Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP fermé] Viens, puisque je ne te voudrai plus demain.

Enzo.blackney
    « Le mariage est la cause principale de divorce. »
    de Oscar Wilde

    - Paris, non loin de la Cours d’Appel

Il était partit.

Une évidence. Une direction opposée vers lequel il partait, frustré. Sans même Audoin, ni même le petit Ewen qu’il traînait un peu partout pour parfaire son éducation. Et surtout tenir bien la corde au coup pour que ce dernier prenne le chemin que Enzo voulait qu’il prenne. L’arme ultime. Le bouclier parfait. Un gamin des rues récupéré à des fins atroces, mais le Blackney déchu en avait cure. Il lui enseignerait tout ce qu’il sait. L’enverrai parfaire certaines notions chez d’autres au besoin, mais ce rouquin serait idéal. Fait à l’image qu’il aurait lui-même dessinée. Utilisé à des fins stratégiques. Mais ça n’avait pas d’importance. Pas maintenant tout du moins, et Enzo n’avait aucune envie de se trainé un gamin de 8 ans dans les pattes. Non, il était venu à Paris pour deux raisons. Les seules et uniques raisons. Quitter Gabrielle. Partir loin, et tenter de l’oublier un peu peut-être. L’esquiver et ne revenir que quand il aurait envie. Pour honoré le mariage peut-être. Il n’en savait rien. Même ça, il n’en avait plus envie à l’heure actuelle. Alors, dans un élan de colère il était parti pour la trouver ELLE. Cette « autre » comme aimait lui rappeler sa femme. Il savait a peu près oz la retrouver. Soit aux Dragons… peut-être bien à la succursale des Doigts d’Or à Paris ou même à la Cours d’Appel. Ou autour. Bref. Dans ses coins là.

Et Enzo il a commencé vers la Cours d’Appel. Le pas rapide, les sourcils froncé, les mains crispé, il est toujours en colère contre sa femme. Contre cette pointe rougeâtre qu’il a sur le torse par sa faute. Qui partira sans soucis, mais c’est le geste qui est offensant. Ce même si le jeune Seigneur n’est pas du genre à retenir les baffes sur sa femme quand il considère que celle-ci en a besoin. Mais il est l’homme. Il est le mari. Elle se doit de le respecter, et lui n’a aucune obligation envers elle. Mise à part ses devoirs dus au mariage. Elle devrait le savoir qu’il peut partir comme ça, sans donner de nouvelle et revenir seulement pour chauffer leur couche qu’elle donne au mariage la validité d’être fertile. Mais il paraissait que c’était déjà en route ça. Un soupir vint quitter les lèvres du jeune homme à cette pensée. Il ne fallait pas y penser. Ça pourrait adoucir sa colère, et ça n’était pas le but. Non. Il savait pertinemment ce qu’il voulait. Cette autre. Celle pour qui il n’avait aucun sentiment. Juste envie de violence. Une envie pulsionnelle. Le bordel aurait pu faire l’affaire, mais non. C’était elle qu’il voulait. Volontairement ? Peut-être un peu, par vengeance, par envie de s’envoyer en l’air et craché un peu sur sa femme contre qui il était en colère. Une connerie ? Certainement. De toute façon il était hors contrôle. Il avait rejeté Gabrielle, était allé se réfugier chez les Von Frayner pour être certain de ne rentrer chez lui et avait filé à Paris. Ni plus, ni moins. Sans aucune nouvelle. Elle ne le méritait pas. C’était aussi simple que ça dans la tête du Seigneur de Falmignoul. Alors que c’était sans doute le contraire. Mais peu importe.

Là, à l’instant il voulait se défouler. Apaiser son esprit torturé et son humeur colérique. Donc il cherchait, le pas énervé et rapide. Les sinoples cherchaient la blonde. Il savait qu’il la reconnaîtrait dans la foule. Un lien les retenait. Une liaison dangereuse. Un échange particulier. Il ne comprenait jamais très bien la nature de cette pulsion, cette envie incontrôlable d’elle. Il la haïssait. Ou pas. Rien n’était jamais sur. Mais ça n’avait pas d’importance. Sa femme derrière, il voulait voir cette blonde là. Et pourtant dieu seul sait qu’il déteste les blondes. Pourtant ce sont toujours elles qui se retrouvent dans son lit. Agacé, le jeune noble tourne les talons dans une rue adjacente à une ruelle sombre malgré la lumière du jour - Qui s’adoucit, car la journée semble s’achever – Où est-ce que la Stilton peut bien être ! Il n’avait aucune envie de se rendre aux Dragons. Et Encore moins à la succursale des Doigts d’or. La mâchoire se crispe, et une mèche rebelle est envoyée valser dans un geste rageur. Les cheveux en bataille, un barbe de quelques jours, en simple chemise et braies, qui même de qualité ne rappelait en aucun cas son statut de Seigneur et Grand escuyer, Enzo s’arrêta net. Était-ce elle ? Peut-être. C’est que sa vision n’allait pas assez loin. Mais imprudent et énervé, Enzo s’avance vers la silhouette. Si ça n’est pas elle, tant pis. Il la repoussera d’un geste agacé en marmonnant entre ses dents un « Je me suis trompé de personne ». Et continuerait de chercher. Encore et encore. Mais vite. Que ça se finisse. Qu’il épuise sa colère, qu’il se raconte des conneries sur l’amour, sur le fait que Gabrielle n’est qu’une insolente femme. Qu’il ne reviendrait jamais et qu’il s’en foutait de l’enfant qu’elle pouvait porter de lui. Ou pas de lui même ! Toute façon, leur histoire semblait être mené à l’échec. Et puis, il avait toujours ce goût amer envers la blonde. L’amertume de la dernière fois. Alors une grimace de mépris sur le visage, il arpentait autour de la Cours d’Appel. Espérant toujours que cette blonde ça soit elle.


- « Elisabeth…»

Il fallait que ça soit elle.
Qu’elle vienne.
Et vite.

_________________

Seigneur de Falmignoul
Elisabeth_stilton
C'était bien elle mais elle ne l'avait pas vu, elle allait de la Chancellerie au Dragon, passant près de la Cour d'Appel, elle travaillait et était plongé dans ses pensées. Elle pestait contre un incompétent qui avait sa place, elle pestait contre le Roy qui était un crétin fini, elle pestait contre la GMF qui n'avait pas non plus haute opinion chez la blonde. Bref, elle pestait contre beaucoup de monde.

Seulement elle sentit un regard sur elle. La chose n'était pas pour la rassurée, elle avait déjà connu ce genre de sensation et tout avait très mal fini. Elle se mit à craindre pour la sécurité de ses enfants. Et si quelqu'un s'en prenait à eux pour l'atteindre elle. Non cela elle ne pouvait le permettre. Elle pressa le pas pour se rendre à l'hôtel Arnvald plutôt que Volpone, vérifier si les enfants étaient avec Lucine et la nourrice.

Puis vint le mot, la voix puis la représentation de tout ce qui allait avec. Elle entendit son nom, se tourna et reconnu Enzo. Que faisait il ici ? Elle ne l'avait pas revu depuis leur rencontre à l'Atelier. Il n'était quand même pas monté du Languedoc pour elle ? Bien sur que si, il serait avec sa femme sinon. De nombreux sentiments se bousculaient dans son esprit. Elle fut prise de vertige, s'éloigna de la rue principale pour aller s'appuyer contre un mur dans une ruelle voisine.

Elle leva les yeux vers lui, elle n'aurait pas du croiser ce regard, cela finissait toujours mal. Malgré toute sa volonté, elle ne pu résister à l'envie de l'attirer vers elle. Heureusement qu'ils étaient en pleine rue, cela limitait les égarements. Elle avait juré fidélité à Gautier et elle voulait s'y tenir. Personne ne lui ferait rompre ses engagements même Enzo, bien qu'avec lui ça serait plus difficile. Une fois qu'elle avait repris maitrise d'elle même elle pu enfin aligner deux mots.


Enzo. Ravie de vous revoir.
_________________
Pour le mariage d'Eli, c'est reparti : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=13668718#13668718
Enzo.blackney
    « [...] Grab your gun
    Time to go to hell
    I'm no hero
    Guilty as charged [...] »

    Search & Destroy - Thirty second to mars.


Oh, oui. C'est toi. Elisabeth...

Un léger sourire narquois sur le visage du jeune homme. Un peu malsain même comme sourire. Il la fixe, la blonde qui semble chanceler, et encore plus de sourire. On dirait bien que je te fais de l’effet, petite blonde. – Enfin, pas si petite… - On dirait bien que je vais avoir ce que je recherche. Un petit rire se glisse entre les lèvres du jeune homme, tandis qu’il la voit s’éloigner vers la ruelle, sans un mot. Il la suit. Il ne va pas la laisser filer quand même. C’est qu’il n’est pas venu pour rien, et le jeune Seigneur ne compte pas repartir sans avoir son dû. Oui, dû. Elle l’a bien rejetée comme une défection aux Dragons. Et l’avait bien embarrassée devant sa femme à l’Atelier. La colère faisait bouillir le sang, et le jeune homme tenait mal en place. Il la regarde lorsqu’elle le regarde. Ni plus, ni moins. Oui, viens, Elisabeth. Ça ne sera pas comme la dernière fois. Je te laisserais pas me ridiculisé une seconde fois. Donne-moi ce que je veux. Apaise mes tourments et la colère, et barre-toi, ensuite. Tu succomberas. As-tu le choix d’ailleurs ? Te laisserais-je partir si tu me repoussais ? Bonne question, mais je m’en fiche. Tu ne me repousseras pas, n’est-ce pas ?

Alors Enzo la regarde, avec arrogance, et la laisse bien l’attirer vers elle, les sinoples dans le regard de la blonde, le sourire mesquin bien apparent. Légèrement provoquant. Sauf qu’il veut plus. Et maintenant. Elisabeth, ressens-tu mon besoin ? Ressens-tu ma colère ? Ressens-tu mon envie d’aller m’égarer entre vos cuisses pour calmer cette colère froide qui m’agite. Ressentez-vous un peu cette envie de me venger. De vous comme de ma femme, peut-être. Oh, vous allez peut-être pensez que je viens vous voir parce qu’elle ne sait pas bien me donner ce que je veux, ma femme. Mais je m’en fiche, parce que moi je viens juste pour calmer mes colères et mes pulsions. Je ne veux plus de Gabrielle. Plus maintenant. Pas après ce qu’elle a fait. Alors, oui. Viens. Donne-toi à moi. Je te le rendrais peut-être. Pour l’instant je veux oublier, et calmer mes angoisses et ma colère. Alors viens et ferme-là.


- « Fermez-là. »

Et Enzo de se plaquer durement contre Elisabeth et prendre ses lèvres d’assaut dans un léger grognement, une main allant attraper un des poignets de la blonde qu’il plaque aussi au mur. Dans cette ruelle. Il s’en fiche bien. Il la veut. Rapidement. Ressens-tu ma violence dans se baiser ? Ce baiser que je vous offre avec un peu de force et de brutalité. Goûte-le et répond-y. Nous savons tout les deux que tu ne tiendras pas. Soit ma catin, ma maitresse… peu m’importe au final. Viens, Elisabeth. Retournons dans notre enfer, ensemble. Ici ou ailleurs, je m’en contre fiche, mais damne-toi pour moi. Maintenant ! Et Enzo de plaquer une main sur la cuisse de la blonde, une envie pressante de la prendre, les braies déjà bien gonflé. Pas le temps d’attendre !

- « Très ravie de vous revoir aussi...Elisabeth. Alors... on me fuit ? »


La main sur la cuisse - à travers le vêtement - de se serrer les chairs avec empressement. Léger rire sortant de la gorge du Seigneur de Falmignoul. Indécent. Totalement. Mais il s'en fiche. Littéralement. Tout ce qui compte maintenant c'est d'assouvir son désir, et d'oublier cette satanée dispute, cette histoire qui explique sa présence ici !

Trad.Saisis ton arme à feu
Il est temps d'aller en enfer
Je ne suis pas un héro
Coupable comme chargé

_________________

Seigneur de Falmignoul
Elisabeth_stilton
Elle est hypnotisée par son regard. Le chasseur a ferré sa proie ... du moins pour le moment. Elle n'arrive pas à partir, elle sait qu'elle devrait, le danger la guettait à chaque seconde passée en la compagnie d'Enzo. Elle ne bouge pas attendant qu'il vienne à elle. Elle voulait qu'il vienne pour assouvir ce besoin qu'elle avait de lui, de ses gestes, de sa passion. Elle était en train de tomber dans les filets de ce regard provoquant et tellement enivrant. Elle sait qu'elle ne devait pas et surtout elle ne voulait pas mais la volonté était plus faible que ce qui liait les deux amants. Elle allait s'approcher de lui quand ses paroles firent comme une douche froide.

Vous allez me parlez sur un autre ton !

A peine eut - elle le temps de finir sa phrase qu'il l'embrassait fougueusement, la planquant entre elle et le mur de la ruelle. Ils pouvaient encore être visible de la rue mais elle s'en moquait, elle savoura le baiser et surtout la façon dont il fut donné. Elle en aurait bien redemandé mais elle ne voulait pas trahir ses vœux. Alors elle le repoussa un peu prenant son souffle tandis qu'il se collait à elle, lui montrant bien l'impétuosité de son envie. Elle le regarda gourmande avant de se fâcher contre elle même. Bientôt elle aurait Gautier dans son lit, elle n'avait plus très longtemps à attendre. Elle prit sur elle et plongea son regard dans celui d'Enzo.


Non. Je suis mariée maintenant. Trouvez en une autre.
_________________
Pour le mariage d'Eli, c'est reparti : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=13668718#13668718
Enzo.blackney
Ricanement. Lui parler sur un autre ton. Certainement qu’il allait prendre un ton mielleux – avec son accent rocailleux gascon – avec Elisabeth. C’était totalement le genre du jeune homme, il l’amènerait dîner ensuite, avant de lui proposer sa chambre d’auberge. Ils passeraient une nuit fougueuse comme deux torrides amants qui n’attendait que ça. La distance, le secret et le partage d’une passion dans une chambre à coucher. Alors oui, il ricane le jeune homme, parce que définitivement, il ne changera pas de ton. Ils n’étaient pas aux Dragons ici. Il n’y avait plus ce problème de hiérarchie. Ici, dans cette ruelle – malgré quelques gens qui pouvaient les voir potentiellement – ils étaient seuls. Lui, et elle. L’homme et la femme. Point final. Il n’avait aucune obligation de respect, dans cette ruelle. Tout du moins dans la tête du jeune homme. Alors il rit à gorge déployée. Un rire méprisant, un rire froid et distant. Il l’embrasserait bien de nouveau pour faire passer cette phrase qu’elle lui a dis. Lui montrer que c’est lui qui décide sauf que...

Sauf que quoi ? Qu’est-ce qu’elle venait de lui dire la Stilton ? Le jeune homme fronça un peu les sourcils, ne se détachant pas du tout de la blonde. S’en trouver une autre ? Oh, c’est que s’il voudrait il pourrait en avoir d’autres. Qui accepterait ses violences, peut-être pas, mais au pire contre quelques écus, certaines acceptent n’importe quoi. Une grimace d’apparaître sur le visage du jeune Seigneur. Suivit d’un soupire et d’un sourire narquois. C’est que ça vite dans la tête du jeune homme. La main toujours sur la cuisse de la blonde descend et remonte, avant de la relever, juste un peu. C’est que le jeune homme n’est pas sur qu’elle veuille vraiment qu’elle parte. Il sait comment elle a répondu à son baiser. Il ressent cet étrange besoin qui les lie, tout les deux. Ce quelque chose qu’Enzo ne comprends pas et qu’il évite de penser. Car il ne l’aime pas la Blonde, et ne la veux pas vraiment, Elle. Juste… ce besoin. La langue va claqué contre son palais, et Enzo se narguer du regard Elisabeth.

- « Je suis aussi marié, que je sache… »

Légère pensée envers Gabrielle. Légère réticence d’un coup aussi. Il était frustré contre elle. À en trembler la nuit. À en faire revenir ses démons. À en avoir les yeux trop sombres. À rechercher un apaisement expresse. À en boire des tisanes dégueulasses qui n’aident pas du tout. C’était con de faire ça. Il le savait, quelque part dans le fond de lui… mais cet autre lui. Cette part décadente prenait le dessus et venait effacé tout ses remords. Qui reviendrait une fois le fait accomplit. Regardant toujours la blonde.

- « Comme ça on est stricte sur les devoirs du mariage…»

Léger rire, alors qu’il se colle un peu plus encore. Je ne te donne pas envie là, Stilton ? N’as-tu pas envie d’un peu plus ? Et la main de faire remonter un peu plus la jambe, Et Enzo d’aller respirer dans le cou de la blonde. Souffle impérieux. Sourire mesquin, cheveux qui tombent devant les yeux. Je t’écoute, Stilton. Répète-moi ton non avec ton corps. Repousse-moi avec tes petits poings. Montre-moi que tu ne veux pas de moi. Fait-le. Tu en serais pas capable, n’est-ce pas ? J’en doute tout du moins. Moi je sens juste ce sang qui bouille en moi. Ce combat dans ma tête, et cette envie dominante qui me fait me tortiller. J’aurais presque envie d’oublier votre refus et de vous violer. Juste pour mon bon plaisir. Juste pour faire taire ce hurlement incessant dans mon crâne et cette douleur dans le ventre. Sans parler de cette angoisse qui m’habite. Dis-moi donc avec ton corps, Stilton ! Sauf que c’est moi qui se détache de toi. Je te ramène sur moi, quelques secondes. Le temps d’un baiser violent, avant de te repousser sur le mur, méprisant. À mon tour de te jeter. Tu ne veux pas de moi. Tant pis. Je souris, narquois, passant une main dans mes cheveux, et je te toise pendant que je recule d’un pas.

- « Parfait Stilton. Il y a des cuisses bien plus accueillantes que les vostres. Allez simuler des soupires avec vostre mari. »

Petit rire, avant de tourner les talons avec la ferme intention de s’en aller. Frustrer. Il ira boire, défoncer des mecs, boire encore. Jouer. Se bagarrer encore. Et s’il n’est pas trop ivre, y’aura bien une catin pour venir le libérer un peu. Un crachat au sol. Un. Geste de mépris envers la blonde. Qu’elle reste là.

- « Oui, allez donc décevoir vostre mari avec vos piètres performances… Sale garce


Et dernière pique. Dernière.Et pas d'Occitan cette fois...
_________________

Seigneur de Falmignoul
Elisabeth_stilton
Punaise la tentation est rude, il joue avec ses nerfs le normand. Puis prendre un normand pour amant et en plus un Blackney fallait le faire ... T'aurais pu mieux choisir la blonde ! Et voilà qu'il continue ses caresses la faisant frissonner et tendre vers une acceptation de ce moment qu'elle aimera, forcément puisqu'ils se complètent. Puis il se moque, il la nargue, il est odieux, il est irrésistible ! Et il s'impose à elle. Décidément il était trop dangereux cet homme. Elisabeth pestait contre elle même quand elle se rendit compte qu'elle n'avait qu'une envie ... et pas la plus aristotélicienne du monde, loin de là, à moins qu'on considère le partage et l'amitié comme un acte sexuel, ce dont elle doute. Ah son souffle, elle l'aurait presque embrassé et raillé pour le pousser un peu à bout et voir ce qu'il pouvait lui faire seulement ...

C'est le revirement, après un baiser il la rejette, il insulte son mari et surtout elle. Elle sait qu'il ne sera satisfait qu'avec elle et ce refus, cette façon de faire l'énerve la blonde. Il ne fallait pas, c'était la chose à faire pour qu'elle lâche prise et qu'elle tombe tout droit dans les bras du Blackney. Sauf que cela ne se fait pas tout seul non plus hein, c'est un long processus qui les mènes l'un vers l'autre alors qu'aucun des deux n'en a réellement envie. Ils ont juste besoin d'assouvir une passion commune. Certes mais elle n'allait pas le laisser les insulter comme ça. Toujours à sa place dans la ruelle, les poids sur les hanches, le regard furieux, elle lui lance.


Hey Blackney ! Laissez mon mari en dehors de cela. Après tout qui est venu ici ? Ce n'est pas moi qui abandonne mon époux pour aller gémir dans les bras d'un autre. C'est loin le Languedoc, il en faut de la motivation pour venir voir une garce.

La blonde est sur d'elle, elle le toise. Elle est hautaine, détestable comme elle sait si bien le faire. Le but est de le rabaisser pour qu'il comprenne qu'elle ne se laissera pas faire par un petit seigneur en mal de sensation. La blonde a appris de Tibère sur la perversité de l'espèce humaine, elle n'a pas tout prit de lui mais dans certains cas son mentor et amour fait ressortir ces traits de caractère en elle.

Quand à mes piètres performance ...


Son regard est plein de défit et sa voix est suave.


Vous n'avez pas toujours dit cela ... je me souviens de vos soupirs et de vos gémissements dans mon bureau ... De toute façon vous seriez incapable de me donner du plaisir alors autant aller voir une passeuse.
_________________
Pour le mariage d'Eli, c'est reparti : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=13668718#13668718
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2025
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)