Procès ayant opposé Tomek au Duché du Lyonnais-Dauphiné
Tomek était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Dame-Isabeau
Nom du juge : Pouilleux
Date du verdict : 30/11/1457
Lieu concerné par l'affaire : Lyon
En ce jour du 28 Novembre 1457
Nous, dame Isabeau, Procureur du Lyonnais-Dauphiné, intentons, au Nom du Gouverneur et de son peuple, une action devant la Cour de Justice du Lyonnais Dauphiné placée sous l’autorité du Juge Antoine De Navarre à l’encontre Messire Tomek
Avant de commencer, le ministère public souhaite attirer votre attention sur le fait que, notre juge, dans sa grande bonté, vous garantit le droit de rester libre durant toute la durée de votre procès. Cependant, nous vous signifions que vous êtes actuellement sous l’emprise de la Justice et que vous ne pouvez quitter le Duché pendant toute la procédure judiciaire dont vous faites l'objet.
Vous avez en outre la possibilité de vous rendre au barreau des avocats afin de demander à un avocat de vous défendre à cette adresse.
http://chateau-de-lyon.forumactif.com/salle-publique-de-la-justice-f222/demandes-d-avocat-t19721.htm#383757
Vous êtes accusé d'avoir embauché illégalement le 23 Novembre 1457 joie24 en tant qu' ouvrier sans qualification.
En voici les preuves:
http://img20.imageshack.us/img20/796/embauchez.jpg
http://img4.imageshack.us/img4/2040/embauche2.jpg
V.2.c des offres d'emploi
Toute personne embauchant un employé non qualifié (de 0 à 5 points de
caractéristique) sera verra poursuivie pour trouble à l'ordre publique.
Cela étant considéré comme une entrave au bon fonctionnement des mines.
Considérant qu’en vertu de ce texte, vous vous êtes rendu coupable de Trouble à l’Ordre Public, nous vous demandons d’en rendre compte devant la Cour.
La parole est à la défense
Après avoir reçu la convocation, le Seigneur de Sathonay se présenta à la barre.
Monsieur le Juge,
Madame le Procureur,
Bien le bonjour.
Tout d'abord, je tiens à plaider coupable pour les fais qui me sont reprochés dans ces lieux.
En second lieu je demande d'être clément avec mes agissement car je ne l'ai pas fait intentionnellement. En effet, depuis déjà bien longtemps, je me fais très discret à Lyon, en allant de temps en temps donner un coup de main à la mine, en faisant du bon pain pour les habitants de Lyon, mais aussi en faisant du pain pour la mairie donc en participant aux "pains du coeurs".
Certains d'entre vous savent l'intérêt que je portes à nos mines, et donc je n'ai nullement voulu entraver le bon fonctionnement de celles ci.
Je suis aussi coupable de n'avoir pas mis à jour les lois dans ma petite tête, ce qui m'a conduit à les enfreindre.
Dame Ana m'a bel et bien envoyé une missive dès qu'elle a constaté l'infraction, mais malheureusement, c'était déjà trop tard, car un étranger du nom de Joie24 avait déjà pris l'embauche. Dans la foulée on m'a fait savoir qu'il pouvait y avoir une médiation que j'ai tout de suite accepté, mais on m'a fait savoir par retrour de courrier que finalement ce n'était plus possible... En gros je n'ai pas très bien compris cette fin d'histoire.
Voilà, je crois que j'ai tout dit.
Je suis conscient que j'ai fauté sans le vouloir, et je suis prêt à réparer ma faute en dédomageant le duché ou la mairie par exemple d'une manière ou d'une autre. Mais une condamnation sur ma personne nuirait à ma personne alors que j'ai tant donné de ma personne par le passé à ce beau duché.
Merci de m'avoir donné l'occasion de pouvoir m'expliquer.
Bien à vous Monsieur le Juge et Madame le Procureur.
Tomek se retira à sa place et attendit la suite.
Un peu interloquée par le témoignage de l’accusation qui se plaçait à présent du côté de la défense, la procureur se leva prenant la parole.
Sergent Anastasie, j’avoue ne pas très bien comprendre, si vous avez jugé que ce cas ne méritait pas un procès, pourquoi avoir monté un dossier de plainte et l’avoir envoyé à la procure ?
Cela aurait évité des frais de justice au duché, ne croyez vous pas ?
Mais soit !
Puisqu’il est entendu qu’il s’agit d’une erreur, consciente de l’implication et du dévouement sans faille de messire Tomek envers le duché, nous ne pouvons que conclure à un malheureux concours de circonstances.
En conséquence, une fois n’est pas coutume, l’accusation abandonne les poursuites envers Messire Tomek
Se levant à nouveau, Tomek pris la parole.
Monsieur Le Juge,
Madame le Procureur,
Etant donné que je n'ai rien d'autre à ajouter, je vous demande encore une fois un peu de tolérance à mon égard.
Je ne peux que m'excuser de ma regrettable erreur devant vous et les personnes ici présent, et vous promettre qu'à l'avenir je ferai un peu plus attention à ce que je fais pour ne pas nuire au Lyonnais-Dauphiné.
Merci encore d'avoir pris de votre temps pour m'écouter.
Monsieur le Juge, Procureur
Le 23 novembre de l'an 1457, Messire Tomek a déposé une offre d'emploi avec 0 de qualification avec un salaire de 16 écus. Je lui ai fais parvenir un courrier lui précisant son erreur. Malheureusement celui ci n'a pu la retirer à temps, car son offre a été prise par Joie24.
Je pense que ce n'est qu'une simple erreur et non un non respect de la loi cité par le Procureur.
Malgré cette inattention, Messire Tomek a toujours respecté la loi de l'embauche et n'a à ma connaissance jamais commis d'erreur qui n'est pu etre réparer.
Notre Procureur a donné les grandes lignes de l'accusation, et je vous ai donné les miennes, je ne vois donc pas ce que je pourrai ajouter, sauf bien sur d etre clément avec l'accuser.
Merci de m'avoir écouté
En ce jour du 30 novembre 1457.
Attendu qu'il s'agissait là d'une regrettable erreur.
Attendu de la bonté d'âme de l'accusé.
Nous, Antoine de Navarre, Juge du Lyonnais-Dauphiné, décidons, au nom du Gouverneur et du peuple lyonnais-dauphinois, de relaxer le Sieur Tomek.
La séance est levée.
Le prévenu a été relaxé.