En ce jour du 19 Avril 1457,

Nous, Samarel Kennedy, Procureur du Lyonnais-Dauphiné, intentons, au Nom du Gouverneur et de son peuple, une action devant la Cour de Justice du Lyonnais Dauphiné placée sous l’autorité du Juge Volverine à l’encontre de dame Carolyne33.

Avant de commencer, le ministère public souhaite attirer votre attention sur le fait que, notre juge, dans sa grande bonté, vous garantit le droit de rester libre durant toute la durée de votre procès. Cependant, nous vous signifions que vous êtes actuellement sous l’emprise de la Justice et que vous ne pouvez quitter le Duché pendant toute la procédure judiciaire dont vous faites l'objet.
Vous avez en outre la possibilité de vous rendre au barreau des avocats afin de demander à un avocat de vous défendre à cette adresse.

http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=3880&;sid=LcIpG71E70lAcvSnAA3IEoXAN

Vous êtes accusée de ne pas avoir quitté le territoire du lyonnais dauphiné lors de l'état de siège qui avait été décrété malgré les deux courriers qui vous ont été remis par les agents de la prévosté.

vu l'article du coutumier qui indique, je cite :

“en état de siège :

- L'interdiction à tout étranger de prendre résidence dans une ville lyonnais-dauphinoise sauf s'il a obtenu une autorisation du Prévôt des maréchaux sous peine de poursuite pour trouble à l'ordre public.”

considérant qu'en absence d'autorisation et en application de ce texte, vous vous exposez aux poursuites indiquées, le ministère public vous demande de rendre compte de vos faits et actes devant la cour.

pourquoi n'avez vous pas obtempéré malgré les courriers reçus le 30 mars et le 2 avril de cette année ?

Bonjour Monsieur le juge, Je fais serment de dire la vérité. J'ai bien reçu le courrier qui m'était signifié seulement je ne l'ai pas lu de suite J'étais trop souffrante. Je ne suis même pas alimenté non plus, je suis désolée de ne pas être partie mais, je n'en étais pas capable, j'ai dû partir en retraite quelques temps me faire soigner. J'accepte la peine que vous m'affligerez. ( HRP hospitalisé d'urgence)

votre honneur, la justice doit savoir se montrer clémente. bien que la personne n'ai pas obéit à l'injonction qui lui a été signifié, elle présente des circonstances atténuantes. je propose donc la relaxe pure et simple de la personne.

Carolyne se le va et pris de nouveau la parole.
Avant toute chose votre honneur je tien à m'excuser de ne pas être partie comme je l'aurai dû. Je suis confuse de me retrouver ainsi traduite devant vous. Carolyne salua la cour et repris sa place honteuse.

*Plume se leva elle devait témoigner donc...*

Bonjour, je n'ai guère grand chose à ajouter à se qui a été dit.

N'ayant pas transmis le courrier en main propre à la dame ici présente, il est en effet possible que celle-ci fut souffrante.

Elle n'a causé aucun troubles, je n'ai guère grand chose de plus à lui reprocher que de n'avoir pas quitté le territoire dans les temps. Pour apparemment des causes indépendante de sa volonté...

En ce jour du 2 mai 1457, Moi, Matom, juge du Lyonnais-Dauphiné.
Ayant pris note de l'état de souffrance de la prévenue qui l'a cloué à l'hostel.
Relaxe donc naturellement la prévenue et espère qu'elle va beaucoup mieux et qu'elle a récupérée de ces forces en ce mois passé.