Procès ayant opposé Galadrie au Comté de Toulouse
Galadrie était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Aldara
Nom du juge : Castelreng
Date du verdict : 02/09/1456
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins
Votre Honneur, Messieurs et Dames les Témoins, Accusé
Les Services de police de la ville de Castres m’ont signalé un délit relevant de notre juridiction :
Galadrie a racketté Ophelya, le 20 de Aout 1456, laissant cette personne inanimée dans un champ, enfreignant la loi suivante:
Décret n°IV-1 relatif à la sûreté du Comtat de Tolosa et à la régulation des
infractions dans ladite province a écrit:
Toute tentative d'extorsion de fonds sur des sujets du Coms de Tolosa lors de
leur voyage sur les routes du Comtat est déclarée criminelle et sera jurée comme telle. Les larrons qui s'y risqueraient encourraient une peine maximale de trois jours de prison, commuée en condamnation à mort si ladite tentative a provoqué la mort d'un des sujets du Coms de Tolosa.
Du coutumier
Citation:
Art. 121-5 – Du vol
Le vol se définit comme tout agissement visant à obtenir la propriété de
marchandises en s’en emparant contre le gré d’une personne par la force
ou par la ruse.
Le vol est punissable d’un jour de prison et de mille (1 000) écus d’amende, ainsi que de la restitution de l’ensemble des biens volés.
Voyez plutôt : http://img375.imageshack.us/my.php?image=racketas7.png
http://img50.imageshack.us/img50/5629/rackettst4.png
En conséquence, je demande l’inculpation de Galadrie pour Trouble à l’ordre public.
Je rappelle, à toutes fins utiles, que l’ensemble de nos lois est disponible en place publique, à l’adresse suivante: http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=320086
J’appelle à la barre Ophelya, la victime et Guitail
Que le procès commence!
Le jeune espagnol entre dans la salle d'audience et accueille sur le banc des accusés. Lorsque le juge l'adressée, elle se dresser contre et stipule:
"Monsieur le Président, je plaide coupable de l'infraction dont m'accuse. Bien que je dois dire à ma défense, c'est la première fois que se produit. Je suppose que vous tendrais compte de cela et je demande donc à la clémence . D'autre part, je dois dire que avec brio je purgerai d'ordre ou l'amende, mais je vous rappelle que j'ai à peine 5 ecs en poche et que, Conformément à la lettre du juge , est Impossible de supprimer plus d'argent que je ne l'ai plus (HRP ne peut pas laisser l'argent négatif mon personnage /HRP) "
La jeune et un peu stupide blonde rester avec les bras croisés en attentent d'essais.
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La joven aragonesa entra en la sala del tribunal y se acomoda en el banquillo de los acusados. Cuando el juez se dirige a ella, esta poniéndose en pie declara:
"Señoría, me declaro culpable del delito del que se me acusa. Aunque he de decir en mi defensa que es la primera vez que ocurre. Supongo que tendrán en cuenta eso y por ello pido clemencia. Por otra parte he de decir que con gusto pagaría la multa o sanción que se me imponga por mi fechoría, pero si me gustaría recordarles que apenas tengo 5 ecs en el bolsillo y que según la carta del juez, no pueden quitarme más dinero del que llevo encima (FRP no pueden dejar dinero negativo a mi personaje /FRP)"
Sin mas la joven rubia y un poco tonta, vuelve a sentarse esperando que prosiga el juicio.
Votre Honneur, vous le constatez comme moi, le jeune homme n'est pas du royaume. Du moins dit-il ne pas parler notre langue... Pourtant il connait certaines de nos lois puisqu'il évoque celle concernant le montant de l'amende qui ne peut dépasser celui des biens possédés... Etrange, cette compréhension sélective...
Je réclame à l'encontre du prévenu une amende de 100 écus ainsi que l'obligation d'apprendre à lire TOUS nos articles de lois... Merci.
Galadrie écoute attentivement que l'homme qui fait d'un traducteur, le raconte du développement du jugement.
Ses yeux montrent un étonnement devant certains des choses qui se disent, puisqu'elles ne sont pas certaines.
Cela attire aussi son attention ce que le témoin appelé de déclarer, la confond avec un garçon, ce manque d'attention, fait qu'il(elle) se demande si le jugement sera juste pour elle.
Quand la jeune dame arrive le moment de sa dernière discussion, il(elle) se met dans un pied et prend le mot, en essayant de lui(leur) exprimer le meilleur possible chez un Français(français).
"Un monsieur le juge :
Comme j'ai déjà dit dans ma première déclaration, je me déclare comme coupable et j'honorerai la condamnation qui me s'impose, chaque fois que cela est juste. Je ne douterai pas de faire appel si c'est précis.
Je veux dire au monsieur Guitail, qui est certain que je connais les lois et que je mentionne celle que je considère importante pour ma défense. Je considère que vous appliquez toutes ses lois, mais parfois ils(elles) oublient précisément cela. Je considère que dans son comté je suis totalement sans défense, puisque je me trouve empêchée de sonner mon avocat de témoigner et vous possédez la plus grande collection de lois contre les voyageurs et les étrangers qui je n'ai jamais vu.
J'aimerais aussi rincer(m'éclaircir), que la dame Ophelya ne dit pas toute la vérité dans quelques points. C'est pourquoi il(elle) ment à ce tribunal.
La quantité d'objets qu'il(elle) mentionne, je crois qu'elle est exagérée, mais je ne peux pas l'essayer, donc j'ai à me taire dans ce point. Mais je n'admets pas d'escalier entre ces objets. Nous ne l'avons vue jamais et c'est pourquoi nous n'avons pas pu la voler. Ophelya devrait regarder où il(elle) l'a perdue, nous de ne l'avons pas. Nous ne devons pas payer sa négligence.
Aussi Guitail dit que trois personnes nous attaquons une petite femme. Ils existent-ils à rappeler qu'elle ne voyageait pas seule, si il y avait trois non qu'aussi ? Il d'une petite femme … il(elle) a à nous regarder seulement, je suis plus jeune et petite qu'elle. C'est un raisonnement outre un lieu.
Ne pas dire toute la vérité, cela si c'est une lâcheté sans parangon.
Je considère aussi outre un lieu sa question : "Comment l'avez-vous fait, êtes-vous une femme, pour attaquer une autre femme ? :" Quelle classe une question est-elle cette ?
Ophelya recommence à mentir, quand il(elle) dit qu'elle a été agressée et un abandon inconscient dans le chemin. Dans aucun moment il n'y a eu de lutte.
Quand nous nous croisons dans le chemin, ils(elles) ont pensé sans plus que nous étions bandits, ont jeté ses propriétés et ont couru étant perdu entre les arbres. Le peu nombreux que nous parlons, ils(elles) n'ont pas dû l'entendre. Des choses de la langue.
Il semble que personne ne se pose des doutes dans ce cas. Je si je les me pose en voyant tant de mensonge superflu.
Si je dis la vérité ayant tout dans contre, et elle, avec tout à une faveur il(elle) ment, je me permets le luxe de penser mal. Et voilà que je demande à ce tribunal : est-il possible que nous étions les deux groupes dans le même lieu, avec les mêmes intentions ? Je commence à croire que si. Ainsi il(elle) pourrait entendre tant de mensonges superflus. pourquoi non ?
Il(Elle) avait l'intention de demander des excuses à la dame Ophelya, mais en voyant sa foi mauvaise, je crois que je ne les lui(leur) dois pas. L'impression me reste, après avoir écouté sa discussion, qu'un bandit peut être beaucoup plus honnête que la victime supposée.
J'espère que la justice fait un honneur à son nom(nombre), comme il(elle) le ferait dans mon pays. "
En recommençant à s'asseoir, Galadrie attend tranquillement le verdict du juge.
Il est de toutes les pièces écrites dans le deuxième témoin pour le jeu m'a donné à écrire anomalie dans le premier.
Carausius se présente au tribunal comme témoignage de Galadrie.
Mesires, comme Galadrie m'a cité par duplicata dans mon premier témoignage expliquera l'arrivé.
Nous campions outre le chemin. Nous dormons là toute la nuit et à l'aube nous reentreprenions notre marche en entrant des buissons au chemin quand tout à coup le groupe de la Dame de Fontenille sont apparus en face de nous.
Nous n'avions pas d'intention de les assaillir.
Avec la frayeur, je crois qu'ils ont eu peur plus, donc ils(elles) ont commencé à jeter ses propriétés de valeur au sol et au moment ils(elles) ont sauté aux buissons en fuyant.
Nous n'allions pas laisser tout ce dans tel sol que nous il avons pris. Et ici nous trouvons accusés maintenant d'une confusion puisque récemment levé mon Français(français) est pénible.
Il est clair que si les témoignages de l'accusation mentent cela perd immédiatement son poids. Je ne connais pas parce qu'un verdict devrait être permis contre Galadrie si elle a été sincère et l'accusation a menti. Où l'honneur est-il ?
Je commence à penser que tout cela est une farce et qu'ils(elles) n'ont pas de preuves contre nous en plus de quelques discussions pleines de mensonges et les envies de condamner à extrangeros qui voyagent en ses terres.
Ophélya qui avait été convoqyé s'avança à la barre, salua l'assemblé puis s'adressa au juge.
Monsieur le juge bonjour
je revenai d'albi avec deux de mes amies quand cette personne que voici nous a agréssée toutes 3 avec son compagnon elle nous a roué de coups puis ils m'ont volé tout ce que j'avais sur moi.
c'est à dire 50 écus,12 sacs de farine, 6 stères de bois et une petite échelle.
mème si je ne récupère rien je voudrai qu'elle soit punie pour qu'elle comprenne le mal qu'elle a fait.
Messire le Juge,
Madame le procureur,
Moi, Guitail, lieutenant de Castres, certifie avoir bien reçu le témoignage de Dame Ophelya, ayant subi un racket de la part de Dame Galadrie. Comment avez vous pu faire ça, vous une femme, s'en prendre à une autre femme? A la suite de ce témoignage, j'ai reçu la plainte de Dame Ophelya qui s'est fait brigandée le 20 août 1456 entre Castres et Albi, j'ai ouvert un dossier et verser dedans son témoignage et un extrait de son carnet de voyage. Je demande à la cour de ne pas laisser cette agression impunie. 3 personnes contre une faible femme, c'est d'une lâcheté et d'une couardise sans pareil.
Merci de m'avoir écouté.
Messire le Juge, Madame la Procureur, mes respects.
Moi, Castelreng, Juge du Comté de Toulouse, après avoir étudié le dossier de l'accusation et écouté les plaidoiries, prononce le jugement suivant au nom de notre Coms et Seigneur Carles de Castèlmaura.
Attendu que le prévenu n'a pas de quoi s'acquitter d'une amende, il en sera donc tenu compte.
Attendu que l'acte de brigandage est retenu
Par conséquent je déclare le prévenu coupable de brigandage et le condamne à 3 jours de geôle ou il y sera maintenu par les fers pieds et poings liés !
Affaire suivante !
Fait en Toulouse le 2 septembre de l'an 1456
Le prévenu a été condamné à 3 jours de prison ferme