Procès ayant opposé Astran au Comté du Languedoc
Astran était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Lakhdar Shaggash
Nom du juge : Cristòl de Sìarr
Date du verdict : 12/01/1457
Lieu concerné par l'affaire : Le Puy
*Le procureur se leva, et arrangea les plis de sa tunique avant de s’avancer. Il se plaça sur l’estrade, toussota quelque peu, et débuta son acte d’accusation.*
- « Aujourd’hui, jeudi 25 décembre de l’an de grâce 1456, nous, Lakhdar Shaggash, procureur du Languedoc, portons devant les instances judiciaires de notre comté, l’affaire opposant Messire Astran à Dame Laurine.
Après avoir prononcé les formules réglementaires pour entamer son discours, il fouilla dans ses dossiers, en sortie une feuille, et continua.*
-« Les deux protagonistes sont tous deux citoyens de la ville du Puy, dans le comté du Languedoc régit par le coutumier languedociens.
Cette affaire concerne ici des injures, émise par Messire Astran, alors maire du Puy. Notre victime, Dame Laurine, avoue avoir émies des critiques sur la politique du maire et sur l’état des marchés de la ville. Il a affecté l’honneur de Laurine, en employant des mots d’une grossièreté indigne d’un homme de vertus, et de sa charge de maire. »
*Le procureur sorti une feuille qu’il déposa sur le bureau du juge. Voici ce qu’on pouvait lire sur ladite feuille : http://img253.imageshack.us/img253/7865/astranvj5.gif*
- « Voici une copie des échanges rapportés par notre victime. Rappelons à la cour que certain terme ont pu être involontairement oublié. L’accusé pourra fournir ses propres copies pour une contre-expertise s’il en juge bon. Il peut également produire d’avantage de témoignages. »
*Il s’arrêta quelques instants, ouvrit son coutumier, tourna les pages en s’humectant délicatement le doigt, puis manifesta un certain contentement après avoir trouvé l’article qu’il cherchait. Il le pointa de son doigt, et le lu :*
« Article 4.5.9. : Injure - Toute personne qui a, par la parole, l'écriture ou l'image, attaqué autrui dans son honneur est passible de l'emprisonnement et/ou de l'amende. »
*Il pointa l’accusé du doigt*
« Ainsi, messire Astran a bafoué l’article 4.5.9 du coutumier. Nous lui demandons de bien vouloir venir expliquer sa conduite devant la cour de justice. Nous écouterons également le témoignage de la victime, Dame Laurine.
Nous rappelons qu’en vertu de l'article 15 de la loi de procédure pénale, si l’accusé ne souhaite pas prendre en charge sa propre défense, il peut demander à un avocat de le faire à sa place. » (Renseignements à cette adresse : http://chateau-montpellier.discutforum.com/salle-publique-f111)
*Le procureur se tourna d’un bon, et retourna se s’asseoir à la place qui lui était réservée*
Se levant tout sourire, Astran se présenta donc devant la justice Languedocienne avec plaisir...
" Votre honneur, faisons vite... c'est que j'ai pas que ça à faire... je dois mourir pour cause d'abus de boisson bientôt !
Je suis donc clairement pas un "homme de vertu" m'sieur le Procureur...
Alors pour faire simple : je suis coupable.
J'ai bel et bien prononcé ces paroles, et je les pense toujours !
C'est une braillarde frustrée et probablement mal baisée...
C'est pas une poursuite ni une condamnation qui me fera changer d'avis sur le sujet; et c'est mon droit de le crier haut et fort si j'en assume les conséquences.
Me voila donc devant vous, sachant très bien que je suis coupable...
Mais... je vous demanderais de prendre en compte l'article 4.5.10. du Coutumier ainsi que les prochaines explications...
Voici l'article, des fois que la mémoire vous fasse défaut...
***
Article 4.5.10. : Le juge peut exempter le délinquant de toute peine si l'injurié(e) a directement provoqué l'injure par une conduite répréhensible.
***
Et voici les explications... n'excusant pas l'injure, bien sur, mais montrant la relation avec "la conduite répréhensible".
Une telle constatation de l'état de braillarde frustrée de la victime ne m'est pas venue seule... je ne me suis pas levé un matin en me disant " celle là, je l'aime pas !"
Bah non...
Elle m'a cherché, provoqué, et finalement trouvé...
Injure il y a eu, oui, mais en réponse aux nombreuses diffamations et autres conneries dites par la... appelons-la "dame" pour rester polie...
Je m'explique...
La... "dame"... n'a pas appréciée que je relève plusieurs lacunes lors du mandat de la mairesse qui me précédait. Malgré le fait que je le faisais dans "l'intimité" du château, ouvert au seuls membres du conseil municipale du Puy...
Elle a donc décidé de partir en croisade je crois bien... amenant cette histoire sur la place public du Puy.
Lorsque j'ai commencé la "campagne électorale" (si on peut appeler ça comme ça...), c'est plutôt devenu mon procès en public...
Elle est venu semer le trouble, insinuant n'importe quoi, déformant mes propos, attaquant à chaque interventions, tentant de me faire porter le chapeau sur des sujets qui ne me regardaient pourtant pas, ou si peu...
Je n'ai malheureusement plus les archives écrites des discutions concernant cette campagne... effacé par le temps peut-être...
Mais j'ai toujours la première page... que j'ai conservé parce que j'adorais le ton arrogant, et accusateur, de la "dame"...
Je vous la ferez parvenir par MéSaNge si vous le souhaitez, la preuve étant difficilement montrable ici...
( c'est une page complète du forum... illisible sur imageshack
Veuillez donc confirmer par mp au château si vous voulez le document ;) )
Continuons avec le topo que j'ai déjà donné au procureur... mot pour mot, ou presque...
Commençons par le 7 Décembre dernier, alors que le médiateur Comtale, messire Skip, transmettait un message de la plus haute importance: la déclaration de la loi martiale...
Notre chère frustrée, plutôt que de simplement dire que cela ne la regardait pas, a préféré me dénigrer...
Heureusement, une archive existe pour tout les propos tenus dans les institutions... la douane aussi donc. J'ai une copie ici...
http://img355.imageshack.us/img355/6074/84622077sl6.png
Dois-je rappeler que le terme "pérore" vient du verbe "pérorer" ?! Ce dernier étant lourdement péjoratif !
Continuons avec une autre pique lancée à de nouveaux arrivants...
Je nous appellerai "l'ancienne école", étant quelques "vieux" à être de retour dernièrement... nous sommes donc comparés à "un vent désagréable de relents du passé..."
Assez lourd de sens aussi hein... j'ai encore une transcription écrite de la conversation... à croire que tout est surveillé dans ce monde !
http://img515.imageshack.us/img515/8800/86168864im0.png
Maintenant, de la diffamation pure et simple !!! Une attaque à mon honneur ! Ça mérite un coup de rame ! voire deux !!!
Alors qu'elle "discute" avec messire Bentich, seul personne travaillant avec moi sur ce conseil, elle a le front d'insinuer que je me suis servit dans le maïs au détriment des autres villageois; et ce, sans preuves !!!
http://img262.imageshack.us/img262/632/10391256pk6.png
En plus, elle insinue que je ne suis pas présent... alors que chaque personnes qui m'ont écrit ont reçu une réponse...
Sans parler de la petite leçon sur mon job... je sais très bien que le poisson s'exporte bien "habituellement"... mais peut-être un peu moins lorsqu'il y en a 300 et plus en stock... mais bon, c'est un autre sujet...
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( celle là est pas rp... étant dans le texte et non dans les paroles... mais le résultat est le même ! me voila "arrogant et vaniteux" ...
http://img187.imageshack.us/img187/8913/92737271ti6.png )
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Voila quoi... depuis que j'ai relevé certains manquements de l'ancienne mairesse, j'ai cette..."dame"... sur le dos.
Jamais contente, elle dénigre chaque actions, reformule mes phrases, insinues des choses pas très rose, se moque de ma personne... elle est donc braillarde et frustrée, non ?!
Alors oui, là j'ai atteins mes limites... Elle mérite ces qualificatifs, et j'en passe...
C'est une campagne de salissage depuis les dernière élections...
C'est de la mauvaise foi sans arrêt...
C'est des insinuations et des tournures de phrases lourdes de sens trop souvent...
Je ne retirerai aucuns termes et refuserai tout types d'excuses publiques.
Cela ne serait de toute façon pas sincère; et donc tout à fait inutile...
Injure en réponse à la diffamation dans mon livre à moi donc...
*Après une longue attente, le procureur se décida à déposer son réquisitoire.*
Ainsi l'accusé assume entièrement ses paroles, et les faits qui lui sont reprochés. Il prononce les même mots grossier devant le tribunal.
Même si l'accusé semble avoir été provoqué par dame Laurine, il faut savoir garder la mesure de ses paroles lors d'un échange.
Seul Dieu peut juger sa création. Et nous sommes tous sa création. Ainsi, le tribunal ne pourrait permettre que de tel mot soit prononcés à l'encontre d'une brebis, même si celle-ci a insulter le bouc.
Ainsi, comprenant qu'Astran a subit certaine pression, diffamation et provocation de la part de Dame Laurine, mais étant donné que ses paroles restent démesurées face à de tel insulte, nous demandons une amende de 10 écus.
Bla bla bla...
Braillarde, frustrée et mal baisée...
Nan, je décrocherai pas... même si on me condamnerait à mort...
C'est une imbécile qui méritait ces qualificatifs...
Point final.
La Garçonne avait écouté l’accusé se justifier à sa manière. Vint son tour d’expliquer son point de vue sur cette déplorable affaire.
Votre honneur, sachez avant tout que je déplore vous faire perdre votre temps avec ce genre d’affaire. Cependant tant la place occupée par l’accusé que la persistance de ses propos, méprisant par la même votre jugement, me poussent à vouloir aller jusqu’au bout de ma démarche. Pour qu’enfin le respect d’autrui, vertu languedocienne si je ne m’abuse, reprenne enfin ses droits.
Cet individu me traite de différents termes. Je n’aurai pour ma part pas l’outrecuidance de vous faire un rappel sémantique de ses termes. Bien sur je l’ai attaqué, critiqué, avec détermination même. Mais je ne pense l’avoir attaqué que dans l’exercice de ses fonctions et en rien sur sa vie privée. C’était un premier point que je voulais mettre en évidence.
Par ailleurs il prétend ne pas m’avoir haï un matin en se levant. Je ne sais si c’est de la haine ou du dégout que je ressens à son égard mais il en va de même pour moi. Ce n’est ni le fruit du hasard ni même d’un jugement à l’emporte pièce de ma part. Je me reconnais dans les propos qu’il me prête, entièrement. Seulement vous n’avez eu là qu’une version partielle des choses. Je me propose de les compléter maintenant afin que vous disposiez de tous les éléments pour rendre jugement.
J’ai rencontré l’accusé pour la première fois lors de son discours pré-électoral à la mairie du Puy. Etrange rencontre d’un coéquipier à la mairie. En effet l’individu faisait partie, tout comme moi, du conseil municipal sortant. J’avais entendu parler de lui lors de l’élection comme un homme d’expérience, capable. C’est d’ailleurs à ce titre que Laur3 l’avait inclus dans son équipe.
Quelle ne fut donc pas ma surprise d’entendre ses propos dénigrants sur les capacités de la mairesse, la traitant même d’incompétente, limite de de paresseuse. Je pourrais même vous citer de mémoire ses propos (pas de screens mais copie texte du rp). Il se fait que nous étions trois personnes actives, relativement inexpérimentées au conseil municipal mais nous avions commis l’erreur de ne pas demander de l’aide à un membre, fantôme mais empli d'expérience,de ce conseil. Alors, oui votre honneur j’ai vu rouge et me suis emportée, ce qui a entrainé une escalade menant à l’aveu des vraies raisons de l’accusé pour avoir laissé comme je l’ai dit, la mairesse se dépatouiller. Et là je vais citer ses propos, éclairant sous un autre jour les vraies raisons de son inactivité. Au cours de ce débat il dit
« "La regarder se dépatouiller"... bah oui, c'est ce que j'ai fait, et ce en pleine connaissance de cause !
Soyons clair: la seule chose qui m'a empêché de me présenter à la dernière élection, c'est le fait que je n'avais pas encore de propriétés; chose obligatoire selon le Coutumier. Une fois ce problème réglé, ma candidature était certaine...
Alors depuis le début j'ai l'intention de me présenter contre elle... En adversaire des plus... disons profiteur, j'étais pas mécontent de la voir se planter en plus ! »
Je vous passe les dénigrements sur le coutumier en place publique, le fait qu’en tant que candidat unique, il aurait pu s’abstenir de se gausser de gens qui ont fait ce qu’ils ont pu, n’ayant aucun doute sur son élection, tout comme sur les insultes déjà proférées à mon égard à l’époque, j’avais osé pointer un manquement au moins moral de l’attitude de cet individu. Déjà là il montrait qu’il ne souffrait aucune critique, se proposant pourtant de porter seul à l’époque sur ses épaules, la responsabilité quasi complète de la politique municipale.
Il parle également de mes propos au médiateur comtal, il a les oreilles fines. De quel droit ose-t-il prétendre à ma place que la loi martiale ne me regardait pas. Et c'est moi qui manipule les propos des autres ? Je tenais que cette information soit répandue au plus vite et voulais notifier qu’en l’absence de douanier il serait plus efficace que le candidat unique à la mairie s’en charge. Mais nous dévions.
Peu importe, je ne désirais nullement travailler avec quelqu’un qui se présentait seul, supposant d’emblée que tout travail qu’il délèguerait lui reviendrait de toute façon. Réflexions sans doute issues d’un passé malheureux dont le Puy était supposé refaire encore les frais. Je me permet de le reciter
« Dans les faits, j'ai eu du mal par le passé avec les équipes municipales... le travail n'est pas toujours fait hein... et au final, bah c'est moi qui doit le faire...
Alors là je sauve du temps et ne présente pas d'équipe. »
Il est vrai qu’il connaît le Coutumier à la virgule près, et que rien ne l’obligeait à ne pas tenir seul la mairie. Nous nous éloignons peut-être du sujet mais je tiens par là même à décrire le climat qui s’était installé dès la réapparition de l’accusé dans la vie politique ponote.
Il m’accuse en quelque sorte de l’avoir harcelé. Là non plus je ne ferai pas de sémantique. Mais reviendrai aux faits. Donc j’ai clairement énoncé ma manière de voir son attitude lors de la « campagne » électorale. La suite ? Deux semaines de silence complet de ma part au sujet de sa politique. Notez par ailleurs que je n’ai jusqu’alors aucunement critiqué ni ses compétences ni même l’injurier personnellement.
Lorsque deux semaine après l’élection, je revisite le marché, j’y trouve une situation qui me désagrée. J’en fait part à l’adjoint au maire, fraichement nommé. Le maire s’est-il senti attaqué ou traité de voleur, lui seul pourra le dire, mais une chose est sure : il détourne mes propos à son avantage. Si j’ai laissé sous entendre que ses cochons étaient bien nourris c’était peut-être mue par la rage de voir les miens dépérir. Là j’ai sans doute été excessive, et ferai amande honorable le cas échéant, mais jamais je n’ai mis l’intégrité du maire en cause, et encore moi ne l’ai accusé de vol ou d’enrichissement personnel aux dépends de la mairie.
J’en terminerai avec ce qui suivit ces deux épisodes au cours desquels j’ai émis des critiques envers le travail de l’accusé. Critiques similaires, hormis les cochons et les injures, à celles proférées envers celle qui l’avait précédée. Vous n’êtes pas sans savoir qu’il délaissa sans préavis la mairie, avec tous les risques que supposent un tel abandon en des temps aussi troublés que les nôtres. Deux jours après la reprise de la mairie par Messire Bentich, nombre contrats commerciaux sont signés, le marché réapprovisionné et j’en passe. Je ne peux m’empêcher de penser que cette rixe verbale est venue à point nommé. Ne juge-t-on pas finalement un arbre à ses fruits ?
Pour terminer, votre honneur, j’aurais l’outrecuidance de vous rappeler que, non content de n’éprouver aucun regrets, l’accusé a réitéré ses injures dans les couloirs du château lors de mon dépôt de plainte et jusqu’à l’enceinte même de ce tribunal. Je n’y vois plus uniquement une attaque envers ma personne mais également envers les institutions judiciaires du Languedoc.
En résumé et confiante en votre bonne mémoire, votre honneur, je réfute les allégations de « conduite répréhensible » n’ayant fait que critiquer un maire pour l’exercice de ses fonctions publiques.
Je vous remercie de votre attention
Elle retourna s’asseoir pour écouter attentivement la suite du procès.
"Accusé, levez-vous !
Nous allons vous donner lecture du jugement que Nous rendons dans l'affaire vous concernant.
Considérant qu'Astran a été déféré devant Nous pour y être jugé pour des faits de trouble à l'ordre public, pour avoir proféré des insultes à l'encontre de Laurine. ;
Considérant que les faits ont été suffisamment prouvés et n’ont pas été contestés par l’accusé, qui les assume, et réaffirme ses propos ;
Considérant le caractère privé et outrageant des propos jugés ici ;
Considérant le caractère public des faits et attaques avancées par la défense comme ayant justifié les propos jugés ici ; considérant l'attitude de l'accusé vis-à-vis de la bonne ville du Puy, telle que décrite par la victime, se complaisant ainsi à laisser les inexpérimentés fragiliser la ville, sans intention aucune de les aider, n'eût-ce été qu'au nom des valeurs occitanes ; considérant plus généralement les preuves qu'a donné l'accusé, au cours de cette affaire, de son défaut de moralité ;
Considérant que le verbe pérorer est emprunté au latin 'perorare', signifiant "exposer de bout en bout par la parole, conclure, terminer, achever un discours", et s'utilise en nos temps pour dire "haranguer", tel Cicéron dans le Pro Milone, ce qui n'est là rien de péjoratif, comme cherche à le prouver l'accusé dans les arguments de sa défense ;
Considérant que l'accusation, en la personne de Lakhdar Shaggash, Procureur du Languedoc, requiert une peine de 10 écus d'amende ;
Par conséquent,
Déclarons Astran coupable des faits qui lui étaient reprochés ;
Le condamnons, conformément à l'article 4.3.3. du coutumier languedocien, livre pénal, à une peine de 50 écus d'amende.
Informons les parties qu’elles peuvent interjeter appel du jugement devant la Cour d’appel du Royaumes, selon la procédure afférente à cet organe juridictionnel.
Ainsi en a été jugé le date par le tribunal du Languedoc, en la personne du juge Cristòl de Sìarr, le 12ème jour de janvier de l'an d'Horace 1457.
L’audience est levée."
[*Sources étymologiques : http://atilf.atilf.fr/ - Trésor de la Langue Française Informatisé, produit par les laboratoires du CNRS.
**Les critiques contenues dans la narration ne sont pas prises en compte. Le procès juge les faits RP, pas la manière dont le joueur décrit les caractères hauts en couleurs de son histoire, selon son point de vue.]
Le prévenu a été condamné à une amende de 50 écus