Procès ayant opposé Yako au Comté du Languedoc
Yako était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Frenegonde
Nom du juge : Toon3146
Date du verdict : 01/08/1459
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins
En ce 14 Juillet de l'an de grâce 1459,Nous,Frenny,Procureur du Languedoc,mettons en accusation le dénommé Yako pour Trouble à l'ordre public.
Ce dernier est en effet accusé ce jour d'avoir brigandé Mestre Meloacham,dans la nuit du 7 au 8 Juillet 1459,sur les chemins entre Montélimar et Uzes.
L'accusé à profiter de la faiblesse de l'accusé déjà bien fatigué par son voyage pour lui dérober tout ce qu'il possédait.
Je vous fait lecture du courrier de la victime qui contient le récit de cette triste aventure,les preuves de ce vol et la description de l'accusé:
bonjour je me suis fait attaque sur la route je viens le signalé
« 08-07-2011 04:04 : un malfaiteur nommé Yako (coefficient de combat 1) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.
voila si cela peu vous permettre de retrouve le malfaiteur et bien t'en mieux
meloacham «
Premier principe de notre droit coutumier que je rappel à la Cour:est permise toute action que pourrait commettre une personne normalement sérieuse, raisonnable et soucieuse de ne causer aucun préjudice à autrui. Ce bon père de famille est un homme ordinaire, un homme de la place du marché qui agit en vertu de son bon sens.
Il est clair et évident que dans cette affaire Mestre Yako a volontairement nuit à autrui,sans morale aucune,cette agression n'avais pour seule raison qu'une cupidité sans borne.
Cet infâme personnage à également oublié le deuxième principe inaliénable de notre coutume,l'universalité d'action,qui énonce qu'il est punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l'autorisait.
Si tout un chacun imitait mestre Yako,notre Comté serai mis à feu et à sang,voyager en sécurité deviendrai chose impossible et chaque voyageur ou Languedocien tremblerai pour sa vie.
Parce que le Languedoc doit rester une Terre d'accueil ou chacun peut circuler en toute sécurité nous demandons que l'accusé soit jugé en conséquence de la gravité de ses actes.
Nous rappelons toutefois à l'accusé qu'il peut se faire aider d'un avocat.
Nous laissons dès à présent la parole à la défense.
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
« Frenny regarda le banc des accusés..vide encore comme bien souvent...elle soupira puis après s'être éclaircit la gorge elle reprit la parole:
En ce 24 Juillet 1459,Nous Frenny,Procureur du Languedoc,rappelons les faits qui nous ont conduit à instruire cette affaire.
Mestre Yako est accusé d'avoir brigandé Messire Meloacham dans la nuit du 7 au 8 juillet 1459 sur les routes allant de Montélimar à Uzes.
L'accusé comme nous l'avons déjà conté à fait montre d'une rare lâcheté,profitant de la nuit noire et de la solitude de la victime.
Trop de brigandages ont lieu sur les Terres Languedociennes ces derniers temps,c'est pourquoi la justice se doit d'être impitoyable envers ces gens sans scrupules et assoiffés de sang.
Parce que chaque Languedocien et chaque voyageur en notre Comté doit se sentir accueilli et en sécurité,parce qu' ils doivent pouvoir circulé sans peur aucune,je demande ce jour à ce que l'accusé,Mestre Yako soit condamner à 3 jours de prison ferme et 100écus d'amende,afin qu'il lui passe l'envie de réitérer!
Que justice soit rendue!
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
Dans l'affaire opposant le Comté du Languedoc à Messire Yako,
Nous, Toon3146, juge du Languedoc, allons vous donner lecture du jugement que Nous rendons dans l'affaire concernant Messire Yako .
Attendu que Messire Yako est accusé d'avoir brigandé Messire Meloacham pendant la nuit du 07 au 08 juillet 1459, alors que celui-ci était tranquillement sur les chemins entre Montélimar et Uzès .
Attendu que les preuves apportées par le procureur sont irréfutables.
Attendu que nous jugeons cette acte de banditisme éminemment répréhensible car non conforme aux règles de bonnes conduites.
Attendu que l'accusé a été vu en train de déambuler en ville entre le 14 juillet 1459, date de début de ce procès, et le 23 juillet 1459, date à laquelle il s'est mit en retraite spirituelle. Cette période de 9 jours était pourtant suffisante pour qu'il puisse assurer sa défense mais Messire Yako à préféré fuir le Comté plutôt que d'expliquer ses motivations.
Par ces motifs, Nous Toon3146, juge du Languedoc, déclarons Messire Yako coupable des faits qui lui sont reprochés, et par cela décidons d' aller au delà de la demande du procureur en le condamnant à une peine de trois jours de prison avec sursis, à laquelle nous rajoutons une amende de 245 écus.
Pour se mettre en conformité avec la charte du juge, saisie provisionnelle et conservatoire sera effectuée sur les signes extérieurs de richesse potentielle constitué par l'épée arborée par le contrevenant ainsi que par son bouclier. La valeur de cette épée étant fixée à son minimal c'est à dire 140 écus et la valeur du bouclier fixée à 20 écus. Et pour qu'il n'y ait aucun doute sur l'existence de cette épée et de ce bouclier voici un croquis daté attestant de leur présence au moment du jugement de ce jour : http://bseince.free.fr/Yako_01_08_11.JPG
Remercions toutes les personnes que nous avons entendus au cours de ce procès et nous ayant permis de rendre ce jugement.
Informons les parties qu'elles peuvent interjeter appel du jugement devant la Cour d'appel du Royaumes, selon la procédure afférente à cet organe juridictionnel.
Ainsi en a été jugé par le tribunal du Languedoc, en la personne du juge Toon3146, le premier jour d'août 1459.
L'audience est levée.
Le prévenu a été condamné à une amende de 245 écus
Le prévenu a été condamné à 3 jours de prison avec sursis