Procès ayant opposé Termin au Comté du Languedoc
Termin était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Estuardo
Nom du juge : Estuardo
Date du verdict : 04/03/1462
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins
*Estuardo entre en salle du tribunal ne sachant pas exactement comment faire pour cette affaire*
En cé jour du dix-neuf février dé l'an mil quatre cent soixante et deux, lé procureur du Languedoc, Estuardo Gonzalez, moé-même, ouvre un procès contre cette femme pour des faits dé brigandage en groupe, qualifiés dé Trouble à l'Ordre Public.
*Regarde le jeune homme*
Veuillez dire votre nom et lieu dé résidence s'il vous plait.
*Il regarde la Juge*
Madame la Juge,
L'accusé, si présent, est suspecté d'avoir participé dans un brigandage en groupe sur les routes entre Uzès et Montélimar la nuit du huit au neuf février dé cette année. Les autres suspectés sont déjà en procès et ont étés capturés en groupe.
Cependant, l'accusé ici présent, fut capturé loin des autres accusés. Ils nous est donc plus difficile dé témoigner dé sa participation. Cependant, l'accusé fut capturé cé soit à Uzès, donc très proches des lieux du crime, et malgré lé fait qué dix jours sé soient écoulés, il ressemble énormément au portrait et à la description faite dé l'un des agresseurs par la victime lé lendemain du méfait.
En effet, vous pouvez voir qué ses habits, peu courants et élégants, sont les mêmes qué sur l'affiche ainsi qué son visage, très ressemblant à celui du portrait, sans compter son jeune âge.
Yé fais à présent lecture dé la description faite dé lui sur l'affiche:
Lé troisième homme, enfin, est lé plus jeune dé tous, juste dans l’âge entre adulte et enfant, entre douze et quinze ans surement. Lé visage dur, l’œil gauche avec un léger strabisme (décidément, ils doivent être famille, tous ces hommes!), et des cheveux surement bruns et fortement bouclés. C'est cé qué la victime a pu deviner, étant donné que lé gosse serait étrangement et élégamment vêtu. Des bottes en cuir marron foncé, des pantalons bombés d'un vert foncé avec des touches d'orange, une chemise verte-grise claire, un gilet assortit avec les braies, et une sorte de chapeau, dé la même couleur, avec des plumes certainement de faisans. Lé plus étrange serait une sorte dé... chose, verte et orange, pour recouvrir une virilité qui semble bien développée pour son jeune âge. Il serait armé d'un couteau, un bâton et un bouclier noir.
*La lecture terminée, Estuardo tends une copie de l'affiche à la Juge:
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2164663
(HRP: Il faut que le forum 1 soit ouvert sur une fenêtre de votre navigateur pour que le lien marche)*
Vous pouvez remarquer qué l'accusé porte les mêmes vêtements. Et ceux qué la victime a cru un bâton, qui en réalité était une pioche, a été prise par la garde uzétienne lors dé sa capture et gardée lé temps qué lé procès soit conclu.
*Il se tourne vers l'accusée*
Au moins la ressemblance est indéniable, ainsi qué la capture en lieu proche du lieu du crime, vous avouez-vous donc coupable?
*Se retourne vers la Juge*
Madame la Juge, si chacun sé permettait dé brigander, la société serait dans un grave danger. Dé plus, cé né sont là pas des actions dignes d'un bon père dé famille, et finalement, lé Languedoc a la coutume dé punir cé genre d'actions.
*Regarde de nouveau l’accusé*
Par conséquent lé ministère dé la justice vous accuse d'avoir enfreint lé droit languedocien.
Sachez qué lé silence dé votre part ainsi qu'une non-défense, vous mènera directement à une condamnation.
Sachez aussi qu'avouer votre culpabilité peut être raison pour réduire votre peine.
Sachez, finalement, qué vous avez tout à fait lé droit d'être représenté par un avocat pour votre défense.
Lé barreau du Languedoc est accessible ici :
http://forum2.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=9680
l'Ordre des avocats du Dragon se trouve par là :
http://forum.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=4831
(HRP: Il faut que le forum 2 dans le premier cas ou le forum 1 pour le deuxième cas soient ouverts sur une fenêtre de votre navigateur pour que le lien marche)
La parole est à vous.
"Termin arriva , étonné d'être convoqué pour une affaire pareil."
M'dame la juge, mes respect respectueux,
M'sieur le procureur, il faudrait s'avoir, vous commencer par accuser une femme dans votre plaidoirie, et ensuite, vous faite la description d'un homme qui aurait détroussé une femme.Vous vous mélangé un peu les pinceau non?c'est a croire que vous accusé la mauvaise personne, qui la description est peu houleuse.
Certe je suis bien habillé, mais mes habits viennent d'un grand couturier milané qui a vendus a grand échelle ses créations et dont je suis sur,beaucoup d'homme porte se genre d'habit dans le royaume.
bref pour en revenir a votre affaire,j'était dans un groupe de personne qui m'était étrangère, me proposant de me raccompagner a monpeliers,mais sans raison apparente, me laisse dans la cambrousse seule.
Et pour finir, qui est cette victime? que lui aurais-je volé? elle m'aurait reconnu dans la nuit? avec 5 autre personnes? cette personne aurait donc une vision de chat pour reconnaître 5 personnes dans une nuit noire d'hiver? cela ressemble a de la sorcellerie !
Bref, je n'y suis pour rien !
" Termin retourna s'asseoir a sa place en attendant la suite des événements "
*Estuardo, ayant écouté les deux interventions, repris la parole. C'était, pour lui, une affaire compliquée, car l'accusé était encore jeunot, et l'aragonais avait un faible pour les mômes, bien que celui-ci fut, aussi, presque un adulte déjà.
Il s'adresse d'abord à l'accusé*
Yé m'excuse, en effet, si jamais j'ai commis l'erreur dé sexe qué vous prétendez. A vrai dire yé né m'en souviens pas, mais cela est fort probable. Yé suis fatigué et celui-ci est lé cinquième procès qué yé traite dans la journée, sans compter des nombreuses plaintes reçues. Yé demande donc au scribe qui sé charge dé transcrire lé procès dé bien vouloir rectifier à l'écrit mon acte d'accusation, si jamais à l'oral j'ai parlé d'une femme et non d'un jeune homme.
Ensuite, jeune homme. Vous mé demandez lé nom dé la victime, essayant par là, j'imagine, dé faire appel à un vice de procédure. Cependant, comme vous venez dé lé remarquer, la victime a une voix propre et peut sé présenter toute seule. D'autre part, yé né conçois point l'importance dé l'identité dé la victime, l'acte reste lé même. Excepté, bien sûr, pour pouvoir dire qué son témoignage est fiable... mais comme vous remarquez, je laisse lui ai laissé lé soin de sé présenter elle-même.
Finalement, yé pense qué vous n'avez pas beaucoup à dire sur l'affaire des présentations, étant donné qué, malgré lé fait que yé vous l'ai demandé, vous-même né vous êtes point présenté. Or yé pense qué c'est cela la moindre des politesses quand on sé trouve dans une salle dé tribunal... Yé veux penser qué vous étiez si pressé dé crier votre innocence qué vous en avez oublié cé petit détail.
*Regarde la Juge*
Petit détail qui, pour l'instant, mé fait mé fier beacoup plus des dires dé la victime qué dé ceux dé l'accusé. En effet, nous avons, Madame la Juge, face à nous une femme qui sé présente et donne son lieu dé residence, face à un jeune homme qué nous né connaissons ni d’Ève ni d'Adam, dont nous né connaissons ni lé nom ni les fréquentations ni la ville qu'il habite. Yé pense qué n'importe qui sé fierait d'avantage dé la première qué dé la deuxième.
D'autre part, nous avons une victime qui vient dé reconnaître l'accusé, expliquant dé façon fort convaincante comme elle l'a pu reconnaître. Évidemment nous né pouvons prouver qué l'heure du crime fut exactement celle qu'elle dit, mais yé peux vous assurer, Madame la Juge, qué l'une des personnes retenues pour cé méfait, une femme justement, possédais bien une lanterne lors dé la capture.
En plus, bien qué les habits qué porte lé jeune homme puissent être portés par plusieurs personnes, yé doute fort qué plusieurs jeunes hommes du même âge portent les mêmes habits durant les mêmes dates environ dans les mêmes lieux. Lieux où les autres accusés furent aussi capturés. Yé pense qué cela ferait trop dé coïncidences et yé né crois pas tellement aux suites interminables dé coïncidences.
Finalement, l'accusé prétend avoir seulement voyagé avec lé groupe d'agresseurs, mais yé demande: si un brigandage fut commis par les dits agresseurs et qué la victime reconnait entre le groupe d'agresseurs l'accusé, accusé qui avoue avoir voyagé la nuit du crime avec un groupe dé voyageurs... l'accusé a bien du être au moins témoin dé l'agression. Or, étant témoin dé l'agression, sans en être complice, n'a-t-il rien dénoncé, n'avoue-t-il pas avoir tout vu et avoir eu peur dé parler maintenant afin dé montrer son innocence? Yé pense pas, voyez-vous.
*Une pause*
Yé suis donc convaincu qué l'accusé est au moins complice.
*Une pause. Venait la partie compliquée*
Yé veux bien, personnellement, lui donner lé bénéfice du doute, mais la preuve circonstancielle est bien trop forte. Yé veux bien dire qué son jeune âge a brouillé sa droiture, et qu'il fut manipulé par lé groupe avec lequel il voyageait. Yé veux bien, s'il l'avoue.
*Oui, Estuardo aurait bien aimé fermer les yeux et ne pas voir le mal dans un pré-pubère.*
Ainsi, Madame la Juge, yé propose plusieurs solutions.
- Si l'accusé donne quelques détails nous permettant dé reconnaître sa bonne volonté et dé prouver la culpabilité des autres accusés, yé propose une amende symbolique dé cinq écus et une journée dé prison.
- Cependant, si l'accusé n'apporte ni des preuves dé son innocence ni déclaration dé sa culpabilité, yé propose une amende dé 50 écus et trois journées dé prison.
Néanmoins, si l'accusé fait un versement dé 30 écus au comté, écus qui seront par la suite versés à la victime, yé conçois ces 30 écus comme unique peine, en plus d'un écus symbolique, toujours alliés cependant aux trois jours dé prison.
*Regarde l'accusé*
Vous pouvez encore vous défendre une fois, après quoi Madame la Juge rendra son verdict.
Termin écoute avec attention le témoigne de la victime et la plaidoirie du procureur avec son horrible accent, il se leva et prit a son tour la parole"
Madame la juge,
J'en revient sur la déclaration de la soit disente 'victime', en effet, celle ci déclare avoir était attaqué au petit jour,ce que même le procureur ne peut prouver.Mais je pense que si agression il y a eu, même un pécore avec deux neurones n'attaque pas de jour, ni même au petit matin, enfin je ne suis pas expert mais cela semble logique.Ensuite elle parle d'une lanterne, celle ci dans la nuit,ou même au petit matin aurait réussie a éclairer 5 personnes?j'en doute, une petite loupiote arrive a peine a éclairer la route devant soit...Et pour finit celle ci alors que visiblement elle se fait ruer de coup, dans la pénombre de la nuit,arrive a reconnaître 5 personnes? Elle a est capable de nous donner aussi la couleur de leurs yeux? le nombre de grain de beauté sur leurs peau? non? pourtant elle semble avoir de bonne acquitté visuel en pleine nuit avec tout un groupe la battant...
Je pense que madame la Juge, la réalité et toute autre.Cette personne croise un groupe de voyageur sur la route.N'ayant d’après ses dires qu'une vingtaine d'écus sur elle,quelques miche de pain et de la mauvaise herbe, elle a dus se dire que ses personnes pourrait lui remplir sa bourse bien maigre grâce a un procée et les compensation qu'y s'en accompagne.Il est en effet facile d'accusé des personnes d’agression alors qu'il n'y a aucune preuve mis a par sa parole.Ma parole a autant de valeur que la sienne jusqu’à preuve du contraire non? D’ailleurs,je ne clamerais pas si fort mon innocence pour un butin aussi ridicule.
J'en revient a Monsieur le procureur,il a y a comme il l'a dit a demi mot,vice de procédure.En effet du Respect des Procédures Judiciaires,L’acte d’accusation doit faire état de :
-les nom et qualité du plaignant à l'origine de l'instruction du dossier; ce que le procureur n'a pas fais, c'est la plaignante qui c'est présenté elle même.
-les nom et qualité de l'accusé , ce qui n'a pas était fait.
-les nom et qualité des personnes amenées à témoigner de la réalité des faits reprochés ;la plaignante n'a toujours pas était présenté pour son témoignage.
-la description des préjudices subis; la encore c'est la plaignante qui a décrit ses préjudices, a croire que le procureur laisse tout le travaille au plaignant !
Aucune de ses choses n'est fait état dans l'acte d'accusation.
-Monsieur le procureur qui accuse une femme, alors que je suis un homme
- les preuves directes et indirectes qui seront ou ont été présentées;n'ayant aucune preuves direct apporté dans ce tribunal,il n'y a que des preuves indirect envers moi.Il y a tout le groupe avec qui je voyagé dans les salles d'a coté qui clame leurs innocence aussi,du moins certain d'entre eux qui prenne la parole.L'ont peut donc en déduire que notre parole prévôt.
Je demande donc en vu des faits, ma relace madame la juge.
Et pour finit en beauté,je me nomme termin et j'habite a Montpellier.
"Termin saluât la juge et repris sa place en attendant le verdict du juge"
Leilla entra dans la salle du tribunal afin de donner son témoignage.
Messire Procureur, Mesdames et Messires de la Cour,
Je m'appelle Leilla et je suis résidente à Niort.
Je me rendais à Dié afin de rendre visite à une amie avant de reprendre ma route pour me rendre à Polignac apporter des simples à un médicastre installé là-bas.
Dans le nuit, ou plutôt devrais-je dire vers le petit matin, je me suis faite agresser ert rouée de coups par un groups de cinq personnes qui m'ont dépouillée de ma bourse et de mes quelques provisions de route ainsi que des herbes médicinales récoltées lors de mon voyage. Ma bourse n'était pas très remplie (environ une vingtaine d'écus) et mes maigres provisions ( 4 miches de pain) mais le perte la plus importante est sans nul doute les simples dont 5 fleurs de pavot blanc qui sont rares et qui sont nécessaires à la confection des potions et essences curatives dont les médicastres ont besoin pour combattre les maladies sévissant actuellement.
Je reconnais parfaitement ce "Messire" comme étant une des personnes faisant partie du groupe m'ayant agressée. ( Leilla désigna sans hésitation le jeune homme avec le chapeau à plumes.)
Le jour commençait à poindre et il régnait donc une légère clarté permettant de discerner certains détails. De plus., l'une des femmes faisant partie de mes agresseurs portait une lanterne éclairant encore mieux mes agresseurs. Ensuite, lorsque l'on se fait rouer de coups et agressée de surcroît par une dinde qui accompagnait ces malfrats, cela vous donne des cauchemars pendant de nombreuses nuits et ne vous permettent guère d'oublier vos agresseurs ni à quoi ils ressemblent.
Quand aux dires de ce "Messire" prétendant ne pas connaître ces compagnons de voyage, permettez-moi d'en douter car leurs échanges à voix basse m'ont plutôt donné l'impression du contraire.
Merci de m'avoir écoutée.
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
En ce 04 mars 1462, moi, ahlatete, juge du comté du languedoc vais rendre un verdict dans l'affaire opposant Termin au comté du Languedoc.
Monsieur, vous êtes accusé de Trouble à l'ordre public.
Et comme l'a si bien dit notre procureur : si chacun sé permettait dé brigander, la société serait dans un grave danger. Dé plus, cé né sont là pas des actions dignes d'un bon père dé famille, et finalement, lé Languedoc a la coutume dé punir cé genre d'actions.
Elle regarde sévérement l'accusé
Monsieur, il me semble qu'au lieu de faire le pitre en ce lieu, vous seriez mieux inspiré de faire profil bas. Avec un minimun de jugeote, ce qui, entre parenthèse ne semble pas être votre principale qualité, la jugeote hein.... Vous vous seriez abstenu de dénigrer le procureur. Procureur qui, soit dit en passant fait parfaitement son travail. Au lieu de vous donner une chance, et de nous prouver que vous n'êtes pour rien dans ce que l'on vous reproche, vous vous contentez de vous plaindre et de faire l'outragé.
Monsieur, sachez que je ne suis pas dupe, et que je vous considère coupable de ce que l'on vous reproche. Et, entre nous, si vous voulez faire une grande carrière de brigand, assumez vos actes...
Je vous condamne donc à 50 écus et trois jours de prison
Vous avez bien sur la possibilité de faire appel de cette décision au tribunal du comté, et ce, dans un délai de 15 jours.
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 3 jours et � une amende de 50 écus.
Le prévenu a été condamné à une amende de 50 écus et à 3 jours de prison ferme