Dossier reçu par l'intermédiaire du Procureur Orléanais.

"Le 11 avril 1456, le Sieur Vrael56, accompagné du Sieur Feodore, a agressé et volé sauvagement trois voyageurs innocents : Amolaric, solostef et Liselotte*

Le livre VI du droit pénal du Grand coutumier stipule que l'acte de brigandage qui correspond à la substitution de richesses (marchandise et/ou écus) sur une personne physique (un villageois) ou morale (une institution) est un trouble à l'ordre public.
Que sur une personne physique, cet acte constitue une agression sans qu'il y ait intention de tuer. L'acte de brigandage est un crime grave.

Les crimes graves sont passibles des peines de rang 2 à 6 (cf. Article XXXVI – I).

C’est à dire :
Les travaux forcés à la mine

La prison, peine légère, d’une durée inférieure ou égale à 3 jours.
La prison, peine lourde d’une durée supérieure à 3 jours.
L’exil.

Fait le 30 avril 1456 à Orléans,
Ursus, procureur de l'Orléanais"

Preuves à la décharge du prévenu :

http://img214.imageshack.us/img214/3048/aggression1hd1.png.


Que suive la plaidoirie de l'accusé.

vrael entra salua tout le monde et preta serment

bonjour a tous
je suis ici car a mes debut j ai brigander oui je le reconnais et je presente mes excuse au victimes qui j espere me pardonnerons et je les dedomagerais tous je regrette cela et ce passé est derriere je ne suis plus ainci je suis sur la voie de la justice je suis au conseil municipal de castre et je contribue a defendre avec ma lance depuis mon arrivé a castre
je vous demande d etre indulgent car tous avons un passé tous avons droit a une chance de refaire et reussir notre vie
pour les victimes qu il me contacte par mp je les rembourserais

puis vrael alla s assoir et attendit le verdicte

Voici ici le réquisitoire transmis par le procureur Orléanais:

"*Ursus écouta avec attention la plaidoirie du Sieur Vrael56.*

Vous regrettez votre acte. C'est une bonne chose, mais il y a cependant trois victimes qui demandent justice.

Je souhaiterais que vous les dédommagiez et je demande au Juge de vous condamner à 3 jours de prison. Dites vous bien que la peine pourrait être bien plus lourde, si vous ne tenez pas parole, ou si vous récidivez bien sûr.

Ursus le 8 mai 1456."

vrael ecouta puis quandse leva a son tour et pris la parole
mesdames messieurs je suis ici parce que j ai commis un acte grave aujourd hui je suis un homme nouveau pour les victimes qu il me contacte pour les remboursements je m y engage je demande une amande mais je vous en pris pas de prison je suis artisant forgeron je travail honnetement alors je demande et je vous assure que vous n entendrez plus parler de moi une amande mais pas de prison je suis devenue honnete et droit je suis a la defence de castre de puis l election de dame diane et je le fais pour rien j ai demander a diane de pas me payer je l ai fais gratuitement alors soyez indulgens merci

La personne ne s'est pas manifestée

Oriannedulac entra dans la salle.

Je suis Orianne, bretonne d'origine. J'ai connu Vrael dans des circonstances assez spéciales :

Je me suis déplacée dans la Bretagne et me suis faite brigandée, alors que je venais juste de passer niveau 1.
Je n'avais donc plus rien à manger, et presque plus de sous.
Le méssire Vrael, inconnu jusqu'alors, m'a aidé à
"remonter la pente" en me vendant quelques miches à très bas prix.
Je lui doit donc beaucoup, voilà pourquoi je témoigne en ce jour en sa faveur.
Mr le juge, je vous prie de me croire, soyez indulgent envers le méssire Vrael, qui a fait des bétîses, mais qui compte bien se ratrapper en indémmnisant ses victimes à sa manière.

*Le procureur s'avança, un message à la main*

Je transmet ici le témoignage d'une des victimes, le sieur Solostef

"Monsieur le Juge,

Monsieur le Procureur,

La nuit du 10 au 11 avril, alors que je rejoignais Conflans-lès-Sens par la route reliant cette ville à la ville de Montargis, deux brigands nous ont surpris moi et mes compagnons.

Ils nous ont obligé à leur remettre toutes nos économies et nos bien. En ce qui me concerne, ils m'ont pris 2 petites échelles ainsi que 5,75 écus.

Ils se sont ensuite écartés en riant et en se tapant dans le dos en s'appelant par leur noms. C'est ainsi que j'ai pu déposer plainte à la maréchaussée.

J'espère que justice sera faite !

Cordialement,

Solostef"

*Le procureur s'avança, un message à la main*

Je transmet ici le témoignage des deux autres victimes:

"Liselotte* :

Dans la nuit du 10 au 11 avril, alors que je voyageais en compagnie de Mon compagnon Amolaric et de mon ami Solostef sur la route qui méne de Conflans les Sens à Montargis, nous avons été agressé par 2 vilains qui nous ont rançonnés. Il s'agissait en l'occurence de Messires Vrael56 et de Feodore.

Comme nous n'avons opposé aucune résistance puisque les malandrins étaient plus robustes que nous, nous n'avons pas eu de dommages corporels. En revanche nous avons été dévalisés. Pour ma part j'avais une dizaine d'écus et 3 pains. Je suis arrivée à Montargis sans le sou et seul le geste d'un généreux donateur m'a permis de manger.

J'ai lu que l'un des messires voulait racheter ses fautes. Je lui laisse le loisir de me rembourser moi et mes compagnons de route par le moyen qu'il voudra et, dans la mesure où nous n'avons pas été molestés, je suis prêt à oublier alors cette histoire et à laisser une chance à Messire Vrael56 de rentrer dans le droit chemin dont il n'aurait jamais du s'écarter.
______________________________________________

Amolaric :

Dans la nuit du 10 au 11 avril, alors que je voyageais en compagnie de Ma tendre Liselotte* et de mon ami Solostef sur la route qui méne de Conflans les Sens à Montargis, nous avons été agressé par 2 vilains qui nous ont rançonnés. Il s'agissait en l'occurence de Messires Vrael56 et de Feodore.

Comme nous n'avons opposé aucune résistance puisque les malandrins étaient plus robustes que nous, nous n'avons pas eu de dommages corporels. En revanche nous avons été dévalisés. Pour ma part j'avais une soixante d'écus ainsi que 4 pains et 2 légumes. Je suis arrivé à Montargis sans le sou et seul le geste généreux d'une Dame m'ayant racheté mon manche qui me servait d'arme, m'a permis de ne point avoir à jeuner ce jour là.

J'ai lu que l'un des messires voulait racheter ses fautes. Je lui laisse le loisir de me rembourser moi et mes compagnons de route par le moyen qu'il voudra et, dans la mesure où nous n'avons pas été molestés, je suis prêt à oublier alors cette histoire et à laisser une chance à Messire Vrael56 de rentrer dans le droit chemin dont il n'aurait jamais du s'écarter."

*Le nouveau juge s'avança vers son pupitre le verdict à la main et en commença la lecture*

Ayant entendu les différentes péripéties avec l'aide de l'ancien juge, messire Aribe, ayant entendu le souhait de l'accusé de se repentir mais ayant aussi constaté sa tentative de prise de mairie, nous, Karl Andrecht Von Necbataümer Valendras, juge du grand comté de Toulouse condamnons le sieur Vrael56 à 2 jours de prison et à une amende symbolique de 1 écu.
Nous l'encourageons aussi vivement à rembourser ses victimes et à aller se confesser pour expier ses péchés.

Force reste à la loi!