Procès ayant opposé Nonimi au Comté de Toulouse
Nonimi était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Leyoun
Nom du juge : Katou
Date du verdict : 26/04/1457
Lieu concerné par l'affaire : Castres
Madame la juge,bonjour.
Je n'ais pas d'avocat a appeller pour ma cause de pillage et je vais me deffendre seule.
Je reconnais avoir revolté la nuit dernière contre la mairie et je me rend compte de ma faute envers ma tentative de pillage de notre mairie , de Castres.
Je me dois de dire que je merite cette amende et ces 6,7 jours de prison.
Je dois affirmer quand même que je dois des excuses à dame Maïryan pour avoir voulu piller sa mairie.
Je crois que je n'ais rien d'autre a ajouter. Car tout ce que j'ai a dire c'est que je reconnais ma faute impardonable avec Maïryan.
Aujaud'hui, en ce 13 Avril 1457, je me dois d'avoir effectué une tentative pour piller la mairie et je m'excuse envers maïryan pour avoir tenté de piller la mairie.
Madame la juge,bonjour.
Je n'ais pas d'avocat a appeller pour ma cause de pillage et je vais me deffendre seule.
Je reconnais avoir revolté la nuit dernière contre la mairie et je me rend compte de ma faute envers ma tentative de pillage de notre mairie , de Castres.
Je me dois de dire que je merite cette amende et ces 6,7 jours de prison.
Je dois affirmer quand même que je dois des excuses à dame Maïryan pour avoir voulu piller sa mairie.
Je crois que je n'ais rien d'autre a ajouter. Car tout ce que j'ai a dire c'est que je reconnais ma faute impardonable avec Maïryan.
Aujaud'hui, en ce 13 Avril 1457, je me dois d'avoir effectué une tentative pour piller la mairie et je m'excuse envers maïryan pour avoir tenté de piller la mairie.
Ne nous laissons pas berner par de telles plates excuses après un fait aussi grave!
L'accusé Nonimi nous fait connaitre clairement ses intentions pendant cette nuit du11 au 12 avril 1457. Je cite votre Honneur les dires de l'accusée ici présente, "je me rend compte de ma faute envers ma tentative de pillage de notre mairie , de Castres.", son intention était belle est bien de piller la mairie! Encore heureux que certains miliciens ouvraient l'�il encore à cette heure aussi tardive. Je vous laisse imaginer dans quel état serais encore nos habitants Castrais.
Ce dont nous sommes heureux en cette séance est la conscience de l'accusée, qui dit mériter la punition qui de droit lui reviendra.
Ce pourquoi, nous, Leyoun, procureur de Toulouse, demandons une peine relative aux frais de sécurité d'un village et d'une punition exemplaire pour l'acte de l'accusée.
La peine demandée est la suivante: 100 écus et 2 jours de prison.
Plaise à notre bon juge de lui donner la sanction exemplaire qu'il est en droit d'attendre.
Madame la juge, calmez vous s'il vous plai, j'aimerais rajouter quelque chose avant que ma chère amie Jaquette puisse ajouter quelque chose pour vous prouver ce que j'éssaie de vous dire.
Alors voila, mon acte, qui s'intitule, pillage de mairie, qui doit se rappeler être avoir été un ECHEC TOTAL. Donc, j'ai dans l'esprit de vous dire que casiment rien d'autre ne s'est produis, qu'un acte, d'accord, comment avoir dans l'idée de piller la mairie, mais tant que ceci fut un echec, toutes les conditions changent : Déjà , la première c'est que rélisez que c'est beaucoup moins grave ! et que ce procès, n'est pas de protester contre l'accusé qui a pillé la mairie, puisque ce fut lamentable, mais l'attention d'avoir tenté ça, et donc, en fait, notre mairie n'a rien subit et tout change comme je vous ai dit.
Ces mots, pour vous dire qu'un acte grave , sur un faute deviens vraiment moins important et c'est la condition pour ce que j'ai comis !!!
Voila madame le juge, j'espère avoir étée compris, je laisse donc la parole, a Jaquette, ici présente.
bonjour madame le juge
je me presente dame jaquette de castre .je vient pour dire que mon amie nonimi a pas voulue comme elle vous le dit faire du mal.elle reconnaite son erreur .ses une fille bien et gentil.elle est pas mechante .
jaja se retirait
Nonimi. vous êtes convoqué, aujourd�hui 12 avril 1457, par nous, Leyoun, procureur du comté de Toulouse, pour répondre du chef d�accusation de trahison, de trouble à l�ordre public et de tentative de pillage de biens publics suite à votre extravagante tentative de révolte dans la nuit du 11 au 12 avril 1457 contre la mairie de Castres.
Inutile de feindre l�ignorance ou de parler d�amnésie, nous avons le témoignage de Ratatouille06 :
Expéditeur : Ratatouille06
Date d'envoi : 2009-04-12 08:56:28
bonjour dame maïryan,
comme je ne sais pas a qui envoyer ce rapport, aussi je me permet de vous l'adresser a faire suivre a qui de droit.
Rapport en date du 12 avril:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé Jadounet31, Arthuromex, un
groupe composé de Marcj et de Nane94140, et un groupe composé de Khaarg
et de Valkyrie__.
12-04-2009 04:09 : Une tentative de révolte a eu lieu devant la mairie,
et vous avez contribué à la mater. Dans la mêlée, vous avez reconnu
Nonimi parmi les assaillants.
part avance je vous en remercie et vous joint mon sincère dévouement
Ratatatouille06
La Justice est toujours la pour se rappeler aux bons souvenirs de ceux qui l�enfreigne. Les faits criminels dont vous vous êtes rendus coupable sont punis par les loys du Comté de Toulouse.
Concernant le trouble à l�ordre public l'article 122-2 nous dit que « Le trouble à l�ordre public est défini comme le fait de déstabiliser les institutions du Comtat de Tolosa, ou tout organe de la vie civique. Il ne saurait s�appliquer aux sphères privées. »
Concernant la trahison l'article 121-3 édicte que « La trahison se définit comme tout acte d�opposition au roi et aux représentants légitimement élus du Comtat (membres du conseil comtal et maires), dont il existe plusieurs sortes : + Les actes de rébellion se définissent comme l�organisation d�une attaque non légitime contre le Comté ou une mairie.
La trahison est punissable de six jours de prison et de mille (1 000) écus d�amende, ainsi que du bannissement du Comté. »
Concernant le pillage de biens publics l'article 121-6 spécifie que « Le pillage de biens publics se définit comme l�action d�obtenir la propriété de marchandises appartenant au Comtat ou aux mairies contre leur gré, en s�en emparant par la force ou par la ruse, notamment après révolte, ou confiés en vue d�échanges économiques. Le pillage est une trahison punissable de cinq jours de prison et de mille (1 000) écus d�amende, ainsi que de la restitution de l�ensemble des biens volés. »
Accusé, la crainte comme l'ignorance ne vous sera d'aucun recours, préparez-vous à vous expliquer de vos actes devant la Cour et, si vous nous savez pas comment faire pour assurer votre défense, je vous informe que vous avez la possibilité de faire appel à un avocat. (http://chateau-narbonnais.forumactif.com/sala-de-las-cridadas-salle-des-criees-f65/ pour y déposer la demande d'avocat)
Le prévenu a été condamné à une amende de 5 écus et à 1 jour de prison ferme