En ce jour du 10 Avril 1458,

Nous, dame Isabeau De Hauterives, Procureur adjoint du Lyonnais-Dauphiné, intentons, au Nom du Gouverneur et de son peuple, une action devant la Cour de Justice du Lyonnais Dauphiné placée sous l’autorité du Juge Phelim à l’encontre du sieur Trystan

Avant de commencer, le ministère public souhaite attirer votre attention sur le fait que, notre juge, dans sa grande bonté, vous garantit le droit de rester libre durant toute la durée de votre procès. Cependant, nous vous signifions que vous êtes actuellement sous l’emprise de la Justice et que vous ne pouvez quitter le Duché pendant toute la procédure judiciaire dont vous faites l'objet.
Vous avez en outre la possibilité de vous rendre au barreau des avocats afin de demander à un avocat de vous défendre à cette adresse.

http://chateau-de-lyon.forumactif.com/salle-publique-de-la-justice-f222/demandes-d-avocat-t19721.htm#383757

Vous êtes accusé d'avoir agressé le 7 Avril 1458 dame Belfégore sur le lieu dit de Givors entre Vienne et Lyon lieu sous juridiction Dauphinoise.


Nous rappelons que la partie plaignante, l'accusé et la procure peut soumettre a l'approbation du juge une demande de déroulement du procès en place publique.

La procure n'en fait pas la demande.


Voici les preuves que nous avons à votre encontre :
http://nsa14.casimages.com/img/2010/04/08/mini_10040802434798312.jpg

Vu l’article-IV.3. des Lois en vigueur en Lyonnais-Dauphiné relatif au Brigandage.
« Les personnes coupables de brigandage seront poursuivies pour trouble à l'ordre public et devront répondre devant la justice pour ce chef d'accusation.»

Considérant qu’en vertu de ce texte, vous vous êtes rendu coupable de Trouble à l’Ordre Public, nous vous demandons d’en rendre compte devant la Cour.

La parole est à la défense.

Je ne nie pas les faits.

Votre honneur, avant de requérir, je tiens à signaler que l'accusé comparait devant vous pour la deuxième fois et que la procure retiendra donc les circonstances aggravantes qui s'imposent.

Cet homme, sans vergogne, semble ne s'attaquer qu'à de faibles femmes, est ce une coincidence ou une preuve flagrante de sa couardise.
Pour ma part, je n'en ai aucun doute.

Cet homme fait fi de nos lois et de notre justice, persiste dans des faits délictueux et se terre dans un monastère des environs pour se faire oublier, et pourtant des témoins l'auraient aperçu roder la nuit.
Sortilége que tout ceci!

Non décidemment, je ne trouve aucune raison qui pourrait me faire pencher vers la clémence.

Avez vous entendu le témoignage de sa dernière victime?

citation
Il m'a laissée inanimée en pleine campagne, a moitié mourante.

Pour cette pauvre femme, je demande justice et en appelle à votre sévérité afin que de tels actes en Lyonnais Dauphiné ne puissent perdurer.

En conséquences, l'accusation requiert à l'encontre du sieur Trystan

Une peine de prison de 8 jours
100 écus d'amende majorée de 100 écus pour les circonstances aggravantes sus citées

[HRP le monastère c'est parce que je ne pouvais pas me connecter IRL, pas pour me cacher]

Et puis, pour les faibles femmes, je déments. Le sexe des gens m'importe peu.

Belfegore avança timidement devant le prétoire.
Bonjour ,je suis belfegore ,et je viens témoigner contre le sir trystan .
En effet celui-ci ma racketter ,laisser inanimée en pleine campagne ,a moitié mourante.
je vous en donne la preuve.
Ainsi va mon témoignage.
Belfegore salua l'assemblée , fit demi-tour ,et sortie du tribunal

*Lorsque chacun eut finit de s'exprimer Demons se leva pour énoncer son jugement : *

En ce jour du 11 Juin 1458, moi Demons Juge du Lyonnais-Dauphiné, allons rendre notre jugement.

Messire Trystan vous êtes accusé d'avoir agressé le 7 Avril 1458 dame Belfégore sur le lieu dit de Givors entre Vienne et Lyon lieu sous juridiction Dauphinoise.

Vous ne niez pas les faits comme l'indique votre très courte première défense, mais vous semblez n'avoir aucun remort que de voler le pain que les autres ont durement gagné à la sueur de leur front. En vertu de nos lois je vous déclare coupable de trouble à l'ordre publlic et vous condamne devant la petitesse de votre bourse à 30 écus d'amende accompagné de 5 jours de prison pour vous faire réfléchir!

*Demons frappa alors de son marteau et la séance fut levée. *

Gardes emmenez le!