Procès ayant opposé Majico au Comté de Rouergue
Majico était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Alcandre
Nom du juge : Aster
Date du verdict : 04/10/1457
Lieu concerné par l'affaire : Rouergue
En ce trente-et-unième jour du mois d'octobre de l'an de grâce 1457, nous, Alcandre, Procureur du Comté du Rouergue, déposons une affaire opposant messire Majico et le Comté du Rouergue, sous le chef d'accusation d'espionnage.
Votre honneur,
Malgré la déclaration de notre comte, Monseigneur Toni Montana, en date du 22 octobre 1457, l'accusé est arrivé en terres Rouerguate depuis le Languedoc le 29 octobre 1457.
* Il s'adressa à l'accusé. *
Voici le rappel du texte concernant la fermeture de nos frontières avec celles du Languedoc:
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Compte tenue que nos frontières avec le Languedoc sont toujours fermées, vous vous retrouvez ici accusé d'espionnage. Qu'avez-vous a dire pour votre défense?
* Le procureur laissa la parole à l'accusé. *
Messieurs dame bonjour, alors tout d'abord parlons du fait d'espionnage, je viens contester ce mot, j'explique du fait que depuis la provence je me dépêche de me rendre a bourganeuf, la un un homme et entre la vie et la mort, car fauché outrageusement par une armé berrychone, j'espère qu'elle y est pas rester parce-que sinon moi je lui rentre dedans. bref je vois pas en quoi je vous espionne. maintenant si vous voulez savoir ma condition je suis le sergent majico Anoroer, des serpentaire de Aix (Ost provençale) je me rend a bourganeuf pour sauver un homme qui n'est autre que mon seigneur bubu du castelé, commandeur de la provence, maintenant je risque déjà de me faire accusé de désertion en provence, car je suis parti a la recherche de cette homme sans demander la permission a qui de droit, si en plus tout les duché et comté que je traverse on eur frontière fermer et mette tout le monde en procès sa va pas le faire, je suis désoler mais comprenez moi, je parle de la vie d'un homme ici, même le languedoc ma laisser passer... ensuite j'ai d'autre chose a vous dire, par exemple comment savez vous mon identité, sachant que se n'est pas écris sur mon front et que je n'est parlais a personne ici puisque je marcher sans m^me prendre le temps de me reposer, j'ai aussi d'autre question comme cela... mais cela n'est pas l'objet de ma venu
Messire Majico, je comprends bien votre position et suis d'accord à laisser tomber l'accusaitn d'espionnage. Par contre, vous n'êtes point exempt d'obtenir un laissez-passer, particulièrement du fait que vous arriver du comté contre lequel nous sommes en guerre. Quant à la question de votre identité, vous avez sûrement révélé votre nom à notre prévôté quand ils vous ont arrêté.
Votre honneur, je recommande une amende de 10 écus et l'obligation d'obtenir un laissez-passer dans les plus brefs délais.
Sire, je peut me permettre de rajouter que le fait de traverser votre conté aurais du déclencher en moi l'idée de demander un laisser passer, j'avoue donc être coupable de cela et je pense que vous m'accorder grande grâce que de ne me demander cette somme d'argent en guise de punissions , en se qui concerne vos guerre, je ne pouvais point l'imaginer, surtout contre le Languedoc qui ne montre aucun signe de guerre spécifique de se que j'ai croiser sur ma route. si vous pouviez m'indiquer le chemin de l'endroit ou demander un laisser passer je vous en serrez reconnaissant messire, je pense aussi que cela me serra utile lorsque je reviendrais accompagner de l'individu, vivant, ou dans le pire des cas, avec sa dépouille.
Nous, Aster, juge du Rouergue, en ce IVème jour du XIème mois de l'année 1457, allons rendre justice.
Nous jugeons aujourd'hui une affaire opposant Messer Majico au comté du Rouergue, pour une histoire d'espionnage.
Je requalifierai cette affaie de Trouble à l'Ordre public, l'accusé n'étant visiblement pas un espion.
En conséquence, le coutumier rouergat étant clair sur un fait: nul n'est censé ignore là loi, nous vous condamnons à une peine de 10 écus, et vous invitons à poursuivre vote route au plus vite,.
Si d'aventures vous souhaitiez demeurer en Rouergue, il conviendra de vous procurer au plus vite un laissez passer.
Le prévenu a été condamné à une amende de 10 écus