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[RP sur Invitation] Fashion Week - Jour 1

Eilinn_melani
Hiiiiiiiiiiiii here comes the bestaaaaaa !

Eilinn qui rougit, Eilinn qui tortille ses mains aux propos de la Durée ! On lui faisait régulièrement des compliments, mais il était toujours aussi difficile pour l'officier royal de les accepter. Les yeux plein d'étoiles à parler avec un de ses mentors, l'enthousiasme se fit encore plus manifeste lorsque la Durée évoqua une surprise.


Une surprise ! Oh mais je vous assure que j'ai été des plus sages ! Dites moi ! Dites moi !

A 14 printemps, difficile de réfréner son enthousiasme, même si le vernis de l'éducation est solide. Pour compléter ce tableau digne d'une série comme "les Anges du Bonheur", sa meilleure amie arriva enfin. Non, Eilinn réfréna ce petit glapissement de joie qui aurait quand même fait tâche au milieu de cette noble assemblée, et après une caresse pour Carlita, Eilinn se saisit des mains de Jehanne Elissa, décidément c'était la journée. Les présentations furent faites.

Oh Jehanne Elissa ! Laisse moi te présenter Ella Durée ! La célèbre patissière qui fait ces macarons si délicieux !

Maitre, je vous présente ma meilleure amie, Jehanne Elissa !

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Vicomtesse d'Avize, Premier Maitre d'Hotel de Sa Majesté.
Zoyah
[Arrivée au bras de monsieur Bleu (Icyblue)...]


Après avoir fait moult recommandations à ses proches, une liste longue comme le bras de consignes à son personnel, sermonné comme il convenait son turbulent filleul, la Baronne avait enfin daigné prendre place dans la litière qui la mènerait, le vicomte de Meillant & Jussy-Champagne et elle, à Paris.

Le dilemme de la jeune brune avait consisté à choisir entre une chambrière et une malle à chapeaux. L’attelage du vicomte avait beau pouvoir supporter de lourdes charges, il était impossible de caser toute la smala de la Baronne dans un seul véhicule. Et comme il avait décidé qu’ils voyageraient le plus léger possible...il fallut donc faire des choix Bustiers ou valet ..jupons ou livres d'université...cotte ou nécessaire d'écriture...et ce fut la malle à chapeau qui l’emporta sur la chambrière. Les jours qui allaient suivre étant dédié aux froufrous et autres frivolités, la brunette voulait être dans le ton.


Le voyage lui avait semblé long, même si la présence de son suzerain le rendait moins monotone. Ils parlèrent un peu politique, mais surtout de leurs terres respectives. Ils étaient arrivés la veille afin de prendre possession de leur chambre d’auberge...coquette...éloigné de l'empuantissement du centre de la Capitale et avec vue sur la Seine. Un repos bien mérité afin de se défaire de la fatigue du voyage. Et le lendemain, revêtue d’une robe de soie immaculée et bleutée, sa cascade d’ébène maintenue sous une résille d’or et d’argent, la Baronne parue au bras du vicomte de Meillant.




A peine avaient-ils esquissé quelques pas dans les jardins, que la Casteroussine tira brusquement sur le bras de son compère. Icy...je crois que nous nous sommes trompés...regarde tous ces gardes armées jusqu’aux dents...nous sommes peut-être dans la cour d’une sorte de caserne de luxe...petit nez mutin qui semble fureter et moue dubitative du vicomte...ou bien ils font des manœuvres ?...interrogea la Berrichonne qui était quasi abasourdie par les moyens sécuritaires déployés. Elle n'avait jamais rien vu de tel, même pour le Duc de Berry. Mais quelques jolies dames et coquets messires se dirigeant vers ce qui semblait être le lieu du rendez-vous, la détrompèrent.

Oh...non...c’est bien là...je me disais aussi, c’est bigrement bien décoré pour une garnison...affligée par son propre manque de réflexions.

Zoyah était littéralement soufflée par ce qu’elle voyait...les jardins, le nombre impressionnant de gardes, les riches toilettes des dames....le pire était à venir.


Accrochée au bras d’Icy, elle s’approchait de l’entrée et fini par le libérer pour laisser le vicomte les annoncer à au GO de la Garden Party, tandis qu’elle ne finissait pas de se perdre en contemplation. La truffe en l’air, Zoyah en prenait pleins les mirettes et chacune des expressions qui se dessinaient sur son minois aurait pu aisément se traduire par « Rhooooooooooo c’est crô bô toussa...j’veux les même à la maison ». Soudain...un choc sourd, une sensation d’écraser quelque chose – un pied en l’occurrence- et un grognement.


Oups...

Au même moment le mot « invitation » fuse du côté d’Icy. Comme un déclic, elle chercha la sienne ayant oublié que son compagnon l’avait en main, afin de la présenter à .la personne dont elle venait de broyer les orteils. Elle tomba alors nez à nez avec …

??!!??

Un ceinturon ?
Les azurs s’écarquillent, la bouche pleine et veloutée forme un ovale parfait avant d’échapper un petit « Oh » de surprise. Le regard céruléen de la Baronne remonte pour tomber sur un abdomen, puis de puissants pectoraux...m’enfin voilà qu’elle est encore obligé de pencher la tête en arrière pour apercevoir de robustes épaules surmontées d’un coup de taureau dont une des veines palpitait dangereusement. Elle lève encore un peu plus le nez et aperçoit enfin une toute petite, petite, petite tête. Sa première réflexion fut de se demander si la caboche du bonhomme lui paraissait si minuscule du fait qu’elle n’était pas bien grande elle-même et lui presque gigantesque ou bien si c’était une tare de naissance. L’œil bovin et l’expression dénuée de sentiment qu’il affichait l’incita à opter pour la seconde solution. Courageuse – et encore – mais pas téméraire la Baronne se replaça bien vite aux côtés du vicomte qui tenait leurs deux invitations en main. Ouf...

L’accueil est au moins aussi charmant que le molosse d’à côté est avenant. D'après ce qu'elle avait compris, ils allaient devoir se placer dans un angle et comme les choses étaient bien organisées, il y avait des placeurs.

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Envie de RP ? Arda Para Subire
--Ella_duree


Droite, gauche. Droite, gauche ! GARDE A.. côté de vous.. Elle sursaute presque quand la gosse rose les rejoint et se lance dans une explication en règle du Manger un macaron Noblement. Alors, elle rejoint sans tarder Eilinn pour la faire languir plus encore de sa surprise, un sourire encore étalé sur les lèvres de repenser aux enfantillages de la jeune vicomtesse, quand une autre tête glissa dans les coulisses. Rousse, celle-ci et qui parle, et qu'elle a déjà aperçue aux galeries, alors elle garde le silence en souriant, mystérieuse.

Ella Durée, enchantée mignonne.

Elle n'est pas froide, bien sur qu'elle n'est pas froide, elle sourit maternellement comme à l'accoutumée, écoutant gentiment le discours d'Eilinn.

Vous êtes donc la meilleure amie de cette jeune fille ? Votre amie est une perle, j'espère que vous en avez conscience, mais je ne vous retarde pas plus, vous devez avoir hâte d'assister au début des festivités, allez filez donc, et amusez vous bien.

Un clin d'oeil à Eilinn, pense à la surprise et déjà, elle rejoint la Meyre et Attia en chantonnant.
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Ana.lise
[Départ de Troyes au petit matin]

L’aube qui pointait à peine son nez annonçait une journée riche en évènement. Ana.Lise avait été invitée à la semaine de la mode qui se tenait dans les jardins du Louvre à Paris. Rien que le nom en lui-même l’avait quelque peu saisi lorsqu’elle avait pris connaissance de l’invitation, bien peu habituée à se montrer dans ce genre de lieu et puis l’évènement en lui-même l’avait ravi. Jeune maman récemment accouché elle tenait à faire quelques achats afin de renouveler sa garde-robe qu’elle trouvait défraichit depuis quelques semaines et ce voyage tombait à point nommé. L’occasion idéale de faire aussi un voyage magnifique en compagnie de son époux loin de leurs petits tracas habituels. Le temps d’embarquer une nourrice pour le petit Sigebert dont Ana ne se séparait que rarement et là, une semaine sans son fils il ne fallait pas y compter, cela l’aurait mis au supplice qu’elle s’en serait rendue malade et tout le monde se retrouvait sur les routes chaotiques qui conduisaient à Paris.


[Paris]

Arrivée tardivement, ils cherchèrent une auberge afin de poser leurs bagages pour la durée de l’évènement. Ils n’allaient quand même pas se présenter dans un état de lassitude avancée et portant habits froissés devant tout un parterre de grands noms. Et puis la nuit portait conseil et laissait libre cour à la rêverie.


[Louvre – Les jardins ]


Voilà ça y était. Le grand jour tant attendu était arrivé et une Ana.Lise toute guillerette menait sa petite famille d’une main de maitre. Après avoir donné ses instructions à la nourrice, il était temps de se rendre au Louvre où les gens commenceraient à affluer et elle ne s’était pas trompée la brunette, beaucoup de monde et surtout que des inconnus. Décidément, elle se sentait guère à sa place mais heureusement la force tranquille que son époux dégagé à ses côtés la rassurait et lui permettait d’avancer fièrement. Il était temps de se présenter afin d’accéder à leur place pour le premier défilé et d’une voix claire, la jeune femme annonça.

Bonjour, Ana.Lise di Favara d’izard, accompagné de son époux, Ghost d'Izard, duchesse et duc de Sedan. Voici l'invitation.
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--Titi_pierre


En un mot comme en cent, il savait ce qu'on en attendait de lui, alors à tous les arrivants, il offre un regard bovin et une grimace ressemblant de très loin à un sourire, comme ceux de sa maîtresse. De temps en temps, un grommelant quand ça ne va pas assez vite.


'vitation.. Groumpf..

Et surtout là, à celle-là en bleu qui vient de lui chatouiller les orteils.


Groumpf.


Parce qu'il le vaut bien.
Calyce.
Ce qui y a de bien avec les copines, c'est que ça te fait oublier que tu paniques. Et jusqu'à ce que l'Etoile- modèle-taille-adulte interpelle le modèle réduit, Calyce bah elle est en panique. Mais genre une panique paniquée avec les genoux qui jouent des castagnettes, le vertige, l'envie de se carapater fissah histoire de trouver un trou où elle pourrait faire la morte le temps que durera l'événement et cie...
Pis hop, tous ces symptômes "paniquesques" s'envolent à la simple-pas si simple que ça en fait- vue de la mioche Valfrey prête à passer dans les mains de la Rosy-Fée. D'abord dans la tête de Calyce ça fait un truc genre ça : « l'a pété un câble ? » en passant par " Boarf. C'sera pas pire qu'avec la mère et on l'entendra p'têt moins brailler » et pour finir par : «'tain j'mangerai bien un macaron, moâ".

Un large sourire en pinçant les deux joues rebondies du bébé-futur-poupon-vivant, l'en jalouserait presque la petite Yoyo.


Faut juste faire attention à pas la tenir par les pieds, j'ai essayé ...
Regard en coin vers la mère du truc, pas le moment de se fâcher avec...hum c'est pas bien.

Ça c'est fait, elle peut re-paniquer tranquille. " Mais pourquoi j'passe le premier jour, d'abord ? Imagine que les coutures elles craquent pis que les mannequins se retrouvent cul nu sur l'estrade, hein ? Imagine il pleut ?! La cheffe l'a p'têt raison : On va ptêt tous mourir. Nan c'est certain, on va tous mourir !... 'tain je mangerai bien un macaron, moi "

Tout va bien, Elle va bien.

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Viens chercher bonheur DTC
Keridil
Évidemment, looongtemps avant, au tout début de la fête, le brun avait répondu avec toute la sincérité du monde à Fabien, plutôt content de le croiser ailleurs que sur le terrain miné qu'était celui d'une Ambassade.

Puis pendant qu'on en est à parler diplomatie, l'Ambassadeur Honoris Causa auto-proclamé d'Orléans, parce qu'il veut pas qu'on cesse de l'appeler Excellence, salue comme il se doit sa collègue et non moins amie Akane, par une révérence et un baise main.

Excellence, c'est un plaisir que de vous revoir. Mais vous n'êtes point accompagnée de mon cousin ? J'espère le voir également.
Bonne semaine, votre Grâce. Ah au juste ! Vous êtes placée rangée II, tout devant.


Et après le défilé des vicomtes de la matinée, c'était au tour des Grâces de débarquer, à croire qu'on s'était donné des horaires selon les titres.
Ainsi, sourire aux lèvres de circonstance, l'Amahir s'inclina devant l'ancien Duc de Champagne et son épouse.


Vos Grâces, c'est un plaisir de vous accueillir en ces lieux, et avec l'espoir que vous passiez un agréable moment. Vous pourrez vous installer à la rangée numéro Deux, et en cas de doute, nous avons de jeunes placeurs çà et là.

Une courbette de plus, et le pied Keridilien se met à tâter le sol en attendant sa boisson. Il sent déjà l'odeur des macarons qui émanent de derrière le rideau géant des coulisses. Foutue imagination !
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Bee.zee
Tout ça aurait finalement pu être une journée complètement normale. Après tout, elle débutait par le fait le moins original du monde, Bee était en retard. Mais entre briller par son absence quand il s’agissait d’assister à un repas n’était pas précisément la même chose que de l’être lors de LA semaine de la mode, surtout lorsque l’on a une Attia complètement angoissée qui attend dans les coulisses. La délégation lectouroise avait pourtant été plus que ponctuelle, mais l’Abeille avait laissé trainer son regard sur ses jardins magnifiques, qui appelaient à se détendre en de longues promenades, à reposer l’esprit, et qui auraient pu parvenir à lui faire oublier que dans une poignée d’heures, elle présentait ses modèles. Ils auraient pu, si une angoisse sourde ne la tiraillait pas. Dans la catégorie complètement inverse, on avait le modèle Attia. Ce qui se faisait visiblement de mieux dans l’option l’angoisse sonore. Ce que la blonde put très vite constater, une fois la porte des artistes franchie.

Je suis là, pas de panique ! Je commence à préparer mes mannequins ?

Après avoir glissé à Cloé un « Tu as vu le colosse qui garde l’entrée ? » on ne peut plus septique, elle s’affaira à sortir ses robes de la malle, dans une partition de tissus, de froufrou et de fourrures, et…de regards alarmés. Les robes, check. L’angoisse, check. Une Abeille qui s’affaire dans tous les sens, check. Cloé, check. Lanceline,…. !
Et Bee de se retourner, livide, cherchant sa filleule du regard, cherchant Cloé.


Elle est passée où ?! Personne ne l’a vue ? Cloé ? Elle ne t’a pas suivie quand tu es rentrée ?

Un "Madre mia...." désespéré franchit les lèvres de la couturière qui tentait tant bien que mal de conserver son sang froid et d’inspirer de grandes bouffées d’air pour ne pas terminer complètement blafarde et paniquée. La réaction instinctive de Bee fut de chercher quelque chose à faire pour s’occuper. S’occuper les mains, s’occuper l’esprit, éviter le regard furibond de Maistre Des Juli...
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Ariadne
Le samedi – Limoges – Dans la matinée

Annaaaaaaaaaaa ! Tu es prête ? Tu as bien ton invitation hein ?

N’attend pas de réponse de sa belle sœur qui est de l’autre coté du couloir. S’adressant à sa cadette…

Kilya ! Tu as bien envoyé un page chercher Seleina ? Pourquoi n’est-elle pas encore arrivée ?

Misère, elle n’allait pas souvent à ce genre de manifestation, mais elle avait envie de se détendre, de se changer les idées. Antonia aussi en avait besoin, Leina aussi probablement après les derniers évènements du mois écoulé, et quelle meilleure idée que la semaine de la mode des doigts d’or ? Cinq jours complets à ne rien faire sinon admirer de jolies robes, envisager quelques achats pour elle-même et les enfants ? Puis s’adresse à la jeunette qu’elle a pris comme chambrière.

Lison, tu as bien mis les robes que je t’ai désignées dans la malle ? A-t-elle été chargée sur le coche ?

Idem, n’attend pas de réponse, les questions sont juste destinées à calmer la rosebonblonde comme chaque fois qu’elle prépare une chose qu’elle estime importante. Elle savait pertinemment que tout était en ordre et que la brune l’attendait probablement dans le salon. Dernière vérification, elle a bien son invitation. Dans un crissement de froufrous elle se rend au salon et y trouve, comme de bien entendu, sa vassale et amie qui l’attend, fin prête !

Dimanche matin – Paris – Une auberge.

Aïeee ! Saperlotte ! Mais fais attention ! Où est ma poudre de rose ? Diverses autres questions et interjections plus tard, Lison avait fini de coiffer et habiller la vicomtesse râleuse, peu habituée aux fanfreluches tant elle appréciait ça. L’avait de qui tenir la « mini-maxi rosebonblonde junior » ! Enfin toujours est-il que c’est, parée et fardée comme il se doit, qu’Ariadne rejoint ses deux comparses de mode. Et de se rendre aux portes des jardins pour ce premier jour de festivité. Une fois sur place, se présente, carton enluminé en main, bien visible :


Bonjour, Antoinette Diane de Tartasse Mirabeau de la Rotonde, Vicomtesse d’Ayen. Et voici Seleina Romans, Dame de Varetz, ma vassale que j’ai conviée à m’accompagner à ces festivités.

Désigne la brune à sa gauche puis la blonde à sa droite.

Et voici, la Vicomtesse de Chambéret, Antonia de Rocheclaire
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Lanceline, incarné par Cl0e
[Quelques jours avant la FW…]


Quoi ?


Elle regarde Bee lui demander d’être son mannequin.


Heu… Je…


Elle ne sait pas, elle hésite. Pèse le pour et le contre.


Avec plaisir !
C’est pas tous les jours qu’on peut assister à ce genre d’évènements…


Dans quoi s’est-elle embarquée ?



[Le jour J]


Cloé et Bee l’avaient entraînée jusqu’au lieu dit. Toutes les trois avaient parlé de l’évènement durant le trajet.
La Blonde ressentait une angoisse qui l’étreignait. Elle ! Mannequin ! Devant tous ce monde ! Le gratin de la noblesse… Pas de faux pas, ou elle s’en mordrait les doigts.


Je suis là, je suis là ! Je ... euh ... regardais.

Oui, elle regardait tout le gratin de la haute noblesse. Oh l'angoisse.
François85
Le baron de Meslay-le-Vidame avait reçu il y a quelques temps une invitation ,pour la Fashion week de la part de son ami Keridil. Il avait hésité longtemps à venir car lui et la mode, ça faisait deux.
Mais après en avoir discuter avec sa compagne , que ça intéressait, il s’était donc dit qu’un petit tour à Paris et plus précisément au Louvre ne pouvait que le détendre un peu.
Et puis, cela ferait le bonheur de Ju qui en tant que couturière , aimait à contempler les créations des autres. Lui préférait les joutes mais, chacun son truc. Il en fallait pour tous.
Mais bien au delà d’un simple défilé, cela serait l’occasion pour lui de prendre l’air, de faire des rencontres ou autre.

Pour l’occasion, Ju avait sortie de belles tenues confectionnées par une de ses amie, Kalo . Elle les gardait pour un grande occasion. Ce défilé en était une puisqu’il y avait fort longtemps qu’il n’était pas aller à un évènnement ensemble.




Carton d’invitation en main, le baron de Meslay-le-Vidame se présenta donc à l’entrée .
Keridil y accueillait les divers invités et bien qu’il le connaissait, il se présenta . Pour la forme dirons nous.


Bonjour excellence Keridil. Bien que l’on se connaisse bien, je vais me présenter pour respecter un minimum le protocole.
François d’Elbée, Baron de Meslay-le-Vidame , accompagnée de Jmorelle, dame de Selle en Hermois.


Le fait de se présenter face à son ami le fit sourire. Ils savaient bien tous trois qui ils étaient mais, le protocole, c’est le protocole.
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Cl0e
L'Abeille était de retour de son petit tour, Lanceline avait finit d'observer discrètement les premiers arrivés. Enfin, elles pouvaient se préparer, revêtir les créations de sa filleule, se coiffer, tout ça. Et ...
Chiara s'agitait dans ses bras, se tortillait pour attraper toutes ces petites choses colorées, faire comme les grandes. Tant et si bien qu'elle peinait à la tenir immobile. Soupirant devant tant d'énergie à dépenser, elle la déposa au sol pour la laisser trotter à son goût, et, lorsqu'elle releva les yeux, elle remarqua Estrella qui confiait sa progéniture à une petite demoiselle enrobée de rose, telle un bonbon dans sa papillote. Oh, la bonne idée ! Elle reprit la descendance dans ses bras, et s'approcha de la fillette et de la Dame.


- Je peux te confier ma fille aussi, s'il te plaît ? Je dois me préparer pour défiler, et je ne pourrais pas avec cette mignonne petite bouille dans mes bras. Elle s'appelle Chiara Cesira Nora. Appelles-là comme tu veux, elle se reconnaîtra. Ou petite perle, comme tu préfères. Elle est sage en général, mais fais attention, elle adore tout ce qui brille et qui est coloré. Tu y feras attention, hein ?

Elle déposa sa fille devant Yolanda, et la petite s'agrippa à elle, les yeux ronds, émerveillée de voir autant de rose sur une seule et même personne. Sûr que ça lui changeait des nuances de bleu, de turquoise de ses mère et sœur. Un sourire ne tarda pas à illuminer son visage, et sa main se tendit vers les cheveux de la fillette. Elle était sauvée, sa gardienne aussi était blonde. Tout irait bien.
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Ghost60
[Troyes]

Le récent maire de la ville confiait quelques directives à ses conseillers afin de pouvoir s'absenter pour Paris sans tracas. Un dernier tour dans les bureaux avant de rejoindre sa chambre prévu pour ce mois entier dans cette ville qui n'est pas la sienne.

Le soleil n'a même pas encore pris le temps de se levé que le duc était déjà près, la voiture aux couleurs de Sedan était stationné la dans la rue principale. Le couple emprunta l'escalier afin de rejoindre ce véhicule spécialement demandé pour rejoindre la capitale.


[Paris puis le Louvre]

Le carrosse approchait du lieu où devait séjourner le couple ducal pendant cette semaine événementielle . Le cocher fit arrêter la voiture devant une auberge qui semblait bien entretenue, ils allaient enfin pouvoir allez se reposer.

Après une bonne nuit de repos, le duc était fin près à profiter du spectacle donné dans les jardins du Louvre. Tenue d'apparat fin prête. Les voici en direction du Louvre.
Ana venait de les présenté, puis Keridil venait les acceuillir et leur dire où s'installer.

Excellence , le plaisir est partagé . Ah, vous avez les salutations de petit mesnil... enfin Lylla

Le duc emmena son épouse aux places indiqués
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Elianor_de_vergy
Tandis qu'elle franchissait l'imposant barrage d'entrée, la poupée se dit que le Sévère portait décidément fort bien son nom, à voir la mine compassée qu'il offrait aux regards. Mine que la dauphine était d'ailleurs peu accoutumée à voir. D'ordinaire, la vision de sa frimousse couronnée d'une masse indisciplinée de boucles blondes suffisait à arracher au moins un sourire à ses interlocuteurs. Bon, sauf à son mari, bien sûr, à qui ça filait plutôt de l'urticaire. Mais lui, c'était un cas à part.

Elle n'eut guère le temps de s'appesantir sur le sujet: la retentissante introduction du maître de cérémonies la rappela bien vite à ses devoirs mondains. La quintefeuille ressentit d'ailleurs un petit picotement de vanité satisfaite en s'entendant ainsi annoncer. Oui, l'orgueil est un vilain péché, elle s'en confesserait. Mais plus tard.... Pour l'instant, l'heure était aux festivités, aux froufrous, aux réjouissances, bref à la futilité la plus totale!

C'est donc passablement euphorique que la poupée décocha un aimable sourire au MC.


Le bon jour messire, et félicitations pour l'organisation. Où prendrais-je place en attendant l'ouverture des défilés?
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Naelhy
Le problème dans ce genre d'assemblée c'est qu'on était toujours pressé. La Tartine, au corps sublime si on aime pas trop les seins, parfait pour être mannequin en somme, abandonnée par la boule rose qu'elle est censée éduquer niveau orthographique, s'était réfugiée, toute chamboulée par l'affront dans un coin qui ressemblait plus ou moins aux latrines.

« Faggot... »

Oui, traiter de tarlouze sa pipe à opium n'était pas une idée fort lumineuse. Elle approchait faisait danser l'aiguille dans l'air, entendant les gens s'activer au alentours, craignant pour son trip futur au vu du peu de temps qu'il lui reste.

Stressant.
Terriblement stressant.
Si on peut même plus se droguer tranquillement.

Et la Tartine peste. Se lève sans avoir pu finir la boulette. Une blonde sobre c'est rarement de très bon poil. Pas qu'elle n'aime pas les défilés! Non vraiment, elle adore se mêler au gratin parisien surtout si il est noble, riche et de préférence masculin -surtout si il est masculin enfaite.

Un placeur vient alors à la placer. Et la réalité fût tout de même bien plus acceptable. Le rang IV! C'était loin de la boule rose, et si celle-ci faisait une crise d'épilepsie en plein défilé hein? Et si d'un coup d'un seul elle voulait savoir la définition du mot robe? -Non. Vous avez raison. La blonde pouvait être tranquille de se côté. Si seulement le nihilisme avait été si simple à expliquer!

Rang IV. Fallait vraiment qu'elle se trouve un mari titré.

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Dieu dit « Que la lumière soit » & Naelhy fût.
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