Procès ayant opposé Jorian au Comté de Rouergue
Jorian était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Toni_Montana
Nom du juge : Ego
Date du verdict : 29/05/1456
Lieu concerné par l'affaire : Villefranche-de-Rouergue
Acte d'accusation
Votre honneur
l'accusé comparait devant vous pour un cas très grave d'insultes envers un autre villageois. en effet, voici les lettres que messire sirtonio aura reçu du sieur jorian,* Toni dépose la lettre incriminée ( http://i44.servimg.com/u/f44/11/74/05/65/lettre22.jpg) sur le bureau du juge* vous conviendrez que ce ne sont point là des paroles de gentleman. Une tentative de conciliation a été faite cependant l'accusé a décliné l'offre.
*toni se rassoit dans son siège*
Première plaidoirie de la défense
Votre honneur.
Je ne suis pas gentlemen, ni gentil pour la tournure francaise. Ces mots sont destinés aux nobles. Sachant manier l'épée et la cavale.
Je suis simple artisan forgeron. Messire le Procureur devrait surveiller ses mots, car de vrais Nobles pourraient en être offensés.
Pour ce qui est du courrier que j'ai envoyé à ce Messire Sirtonio, j'en reconnais tous les mots, et seule mes limitations de language m'ont empêché de faire pire.
Je fabrique des couteaux et des seaux, que je mettais sur le marché à 16 et 41 écus respectivement. Jeune forgeron, j'avais du mal à trouver les fournitures, et à financer mes stocks. Mes achats avaient été systèmatiquement bloqués par un spéculateur/financier/régulateur, a priori travaillant pour la mairie, on nom de la <
Comprenez ce que vous pourrez, votre Honneur, ces notions sont bien trop compliquées pour un pauvre un pauvre artisan comme moi. Elles sont expliquées par le Maire d'Espalion, dans son bureau, si vous voulez en savoir plus.
*roule son chapeau avec ses mains calleuses*
Bref, je voyais que je ne pouvais rien faire contre cet homme, charismatique et riche. Et omniprésent sur le marché. Je voyais seulement que mes couteaux et seaux n'atteignaient jamais leur cible, les éleveurs. Du moins pas au prix fixés.
Cette homme est parti, sa mission finie. Je me dis que je pouvais remettre des couteaux sur le marché. Deux ont été rachetés par des éleveurs. Lorsque subitement, le troisième est racheté par Messire Sirtonio, forgeron *sans champ ! Après deux semaines de barrage au niveau du marché, il a fallu que cette... personne non seulement rachète ce couteau, qui ne lui sert à rien, sinon à le revendre et bloque encore les éleveurs !
Non content de ne pas participer à l'économie deu village, du comté, ou le blé manque, les maïs aussi, il intervient dans les affaires de ceux qui essaient de desservir les éleveurs !
Mon sang n'a fait qu'un tour. Je lui ai écrit ce que je pense. J'ai sitôt remis 3 couteaux sur le marché. Il les a racheté dans l'heure, en m'envoyant le courrier en pièce jointe. Il entendait bien continuer.
J'ai du remonter le prix de mes couteaux pour passer inapercu par ce... Au détriment des éleveurs, comme toujours. J'ai signalé à Dame Altania, au poste de Police cet abus.
Je n'ai eu de nouvelles, ni de la Police, ni de lui par la suite.
La conciliation n'a pas été proposée dans les jours qui on suivi l'évènement. Puis de conciliation, il ne peut y en avoir, dans la mesure ou j'ai touché mes 64 écus. Cette personne n'àvait qu'a réparer sa cuistrerie ne remettant ces couteaux sur le marché au même prix. Il ne l'a pas fait.
Le temps passa, et lors d'un passage en taverne, je le vois plastronner en compagnie du Maire, Klesk. Messire Lervia et Dame Raelynn étaient présents. Je l'insulte donc copieusement (Sirtonio). Après les réponses d'usage celui ci me propose de me revendre les couteaux au même prix, en chuchotant, comme il appartient à ce genre de verm.. Messire,(oh, pardon votre Honneur) 3 semaines après les faits. J'ai refusé, à voix haute, en lui disant que pour moi, c'était son problème, et il était responsable des dommages causés aux éleveurs.
Si je puis me permettre votre Honneur, je sais que je n'ai pas de preuve de spéculation de la part de cet individu, et je n'en ai pas cherché. Mais que de tels gens fassent ce geure de choses dans le seul but de nuire est consternant, à l'heure où le Comté a besoin de toutes les bonnes volontés.
Il appartiendra à la Cour et à la Prévoté, je pense, de determiner ce qu'un forgeron incapable de fournir du maïs aux animaux du Comté qui en à besoin peut faire de quatre couteaux en trois semaines.
Voici le courrier envoyé le jour du rachat de mes couteaux
Titre : merci de tous ces compliments
Expéditeur : Sirtonio
Date d'envoi : 2008-05-11 15:34:51
Je ne suis l'ami de personne et n'en veut pas.
J'espere acheter beacoup de tes couteaux.
Cordialement.
Répondre
Supprimer
(Pour supprimer un courrier, cochez la case
et cliquez sur "Supprimer
Réquisitoire de l'accusation
*Le procureur se lève de sa chaise lentement et commence a déambuler dans la salle*
*se fixe devant l'accusé*
je prend note de vos revendications messire jorian et m'excuse de vous avoir pris en plus haute estime que vous ne méritez.
* reprend son tour de salle*
Votre honneur, comme l'accusé le reconnait, il a bien eu ces propos. Peu importe le pourquoi du comment de telles propos ne devraient être d'usage que devant le sans nom. cependant, la procure reconnait qu'il serait bon de se pencher sur les agissements mentionnés et qu'enquête sera diligentée auprès de la prévôté dans l'heure.
En conséquence de quoi, au nom de l'ordre public qui ne saurait être ainsi troublé, mais reconnaissant que l'accusé aura agit sous le coup de l'emotion, nous demandons que le prevenu soit reconnu coupable de trouble a l'ordre public qu'il soit contraint a faire repentance de ses mauvaises paroles en travaillant 3 jours a l'église (screen activité a envoyer sur la halle) et qu'il soit condamner a payer une amende de 20 écus pour lui rappeler de faire un brouillon avant d'écrire n'importe quelle insanités .
j'en ai fini votre honneur
*après avoir fini son tour de salle, toni s'en retourne s'assoir a sa place*
Dernière plaidoirie de la défense
* Jorian se lève et legarde la personne fébrile et verbeuse au propos confus *
Je tiens à signaler que cet homme mélange tout, et nie des faits.
J'ai dit qu'un homme à fait barrage sur le marché, pour finit par partir au loin. Je n'ai pas dit que cet homme, connu de tous était Messire Sirtonio. L'homme en question agissait en relation avec la Mairie au nom de la <
Je ne pousserai pas le ridicule d'accuser Messire Sirtonio d'avoir fait barrage, il faut beaucoup de charisme et d'argent pour faire cela, et de mobilité si on ne veut se faire coincer.
L'objet de ma présence, de ma missive et de ma mise en accusation est relative à 4 couteaux, pas plus, pas moins, pour un montant de 64 écus.
Après plusieurs semaines à serrer les dents du <
Hélas, c'est là qu'intervient Messire Sirtonio, avec ses couteaux. La goutte qui à fait déborder le vase. Un forgeron sans bétail.
Sa <
Sa plainte est tardive, aussi, s'il a attendu un mois avant de porter plainte, c'est eut être aussi parce qu'il a attendu l'expiration des journaux qui seraient une preuvre flagrante. Ma plainte à la Police à été immédiate, et Dame Altania aurait pu constater la transaction. Je n'ai point attendu, sûr de mes dires
Puis comme il le dit, il ne fait que des armes, à l'heure ou le village réclame des haches couteaux et seaux a grands cris. Je trouve ce comportement bien dans la ligne de son message que je vous ai montré.
De plus il reconnait avoir achete <
Notez qu'il essaye de me faire dire que je l'accuse de spéculation. Ben non, je l'ai précisé dans ma première plaidoirie. Je passe mon temps dans ma forge, pas a traîner sur le marché, ou les marchés s'il compte vendre au village voisin, pour la pêche aux preuves.
Je n'ai rien de plus à dire ou à rajouter, Votre Honneur, et je crois en la justice.
*se rassoit, et attend paisiblement le verdict*
L'accusation a appelé Sirtonio à la barre
Voici son témoignage :
Bonjour,
je suis labaiteuh forgeron et cultivateur de maïs.
*labaiteuh fait une révérence*
Je n'entend de la part de Jorian, que moultes spéculations sur moi vis à vis du marché et ne vois aucunes preuves.
Je ne spécule pas comme il le prétend si bien, ou fait barrage sur le marché à aucun niveau, surtout que je ne fabrique ces derniers temps ni couteaux, ni seaux.
Je n ai jamais fait, ni acheté de seau dans ma vie de forgeron.
Mais malgré le manque de preuve de la part de Jorian je ne compte pas raconter de baliverne à la cour.
Oui je lui ai acheté un couteau à 16 écus, mais je comptais me rendre dans une ville voisine afin d acheter du bois et aussi vendre des couteaux, car il y en a beaucoup dans notre ville.
Comme il a dit j'ai proposé de lui rendre, suite à une rencontre en taverne tout aussi cordiale de sa part.
Mais il n'en voulait pas "il avait l'argent...".
Je ne l'ai jamais insulté, contrairement à lui qui à l'air de n'avoir que des "mots doux" à mon égard.
Ainsi que des sous entendu vis à vis du maire, qui n'a rien avoir dans cette affaire, à part le fait de m'avoir motivé à porter plainte, par la suite.
Et la lettre qu'il présente n'a rien d'un document officiel.
Oui je l'ai écrit mais ce ne sont que des mots je suis prêt à envoyer tous les papiers qu'il faudra auprès de la justice pour le prouver, comme me le demande en ce moment Crysania.
Donc pour finir j'ai encore le couteau de Jorian sur moi et je suis prêt à le rendre comme je lui ai dis.
ou le vendre le prix auquel je l'ai eu.
Du fait qu'il est encore en ma possession, cela prouve que je n'ai pas spéculer le moins du monde.
Et je ne comprend pas que l'on utilise devant VOUS des mots comme "verm..." pour me définir, c'est de la diffamation.
Je suis à votre disposition, cordialement.
Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
* N'ayant point de temps à perdre avec une affaire de basses querelles, l'Escavin du Rouergue Ego rendit son verdict *
En ce 29ème jour du mois de Mai de l’an 1456 ; la Cour déclare, dans l'affaire qui oppose le Comté à la personne de Jorian, que l'accusé est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés. Il a proféré des paroles scandaleuses à l’encontre de messire Sirtonio et un tel crime est apparenté à un trouble à l’ordre public.
* Fixant plus intensément le sieur Jorian, il prononça ces quelques phrases *
Messire Jorian, je ne vois qu’une seule vraie preuve dans cette affaire : c’est celle qui vous accable et qui m’a été fourni par la procure.
En outre, pour votre jolie histoire, même si elle s’avérait véridique et fondée, elle ne justifierait pas de tels propos injurieux. Je vous le rappelle à vous et à tous : « Ne pas avoir de droit ou ne pas pouvoir les prouver est la même chose ».
Vous vous êtes basé sur le sentiment et la conviction que vous étiez légitime à proférer de telles paroles mais sachez qu’une seule et unique intime conviction vaut en cette province concernant vos misérables querelles, c’est la mienne.
Soyez content que messire Sirtonio ne lance pas un procès en diffamation contre vous ! !
* Juste avant d’énoncer la peine, il ajouta *
Quant aux agissements présumés de messire Sirtonio, une enquête des services de la maréchaussée sera menée sous ordres du Parlement du Rouergue.
Néanmoins, jusqu’à preuve du contraire, il est, à nos yeux, victime dans cette affaire et il bénéficie donc de notre sympathie.
* Enfin il termina par *
Me refusant à contraindre par la force un individu à faire acte de pénitence en travaillant à l’église, je rejette cette peine.
Vu que l’accusé reconnaît ses paroles, il va bénéficier d’une certaine clémence.
Mais pour bien lui faire comprendre que ce qu’il a fais est grave et intolérable, nous le condamnons tout de même au versement d’une amende de 50 écus.
Greffière, que cela soit portée aux archives et que la peine soit exécutée ! !
Gardes, amenez le prochain accusé.
* Et il se prépara à l’affaire suivante *
Le prévenu a été condamné à une amende de 50 écus.
Le prévenu a été condamné à une amende de 50 écus