Procès ayant opposé Billy_rr au Comté du Languedoc
Billy_rr était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Arthurcano
Nom du juge : Kelak
Date du verdict : 22/11/1459
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins
Votre honneur, en ce jour du 11 Novembre 1459, Nous, Arthurcano, procureur du Languedoc, mettons en accusation Mestra Billy_rr pour Trouble à l'ordre public.
En effet l�accusée s�est attaquée avec trois complices à Mestre Ditreisch, dans la nuit du 9 au 10 Novembre 1459, sur la route entre Mende et Le Puy. Cet homme voyageait seul et ne demandait rien à personne profitant encore de la douceur de cet automne.
L�accusée, mestra Billy_rr, et ses complices ont alors obligés Mestre Ditreisch à leur remettre l'ensemble de ses biens.
Votre honneur, je vous fait lecture de la preuve fournit par la victime lors d'un courrier adressé à notre prévôt des maréchaux en la personne de dame Cricri2.
"10-11-1459 04:04 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Billy_rr, de Elenea, de Ignace. et de Luludja."
Notre justice, votre honneur repose sur la coutume et deux points essentiels que je rappel ci-après.
Le premier est celui du critère du bon père de famille, hors selon ce critère, est permise en Languedoc toute action que pourrai commettre une personne normalement sérieuse, raisonnable et soucieuse de ne causer aucun préjudice à autrui... Ces actes commis sur la personne de Mestre Ditreisch, nous en conviendrons aisément ne ressemble en rien à l'action d'un bon père de famille.
Le second est celui de l'universalité d'action qui rend punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l'autorisait. Et cette fois encore, ces actes commis sur la plaignante ne laissent aucun doute quand au fait que ce critère est bafoué, si tout à chacun venait l'arme à la main pour détrousser les habitants de notre comté ou bien même simples voyageurs sur nos terres, notre société serait en grand danger.
Ainsi votre Honneur, l'accusée mestra Billy_rr est donc présentée devant vous pour trouble à l'ordre public, à savoir brigandage sur la personne de mestre Ditreisch.
J'appelle donc à la barre, pour la défense, Mestra Billy_rr, et pour la partie plaignante, Mestre Ditreisch, afin que toutes les parties viennent nous éclairer sur la nature des faits reprochés à l'accusée et que toutes questions puissent être éclaircies sur cette affaire.
Nous rappelons que l'accusé peut se faire aider d'un avocat, reconnu par le barreau du Languedoc, pour sa défense. Voici l'adresse où vous pouvez en faire la demande : http://chateau-montpellier.discutforum.com/salle-publique-f111/
Je vous remercie votre honneur.
La parole est à la défense.
La Dame de Pique suivit son mari jusqu'à la salle d'audience. C'est sur, si vous en voyez un, vous voyez l'autre, sont toujours ensembles ces deux là. Elle attendit que son tendre ai terminé et alla s'assoir sur le banc des accusés à son tour. Écoutant le Sire citer l'acte d'accusation, la Souris fronça les sourcils. Le laissant terminer, elle prit la parole.
B'jour b'jour. donc voilà prenons une chose à la fois...par quoi commencer? hum j'hésite car il y a un autre point que j'aimerais qu'on éclaire la lanterne. Commençons par le plus simple. qui est...ce qui s'est vraiment passer.
Nous étions en taverne moi, mon mari et les autres de notre groupe et des membres d'un autre groupe sont arrivés. Il y a eu une petite dispute...divergeance d'opinion, voyez ça comme vous voulez. Donc nous nous sommes donné rendez vous sur le noeud entre Mende et Puy pour règler nos différents. On attendait là quand on a entendu des pas. On croyait que c'était eux! Et puis bien...non c'était pas eux. Quand nous avons réalisé cette erreur, mon tendre époux à réussi à prendre contact avec cette pauvre victime et lui a proposé de le dédommager. Jamais nous avons voulu faire du mal à cet homme.
Ça c'est pour ce qui s'est passé...passons maintenant à un petit truc qui me chicotte. je m'explique.
Je reçois une lettre de vous me disant que je suis en accusation. Quand nous recevons ce genre de missive, nous n'avons pas le droit de quitter le Languedoc n'est ce pas...?
Je vous montre la lettre que mon mari à reçu du Maire de Mende.
*sort la fameuse lettre et la montre à qui veut bien la lire*
Expéditeur : Summa
Date d'envoi : 12/11/2011 - 02:38:29
Titre : Groupe Armé
Bonsoir Messire Ignace.
Un voyageur m'a informé d'une action de racket montée contre lui sur la route vers le Puy, il y a très peu, en vous mettant en cause.
Je connais donc les activités de votre groupe, d où mon insistance à vous demander dés à présent de vous conformer à l'Arrêté Municipal Mendois.
Article n°4:
Il est interdit de former un corps d'armes ou une lance sans l'accord explicite de la Mairie.
Les soldats faisant parti de l'Ost du Languedoc, d'une bannière reconnu ou d'un ordre militaro-religieux ou royal toléré ne sont pas concernés par cet article.
Les autres formations armées de passage, devront obtenir l'accord explicite de la Mairie, pour rester en l'état, faute de quoi elles auront 24 heures pour se dissoudre ou quitter la ville.
En fait, vous n'avez pas d'autre choix, si vous voulez échapper à des poursuites judiciaires, que de quitter le Languedoc, ou votre présence est d'ores et déjà signalée.
Le 12 Novembre 1459
Suimma, Maire de Mende
Alors que doit on faire? rester pour notre procès ou partir comme nous l'ordonne le Maire? nous écoutons qui là? vous? le Maire? et si on part, le procès est annulé? car c'est ce qu'il dit...
Enfin elle se tut et laissa les Sires répondre à son interrogation.
Votre Honneur,
Nouvelle attaque d�un Brigand en la personne de mestra Billy_rr sur les terres de notre comté.
Dans cette affaire, votre honneur il semble qu�il y ait eu un malentendu entre l�accusée ci-présente, ses acolytes et le plaignant.
Vous l�avez entendu votre honneur, tous les accusés disent que cela n�est qu�un malentendu et qu�ils doivent retrouver le plaignant à Polignac pour lui rendre ses biens.
Aussi, nos services de police nous faisant état que le plaignant se trouve effectivement à Polignac et que cela semble donc confirmer les propos des accusés.
Aussi vu la défense de l�accusée.
Aussi vu l�absence de témoignage du plaignant dans cette affaire malgrès plusieurs pigeons de ma part.
Nous, Arthurcano, procureur du Languedoc, considérant que le doute bénéficie à la partie de l�accusation, demandons à ce que l'accusée soit relaxée.
La parole est une dernière fois à la défense!
La jeune femme écouta le procureur, le juge et fini par dire.
Rien à rajouter votre honneur!
Retourne s'assoir en attendant le jugement
Le prévenu a été relaxé.
Lorsque tout le monde eu finit son intervention le juge pris la parole
Et bien voilà une affaire qui roule et puisque tout ceci semble au final un mal entendu, je me plie à la requête du procureur de relaxer l'accusée
puisse leur prochain séjour en languedoc se dérouler dans la voie d'Aristote et que le Très-Haut les aides à rester sur le droit chemin
ainsi nous kelak, juge du languedoc en avons nous décidé en ce jour du 22 novembre 1459
Kelak frappa son pupitre avec son marteau et ordonna la levée de séance
Le prévenu a été relaxé.