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[RP]Abreuvoir n°7 au bout de la rue, à gauche

Scath_la_grande
Depuis le temps qu’ils en parlaient d’ce fameux abreuvoir, fallait que La Grande aille voir ça de plus près, qu’elle aille en renifler la flotte, voir si elle était à bonne température, si la lavure était propre et tout ça.
La spécialiste du bain et autres ablutions et bulles de savons, c’était elle, Belette, experte en papouillage sous l’eau.

Donc récapitulons le plan !
Un. Trouver ce foutu abreuvoir à la noix, bordel de sort, ce n’est pas comme si Embrun c’était la Capitale non plus, ce n’est pas foutrement grand comme bled.
Deux. Identifier si l’espèce qui trempe dedans fait partie de la race des charmeurs des montagnes, celui dont toutes les femmes à des lieues à la ronde se disputent, se l’arrachent à corps et à cri… et à crocs surtout.
Trois. Une fois la proie en ligne de mire, s’assurer qu’il soit bien coopératif et béni oui-oui à une rousse atteinte de fièvre récurente ou récureuse.
Quatre… nous verrons, laissons planer un peu de mystère que diable.

Le pied léger, sourire printanier en coin d’bouche –c.à.d. enjôleur à souhait puisqu’en quête de mâle- l’impétueuse jeune fille arpente les rues du village, sceau à la main et matériel à récurer planquer à l’intérieur.
Sa démarche toute ondulante de la hanche est capable de décimer toute une garnison entière plus un ours, sous les paupières de la belle, deux fauves surveillent les alentours et proposent des œillades aguicheurs à qui a le malheur de croiser sa route.
Aujourd'hui on va décrasser du Gasclin !!!

Et voilà, pilepoil en face de l’Embruncévous, quart nord-est avec une bise sud-ouest, l’abreuvoir sacré siège comme un trône divin au milieu de la rue… ou presque…
Une question la taraude du coup… comment qu’elle l’a fait pour pas le voir plus tôt… ça devait être la vision de la taverne et de toutes ses promesses d’évasions éthyliques qui lui avaient occultées ce lieu thaumaturgique.
Chut ! Une carcasse est échouée dedans, chapeau lui voilant la face, doucement à pas de mustélidé échaudée, Scath s’approche de l’extraordinaire endroit. Là où tout est possible !
L’abyme des vices… et versa.

Brosse à la main –juste au cas où l’type dessous ne serait pas Gasclin et que la rouquine soit dans l'obligation de se débarrasser de ses ardeurs printanières en lui enfournant un ustensile à décrasser au fond du gosier - elle efface peu à peu la distance…
Trois, deux, un… on soulève le couvre-chef et….

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"Ce n'est pas de ma faute si je suis SI parfaite ! C'est Deos qui m'a faite ainsi !"
Gasclin
Par la malebranche et ses bourgeons fleuris !... Eteignez-moi ces lumières !... Vous voyez pas qu’on dort ici ?...

Cela faisait trois soirs au moins, suivis de trois longues nuits que Gasclin venait s’étendre, dès sa journée finie, au fond de l’abreuvoir… En début de soirée, il apportait une bouteille pleine du meilleur génépi. Chaque fois il pensait : "Elle va bien finir par retrouver l’endroit…" et patiemment il attendait comme un léger bruit de pas.

Après une bonne heure passée à regarder circuler les clients de l’auberge et toujours personne pour faire conversation, allez juste un gorgeon, histoire de patienter… Et le premier gorgeon appelant le deuxième, suivi de près par le troisième et quelques autres après, sur le coup à peu près du milieu de la nuit, la bouteille se retrouvait vidée de tout contenu… Et le pauvre Gasclin songeait à un pays peuplé par de rousses belettes…


Qui donc se permet de m’arracher à mes rêves ?


Là il voit dame Scath, son chapeau à la main… Ses formes ondulantes au moindre mouvement…

Excusez mon erreur : de toute évidence en vrai, véritablement, je rêve encore, c’est sûr… Elle est là, la rouquine, surtout faites attention : ne me réveillez pas !
Scath_la_grande
[Et un Gasclin au génépi ! Un !]


Chaud devant ! Mais qu’est-ce que c’est que ce truc qui trempe dans l’abreuvoir ?
Le museau se plisse de curiosité, renifle d’abord avec prudence en essayant de dater le dernier « vrai » bain de la loque avachie qui parle de rêve.


Oui et bien je suis le rêve de tout homme, c’est bien normal, je suis sublime n’est-il pas ?

Sourire.
Le regard court, court comme un furet le long de sa proie, cible recherchée ? La bouteille de Génépi incriminée dans le délit de picolage intensif dont la rouquine vient d’humer les effluves.
Vide !
Vide ??? Vengeance !
Il payera pour ce crime de non-partage éthylique, un crime qui n’a d’égal que la haute trahison.
Il payera, oui et bien chèrement… mais plus tard… pour l’instant il y a plus important.


Allons, allons Gasclin, le rêve est réalité ! Je suis là… Vous allez rester ici pour l’étrillage ? Sinon un baquet plus fumant serait bien plus agréable…


Re-sourire... méfiez-vous Gasclin... lorsque les fossettes plissent à cause d'une lippe joyeuse, il vaut mieux rester sur ses gardes !
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"Ce n'est pas de ma faute si je suis SI parfaite ! C'est Deos qui m'a faite ainsi !"
Gasclin
Gasclin se frotte les yeux… Pas possible !… Elle est là !…

Oui et bien je suis le rêve de tout homme, c’est bien normal, je suis sublime n’est-il pas ?


Cela faisait au moins de longues heures qu’il ne l’avait pas vue… Son regard la parcourut de la pointe des orteils à la plus longue de ses mèches rousses… Sublime ?… C’était peu dire en devinant le fuselé des jambes, la courbure des hanches, le modelé de la poitrine…

Gasclin plongea son visage dans l’eau pour chasser les idées qui accouraient en masse… Surtout rester de glace… Faire le détaché… Le sage sur son sommet neigeux, stoïque et invulnérable… A la moindre faiblesse la belette allait l’avaler cru, tout comme un tendre et joli campagnol…


Sublime ?… Je vais y réfléchir… Il se pourrait que vous soyez quelque chose d’approchant… reste à vérifier méticuleusement… ce genre de chose ne souffre pas d’être énoncé à la légère… Vous traîniez donc par là ?… Depuis le temps que je hurle à la lune, je n’espèrais plus vous voir… Vous êtes sûre que je ne rêve pas ?… Que quelqu’un me pince… Non, pas vous !… Je porte encore sur moi, les traces de la dernière fois que je vous ai demandé ce service !

Gasclin voulant lui offrir quelque chose à boire, attrapa la bouteille flottant dans l’abreuvoir : vide comme le cœur d’un collecteur d’impôts !

Vous êtes arrivée trop tard, madame, ou j’ai bu bien trop vite… On peut peut être aller jusque dans cette auberge… Je peux vous offrir quelque chose à boire ?… Ou bien à manger ?… Hé... ne me regardez pas comme ça !… On dirait un renard contemplant un lapin !
Scath_la_grande
[Dans la gueule du loup… hum non de la Belette]


Cinq… Quatre… Trois… Deux… Un
Le piège à homme est enclenché.
Sous les sourcils automnaux rien ne cille, le regard se vrille à celui de Gasclin, manœuvre qui se veut intimidante alors que d’un mouvement presque indolent du bassin, la mustélidé se penche.
Elle agrippe de ses deux mains chaque bord de l’abreuvoir, offrant à sa future victime un panorama sur les monts liliaux, prémices d’un supplice annoncé.
Trappe à doigts bien en vue, la montalbanaise pose un à un ses collets pour attraper son lièvre avec ses appas aguichants.
La voix prend le velouté et ses lèvres se chargent de sourires mignards.


Renard dites-vous ? Ne me confondez pas avec mon homologue roux, vous allez être confronté à mes griefs sinon.
Pour rappel ! Je suis une belette, ne l’oubliez pas… museau pointu pour fureter partout mon cher.


Les billes crépusculaires vagabondent, traçant un cheminement secret de son regard sur la carcasse du suborneur.
La Scath, grande giboyeuse devant le Grand Architecte de l’Univers, convoiteuse d’un gibier racé en vigueur, commence à numéroter les abattis de sa proie, puis les prunelles s’en reviennent bien vite s’ancrées à leur point de départ.


Pour revenir à vos propositions… Allons donc à cette auberge, et demandons une chambre avec baquet et eau chaude…. A boire ? Oui j’espère bien que vous apaiserez mon gosier victime d’une sécheresse inopinée… et pour ce qui est de manger… nul besoin de commander quoi que ce soit… Se fend d’un sourire mutin avant de reprendre d’une voix basse et de jeter une poignée de mots avec malice. Je vous ai vous !

Et la langue de claquer contre son palais.
Son museau se plisse de délectation, sourire qui va de pair, c’est qu’elle est joueuse la rousse.
« Viens donc, créature, te perdre dans mes rets… approche donc ! »

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"Ce n'est pas de ma faute si je suis SI parfaite ! C'est Deos qui m'a faite ainsi !"
Gasclin
Quel étrange animal !... Elle posait sur lui un regard d’épervier et son corps ondulait comme si elle était Ondine !

Se voulait-elle effrayante en posant les mains de chaque côté de l’abreuvoir et en se penchant vers lui ?... Son ample décolleté, à un pouce de son nez ?... De son nez, ou de ses…

Gasclin ! Pense à ce que disait ta très sage maman !... Comme on connaît les seins on les honore ?... Heu non, ça ne devait pas être tout à fait ça !... Menteuse comme la vue des seins ?... Ah ?.. Maman voulait donc dire que la bestiole chercherait à m’aguicher ?

Gasclin se saisit de son chapeau, le remplit d’eau de l’abreuvoir et se verse le tout sur la tête…


Vous ne trouvez pas que la température monte singulièrement, d’un coup ?

Mais qu’est-ce qu’elle dit ?... Auberge ?... Une chambre ?... Un baquet d’eau chaude ?... Je suis déjà bouillant !

Pas besoin de commander à manger ?... Vous m’avez, moi ?... Ah, madame, savez-vous que dans la journée il est de ces moments où on a bien du mal à distinguer la proie du prédateur ? Et qui se prétend l’un, peut bien devenir l’autre ?...
Scath_la_grande
Hautaine qu’elle est, la rousse belette, le toise du haut de sa morgue néanmoins sa dernière réflexion lui arrache un sourire. Sincère cette fois.
Tous deux se ressemblent, agissent en parallèle. Elle est piquante et lui n’est que velours…
Dans les ventres s’aiguisent les faims insatiables nourris de leurs œillades insolentes.


Qui prétendra le contraire serait un menteur… mon cher Gasclin… Je comptais bien évidement sur vos instincts de prédateur acérés pour que je puisse enfin jouer le rôle de la proie docile… enfin après que vous m’ayez cédé en premier, cela va de soi, non ?

Le museau tout fier se retrousse dans une moue mutine, alors que déjà les hanches basculent pour remettre tout en vertical une rouquine au caractère truffé d’espièglerie.

Vous devriez vous sortir de là, vous allez prendre froid, c’est que les nuits sont encore fraîches en ce moment… ça serait dommage d’abîmer un tel potentiel pour les joutes horizontales par quelques éternuements. Et puis ça fait bien longtemps que je n’ai étrillé personne ni même oint avec des huiles parfumés.

Le bras s’allonge, propose une main garnie de cinq doigts. Fine porcelaine qui se met à disposition pour aider un trempeur d’abreuvoir de haute volée à quitter sa place doré et humide.

Et si vous vous sentez déjà échaudé... on commandera une eau moins bouillu, hein....
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"Ce n'est pas de ma faute si je suis SI parfaite ! C'est Deos qui m'a faite ainsi !"
Gasclin
Gasclin n’en croit pas ses oreilles : elle a parlé de proie docile ?

Hé bien, délicieux petit animal, même pour carnaval je crois que le costume de proie docile vous gênerait aux entournures… Il serait plus plaisant, je pense, que nous partagions certaines fantaisies comme dans une danse : une volte et vous menez, une pirouette et je conduis… C’est plutôt cela qui me semble aller de soi…

Il la regarde, guettant son expression. Elle lui tend la main pour l’aider à sortir de l’eau. Il la lui prend délicatement, plus pour en sentir le contact que pour l’aide proposée. La mutine serait capable de le lâcher juste pour le plaisir de lui faire faire le plongeon.


Mais soyez sans souci pour le potentiel pour les joutes horizontales, le froid ne saurait m’abimer : depuis quand a-t-on vu un grêlon éteindre une chaudière ?

Il sort de l’abreuvoir en lui tenant la main, un léger sourire flottant sur ses lèvres. Et, tout en secouant l'eau qui trempe ses vêtements, il la regarde en coin :


Si ça fait bien longtemps que vous n’avez pratiqué, vous êtes sûre, au moins, que vous saurez m’oindre et m’étriller de manière convenable ?
Scath_la_grande
Quoi ? Comment ça ? Qu’ouïs-je ? Qu’entends-je ? Comment ose-t-il ! Le vil gredin.
Mais quelle outrecuidance que d’imaginer un tant soit peu qu’elle puisse ne pas s’acquitter de cette tâche avec sa parfaite efficacité toute belettique.
Oui, m’sieurs, dames, parce que la belette est un animal propre, le mustélidé se lave et pas dans un abreuvoir, mais bien dans un baquet d’eau chaude et elle se récure avec de la saponaire même entre les orteils, parce qu’elle le vaut bien.
Et tout comme les nobles, elle sent drôlement bon c’te bestiole là.
C’est prouvé !

Déjà, l’ancienne embrunaise s’écarte d’un pas, c’est qu’il est mouillé le Gasclin, va pas fichtre en l’air sa houppelande neuve… ou presque par quelques eaux à la qualité douteuse.
Le museau finaud se relève impérieux, piquée qu’elle est par cette question outrageante. Les deux poings sur les hanches, la botte qui s’en vient à taper le sol de cette colère sourde et muette, deux iris fauves se posent sur l’insolent baladin, pour sûr qu’elle va lui faire regretter ses paroles.


Vous allez tâter de mon pouvoir décapant, je vais tellement vous étriller que vous en aurez la peau à vif. Osez insulter mon art de la brosse et du décrassage alors que vous ne vous y êtes pas encore soumis. Naméoh ! Comme dirait l’autre.

Une petite tendance à l’exagération ?
Non pensez-vous donc, c’est Belette, c’est tout. Ainsi soit-il. Amen.
Les doigts fins aux apparences de porcelaines agrippent le bras de trublion à la bonne marche de l’égo surdimensionnée de la rousse.
-Attention, crime lèse-belettique ! On en a pendu et écartelé pour moins que ça.-
Et d’agiter une brosse menaçante sous le nez de Gasclin.


Z’allez-voir, j’vais vous prouver que je sais manier encore de fort belle manière l’ustensile à récurage.

Une fois le danger éloigné de dessous les narines du baladin, le museau se défroisse de sa rigueur et prend une tournure un peu plus affable. Faut dire que le sourire mutin qui s’est enfilé à ses lèvres hautaines arrange bien le tableau.
La main toujours bien accrochée à un bras gasclinesque, la rouquine le charrie dans la direction de la civilisation.
Comprenez : le baquet !


Venez, il ne faut plus attendre, avec vos vêtements trempés, z’allez attraper la mort, et moi je ne m’occupe pas de cataplasme à la moutarde et aux herbes qui schlinguent, ce n’est pas mon domaine… ou faut m’payer cher…

Voilà un brun dans le sillage dangereux d’une rousse.
Ne ratez pas les prochaines aventures de Belettoune et Baladin… « A la recherche de la savonnette disparue au fond du baquet sacré ».
Tatadaaaam tadadadaaaammmmmm… ou un truc comme ça.

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"Ce n'est pas de ma faute si je suis SI parfaite ! C'est Deos qui m'a faite ainsi !"
Gasclin
Ben quoi ?… Vous me semblez choquée que j’aie pu demander si vous sauriez m’oindre et m’étriller de manière convenable… Ma très sainte mère m’a toujours dit "Mon fils, celle qui saura t’étriller comme tu le mérites sera ou bien un ange ou une drôle d’experte !"… Et moi, naïf alors : "Ben, ma bien chère mère, pourquoi ne serait-elle pas les deux ?…"… Ce à quoi, maman répondait en riant : "N’oublie jamais, mon fils que souvent, comme dit la sagesse : qui veut faire l’ange fait la bête…"… Et moi, toujours un peu simplet, j’en ai déduit que l’ange m’apparaîtrait sous la forme d’une ravissante petite bête… Ah ! Est-on rêveur quand on est un jeune niais !…

Les deux poings sur les hanches et tapotant le pavé de ses pieds, elle se fait menaçante. Et Gasclin la revoit, quelques petites années en arrière, quand Nyna lui donnait des cours, pour se défendre à l’épée, derrière la vieille grange. Le petite belette savait à peine par quel bout on tenait une épée… Et le temps a passé… Les choses ont bien changé…

Me mettre la peau à vif ?... Et vous voulez m’impressionner ?... Alors qu’il y a peu on aurait bien voulu, pour le moins m’écorcher ?

Elle lui agite sa brosse sous le nez, puis lui retend la main pour le sortir de l’eau. Cette fois il la prend un peu plus fermement et enjambe le bord de l’abreuvoir. Il dégouline d’eau, et manque la mouiller. Elle lui saisit le bras et l’entraîne vers l’auberge.

Hé attention ! Ma mère m’a bien dit : fais attention aux gens qui te proposent de t’étriller… Surtout si elles sont rousses, avec des allures de musteile, te parlant de baquet au bord d’un abreuvoir !…
Scath_la_grande
Belette, Belette, mais où cours-tu donc ainsi ? Baladin à la main.
Ben huuu le plan on avait dit !
Ah oui, c’est vrai, récapitulons donc voir si toutes les étapes on été rondement menées.

Un. Trouver l’abreuvoir… ça c’est fait, c’était fastoche !
Deux. Identifier le type qui trempe… Par chance c’était Gasclin ! Mince, finalement ça aurait poilant de fourrer une brosse en fond de gésier d’un pochard cuvant dans l’abreuvoir réservé au charmeur des montagnes. Le Dahus ? Mais non suivez un peu, le Gasclin, c’est pourtant pas compliqué, hein ! On cause que de lui dans cet épisode belettique.
Trois. Voir s’il est coopératif… Qui ? Le Dahus ? Nan mais faut lire un peu avant de poser des questions à la con… Bref, le fait qu’il la suive sans moufter –ou presque- jusqu’à l’auberge semble donner du crédit à la théorie d’une possibilité d’assentissement de sa part.
Quatre. Le mystère… Alors là pour du mystère mystérieux, il y a de quoi faire, le mystère ne plane pas, il vole comme une bande de canards sauvages.

Le pas est ferme et la volonté d’airain, la rousse ne lâche pas le morceau, elle l’emmène gaiement à l’abattoir, l’auberge est là, toute proche, à portée de main.
Hin hin des années à discutailler de l’étrillage, du brossage et autres et voilà que maintenant tout est en place pour qu’elle arrive à ses fins, enfin !

Que se passa-t-il après dans l’auberge, dans le baquet, qu’était-il advenu du pauvre savon noyé… nul ne sait et finalement quelle importance.
C'est là où se trouve le mystère.
Ce n'était qu'un jeu, sans une once de sérieux et les voilà piqués tous deux.





Réponse à l'arrache, les yeux pas en face des trous, je prie d'excuser les deux lecteurs et demi (je m'inclue dedans) pour cette pathétique sortie.
A la revoyure !

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