Procès ayant opposé .lilith au Comté de Rouergue
.lilith était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : pommedapi
Nom du juge : Tanguy1989
Date du verdict : 14/12/1456
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins
Lady Pommedapi se leva et déposa un dossier qu�elle ouvrit devant le juge.
C�était une affaire de trouble à l�ordre public.
Elle se leva et s�adressa au Juge.
Votre honneur, en ce treizième jour du mois de décembre de l�an de grâce MDCVI, j�ouvre un procès à l�encontre de Dame .lilith. domiciliée à Cahors.
J�ai reçu un courrier de Dame Tchikita12, qui a reçu une plainte de Dame Rosetta d'Eastbourne, qui a été rackettée par un groupe composé de plusieurs personnes.
Voici le témoignage de la plaignante encore sous le choc de son agression :
« Pour mes possessions, je ne les avais pas screenées malheureusement. De tête j'avais environ 12 écus, 3 miches, un fruit et un lait (environ). »
et la preuve de son agression :
[img]http://img254.imageshack.us/img254/7904/racketrosettarn2.jpg[/img]
Je demande donc que l�accusée paye une forte amende et fasse un séjour en prison.
*La catin au décolleté toujours provocant s'avança à la barre. Les jupons légers volent en tous sens, la démarche de la ribaude est faite pour... Elle s'approche, tout sourire, du juge, ne le quitte pas de son regard sombre... Oui, bon, son visage est un peu tuméfié, il porte des traces récentes de coups, mais elle n'en demeure pas moins jolie... *
Votre honneur... Allons allons... ai-je l'air d'être... une dangereuse criminelle??? Je ne suis qu'une humble prostituée, fervente aristotélicienne, de surcroît, comment pourriez-vous croire que j'ai réellement fait... ça! * Désigne vaguement de la main la pauvre victime avec laquelle elle compatit, forcément* Non non, votre... hmmmm... juge Tanguy-chéri... Je vais vous expliquer ce qui s'est passé...
Massaï ici présent est... comme qui dirait... mon "protecteur". Sauf que nous avons eu une légère, une toute petite, une minime, une insignifiante altercation... Vous pouvez en voir quelques traces sur mon visage. Baaah, ca arrive! Massaï est du genre sanguin, et je n'ai pas été... très sage *sourire provocant à souhait* Doncques, votre honneur-chéri, voici ce que je crois... cette pauvre dame... heu... Rosetta, c'est ca? Oui, Rosetta... Je ne me souviens pas vraiment l'avoir croisée, mais lors de notre petite dispute, avec Massai, quelqu'un est intervenu pour nous séparer... Elle se sera sans doute pris un mauvais coup, la pauvre dame... Quant à ses écus... non, vraiment, je ne vois pas ce qu'ils sont devenus... Peut-être les aura-t-elle perdus en cours de route?
J'espère sincèrement que tu... heu... que vous ne nous croirez pas capables de tels méfaits, Tanguy-chéri... *sourire angélique, du genre pour lequel on lui donnerait Aristote sans confession... Elle se rapproche de la table ou siège le juge, se penche vers lui... Décolleté ostensiblement mis en valeur... Elle lui susurre : * En plus, Tanguy-chéri, on peut toujours s'arranger tous les deux... *lui fait un clin d'oeil entendu pour clairement lui signifier qu'elle échangerait volontiers ses charmes contre un peu de clémence*
Je vous laisse, Votre Honneur, décider ou non de la relaxe de la Dame .lilith.
Le Procureur partir s'asseoir à sa place avec un sourire en coin, elle imaginait la colère du Juge, qui était ridiculisé par l'accusée.
*La catin au décolleté toujours provocant s'avança à la barre. Les jupons légers volent en tous sens, la démarche de la ribaude est faite pour... Elle s'approche, tout sourire, du juge, ne le quitte pas de son regard sombre... Oui, bon, son visage est un peu tuméfié, il porte des traces récentes de coups, mais elle n'en demeure pas moins jolie... *
Votre honneur... Allons allons... ai-je l'air d'être... une dangereuse criminelle??? Je ne suis qu'une humble prostituée, fervente aristotélicienne, de surcroît, comment pourriez-vous croire que j'ai réellement fait... ça! * Désigne vaguement de la main la pauvre victime avec laquelle elle compatit, forcément* Non non, votre... hmmmm... juge Tanguy-chéri... Je vais vous expliquer ce qui s'est passé...
Massaï ici présent est... comme qui dirait... mon "protecteur". Sauf que nous avons eu une légère, une toute petite, une minime, une insignifiante altercation... Vous pouvez en voir quelques traces sur mon visage. Baaah, ca arrive! Massaï est du genre sanguin, et je n'ai pas été... très sage *sourire provocant à souhait* Doncques, votre honneur-chéri, voici ce que je crois... cette pauvre dame... heu... Rosetta, c'est ca? Oui, Rosetta... Je ne me souviens pas vraiment l'avoir croisée, mais lors de notre petite dispute, avec Massai, quelqu'un est intervenu pour nous séparer... Elle se sera sans doute pris un mauvais coup, la pauvre dame... Quant à ses écus... non, vraiment, je ne vois pas ce qu'ils sont devenus... Peut-être les aura-t-elle perdus en cours de route?
J'espère sincèrement que tu... heu... que vous ne nous croirez pas capables de tels méfaits, Tanguy-chéri... *sourire angélique, du genre pour lequel on lui donnerait Aristote sans confession... Elle se rapproche de la table ou siège le juge, se penche vers lui... Décolleté ostensiblement mis en valeur... Elle lui susurre : * En plus, Tanguy-chéri, on peut toujours s'arranger tous les deux... *lui fait un clin d'oeil entendu pour clairement lui signifier qu'elle échangerait volontiers ses charmes contre un peu de clémence*
Il a écouter la plaidoirie de Lilith, ne pouvant s'empêcher d'apprécier son don pour provoquer et charmer tous ce qui porte braie en ce bas monde... Il retint un sourire satisfait, ne pouvant s'empêcher d'être fier d'être son 'patron'
C'est avec une lueur frondeuse dans son regard sombre et les mâchoires serrées, comme à chaque fois qu'il a affaire à la justice qu'il s'avanca vers le juge, se râclant la gorge :
' 'Sieur le juge, j'crois comme vous l'a précisé Lilith, qu'il y a méprise... C'est pas du tout ce que vous croyez ! En fait, j'étais avec elle ' regard en coin à la petite catin qui porte encore les marques de son dernier coups de colère, 'on était en train de....hum s'expliquer, 'fin vous voyez c'que c'est, ces filles, faut souvent les r'mettre dans le droit chemin, leur faire comprendre qui c'est l'patron quoi ! 'fin bref, c'est pas l'sujet pour l'instant ! Tout ça pour dire que la Dame Rosetta s'est retrouvée, sûrement malgré elle, mêlée à c'te..conversation... elle a du être un peu bousculée et a du perdre son...', il retient une grimace narquoise, '...hum sa fortune à ce moment là j'pense ! J'sais pas trop en fait, j'ai rien vu, j'étais occupé avec Lilith..., voilà m'sieur le juge, rien d'autre,' puis d'un ton plus mielleux, '...en tout cas rien qui justifie que l'on dérange des gens importants comme vous...'. Il laisse quelques secondes de silence s'installer, puis s'approche ostensiblement du juge et ajoute plus doucement, sur le ton de la confidence : ' Puis j'suis sûr que Lilith s'ra très heureuse de vous remercier de vot'clémence !' et il appuya sa dernière phrase d'un clin d'oeil entendu.
[HRP]Oups, désolée pour la dernière plaidoirie qui n'est pas celle que j'aurais voulu, me suis emmêlée les pinceaux à cause d'IE qui buggue. Voici ci-dessous la bonne version de ma dernière plaidoire. Désolée![/HRP]
*Lilith écouta le témoignage de Massaï avec un sourire. Ca, c'était bien son patron. La catin s'avança pour sa dernière plaidoire, sourire aussi provoquant que son décolleté sur les lèvres*
Oui, Tanguy-chéri, je m'en remets à toi... heum... à vous, comme le dit m'dame la Proc'... Je suis sûre que votre grande sagesse saura vous guider pour donner le verdict le plus juste, c'est à dire la relaxe...
*Elle appuye le dernier mot d'un clin d'oeil entendu*
*Tanguy souriait, cette femme essayait de l'humilier, mais cela lui plaisait, enfin un peu d'animation dans cette triste vie.*
Dame Lilith, que faites-vous? Vous êtes là pour amuser la galerie? En tout cas, il faut bien vous reconnaître que c'est réussi mais je pense que vous venez de montrer à quel point vous pouvez vous abaisser pour espérer la relaxe. Je suis sincérement désolé votre numéro de charme n'a pas réussi, je vous ai trouvé ridicule et vos marques sur votre visage ne font rien pour améliorer ce que vous êtes.
C'est pour cela, que nous, Tanguy1989, juge du Rouergue en ce XIV jour du XII mois de l'an de grâce MCDLVI, je vous reconnais coupable de trouble à l'ordre public.
Pour cette raison, je vous condamne à passer 3 jours dans nos geôles et à payer une amende de 100 écus.
Gardes, emmenez la!
Le prévenu a été condamné à une amende de 100 écus et à 3 jours de prison ferme