Procès ayant opposé Pompoko au Comté de Rouergue
Pompoko était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Crysania
Nom du juge : Maharet
Date du verdict : 05/07/1456
Lieu concerné par l'affaire : Millau
*Crysania était tôt au tribunal, dossier à la main, la procureur se leva pour ouvrir un nouveau procès.*
Votre honneur, j’ouvre en ce XXVII ème jour du VI ème mois de l’an de grâce MDCLVI à l’encontre de Dame Pompoko, un procès pour Trouble à l’ordre publique.
Suite à une conversation animée à la Taverne ‘’Le Clos d’eau’’ à VilleFranche, avec Messire Pepe_Kaly, Dame Pompoko aurait insulté Messire Charloto.
Les mots exactes qu’elle à employer sont ceux-ci : ‘’ Charloto est un abruti.’’
Et ceci, devant six témoins, Dame Nenou, Le Maréchal Chef Messire Bran, Messire Pepe_kaly, Messire Morphey, Dame Ibalam et Dame Lilyrose_b.
*Crysania tend un dessin de la scène à la Juge.*
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Une convocation est de suite envoyée à Dame Pompoko pour se défendre et rappel qu’elle peut faire appeler à la barre, deux témoins pour témoigner en sa faveur.
Une convocation de venir témoigner est envoyée de suite à Messire Pepe_kaly et au Maréchal Chef de VilleFranche, tous deux présents lors de cet événement.
*La procureur se rassit, fin prête à prendre des notes.*
*Pompoko se plaça à la barre toussota un peu et parla d'une voix claire*
Votre honneur, Madame le procureur, la cour, bonjour.
J'avais préparé une belle plaidoirie mais si vous le permettez, je vais d'abord répondre à votre témoin car de nombreuses choses ont été dites et je me dois de rebondir sur certains sujets.
*Se tournant vers Pepe_kaly*
Messire, le bon jour.
Je suis désolée d'apprendre que vous ayez été menacé au campement de l'armée, croyez le bien. Mais si je suis soldat du Rouergue (et du Rouergue avant tout, pas d'une seule ville du comté) je ne fais pas partie de l'armée et j'ai pourtant dû essuyer votre agressivité sans borne tout au long de la soirée. Et même de la soirée suivante soit dit en passant.
Je n'ai pas porté plainte non plus, tout simplement parce que je suis une grande fille, et dépenser l'argent du comté pour quelques insultes sans conséquences me parait d'une aberration sans nom.
Quand aux insultes que j’aurais proférées, je vous remercie de ne pas affabuler. J'ai dit que messire Charloto était un abruti oui, parce que je le pensais. J'ai émis une simple opinion sur un homme, pas sur un conseillé comtal. D'ailleurs j'ai dit que Charloto était un abruti et PAS "Charloto, le porte parole du comté". Ce n'est que mon opinion, je ne force personne à penser comme moi.
Par contre je n'ai jamais dit que c'était un "clodo" et que le comté l'habillait. Je ne sais où vous avez péché ces inepties, mais je vous demande de vous contenter de la vérité, si ce n'est au quotidien, au moins devant cette cour, par respect pour les personnes qui la composent.
*Se retournant devant la Juge*
Votre honneur, je suis bien consciente de la peine qu'à pu avoir messire Charloto quand mes paroles lui ont été rapportées.
Mais comme je viens de le rappelé au témoin pepe_kaly, je n'ai fait qu'émettre une opinion. Une opinion sur un homme, pas sur sa fonction.
Et je ne me serais pas permise de le lui dire de vive voix, pas par manque de franchise, mais tout simplement par respect. On n'insulte pas un homme qui ne vous a rien fait, au risque de le blesser. C'est complètement immoral.
Par contre, j'aimerais comprendre en quoi le fait de penser qu'une personne est "un abruti" est un trouble à l'ordre public. En effet, je n'ai provoqué aucune bagarre, suis restée calme au cours de la soirée et n'ai frappé personne. Mes paroles sont blessantes, certes, mais elles ne visent qu'un seul homme, et n'ont pour conséquences (enfin mis à part ce procès) que de toucher UNE SEULE PERSONNE.
Je ne suis pas quelqu'un d'important. Juste un soldat du Rouergue qui ne veut que le bien de son Comté.
Mais j'estime que j'ai le droit d'avoir l'opinion que je veux sur les personnes de ce comté et sur leurs capacités intellectuelles.
Certes, je n'aurais peut-être pas dû exprimer mes pensées à voix hautes, mais que voulez vous, quand j'entends que les villefranchois sont tous des gens biens et intelligents et que les espalionnais non, mon cœur s'échauffe.
Il s'échauffe parce que j'aime ma ville, j'aime mon comté et ce que je souhaite avant tout, c'est de voir un Rouergue unis, solidaire et prospérant.
Je vous remercie de m'avoir écoutée et reste à votre disposition si vous avez la moindre question.
*Elle retourna s'assoir, se demandant comment allait se dérouler la suite des évènements*
*Tous les témoins de l’accusation et de la défense, ainsi que l’accusée avaient témoignés. Elle avait écrit quelques mots ou bouts de phrase pour ce repérer dans ce qu’elle allait dire par la suite. Il fallait dans un premier temps, remette quelques points au claire.*
Votre honneur, La procure a bien entendu tous les témoins ainsi que l’accusé.
J’aimerais d’abord préciser à la cours, que nous sommes ici pour une plainte contre Dame Pompoko et non le Soldat Pompoko, pour insulte sur la personne de Charloto et non Du Soldat Chorloto, même si les événements qui ont conduit à ce procès, y sont étroitement liés.
Les témoignages entendus, ont révélé plusieurs chose, dont certains inacceptables.
Par contre, le témoignage de Messire Morphey, nous recadre un peu plus clairement la situation.
Dans un premier temps, Messire Morphey nous dit ceci :
‘’ Les soirées en taverne…sont depuis quelques jours sabotées par ces deux hommes : insultes, provocations…’’
Les deux hommes ici cité, nous parlons bien de Messire Pepe_kaly et Messire Charloto. ?
Et j’en viens à ceci :
‘’ … car comprenez que poussés dans nos retranchements, harcelés sans cesse, et de plus entendre dire que notre Maistre de Camp est une « folle » et notre Comte un « couard » et notre Lieutenant de « catin »…’’
*Se tourne vers Morphey.*
Naturellement Messire, si vous avez dessin fait à ce moment de ce que vous dites, la cours aimerait bien les voir.
*La procureur prit les preuves tendu par Morphey. Elle les examina un instant et les tendit au Juge avant de poursuivre.*
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Votre Honneur, ces dessins confirment bien, un des passages que je viens de vous citez, du témoignage de Messire Morphey.
Je dois dire que je trouve autant inadmissible un tel comportement.
*Laissant la Juge du regard, elle jeta un coup d’œil à ces notes rapidement et poursuivie. *
Ensuite, il a été révélé, une fasse déclaration de Messire Pepe_kaly en se présentant comme sergent Rouergat, qui n’en n’est plus un.
De plus, Messire Pepe_kaly nous fait part d’une seconde insulte que Dame Pompoko aurait fait en le traitant de ‘’clodo’’ Ce qu’elle nie fermement. Du fait d’avoir déjà mentie sur son intégration militaire, peut-on vraiment croire, maintenant, qu’elle est vraiment dit que Charloto était un ‘’clodo’’ et que c’est le comté que le vêtis ? Je ne crois pas Votre honneur.
J’irais jusqu’à dire, que son témoignage est frauduleux et qu’il ne devrait point être prit en compte.
Deuxième constat. Dame la Mairesse, Ibalam, nous parle d’abord de Pepe_kaly, des provocations faites sur les personnes présentes en taverne ce jour là. Pour ensuite parler de Charloto, qui vraisemblablement n’est point dans cette taverne selon les autres témoins, ainsi que l’accuser et le dessin apporter par l’accusation, mais donc elle fait présence. Peut-être a t-elle mélangé les jours d’inter cation en taverne . Quoi qu’il en soit, cela provoque la confusion dans son témoignage.
Enfin, l’insulte de l’accusé, a sans aucun doute été provoquée par une constance provocation de Messire Pepe_kaly cette journée là et qui ne c’est malheureusement pas arrêté à cette unique journée.
Cependant !
Malgré les nombreux témoignages et preuve, relevant beaucoup de provocations de Messire Pepe_kaly. Malgré des éclaircissements de Messire Morphey, une question reste sans réponse. La réponse à cette question que je me pose depuis le début, n’a toujours point été dite clairement.
Pourquoi avoir insulté Messire Charloto, si le provocateur de ses lieux était Messire Pepe_kaly ? Étant absent de la taverne, Messire Charloto n’a pu provoquer Personne à ce moment précis pour que Dame Pompoko le traite d’abruti.
*Se tourne vers Pompoko*
Oui je sais… j’ai bien entendu Dame, que c’était une opinion, une pensée qui a été dite malheureusement à haute voix. Mais, la cours ne sait toujours pas, pourquoi vous avez fait part, à ce moment là, de cette insulte envers Charloto.
Que vous auriez insulté Messire Pepe_kaly, j’aurais compris, mais Charloto, je ne comprends pas du tout ! Oui certes, il aurait lui aussi fait des insultes, mais à ce moment là, il n’y était pas !
Si vous pouvez expliquer à la Cours plus clairement la poussée que vous avez eu à insulter Messire Charloto, cela aiderait grandement à comprendre vos paroles.
*La rouquine se retourna à son siège et attendit la suite avec impatience. Le pourquoi de l’insulte envers Charloto au lieu de Pepe_kaly, restait un grand mystère. Espérant que le mystère soit dissipé, elle prit une gorger du breuvage devant elle.*
*Après y avoir été invitée, Pompoko se leva et se plaça à la barre*
Votre Honneur, ma Dame le procureur, la cour, votre question est bien légitime et je tâcherai d'y répondre le mieux possible. Je tiens à m'excuser par avance pour les quelques ombres, la soirée ne datant pas d'hier, je ne me souviens pas de tout avec précision. J'aurais sans doute dû prendre des notes, mais cela ne m'est pas venu à l'esprit.
Bref.
Pourquoi m'en être pris à messire Charloto alors qu'il n'était pas présent ce soir là?
Lors de la soirée, j'ai entendu beaucoup de choses. Dont l'affirmation que les villefranchois n'avaient pas besoin des espalionnais, qu'ils se suffisaient à eux même, et de toutes façons étaient plus intelligents que nous (bien que ce ne soient probablement pas les paroles exactes, c'est l'idée générale qui en ait ressortie). A cela, j'ai dû répondre que, comme dans toutes les villes du Royaume, il y avait forcément des imbéciles et d'autres qui relevaient le niveau. Après tout, s'il existe une ville où il n'y a que des habitants intelligents, concernés par la vie de la cité, honnêtes et altruistes, je ne l'ai pas encore vue.
Bref, je m'égare, excusez moi.
A ceci, on m'a répondu que non. Hors, messire Charloto est le seul villefranchois que je connaisse un peu et de qui j'ai cette opinion. J'ai donc voulu faire ce qu'on appelle "la preuve par l'exemple" qu'être villefranchois n'immunise pas contre une certaine forme de... bêtise.
Je savais également que messires Charloto et Pepe_kaly étaient plus ou moins liés, et je l'avoue, le but était de blesser messire Pepe_kaly comme je l'avais été par lui.
Je voulais qu'il comprenne ce qu'on ressentait lorsque ses amis sont injuriés, lorsque qu'on appuie sur ce qui nous touche vraiment.
Je sais que j'ai eu tord, il est des choses qu'il vaut mieux garder pour soit, car blesser quelqu'un n'est jamais louable. Et je suis désolée pour cela. Pas d'avoir dit ce que j'ai pensé (de cela, je ne pourrais jamais m'excuser), mais de l'avoir dit dans cet objectif là.
Sachez également que si j'avais voulu blesser messire Charloto, je lui aurais dit à lui, et non à un de ses amis. C'est bien messire Pepe_kaly que je visais.
J'aurais pu l'insulter lui, mais c'était la première fois que je le voyais, et je ne me fais jamais une opinion aussi tranchée en quelques minutes. Je ne savais pas alors, qu'il recommencerait le lendemain et je voulais croire à un emportement passager.
Ma dame la procureur, votre Honneur, la cour, j'espère que maintenant vous voyez un peu plus clair dans cette histoire qui malheureusement, se retrouve devant vous.
*Pompoko retourna s'asseoir, attendant avec impatience le verdict*
Voici son témoignage :
*Ibalam pris place à la barre, saluant l'audiance*
Votre honneur, Mesdames et Messieurs les Jurés, Je me présente. Ibalam Foldingo, maire de Villefranche.
J'irai droit au fait. Messire Brann a très bien décrit la situation. Messire Pépé_kaly a, à plusieurs reprises provoqué les soldats de l'armée présente devant nos murs. Exposant ses opinions personnels en prétendant parler pour la ville. Ces soldats n'ont fait que se défendre aux accusations du trouble fête. Je suis entrée en premier dans cette taverne, ce jour, là. Et j'ai pu voir l'entrée des soldats. Je les ai accueillit. Et messire Pépé_kali est entré pour les pousser à la confrontation. Je lui ai demandé à plusieurs reprises de se taire. Messire Charloto restait presque muet (le doigt sur le "screen"^^). Il a également provoqué les soldat et là, il a obtenu se qu'il attendait : Dame Pompoko l'a insulté.
Je ne pense pas que cette insulte mérite un procès.
Par contre, je trouve, comme vous le voyez sur "la preuve". Que messire Pépé_kali mériterait bien de payer pour ses remarques et accusations, pour son agressivité et son manque de politesse envers en Dame.
Voici son témoignage :
Morphey entre dans la salle d’audiences et salue la Cour. Avançant jusqu’à la barre, il adresse un sourire d’encouragement à Pompoko.
A vrai dire il ne comprend pas bien pourquoi ils étaient là, Pompoko sur le banc des accusés et lui à devoir témoigner en sa faveur. Il jette un rapide coup d’œil aux deux comparses, car Pepekali est là aussi. Viendrait il par hasard pour s’imprégner de l’ambiance d’un tribunal ? Morphey ne comprend pas comment Charloto, porte paroles du Comte peut porter plainte et dans un même temps de fourvoyer en compagnie d’un homme qui traîne les plus hautes autorités du Rouergue dans la boue. Messire Charloto ne peut ignorer que son ami traite le Comte Etienne de « Couard » et le Maistre de Camp de « Folle ». Morphey les ignore superbement. Il veut œuvrer pour la grandeur du Rouergue et ces deux-là en baisse singulièrement le niveau.
- Votre Honneur, Mesdames et Messieurs les Jurés, je suis Morphey de Valomonte et de Lugny, sergent de la compagnie d’Espalion et fier défenseur du Rouergue. Depuis de longues semaines nous sommes cantonnés à Villefranche afin de garantir la sécurité de notre Comté, y sacrifiant nos amis, notre vie de famille pour certains, nos écus pour d’autres et prêts à y sacrifier notre vie. Mais nous le faisons la tête haute et le cœur fier.
Les soirées en taverne, seul dérivatif au découragement qui nous gagne parfois, sont depuis quelques jours sabotées par ces deux hommes : insultes, provocations, je tiens à la disposition de la cour les preuves de ce que j’avance. Alors je demande votre indulgence pour dame Pompoko, car comprenez que poussés dans nos retranchements, harcelés sans cesse, et de plus entendre dire que notre Maistre de Camp est une « folle » et notre Comte un « couard » et notre Lieutenant de « catin » (je précise que ni le Comte, ni le Maistre de Camp étaient tous les deux absents ce qui prouve bien que messire Pepekali cherchait à nous faire sortir de nos gongs) a échauffé notre esprit. Pompoko s’est insurgée et n’a voulu que défendre le Rouergue et ses hauts dignitaires.
Autre chose votre Honneur, Mesdames et Messires les Jurés, Messire Pepekali vous abuse de se présenter à vous en tant que sergent de l’Ost Rouergat, il vient en effet de se faire renvoyer de l’Ost. J’ai aussi la preuve qu’il incite les soldats de Villefranche à démissionner pour rejoindre une armée qu’il compte créer à Cahors et j’ai aussi la preuve de ce que j’avance.
Votre Honneur, Mesdames et Messieurs les Jurés, sommes nous sûrs aujourd’hui d’instruire le bon procès et de juger la bonne personne qui n’a fait, en somme, que répondre à des insultes par d’autres insultes ? Qui donc a troublé l’ordre public je vous le demande…. Nous n’étions là que pour passer une soirée tranquille avec des amis, dame Ibalam, messire Brann et quelques soldats.
Je vous laisse juger en votre âme et conscience et je vous remercie de m’avoir permis de m’exprimer.
Morphey salue et attend que dame Crysania lui indique qu’il peut se retirer avant de quitter la barre.
Voici son témoignage :
*pépé arrivat au tribunal ;Habillé de son uniforme de général .*
Bonjour , pour la forme vais me présenter .Kaly du bayet , ancien général Angevin , sergent Rouergat , ancien conseillé comtal et d'autre broutille .Je viens à vous car j'ai été appelé à témoigné .J'ai bien écouté le témoignage du maréchal Brann .Je ne peux que corroboré ces dire mais je vais les étayer un peut plus .
Cette inter cation à été juste après que je me fasse menacé au campement de l'OST d'Espalion.De plus on ma insulté je n'ai porté plainte car me savant en tord.Mais cette dame a insulté un conseillé comtal , un représentant du Rouergue .Un homme qi n'était même pas présent dans la taverne .Un homme qui se saigne nuit et jour pour le Rouergue .Et cette dame après l'avoir insulté de je cites: clodo et que c'était le conseil qui habillait messire Charloto elle e rajouté que messire charloto était un arbutis.
C'est des mots inqualifiable , messire charloto est représentant du peuple l'insulté est insulté une partie des personne ayant voté pour lui .De plus dame Pompoko est soldat de l'OST et donc elle devrait avoir encore plus de respect pour ces représentant que le quidam
Voila mon témoignage j'espère que cela vous conviendra.Respectueusement je vous quitte
*Kaly allât se posé sur les banc derrière messire charloto*
Voici son témoignage :
*Brann s'approche pour faire son témoignage.*
*il s'eclaircit la voix et parle haut et clair*
Salutations Ô Procureur, gentes dames, Damoiselles & Damoiseaux...
Je me présente Brann, Maréchal de Villefranche de Rouergue et témoin de la scène.
Pour les faits,le 27 juin dernier en soirée, en la taverne le "Clos d'eau",(Un établissement fort agréable d'habitude) Messire Pepe Kaly a eut une discussion pour le moins houleuse avec des représentants del'Ost du Rouergue, originaire d'Espalion qui campent au pied des muraille de notre ville. La discussion c'est envenimée pour en venir a certaines paroles malencontreuses. Si il est vrai que des paroles diffamantes ont été dites à l'encontre de Messire Charloto par Dame Pompoko, il s'avere aussi, de part mon constat, que Messire Pepe Kaly est la cause de l'esclandre par son comportement agressif envers les personnes d'Espalion. Pour preuve, on peut constater sur le même dessin, que Dame Ibalam a dut le menacer d'un procès pour le ramener à la raison. Cela n'a pas été suffisant car il a continué et même recommencé le lendemain.
*Brann salut l'assistance et s'en retourne*
Le prévenu a été relaxé.
*Maharet pose le dernier dossier de sa longue journée, regarde l’assemblée, les nombreuses personnes présentes. Elle pourrait sourire de la situation mais non, avec toutes les affaires sérieuses en ce Comté… Elle se racle la gorge*
Bonjorn Donàs, Messers… Inutile de faire lever Donà Pompoko, parce que ce que je vais dire vous concerne tous.
*Elle se racle la gorge*
Depuis quand une simple rixe en taverne se finit au tribunal ? Votre comportement enfantin, laisse la porte ouverte à tout et n’importe quoi. Qu’est ce qu’il y a si demain un voisin ne vous dit pas bonjour ou qu’il ne le dit pas dans votre langue, il va se retrouver en procès pour trouble ? A la limite s’il y avait eu bagarre, menace, complot… Je ne dis pas mais là c’est vraiment du n’importe quoi !
*Ses jades se faisant plus sévère*
J’espère que la visite guidée vous a plu, que vous avez eu un guide etc. etc.
En attendant… Nous Maharet, juge du Comté du Rouergue en ce Vème jour du VIIème mois de l’an de Grâce MCDLVI déclarons le non lieu dans cette affaire. Dame Pompoko est libre de circuler.
La prochaine fois, réfléchissez avant de lancer une plainte, sinon vous risqueriez d’avoir des surprises
La séance est levée !
Le prévenu a été relaxé.