Procès ayant opposé Kevin450 au Duché de Touraine
Kevin450 était accusé de Escroquerie.
Nom du procureur : Evêque Zippo
Nom du juge : Senctus
Date du verdict : 18/07/1456
Lieu concerné par l'affaire : Illisible
Monsieur le juge, vous avez à juger une personne dont il est absolument certain qu'elle a commis des actes de sorcellerie. Est-elle une invocation ou un invocateur ? Nul ne sait. Ce qui est assuré, c'est qu'elle a perpétré ces crimes en compagnie de Kevin4500.
De tels actes sont véritablement effroyables. Cependant, monsieur le juge, n'oublions jamais que cette ignoble créature, transfigurée par un affreux rictus qui est celui du Malin, est une créature de Dieu. Pour lui donner une petite chance d'échapper à la damnation éternelle, je vous demande donc la brûler sur la place publique.
Obéissant aux consignes laxistes du pouvoir temporel, nous allons néanmoins écouter le prévenu nous dire qui, parmi les personnes accusées, est l'invocateur, et qui sont les invocations. Peut-être, monsieur le juge, serez-vous touché par le témoignage du sorcier et ne le condamnerez-vous pas à la peine maximale. Je vous recommande, quant à moi, d'être clément envers l'âme du pêcheur, en étant sévère avec son corps.
L'évèque Zippo
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
En cette journée du 18 Juillet 1456, Moi, Senctus, Juge de Touraine, vais rendre mon verdict dans l’affaire opposant Sieur Kevin450 à la Sainte Inquisition
Les forces divines qui commandent toutes choses passées, existantes et à venir ont pris la décision de soustraire par la mort cette personne à mon verdict.
Cela est dommage car celle-ci était déjà en procès contre la Sainte Inquisition et aurait certainement fini au bûcher… Doit on ici y voir un signe du divin qui jugerait notre justice temporelle trop douce avec les hérétiques qui multiplient leurs chairs sans pouvoir multiplier leurs âmes monopole du divin ?
Je considère donc que le jugement céleste est en cours et je me détache de cette affaire.
Que tous les délits de cette personne, sur notre terre, lui soient oubliés car c’est à Dieu de statuer de la suite des choses.
Justice a été rendue,
Dura lex sed lex
Le prévenu a été relaxé.