Procès ayant opposé Espoir au Duché du Lyonnais-Dauphiné
Espoir était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Rebaile
Nom du juge : Shinji
Date du verdict : 11/08/1456
Lieu concerné par l'affaire : Lyon
En ce jour du 01 aout 1456,
Nous, Rebaile, Procureur du Lyonnais-Dauphiné, intentons, au Nom Duc et de son peuple, une action devant la Cour de Justice du Lyonnais Dauphiné placée sous l’autorité du Juge Shinji à l’encontre de Messire Espoir
Avant de commencer, le ministère public souhaite attirer votre attention sur le fait que
notre juge, dans sa grande bonté, vous garantit le droit de rester libre durant toute la durée de votre procès ainsi que sur la possibilité pour vous de vous rendre au barreau des avocats afin de demander à un avocat de vous défendre à cette adresse :
http://forum.royaumesrenaissants.com/viewtopic.php?t=137371&postdays=0&postorder=asc&start=90
Vous êtes accusé d'avoir posé frappé et insulté une jeune femme en taverne, le 31 juillet 1456 au soir, dans la ville de Lyon.
En voici les preuves !!
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=308&u=11126111][img]http://i42.servimg.com/u/f42/11/12/61/11/image_17.jpg[/img][/url]
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=309&u=11126111][img]http://i42.servimg.com/u/f42/11/12/61/11/image_18.jpg[/img][/url]
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=310&u=11126111][img]http://i42.servimg.com/u/f42/11/12/61/11/image_19.jpg[/img][/url]
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=311&u=11126111][img]http://i42.servimg.com/u/f42/11/12/61/11/image_20.jpg[/img][/url]
Vu l’article- IV.4.a des Lois en vigueur en Lyonnais-Dauphiné relatives au trouble à l’ordre public:
« Tout acte de violence physique ou verbale (insulte, diffamation ou menace proférée) perpétré dans le duché du Lyonnais-Dauphiné sera considéré comme un trouble à l'ordre public. »
Considérant qu’en vertu de ce texte, vous vous êtes rendu coupable de Trouble à l’Ordre Public, nous vous demandons d’en rendre compte devant la Cour.
La parole est à la défense.
*Espoir la tête haute, entrât dans la salle d'audience*
mr juge, mr procureur
je vais pas vous faire perdre du temps, je reconnais les faits qui me sont reprocher.
a l'annonce de la mort d'un ami très cher :Overman
j'étais dans tous mes état, j'ai voulue me consoler avec une bonne bouteille et lorsque je suis rentre dans cette taverne, je suis tomber sur les meurtriers de mon ami....
j'ai eu un geste dicter par la colère et par le chagrin.
même si mes actes sont coupable, au vue de la situation , je demande la relaxe .
m'oublions pas que ces 2 personnes ont tuée Overman.
preuve ci-joint :http://i48.servimg.com/u/f48/11/38/74/11/errinn10.jpg
en vous remercient Mr le juge, Mr le procureur.
*sur ce Espoir, allat s'assoir sur le banc*
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
les 2 jours etant passer, ce proces est clos, la sentence, nul et non avenue, voir charte des juges.
mr le juge, mr le procureur
je me voit obliger de reprendre la parole, ce soir la, en entrant dans cette taverne, j'ai surpris ces 2 assassins deviser sur la mort de mon ami, d'où ma réaction un brin violente.
ces personnes soi-disant respectables croie que le fait d'être dans une armée leurs donne impunité pour leurs crimes.
je sais que ces pas le lieu pour les juger , je vous demande t'en tenir compte.
de même il as étais fait référence a mon parrain, ces moi qu'ont juge ici , pas lui.
sa fait longtemps que je n'ai plus contact avec lui.
*Espoir ce tourna vers messire Paiens*
messire vous me traitez de couard, en attendant, ce soir la, c'est vous qui étiez sous la table, laissant la miss ce faire giflez....
en groupe vous vous sentez plus fort, mais face a un homme seul, ivre et fatigue, vous avez pas brillez...
sur ce messire, passez une bonne journée.
Espoir ce leva et direction taverne, noie son chagrin*
Votre Honneur,madame la procureur, ,
Je me presente à vous aujourd'hui pour confirmer les faits déjà relatés dans ma déposition de plainte et par la même reconnaitre l'individu en question.
Effectivemment,ce soir là du 31 juillet,j'étais en taverne avec messire Paeins lorsqu'un individu de race caucasienne,blond,portant chapeau,robe et bottes blanches,pantalon et chemise rouges,armé d'une épée et d'un bouclier,et qui correspond en tout point au prévenu sis présent,est entré,nous a craché dessus,nous traitant de mécréants,il m'a ensuite insultée et a fini par me gifler.
De suite son dernier méfait accomplit,il ressortit promptement en s'enfuyant,craignant sans doute des represailles.
Votre Honneur,madame la procureur et messieurs les jurés,merci.
*Errinna se leva,fit un signe de la tête et retourna s'asseoir *
A l'appel de son nom, Paeins de Vienne se leva, et vint à la barre.
Votre honneur, Dame procureur, et vous membres de la cour je vous présente mes respects.
Je viens devant vous en ce jour, à votre demande, pour témoigner de l'acte ignoble qu'un individu à perpétrer envers une Damoiselle respectable, je veux parler de Damoiselle Errinna, mais aussi envers ma personne. Mais cela m'indiffère, me concernant je ne prête guère d'importance, à ses insultes ou le crachat de cet être plus qu'abjecte à mon sens, ni au tissu de mensonges formulé à mon encontre, dans son témoignage, qui se voulait lui donner des excuses.
D'où nous connaît-il ? Nous ne nous sommes jamais rencontrés avant ce jour fatidique.
Oui ce jour là, le 31 Juillet de l'an de grâce 1456, en la taverne dite " Auberge Joe de Wolfsburg " à Lyon, je me trouvais en présence de Damoiselle Errinna discutant agréablement, lorsqu'un individu habillé de blanc en dessus, bottes, robe, chapeau, et de rouge en dessous, chemise et braies, portant épée et bouclier de Sable à lisière d'argent, entra en taverne.
A peine avions nous eu le temps, de lui dire bonjour poliment, que celui-ci (*désigne l'accusé sur son banc*) nous crachat dessus, nous portant outrage en nous insultant de "mécréants", nous promis notre tête au bout d'un pique, j'appelle ceci une menace de mort, puis insulta derechef Damoiselle Errinna, en ces termes : " Putain du Roy ", pour en venir aux mains dans sa foulée, la giflant de volée.
L'individu ci présent, *redésigne du doigt l'accusé* s'est alors enfui en courant de la taverne, la peur le prenait-il ?
Peut-être me direz-vous…, car je venais de me lever, et j'allais de toute manière sortir ce malotru de la taverne, par le fond de ses braies s'il le fallait. Il ne m'en a pas donné l'occasion…, sa couardise lui a sauvé la mise.
Je tiens à signaler à la court, qu'elle ne s'est pas trompée et que c'est bien cet individu, qui est cause de tout ces méfaits ainsi cités.
Je le reconnais formellement, et le jure aujourd'hui devant la cour, ainsi que devant Dieu.
Je n'ai plus rien à ajouter, si ce n'est que justice soit rendue.
Paeins de Vienne salua respectueusement tout les membres de la cour, et reparti s'asseoir attendant le verdict.
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
11 août 1456
Le juge du Dauphiné, Volverine du Gwerz of Chen, allait rendre son verdict:
Hihihihihi !!! (Ricanement de hyène lubrique)
Encore un escroc !!
He bien non ….
Ah ça change un peu …
Qu’avons nous là ?
Un brutal ??
Pfff…. Enfin
Ça va trancher !!! Quand même ….
Oups... Reprenons.....
Au vu des lois dauphinoises,
Au vu du réquisitoire de l'accusation,
Au vu de la plaidoirie de la défense,
Attendu que le prévenu est accusé d’avoir agressé en taverne des soldats de l’Ost dauphinois qui auraient, en faisant leur devoir, tuer un de ses amis..
Pouah ... Quelle horreur… Du sang sur un chemin... brrrr... Je frissonne…..
Attendu que dans un premier temps, il reconnaît sa faute…
Attendu qu’il veut dans un deuxième temps dicter la sentence au juge…
Attendu qu’il semble déjà en prison et qu’il semble s’y plaire…
Il doit apprécier la conversation du Bourrel…..
En conséquence,
La justice dauphinoise, par mon intermédiaire, la condamne donc à une peine de:
....1 jour de geole...
Que cela soit écrit et accomplit !!!
Gardes !!
Sortez moi ce triste individu de mon tribunal !!!
Au suivant !!!
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 1 jour
Le prévenu a été condamné à 1 jour de prison ferme