Procès ayant opposé Marcusg au Comté de Rouergue
Marcusg était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : celia
Nom du juge : Aster
Date du verdict : 25/10/1457
Lieu concerné par l'affaire : Rouergue
En ce IV ème jour du Xème mois de l'année 1457,
Nous, celia, Procureur du Comté du Rouergue
Déposons une affaire opposant Marcusg et le Comté du Rouergue,
sous le chef d'accusation de trouble a l'ordre public
Votre honneur,
Malgré la déclaration de notre capitaine dame thibali en date du 30 septembre 1457
*Elle s'adressa au prévenu.*
Voici le rappel du texte concernant la fermeture de nos frontières.
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Compte tenue que nos frontières sont fermées que plus aucun laissé passer n'est accordé vous vous retrouvé ici avec comme accusation trouble a l'ordre public
Qu'avez vous a dire pour votre défense ?
* celia laissa la parole a l'accusé *
Marcus betritt den Gerichtssaal und reicht dem Richter wortlos ein Dokument. Da er kein Wort französisch spricht erspart er sich die Verteidigungsrede und setzt sich schweigend auf die Anklagebank. An den geballten Händen kann man seine Anspannung erkennen...
Marcus entre dans l'audience et sans dire un seul mot il donne un document au juge. Puisque il ne sait le français pas du tout, il épargne le plaidoyer et s'assoit silencieusement sur le banc des accusés. On peut reconnaître sa tension aux mains fermées...
Mein Name ist Ritter MarcusG Leonidas~Rosenstein, Freiherr von Waldhausen. Ich komme aus Österreich und reise mit Freunden aus Studienzwecken und in friedlichen Absichten durch Euer Land. Wir sind schockiert über die drei gleich lautenden Anklageschriften, die uns erreichten. Leider sprechen wir kaum ein Wort französisch. In meinem Land ist es aus Gastfreundschaft üblich, Ausländern eine Anklage in ihrer Sprache zu überreichen, damit sie zumindest den Sinn verstehen, warum sie vor Gericht stehen. So mussten wir uns erst von zu Hause Hilfe bei der Übersetzung holen. Aber das ist nicht das schlimmste.
Ihr werft uns vor unseren Pass nicht gezeigt zu haben. Oh doch, das haben wir sehr wohl. Wir haben ihn der Stadtwache von Millau gezeigt, denn hätten wir es nicht getan wüsste das hohe Gericht unsere Namen gar nicht und dass wir uns in Ihrer Provinz aufhalten. Und damit wäre diese Anklage überflüssig!
Ja wir bekamen alle einen Brief in dem wir zu einer weiteren Passkontrolle aufgefordet wurden. Leider fanden wir diese Stelle in den ganzen Königreichen nicht. Jemand wies uns dann einen Weg außerhalb der Königreiche. Da wir aber ortsfremd sind, sind wir diesen Weg nicht gegangen. Es ist eine andere Welt für uns und diese betreten wir generell nicht.
So wissen wir aus dem Wirtshaus, dass der Kriegszustand ausgerufen wurde. Zu diesem Zeitpunkt befanden wir uns aber schon auf dem Weg. Selbstverständlich wollten wir aus Achtung vor den Menschen und Soldaten Eurer Provinz, helfen. Doch wir sind Reisende und keine Soldaten Eures Landes. Das einzige was wir tun konnten und auch taten war es auf dem Markt sehr preiswertes Fleisch und auch andere Nahrungsmittel anzubieten, die anscheinend fehlten. Diese Lebensmittel waren unser Reiseproviant und wir gaben ihn gern der Bevölkerung ab, die es nötiger brauchte als wir.
Weiterhin gaben wir der Bitte nach unsere Lanze aufzulösen, die uns bisher Sicherheit gewährte. Wir sind nun schon fast 90 Tage unterwegs und noch nie wurde so etwas von uns verlangt. Schließlich gibt sie uns Adligen auch ein wenig Annehmlichkeiten und auch Sicherheiten auf die wir nur ungern verzichtet haben.
Dass wir nun, bei all unseren Bemühungen im Rahmen unserer Möglichkeiten und der Achtung die wir Eurem Volk entgegenbrachten vor das hiesige Gericht gezerrt werden ist schockierend für uns. Wir bitten daher um Freispruch und freies Geleit um die Provinz wieder verlassen zu können."
Je m'appelle Ritter MarcusG Leonidas~Rosenstein, Freiherr von Waldhausen. Je viens de l'Autriche et voyage avec des amis des buts d'étude et dans les intentions paisibles par votre pays. Nous sommes choqués de trois actes d'accusation de libellés égalés qui nous atteignaient. Malheureusement, nous ne parlons français aucun mot. Dans mon pays, il est usuel de l'hospitalité de traduire une accusation à la langue des étrangers pour qu'ils comprennent tout au moins le sens, pourquoi ils sont accusé. Ainsi d'abord, nous avons dû demander de l'aide de la maison pour une traduction. Mais ce n'est pas le plus pire.
Vous nous reprochez de n'avoir pas montré nos passeports. Mais si, cela nous avons bel et bien. Nous l'avons montré à la garde de ville de Millau, car si nous l'avions pas fait la haute justice ne saurait pas du tout nos noms et que nous séjournent dans votre province. Et avec cela, cette accusation est superflue!
Oui nous tous ont reçu une lettre dans laquelle nous ont été demandé de nouveau à un autre contrôle des passeports. Malheureusement, nous n'ont pas trouvé ce lieu dans tout le royaume. Alors, quelqu'un nous indiquait un chemin en dehors des royaumes. Puisque nous sommes étrangers cependant, nous ne sommes pas allés ce chemin. C'est un autre monde pour nous quelle nous n'entrons généralement pas.
Ainsi nous savons de la taverne que l'état de guerre était déclaré. Cependant à ce moment, nous nous trouvions déjà en chemin. Naturellement nous ont voulu aider pour respecter les personnes et soldats de votre province. Mais nous sommes voyageurs et pas des soldats de votre pays. Le seule que nous pouvions faire et que nous faisions c'était proposer de la viande très bon marché et d'autres produits alimentaires qui manquaient apparemment au marché de la ville. Ces alimentations étaient notre approvisionnement de voyage et nous le remettions volontiers à la population qui en avait besoin plus que nous.
De plus nous ont accepte la demande à dissoudre notre lance qui nous accordait jusqu'à maintenant la sécurité. Nous sommes en chemin déjà presque 90 jours et jamais n'était une telle demande exigé de nous. Enfin, elle donne à nous, des nobles, aussi un peu des agréments et sécurités sur quelle nous ont renoncé seulement à contrec'ur.
Ce que nous sommes tirés maintenant devant la justice, quand même à tous nos efforts dans le cadre de nos possibilités et au respect amené vers votre peuple, c'est choquant pour nous. Ainsi, nous demandons l'acquittement et accompagnement libre pour que nous puissent quitter la province.
Votre honneur, suite au témoignage de messire Marcusg démontrant une intention de bienfaisance et d'aide, en plus de la barrière du langague ne lui ayant point permis de prendre effectivement connaissance par elle-même de l'ordonnance publiée, je recommande une relaxation de l'acte d'accusation, mais avec l'obligation de quitter le territoire du Rouergue dans les 24h suivant la tombée du verdict.
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
Nous, Aster, Juge du Rouergue, en ce XXVème jour du Xème mois de l'année 1457, allons rendre justice.
Dans l'affaire qui oppose Marcusg au comté du Rouergue, il nous semble plus qu'évident que le prévenu ne pouvait être consciente des interdictions posées, ne maîtrisant pas la langue de notre pays.
En conséquence, et comme le réclame avec intelligence notre procureur, nous déclarons ici l'accusé non coupable.
Le prévenu a été relaxé.