Nous, Docfusion, Procureur du Languedoc, intentons un procès à l'encontre de Finglofin pour :
-Haute trahison
-Violence contre l'autorité.

En effet celui-ci a été vu et reconnu par les gardes de Nîmes alors qu'il menait une révolte contre la mairie.
Il a donc enfreint les articles XXXXVI et XXXVI du code pénal Languedocien.

L'accusation n'a aucune preuve a présenter devant la cour.
Les témoignages de l'accusation seront donc d'importance capitale sur ce dossier.

L'accusation informe l'accusé qu'il peut faire appel au barreau du Languedoc pour assurer sa défense.

boarf si on ne peut plus rigoler un coup où va t'on ??

Si si messire fingolfin, nous on rigole comme vous pouvez le voir.
Devant l'insouciance de l'accusé, l'accusation réclame une peine de prison de 3 jours et une amende 70 écus.

tsss tsss 70 ecus pour une manifestation de bonne humeure ? va falloir payer pour rigoler maintenant ?

"Accusé, levez-vous !
Nous, Marguerite de Volpilhat, Juge du Languedoc, allons donner lecture du jugement que Nous rendons.

Attendu que Sire Fingolfin19 a été déféré devant Nous pour y être jugé pour des faits de haute trahison, pour avoir tenté de prendre la mairie de Nîmes.

Attendu que l’accusé n'a présenté aucune excuse valable lors de sa défense, invoquant simplement avoir voulu "rigoler".

Attendu que cette défense ne peut être considérée comme valable, étant donné la responsabilité de l'accusé.

Attendu que le procureur a requis trois jours de prison à l'encontre de l'accusé et 70 écus d'amende.

Par conséquent,

Déclarons Fingolfin19 coupable des faits qui lui étaient reprochés ;

Le condamnons, conformément aux articles X, VI, VII, XI et XLVI du coutumier languedocien, livre pénal, à une peine de 3 jours de prison et 60 écus ;

Disons que le jugement fera l’objet d’un affichage en halle publique ;

Informons les parties qu’elles peuvent interjeter appel du présent jugement devant la cour d’appel du Royaume, selon la procédure afférente à cette juridiction ;

Ainsi en a été jugé par le tribunal du Languedoc, en la personne du juge Marguerite de Volpilhat, ce jour de la Pâque, le 8 avril de l'an d'Horace 1455.

L’audience est levée !"