Procès ayant opposé Sandro au Comté du Languedoc
Sandro était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Virgile Rollon
Nom du juge : Jorocket
Date du verdict : 07/04/1461
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins
En ce premier jour du mois de mars 1461, Nous, Virgile Rollon, procureur du Languedoc, mettons en accusation Mestre Sandro pour Trouble à l'ordre public.
Votre honneur, nous devons porter à votre connaissance les faits suivants : Mestre Sandro a agressé dans la nuit du 19 au 20 février 1461, Mestre Elpoete .
La victime a transmis au Lieutenant Midou chargé de l'affaire une première preuve ;
20/02/1461 04:05 : Vous avez été racketté par Sandro
C'est donc seul que Mestre Sandro a commis son délit entre Arles et Nimes.
La victime a heureusement pu entendre le nom de son agresseur qui va devoir répondre de ses actes délictueux.
Selon le critère du bon père de famille, est permise en Languedoc, toute action que pourrait commettre une personne normalement sérieuse, raisonnable et soucieuse de ne causer aucun préjudice à autrui...
Mestre Sandro bafoue ce principe. Cet acte contre Mestre Elpoete est commis pour nuire volontairement sans moralité aucune!
Pour le maintien de l'ordre civil, il nous appartient de réprimer ce type de comportement malveillant.
Votre Honneur, l'accusé est donc présenté devant vous pour agression et vol de biens sur la personne de Mestre Sandro.
Nous appelons donc à la barre, pour la défense, Mestre Sandro, et pour la partie plaignante, la victime qui pourra confirmer les termes de sa plainte et reconnaître dans cette enceinte, son agresseur..
Nous rappelons que l'accusé peut se faire aider d'un avocat, reconnu par le barreau du Languedoc, pour sa défense. Voici l'adresse où vous pouvez en faire la demande :
http://chateau-montpellier.discutforum.com/salle-publique-f111/
La parole est maintenant à la défense.
Je n'ai rien fait.
Votre honneur,
la victime à transmis les preuves de son agressions permettant ainsi un procès argumenté.
La défense quand à elle, bien qu'elle a démenti, n'a apportez aucune justification qu�une personne innocente peut normalement apporter.
Les preuves sont réunis ici donc et aucune contestation argumenté et digne de ce nom n'a eu lieux.
Je vous rappelle votre honneur, que Messire Sandro ici accusé a déjà eu affaire à la justice languedocienne et reconnu coupable autant de fois.
Par conséquent, je vous rappelle que l'acte de racket doit être très sévèrement punis.
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
*se présente à la barre une nouvelle fois*
Je ne sais pas, je ne sais rien en ce qui concerne les comportements des bons pères de famille qu'approuvent le Languedoc.
Sire Sandro m'a beaucoup aidée lorsque je suis arrivée ici, m'aidant à me nourrir sans rien me demander en retour ... Pas comme certains. Je ne sais pas si c'est un comportement qu'approuve le Languedoc mais il s'est montré charitable envers moi, et ça compte.
J'ai été détroussée en venant ici, il est venu me proposer son aide. Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans lui mais pour moi, il a été présent...
...Vous remercie de m'avoir écoutée ...
Messire juge et vous honorables conseillers
Par les temps qui courrent
Les arts ici n'ont cours
comme Sandro l'énervé
Sur les routes il m'a agressé
de coups m'a roué
sans un sou... sans vivre
le visage tuméfié... l'air ivre
La célérité avec laquelle vous l'avez retrouvé
Prouve que mes appels ne furent désespérés
Et que finalement en Languedoc
des poetes on ne se moque
El poete
l'Acte d'accusation ainsi que le témoignage de la victime montrent clairement que l'accusé, mestre Sandro, a effectivement racketté mestre Elpoete dans la nuit du 19 au 20 février 1461 sur les chemins entre Arles et Nîmes.
L'acte de brigandage est pourtant coutumièrement condamné par le tribunal du Languedoc, car il est évident qu'un tel acte est préjudiciable pour la vie en société si tout un chacun se le permettait.
Il est à noter que l'accusé a, par ailleurs, déjà été reconnu coupable par le tribunal du Languedoc pour des faits similaires. Malgré deux condamnations survenus en décembre 1460 et en février 1461, l'accusé se retrouve une fois de plus au sein du prétoire à devoir être jugé.
Par conséquent, en ce jour du 7 avril 1461, le Juge Jorocket, moi-même, déclare l'accusé coupable des faits reprochés. Je le condamne à une peine de prison de dix jours ainsi qu'au versement d'un don de 50 écus auprès du Comté du Languedoc. La preuve du don sera à envoyer à la greffière Cerise375 avant le premier mai 1461. En cas de non-respect de la présente décision de justice, l'accusé s'expose à de nouvelles poursuites judiciaires.
Si l'un des parties s'estime méjugé, il est possible d'interjeter appel du présent verdict auprès de la cour d'appel royale, en y déposant dossier sous quinze jours.
Justice est rendue, l'audience est levée.
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 10 jours.
Le prévenu a été condamné à 10 jours de prison ferme