé
Article 3.2.5.4. - La constitution de groupes armés (corps d'armes, lances, armées...) sans l'accord du conseil militaire est interdite à tout autre organisme que l'Ost, uniquement dans le cadre de ses missions.
Article 3.2.5.5. - Seuls le conseil militaire et l'armée détiennent le pouvoir de lever des groupes armés.
Article 3.2.5.6. - Tout rassemblement (c'est à dire toute présence de groupe armé, quelques soient son type, constitué sans l'accord du conseil militaire) sur les terres languedociennes sera considéré comme une action hostile contre notre comté.
Article 3.2.5.7. - Tout groupe illégal devra être détruit dans les 24h sous peine de poursuite pour trouble de l'ordre public ou trahison suivant le cas.
Article 3.2.5.8. - Le franchissement des frontières du Languedoc par des groupes armés, quelque soit leurs types, sans le consentement du conseil militaire est interdit. Cela peut être interprété comme une déclaration de guerre.
Je rappelle que l�accusé peut se faire aider dans sa défense, seule restriction, si le témoin vient en tant qu�avocat il faut qu�il soit reconnu par le barreau du Languedoc
Sir Jipitou fit son entrée dans la salle du tribunal. Se tenant droit et fier, sans arme, il alla se placer derrière la barre. Il regarda le juge, le salua de la tête et commença.
«Votre honneur, si je me retrouve devant vous aujourd’hui, c’est uniquement dû à un mal entendu. Je m’explique :
Il un a plus d’un mois, quand je suis arrivé avec ma lance à Le Puy, je me suis stationné là-bas le temps de recevoir l’autorisation par le château de Montpellier de me déplacer avec ma lance dans le comté de Languedoc. Nous avons repris notre route ensuite pour Carcassonne pour aller cher ma sœur Rosylia.
Le problème a débuté lors des préparatifs de retour. Avant de sonner le départ, je me suis permis d’aller chercher messire Alextheking, ami de ma petite sœur Dameverte qui habite Troyes en Champagne. Il voulait faire un bout de chemin avec nous avant de monter au nord pour la rejoindre. Je suis donc aller le chercher a Castelnaudary et suis revenus à Carcassonne. Dans les faits, c’est le seul ajout dans ma lance car lorsque j’ai fait ma demande initiale, je spécifiais que ma sœur Rosilya revenait avec nous à Lausanne pour mon mariage.
Dans tous les comtés que j’ai traversés, j’ai toujours fait attention de respecter les lois locales et comtales. Avoir voulus contrevenir à vos lois, je ne m’aurais pas donné la peine de demander une permission la première fois pour traverser vos terres.
Ce qui a amené le procureur à recevoir une demande de plainte de la part de messire Finubar est uniquement une histoire de délai entre l’envoi des pigeons pour m’avertir de mettre ma lance en règle et le moment que j’ai pris effectivement connaissances des missives. (HRP, le joueur Finubar est en Chine et moi au Québec !!! Déjà là, nous avons un bon décalage dans le temps!!!!). Entre le temps que le soldat Belbulrebelle me renvois l’adresse du château pour corriger ma demande et que messire Finubar et moi puisse ouvrir une communication, il avait déjà envoyé la demande.
Fait à noter pour prouver mes bonnes intentions, j’ai déposé ma demande de modification avant que l’avis de comparution me soit émis.
En fin de compte, toute cette histoire tourne autour de manque de temps hrp de ma part entre les communications pour déposer ma demande de modification de ma lance. Il n’y a absolument rien qui pourrait avoir une facette de trouble à l’ordre public.
Votre honneur, je suis un gentil homme, sergent dans l’armée de l’ACL, protecteur des pauvres, des enfants et de mes compatriotes. Je m’efforce à chaque jour que Dieu me permet de vivre à me dévouer pour le respect des lois et de la protection de mon prochain. Je me vois très mal être un de ceux qui voudrais faire du trouble à l’ordre public.
Cette histoire est tout simplement un problème de communication, et non un problème d’intentions. Je me permettrais de sommer à comparaître messire Finubar comme témoin pour ma défense. Il est celui avec qui j’ai communiqué tout au long de cette situation. Il pourra vous expliquez a sa façon ce malheureux embroglio.»
Sir Jipitou quitta la barre pour retourner à sa place et s’assoyas patiemment
La personne intéressée ne s'est pas manifestée
La personne intéressée ne s'est pas manifestée
Voici son témoignage :
Le lieutenant Finubar fut appele a temoin, lorsque les portes s'ouvrirent, celui-ci revetu de l'uniforme de la garnison rentra de la meme facon que Sehner Sirjipitou.
"Procureur, tout ce que Sirjipitou ici present, viens de vous expliquez est vrai. En effet il a recu plusieurs lettres de ma part concernant sa lance et a plusieurs reprises celle-ci changea d'un protagoniste supplementaire ou en moins, j'ai laisse un certain delai avant de porter mon dossier de plainte a votre bureau du chateau. Lorsque je revenais sur Carcassonne que le sergent et moi meme nous sommes croises et en avions discutes. Cela ne sait joue qu'a une demi journee de difference, cependant maintenant apres avoir eu les differents details de l'histoire et absolument de bonne volonte pour tirer l'histoire au clair, tout comme Sirjipitou, je désire retirer ma plainte contre lui et lui permettre de se deplacer comme prevu dans le Comté du Languedoc
Accusé levez-vous, nous allons rendre notre verdict
Ayant entendu l'acte d'accusation du procureur
Ayant entendu le témoin de l'accusation qui désire retirer sa plainte
Ayant entendu la défense, qui nous montre sa bonne volonté. Son explication tenant excellemment la route.
Nous décidons de relaxé l'accusé.
Voila vous êtes libre, mais la prochaine fois faite quand même attention, vous voyez ou une perte de temps peut amener
Je rappelle que les parties en présence peuvent faire appel de cette décision auprès de la cour d'appel du Royaume
Fait à Montpellier par le Juge Bentich, le 08 Mars 1457
Le prévenu a été relaxé.