Procès ayant opposé Kaitlyne au Comté du Languedoc
Kaitlyne était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Aeris_g.
Nom du juge : Bentich
Date du verdict : 27/03/1457
Lieu concerné par l'affaire : Uzès
En ce jour du 21 Mars 1457, nous Aeris_g.,procureur du Languedoc, mettons en accusation Kaitlyne pour trouble à l�ordre publique à Uzès. En effet, voilà plus de 24h que cette personne est en lance dans les villes sans aucune autorisation.
Voici la preuve donnée par l�Ost
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Voici les articles de loi entravés par l�accusé
Article 3.2.5.4. - La constitution de groupes armés (corps d'armes, lances, armées...) sans l'accord du conseil militaire est interdite à tout autre organisme que l'Ost, uniquement dans le cadre de ses missions.
Article 3.2.5.5. - Seuls le conseil militaire et l'armée détiennent le pouvoir de lever des groupes armés.
Article 3.2.5.6. - Tout rassemblement (c'est à dire toute présence de groupe armé, quelques soient son type, constitué sans l'accord du conseil militaire) sur les terres languedociennes sera considéré comme une action hostile contre notre comté.
Article 3.2.5.7. - Tout groupe illégal devra être détruit dans les 24h sous peine de poursuite pour trouble de l'ordre public ou trahison suivant le cas.
Article 3.2.5.8. - Le franchissement des frontières du Languedoc par des groupes armés, quelque soit leurs types, sans le consentement du conseil militaire est interdit. Cela peut être interprété comme une déclaration de guerre.
Je rappelle que l�accusé peut se faire aider dans sa défense, seule restriction, si le témoin vient en tant qu�avocat il faut qu�il soit reconnu par le barreau du Languedoc
Bonsoir Monsieur le Juge,
Je me nomme Kaitlyne, je suis soldat infirmiËre de la caserne de Thiers.
Je suis venue en Languedoc pour rendre visite a ma soeur Cléo75, qui est soldat de l'Ost de Nimes.
Je suis accompagnée de plusieurs amis dont une personne se nommant Deedeelolo et qui au cours de notre voyage a quitté le groupe pour venir à Uzès et c'est fait brigandée entre Uzès et Valence.
De ce fait, arrivée à Uzès, quand elle me l'a raconté , j'ai refusé de détruire le groupe que je dirigeais avant d'arriver à Nîmes cela, pour protéger mes compagnons de route (Deedeelolo, Huna et Vvarneleen).
Face à la loi, le prévôt d'Uzès a exigé de moi, que je détruise mon groupe et que peu importe qu�ils se fassent attaqué, mais il me fallait détruire mon groupe.
Face à la faiblesse de mes amis, j'ai tenté d'expliquer que je venais ici à Nîmes et que je ne le détruirais que dès notre arrivée.
J'ai été pour ce motif, mise en accusation il y a 2 jours.
Voila Monsieur le Juge
Mes respectueuses salutations
Je comprends bien les faits. Comme vous le dites toutes les deux les faits sont là et la bonne fois de l'accusé aussi.
De plus son ami s'étant fait brigandé juste avant ça lui donne une circonstance atténuante.
Mais comme vous les dites si bien, vous auriez du faire une demande d'escorte. J'espère qu'il n'y aura pas e prochaine fois car je serai beaucoup moins compréhensive.
Dans cette affaire, nous demandons une amende 1 écus symbolique et des excuses publiques pour le comté.
Monsieur le juge,
L'accusation vous demande de fixer la condamnation a 1 écus + excuses publique, tandis que mon avocat demande la relaxe avec excuses publiques.
Etant soldat de la COBA du Bourbonnais-Auvergne, une condamnation entrainerais la création d'un casier judiciaire, alors que mon but n'est que de défendre et aider mon prochain comme le prône la religion aristotélicienne et mon serment de soldat.
S'il vous plait, je ferai mes excuses public et ne reviendrai plus dans votre duché, mais relaxée moi pour que je n'ai pas de casier, merci.
Mes respects a vous monsieur le juge.
Votre honneur, Messire procureur, salutations. Je prend la parole pour défendre Dame Kaitlyne.
Ma cliente est une femme de bonne foi, et une femme respectable. J'en veux pour preuve ses états de service et son statut de Soldat Infirmière à la caserne de Thiers. Elle reconnaît ses torts et s'en excuse. En maintenant son groupe Dame Kaitlyne ne souhaitant pas se soustraire à la justice, ni même tenter une invasion du Languedoc, son but était des plus humains. Sont seul et unique but était de protéger son amie qui venait de se faire brigander non loin de là à Uzès en respect de son serment de toujours protéger les faibles. Elle a d'ailleurs clairement exprimer ce souhait à la personne qui lui a ordonner de détruire sa lance. Certes cette jeune femme aurait dû faire une demande auprès du conseil militaire comme le stipule l'article qui suit :
Article 3.2.5.9. - Les demandes d'autorisation sont à faire parvenir au conseil militaire 2 jours avant la date du passage et doivent être accompagnées de justificatif.
Cependant ma cliente ne prévoyait pas de maintenir sa lance, c'est après le récit du brigandage de son amie que cette femme a souhaiter "l'escorter" jusqu'à leur destination finale : Nîmes; et ce en toute sécurité.
Est-ce un crime que de vouloir défendre ses amis de la manière la plus pacifiste qu'il soit ? Je ne pense pas. Ma cliente a commis une erreur, elle la reconnaît. Cependant est-il besoin d'un procès pour autant, je pense qu'il y a ici démesure, et je demande par conséquent la relaxe de ma cliente qui est prête a présenter des excuses publiques au Comté.
Monsieur le Juge,
Moi, Huna, soldat de l'Ost, de la garnison de Valence dans le Lyonnais Dauphiné atteste que le soldat Kaitlyne a utilisé les us et coutûmes enseignés, appris et transmis par les patriarches de l'armée, ses prédécesseurs, ses ainés.
En effet, elle a mis en application ses devoirs, véritables fondateurs d�une façon d�être, d�une manière d�agir, à savoir veiller à la protection et à la défense de son entourage, de son peuple. Cette volonté de protéger autrui a poussé indéniablement Kaitlyne a instauré une lance de nature défensive et non offensive jusqu�à la destination finale du voyage entrepris.
Lieu où la lance, le corps armé aurait été dissolu sans préavis, car plus de raison d�être.
Mais au-delà de sa condition de soldat, Kaitlyne n�en reste pas moins une mère, une s�ur, une femme, et il est dans sa nature de protéger les êtres qui lui sont chers, de la personne en tant que telle, aux molécules qui la composent, aux virus qui les menacent, tels que le banditisme, véritable fléau, très fréquemment utilisé, usé et abusé par des clandestins de bonne fortune qui peuplent les chemins alentours.
Or il est attendu que Kaitlyne n�a pas été attaqué par un voleur mais par la police qui refuse qu�elle se protège. Ainsi donc, si le groupe n�avait pas été constitué, il aurait placé à la merci de quelconques bandits, tel qu�il a été démontré en la personne de Deedeelolo, pré décemment cité.
Cela montre donc bien que l�armée ne se suffit pas à elle-même, et elle n�est pas assez puissante pour contrecarrer l�action de tous les bandits, et que la lance du soldat Kaitlyne n�a pas été vaine et a eu toute sa raison d�être et d�exister.Bas du formulaire
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
Accusée levez-vous, nous allons rendre notre verdict
Ayant entendu l'acte d'accusation ainsi que le réquisitoire de la procureur, dans lequel elle m'a semblé très conciliante.
Ayant entendu la défenderesse ainsi que les témoins de la défense, qui je doit l'avoué sont très pertinent et rempli de bon sens.
Nous avons décidé pour les raisons suivantes,
De un, la lance n'a jamais été autorisée.
De deux, aucunes dema,ndes n'a été faite.
De trois, refus de détruite pour des raisons sociales.
Que vous vouliez protéger vos compagnons, je suis tout à fait d'accord, mais pourquoi ne pas avoir simplement détruit le groupe armé (lance) et refait un groupe simple de voyageur.
Maintenant la procureur, vous trouve des circonstances atténuantes, mais moi au contraire j'en trouve des aggravantes, si vous êtes soldats de l'Ost du BA ou COBA, il est de votre devoir de vous conformer aux règles de l'endroit ou vous vous trouvez et d'obéir aux injonctions des autorités locales.
Donc je sais que ce qui pourra être décidé ici aura certainement un influence sur votre avenir.
En conséquence, la cour vous déclare coupable et vous condamne à une amende de 5 écus, ainsi que de 1 jours de prison avec sursis de six mois.
Je rappelle que les parties en présence peuvent faire appel de cette décision auprès de la cour d'appel du Royaume.
Fait à Montpellier, par le juge Bentich le 27 Mars 1457
Le prévenu a été condamné à une amende de 5 écus.
Le prévenu a été condamné à une amende de 5 écus
Le prévenu a été condamné à 1 jour de prison avec sursis