* Et maintenant la suite de l'affaire, le blond saisit le second dossier et poursuit**

En ce même jour du 11 février 1461 j'ouvre un procès à l'encontre de Mestra Nini pour brigandage sur la personne du Comte de Minerve, vicomte de Saissac et Baron de Saint Pont de Thomières, sa grandeur Klanacier ici présent, dans la nuit du 5 au 6 février de cette année.

A noter qu'il s'agit là d'un acte très certainement prémédité, un groupe ayant été constitué afin de mieux dépouiller les victimes se présentant à l'accuser et ses compères.
De ce fait j'appelle la victime de ce larcin à venir témoigner en cette salle. J'ajoute que cet acte nécessitant l'ouverture d'un procès à chacun des accusés, je prie sa grandeur venir témoigner dans chacun d'entre eux, bien que cela puisse être redondant...En y indiquant la valeur des biens dérobés et les preuves en sa possession.

**Puis un regard vers l'accusé**

Bonne chance pour vostre défense et notons qu'il vous est autorisé de faire appel à un avocat.

**Il allait prendre le dossier suivant lorsqu'il se rappela d'un dernier élément omit lors de l'accusation de la personne précédente**

J'oubliais ! Vostre peine pourra être réduite si vous daignez nous indiquer le nom de l'un personne vous accompagnant lors de cet acte donc voici le croquis. Je compte sur vostre coopération !

Nini salut l'assemblée ...

elle aime bien l'architecture intérieur du tribunal ...
elle écoute l'accusation et est horrifiée en entendant le nom Klanacier !

mais non votre honneur, je ne savais pas que j'allais rencontrer le comte Klanacier, voyons j'aime beaucoup cette personne et je n'avais aucune intention de lui nuire.

Je tiens à m'en excuser, je dirais même que ça me gêne énormément.

désolée comte Klanacier.

Nini, se retire très contrariée de cette histoire regrettable.

**L'accusée reconnaissait les faits. Une bonne chose ! Cependant le blond n'etait pas un homme à se laisser abuser d'excuses. Celle-ci avait brigandée.**

Mestra Nini ici présente se trouve reconnaître avoir brigander ce jour mais note ne pas avoir reconnu sa grandeur. Toutefois, cela ne change rien quand à l'action entreprise et calculée de dépouiller les personnes voyageant sur nos routes.
L'accusée n'agit donc pas en bon père de famille en effectuant une telle chose.
De plus, la victime de ce méfait se trouve être un noble éminemment reconnu dans notre comté.

Le comte n'ayant pu se déplacer ici, je présente à la cours les preuves en notre possession :
06/02/1461 04:04 : un malfaiteur nommé un groupe composé de Mumule de Nini et de Vaslav (coefficient de combat 14) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.
06/02/1461 04:04 : un malfaiteur nommé un brigand (coefficient de combat 5) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.

Heureusement la victime ne s'est pas trouvée dépouillée de par sa force mais nous nous devons de
punir les personnes contrevenants aux lois.

**Il saisit la feuille de parchemin du procès de Vaslav et jugea normal de demander l'application de la même peine aux deux**

Je réclame que l'accusé soit reconnu coupable d'acte de brigandage et condamné à 2 jours de prison ainsi que 10 écus d'amende. Qu'il prenne conscience de ses actes.
Notons que « faute avouée est à moitié pardonnée » nous avons décidé de ne pas alourdir la peine de par le caractère noble de la victime.

nini s'apporche ...
Que dire, nous navons rien volé, et en plus mais jambe est cassée, je souffre énormément.

2 jours de prison, me semble bien lourd votre honneur ...

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
L'accusée est reconnue coupable.

Verdict rendu le 16 février 1461. Odile, juge.
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 2 jours et � une amende de 10 écus.