Monsieur le juge, nous sommes ici pour punir le vil Paleio qui a embauché les malheureux Laskar et Jeanneton pour un salaire de misère , c'est à dire 12 écus. J'ajoute qu'étant donné les dates éloignées des deux actes, précisées dans les preuves, le prévenu était parfaitement conscient qu'il comettait un acte répréhensible lors de la seconde embauche , car prévenu par la maréchaussée lors de la première. Il s'agit donc d'un acte de récidive.

Le prévenu à la droit de faire appel au bareau du Languedoc si il le souhaite. L'appel au bareau est gratuit.

pardonnez mr le juge mes erreurs, j' ai en effet emmbauché deux personnes a un salaire que je croyai etre le minimum autorisé, le lieutenant de police mijo m' a donc fait part de mon infraction qu' a la deuxieme reprise, c' est donc juste a ce moment la que je compris mon erreur.J' ai payé une amande dresse par le lieutenant mijo.je suis vraiment desolé et m' en excuse, c' est erreur ne se reproduira jamais.

Etant donné que le fautif Paleio a payé déjà payé son amende, je ne peux demander que la relaxe. Il serait de bon ton de la par de la maréchaussée de ne pas déposer de plainte lorsque les amendes sont en cours de paiement et de refuse toute proposition de paiement d'amende direct lorsque le procès est lancé. Cela éviterait faire perdre un temps précieux à monsieur le juge ainsi qu'à moi-même.

je ne sais quoi vous dire de plus, je m' excuse encore une fois aupres de la cour et jure devant celle ci que cela ne se reproduira plus, je suis encore désolé et m' en excuse.

les dire de messire Paleio sont vrai il est en regle avec la marechaussée , j'ai fais passé l info mais !!
donc je demande la clemence messires

Breizh prend la parole:



"Aux vues du fait que l'affaire a déjà été traité par la Maréchaussé, je relaxe l'accusé Paleio.



J'espère toutefois que ce genre d'erreur administrative ne se
reproduiront plus. Ceci est une perte de temps pour les fonctionnaires
du Comté et pour les Languedociens en général.



Ainsi en a été jugé le 09/03/1455 par le tribunal du Languedoc, en la personne du juge Breizh.



L’audience est levée