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[RP sur Invitation] Fashion Week - Jour 1

Neyco
Nom d'un biscuit fallait être placer, ah misère Keri qui place?

Euh on fait quoi mode galère vu sa taille de nain elle ne verrai rien comment faire bon autant demander.

Attendant poliment que les personnes avant elle soient placés, une explications de léchouille de macarons, petit souvenir de son premier macaron étant enfant.

Bonjorn à vous Keridil, euh vous sauriez ou me placer vu ma petite taille, je vous avoue ne point avoir porter de coussin.


Le mini Cookie en ses bras ce dernier capricieux avait réussit a convaincre la mini baronne de l'emmener avec elle. Nom d'un biscuit la journée allait être longue.

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Keridil
Dernier sourire à Blanche sans se vexer, la Blanche est taquine, la Blanche n'est pas fourbe. Et tiens d'ailleurs ? Elle est où Della ? Boh...on verra.
Et puis bon voilà quoi, il va être temps d'aller se placer tranquillement à sa place de chef de cérémonie, en vue de tous, sur l'estrade.
Laisser au sévère le soin de l'accueil, c'est risqué, m'enfin qui se souciera de la tronche du bougon après tout, ils sont là pour les robes, pas pour l'huissier.
Alors que le brun allait réajuster sa tenue et faire un pas vers l'intérieur du saint des saints, il fut interpelé par une toute petite chose.

Oh baronne !

C'était la petite médicastre en herbe qui avait achevé de soigner sa blessure de joute à la jambe. La familiarité du ton l'étonna un brin, m'enfin il n'était plus à ça près.

Nous n'avons pas placé en fonction de la taille, je le crains, mais un conseil. Sachant que vous êtes en rangée IV, pour une visibilité optimale, installez vous au centre de la rangée.

Comment ça c'est un conseil à la mord-moi-le-noeud ? Il est très bien ce conseil.
Bon, c'est pas le tout hein mais...


Sévère, Titi Pierre, je vous laisse le soin des retardataires. Plus d'annonces à haute voix pendant les défilés, sauf si c'est sa Majesté évidemment.

Et le brun de tourner les talents et d'entrer dans l'enclos. Il aurait bien aimé s'annoncer mais ça sera pour plus tard.

[Arrivée du Maître de Cérémonie dans les coulisses]

Signes de têtes ça et là en traversant le jardin, une indication par ci, une autre par là, et l'Amahir passe derrière le rideau.
Là, il voit pas mal de paravents, c'est plein de monde, y'a de l'effervescence partout, fufufu.
Ah ! Attia des Juli, voilà qui est parfait. Et en plus elle crie, il est dans le timing exact.

Prêt, demoiselle !
Je n'attends plus que votre assentiment pour monter et faire ouvrir la cérémonie par Son Altesse.
Y'a du beau monde aujourd'hui, la semaine promet d'être un évènement de taille, soyez-en assurée.


Et de bomber le torse.
Discours en tête - c'est fou ce qu'on peut mémoriser quand on est diplomate de formation, et on est prêt à décoller.

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Yolanda_isabel
Eberluée, estomaquée et finalement, ravie, elle opine du chef aux propos de Trella, indifférente de ce que pourront penser les choses de la mère ingrate, elle ne voit que l’opportunité de s’amuser en jouant à la poupée. Alors, elle tend les mains et cueille contre elle le corps du nourrisson, un sourire éclatant aux lèvres. Si petite et si légère contrairement à elle, l’Infante de tenir Aurélie doucement mais fermement contre elle, comme elle a vu Constance le faire avec Louis le Canard. Confiante, elle tient d’une main la tête de l’enfançonne.

-« T’inquiètes pas, je ferai de l’attention, j’ai déjà fait ! »

Bon, d’accord, juste déjà vu.. Mais c’est presque pareil que quand la nourrice royale s’occupe de Charlemagne, non ? Si, et la preuve qu’on lui fait confiance ne tarde pas, puisqu’une autre dame vient lui réclamer ses services pour s’occuper de sa progéniture, blonde comme elle.

-« Une petite moi ! »

La main qui tient la tête du bébé s’écarte pour amorcer une caresse sur les boucles blondes de la petite Albizzi, mais la prise n’est plus assurée alors en réponse à l’interrogation de Breiz, elle répond par un sourire rassurant, en rajustant la tenue du bébé dans ses bras. Un coup d’œil, à travers le rideau pour héler un des placeurs, et en attendant, elle répète dans sa tête les noms des micro-nobles pour pouvoir leur expliquer le défilé quand elles seront assises.

Au placeur, elle désigne la petite blonde et un sourire à la cantonade avant de quitter les coulisses.


-« Soyez belles, et pas d’inquiétation ! Je s’occupe de tout, vous s’occupez de rien ! »*

Le premier rang est gagné où trônent quatre petites sièges répartis par paire de chaque côté du trône royal, chacun portant le nom des quatre enfants nobles clients coutumiers des Doigts d’Or, dont elle, évidemment. L’Infante de se hisser sur la siège avant que de déposer le bébé Valfrey, de blanc et de framboise vêtu, sur son genou gauche, calé contre son bras, tandis que le placeur dépose la fille Albizzi, habillée de bleu comme sa mère, sur le genou droit avant de retourner à son office.

-« Moi, c’est Yolanda Isabel, on va s’amuser, z’allez voir. »

Et en attendant, elle cherche du coin de l’œil des connaissances, ça occupe.
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* Jamel est ton ami.
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« Que Saint-Louis bénisse le Royaume de France. »
Chimera
[Cholet]

Votre Grââââce!
Qu'y a-t-il, Nolwenn?
Une invitation!
Chimera appuie un doigt sur sa tempe qui la lance presque instantanément.
Pitié....
Au Louvre! C'est, c'est....
Elle s'applique à déchiffrer le contenu de la missive.
Bonne idée Chim, de lui avoir fait aprendre à lire... Bravo...

C'est les Doigts d'Or! Une....
La duchesse ne s'amuse pas moins de voir, sous l'effort, la langue de Nolwenn poindre au coin de ses lèvres.
Une semaine de la mode! Il y a même tout un programme!!
Excuse nous.
...
Ma dame...

Excus....
Elle croise le regard de la jeune suivante et hésite un instant. Grossière erreur, l'hésitation, comme dans n'importe quel combat. La blondinette s'engouffre dans le blanc:
Cela vous ferait le plus grand bien! Dame Attia sera sûrement là! Et... cela pourrait également servir la diplomatie!
Ben voyons, sait-on jamais, au cas-où quelque traité se discuterai au détour d'un jupon.
La jeune blonde en rajoute une petite couche.

Il vous faut sortir...
En cet instant, Chimera prend conscience que Nolwenn vit un peu chaque événement par procuration, dans l'ombre de sa maîtresse. Elle adore ce domaine, insiste toujours pour aller chercher les commandes à l'atelier et raffole littéralement des banquets et autres manifestations. Elle qui, depuis plusieurs jours, supporte sans mot dire les pleurs, angoisses et autres désespoirs.
Et la duchesse de Cholet de soupirer.

Puisqu'il le faut...

Portez la robe du sacre!
Ah non, c'est beaucoup trop!
Mais vous êtes divine dedans! Et c'est le Louvre! Et dame Attia sera là! C'est elle qui l'a faite!
A quand ta reconversion au barreau de Bretagne, jeune fille?
Sourire candide.
Allez, mode poupée docile, activé.

Bien, si tu veux...
Le gloussement de joie, qui se veut retenu sans l'être tout à fait, lui arrache presque (presque!) un sourire.

[Jardins du Louvre - toute d'Attia parée]


Des ses grands yeux noisette, Nolwenn observe la foule, un brin désorientée.
On fait quoi maintenant?
Alors, ça, ne compte pas sur moi pour te le dire.
Vieux couple, va.

En Bretagne, la duchesse de Cholet compte probablement parmi les modèles de raffinement. Mais il faut bien avouer qu'en cet instant, elle a plus l'air d'un petit chat perdu que d'une dame à la classe internationale...

Et là...
Comme d'une seule femme....


Oh! Oh! Regardez! Regarde! Dame Blanche Calyce est est ici! ici!

Pouf pouf... Ca sera toi que...
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Aimelina
[Trois languedociennes sont là]

Aimelina de Siarr avait reçu l'invitation avec des frissons de joie. A treize ans, elle avait déjà un gout démesuré pour des vêtements qui, pour la plupart, ne lui allaient pas ; l'enfant avait le malheur d'être née difforme, et c'était en ce genre de circonstances un handicap réel. Comment être élégante, avec un avant-bras en moins ?
Elle avait couru dans les appartements de sa mère, la Comtesse du Gévaudan, pour laquelle le coursier avait apporté une lettre en apparence semblable. La jeune fille, yeux embués d'enthousiasme, l'avait priée d'accepter qu'elles s'y rendissent.
La mère avait accepté.

Eirwen de Vergèze, héritière d'une petite terre, gouvernante d'Aimelina et surtout épaule bienveillante pour la Comtesse de Gévaudan aux attitudes imprévisibles - comme toutes celles que la folie dicte - les accompagnait.

Elles se firent toutes trois annoncer dans les jardins et gagnèrent dans l'espace de l'événement les places qui étaient les leurs : Paula-Estèva et Eirwen au rang de la haute noblesse, car Paula était Comtesse, et la présence d'Eirwen à son coté, indispensable pour s'assurer qu'aucune crise ne serait préjudiciable à l'entourage ; c'est ce qu'elles avaient expliqué aux ouvreurs. Aimelina, quant à elle, avait gagné le premier rang, eu égard à sa petite taille, et comme on le lui avait recommandé dans la réponse à la confirmation de sa venue.

Les trois femmes portaient des robes achetées aux Doigts d'Or...



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Natale
Aloreuuuuuu
Donc heuuu
Voilà quoi !


Oui voilà quoi.
Une invitation reçue, un défilé de mode pffffffff !
Le Comte aurait bien laissé ces choses la à ses femmes tant il avait d'affaires à faire.
Paris au printemps n'est-ce point charmant ? Et toutes ces dentelles et frous frous lui donnaient déjà de l'urticaire rien qu'à y penser. Et puis on ferait le voyage tous ensemble en carrosse. En carrosse ! Phoua !
Et puis, et puis et puis !
Et bien sûr elles voudraient sûrement ramener des souvenirs de cette semaine parisienne. Des souvenirs qui à eux seuls valent une petite fortune.
Heureusement le Comte "fortuné" était aussi borné et tordu qu'il était près de ses sous. Aussi, pensât-il, il vaudrait mieux être à leurs côtés pour éviter les extravagances de part trop dispendieuses.
Ses tenues à lui, quoiqu'un peu vieilles lui allaient très bien ! Pourquoi devait-il débourser pour du neuf ?
Il devait donc laisser ses grandes terres de Rabat dans la haute vallée de l'Ariège, son domaine qui lui permettait de garder la route du sud du Royaume et cela, non point pour se rendre en sa belle petite seigneurie de Sainte-Maxime, ce village de pêcheurs situé dans le golfe de Saint-Trop'. Nenni ! Il fallait monter dans le nooooord.
Té rien qu'à dire ça avec l'accent du sud vous sentez le givre et la buée se former.
M'enfin au moins ça donnera l'occasion de faire une sortie de famille, et puis il pourrait remercier la gente Dame qui avait daigné leur donner une occase de monter en Capitale, et puis à bien y regarder il connaissait quelques noms parmi ces couturières, et puis justement il y a toujours beaucoup de représentants de la gente féminine dans ce genre de rencontre c'est tout l'intérêt de la chose, et puis peut-être qu'ils se retrouveraient qui sait ? Et puis finalement ses tenues étaient un peu vieilles et elles avaient autant voyagé que lui faut dire. Il avait donc une bonne raison pour y aller en famille...
... Mais surtout pas dans le carrosse ! Ah ça non !

Il avait donc laissé la voiture pour ses femmes et avait parcouru le trajet à leurs côtés, sur sa monture et avec leur escorte.

Règle numéro 1 dans les voyages, toujours voyager avec sa garde personnelle. Paris c'est aussi mal famé que la Bretagne, c'est bien connu. Quoiqu'il se disait que les choses avaient changé depuis en la Belle-Île de France. A voir.
Il réprima un léger sourire.
Il avait longé la côte et remonté la vallée du Rhône pour y retrouver sa Pomme Dauphine.


Ils trouvèrent finalement une hostellerie en face du kilomètre numéro 1, sur le parvis, la cathédrale ferait office de réveil matin.
Et c'est ainsi que le lendemain, frais et dispos, ils purent pénétrer dans le saint des saints, les jardins du Louvre.
"Vous avancez, vous avancez, et vous ne bougez plus !
Les jardins du Louvre sont situés à proximité immédiate du château du même nom. A proximité se trouve les tuileries où l'on exploite encore un gisement d'argile grasse et rouge dont on se sert pour fabriquer ?
Des tuiles bien sûr !
Vous avancez vous avancez..."

Le Blond s'exprima enfin dans un accent qui laissait percevoir ses origines :

- Je crois que nous sommes arrivés mes chères.
Il offrit son bras à doulce dulcinée :
- Carissima * *très chère en dans la langue de Dante
Puis à sa blondinette :
- Peut-être que nous retrouverons des connaissances qui sait.
Et enfin à Cécilia :
- Et bien nous y voilà !
Et la famille longea tranquillement les allées potagères, fleuries et arborées de la royauté française.
On les plaça et ils purent prendre le temps de guetter à loisir les coiffes et apparitions de chacun

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Mariealice
Marie avait regardé Minouche également, petit air désolé à celui-ci même si elle aurait dû se douter qu'il ne pourrait trop s'approcher. Ceci dit, connaissant l'oiseau, il saurait se débrouiller et devoir attendre, rester en retrait, faisait aussi partie de son apprentissage. Un sourire à l'enfant avant de grimacer et de se frotter les oreilles. Jamais elle ne se ferait aux annonces mais sourit à nouveau en direction de Keri Keri avant d'emboiter le pas au brun, toujours aussi souriant en public et qui venait de parcourir l'assemblée de son regard gris. Si elle ne le connaissait pas il aurait presque pu lui faire peur. Presque.

Lles places donc, une fois celui-ci rassuré sans doute, dirigés par l'un des enfants qui étaient là pour cela. Et bien sûr Walan ne put s'empêcher une énième taquinerie. Qu'à cela ne tienne.


Merci Monseigneur. Vous êtes trop urbain. Jolie tenue au fait. Pour un peu je demanderai à voir Attia histoire de savoir si elle ne manque pas de mannequins.

Elle finit par s'asseoir et regarda à son tour qui était déjà là, petit sourire en coin.
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En cours de mise à jour.
J'attendrai... Le jour et la nuit, j'attendrai toujours....
Della
Elle est où, Della ?

Della dort.
Sisi, Kéri vous l'a dit qu'il ne l'avait pas réveillée en se levant pour s'habiller si élégamment.
Et personne n'est venu réveiller Della.
Faute de damoiselle de chambre - Anahis ayant été renvoyée - aucune autre personne n'a pensé à jeter du lit la Railly qui dort à poings fermés.

Il faudra qu'un chat passe par là, qui saute sur le grand lit recouvert d'un immense édredon de duvet pour s'y lover en ronronnant pour que la Belle enfin ouvre les yeux avec ce petit :
Hmmm...caractéristique de la femme qui s'éveille après une longue nuit de sommeil réparateur.
La Blonde, encore un peu endormie, cherche d'une main le corps de son homme à qui elle ferait bien un petit câlin matinal...et surprise ! il n'est plus là ! La jambe à son tour cherche à toucher celle du mâle endormi...mais là non plus, il n'y a rien !
Là, la femme s'assied et battant des paupières cherche l'époux du regard.

Kéri ?
Kéri Chéri ???
Kériiiiiiiiiiiii ???

Là !
Là, la robe !
L'exclusivité qu'elle devait porter !
La robe lui rappela que...

Mortecouille ! C'est aujourd'hui !
Kééééééééééééééériiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ????

Vite, hors du lit, à la recherche de quelqu'un, n'importe qui qui pourra lui dire où est son époux !!
Y a quelqu'un ???
Houhou ????

Nope !
Personne dans les appartements Railly-Bréméan !
Zut zut zut !
La Railly court d'un côté à l'autre, de long en large, d'abord enroulée dans le drap du lit, puis en chemise, enfin en jupons et...

Arf, mince, comment j'entre là-dedans toute seule, moi ?
Lamentations d'une femme aux prises avec une robe. Belle, certes mais pas facile à enfiler seule.
Vrai quoi, avant, quand elle s'habillait seule, elle mettait des trucs faciles à enfiler genre chemise et braies ou robe droite !

Enfin...au bout d'un long combat...après avoir juré au moins trois fois - il faudra aller à confesse...après avoir envoyé Kéri aux enfers - il faudra aussi confesser ça...après avoir livré bataille à ses cheveux...enfin...elle était prête !

Il ne lui restait qu'à parcourir les couloirs, prendre les escaliers, puis enfiler encore deux corridors et traverser une partie des jardins pour arriver...

...et recommencer à chercher Kéri Kéri Kériiiiiiiiiiiiiii !!!
C'est pas rien d'être l'épouse de celui qui organise la fête !

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Jehanne_elissa
- « C’est un plaisir de vous rencontrer !

Et un sourire encore plus grand, et un ! C’est Ella Durée devant elle, c’est Ella Durée avec Eilinn ! Décidément son amie côtoie la star des stars de la mise en bouche pour la jeune noblesse, une pâtissière adulée par la majorité des têtes porteuses de couronnes féminines, de France et d’ailleurs. Son regard se fait un peu plus insistant sur la bourgeoise. Les macarons Ella Durée… Evidemment ça lui fait immédiatement penser à L’Etincelle et à Clémence, les deux personnes qui lui ont fait découvrir ses choses sucrées faisant rage au cœur de la jeunesse dorée. Les macarons ? Elle aime bien, ça lui plaît, c’est doux, c’est sucré et elle aime tout ce qui est doux et sucré ; pas compliquée la Goupil. Puis Jehanne Elissa, si elle n’est pas une Paris Hilton moyen-âgeuse reste quand même une sacrée dépensière et une fichue midinette. Alors ça fait plaisir, et ça fait encore plus plaisir quand elle complimente devant elle son amie.

- « Je ferrais tout pour ne pas perdre Eilinn ne vous en faites pas, elle est bien trop précieuse et j’en ai bien trop conscience !

De sa main libre, l’autre serrant Carlita contre son cœur, elle empoigne la main de sa meilleure amie. Elle aurait été un homme c’est à ce moment là qu’elle, enfin qu’il, aurait lancé un regard enamouré entre adoration fierté virile, du genre « ouais, c’est la mienne », avec l’air d’un homme annonçant à ses collègues qu’il dort touuus les soirs avec une infirmière, ou une hôtesse de l’air au choix et selon votre bon plaisir, messieurs. Mais elle n’est qu’une fille et une meilleure amie, alors il y a juste, simplement, si simplement, une espèce d’amitié dégoulinante à en faire pleurer les rabat-joie de tout poil. Et puis, en fait elle l’a fait avant mais la narratrice digresse, elle salue d’un signe de tête la pâtissière qui s’en va. Ella Durée avait parfaitement sa place dans cet événement : si elle n’avait pas des doigts d’or, elle qui avait réussi à créer un phénomène de mode dans tout leur Royaume, qui les avait… Le regard quitte la silhouette ronde qui se fond dans la foule pour se poser sur son amie.

- « On y va ?

Et hop, on n’attend même pas de réponse et main ans la main go to le premier défilé ! Et bien sur, on ne peut pas y couper, sur le chemin ça piapiate grave. Ça complimente la tenue d’un couple, ça critique le port de d’une couleur jaunâtre sur un peau bien trop laiteuse, ça rigole, ça échange les derniers potins et évidemment, Jehanne Elissa, sac d’hormones ET ventre sur pattes tente de savoir ce qui leur sera proposé à manger plus tard… Et finalement elles arrivent à l’épicentre des jours à venir et la Goupil traine son amie au rang des Vicomtesses.

- « Regarde il y a Tante Pol, Aimelina et Eirwen ! Il faudra qu’on aille les voir, je ne savais pas qu’elles venaient… » Et une phrase qui se perd car après un petit sursaut elle se tourne à nouveau vers son amie, tout en installant au mieux Carlita sur ses genoux. « Tu ne dois pas filer aux cuisines au moins ? Je t’ai trainée ici mais tu as peut-être des obligations… Mais j’aimerais tellement qu’on assiste aux défilés ensemble ! Ce peut-être presque aussi beau que le sacre de Béatrice et aussi drôle que des élections comtales en Languedoc ! »
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Seleina
Si on lui avait dit qu'un jour elle accompagnerait deux vicomtesses à une défilé de mode, elle en aurait mangé un balai.

Encore éberluée par le faste des lieux, les toilettes toutes plus élégantes les unes que les autre, la brune avait failli rétorquer au type qui s'occupait des placements à l'entrée qu'elle était arrivée avec ses deux gardes du corps... Mais elle avait tablé sur le fait qu'ils ne devaient pas avoir le même fournisseur de rillettes et s'était donc abstenue, non sans mal.

Et puis il allait falloir qu'elle apprenne à se moucher au lieu de renifler systématiquement. Parce qu'il fallait se rendre à l'évidence. Ca n'était pas très classieux.

Droite comme un I elle avait suivi les deux grâces (orthographe délicate qui peut vous valoir une torgnole si vous n'y prenez garde)et blondes éthérées jusqu'au dit coin.

Pas si mal. La vue était belle.
Quelques personnes connues attirèrent son regard, mais aucun geste déplacé ni intempestif ne vint secouer son poignet d'albatre. Fallait se tenir et elle le faisait bien.

Pour l'instant.

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Heliorphee
Allez Hop, on y va, en route pour l'aventure !!

En selle, Paris c'est pas à côté. Et il faut arriver avant le début des festivités car arriver en palefrenier et sentant le bourrin au milieu des nobliaux, c'est déplacé même quand on est Comte.

Après une demie-journée sur des routes de cailloux, entre deux pauses-commodités, le voila dans la capitale, tout boueux, tout cracra. On aura presque dit un mendiant sur un cheval. Direction une auberge que l'on puisse se débarbouiller avant d'aller à ce gala dans les jardins du Louvre.

Une fois tout propre, tout beau et qui sent bon le sable chaud (ben oui, un sudiste non mais), le voila parti, invitation en main voir les froufrou et les dentelles qu'on voulait lui montrer.

Jolis jardins en tout cas, faudrait penser à mettre quelques flamands roses de ci de là histoire d'améliorer le décor sinon c'est pas trop mal. Ah oui, et penser à bouger le gros molosse qui laisse pas les gens rentrer s'ils ont pas le bout de carton, en papier.

Mais c'est que ça en fait du monde pour ce défilé. Bon, on se détends, on va s’asseoir avec les autres Comtes mais on lorgne sur les demoiselles, des fois que son âme soeur soit là.
Eilinn_melani
Si Eilinn avait rougi un instant auparavant, elle était désormais proche de l'apoplexie devant les compliments d'Ella Durée. C'était dans un état proche de la pâmoison que Jehanne Elissa la tira par la main pour la ramener dans la foule, et qu'elles allaient se placer sur le banc réservées aux vicomtales couronnes.
Des compliments, des surprises, Eilinn se demandait en cet instant si c'était bien d'elle dont on parlait. Certes elle avait travaillé, mais elle s'était toujours considérée comme bien moins inventive, douée ou charismatique que son prédécesseur aux cuisines du Louvre. Le Premier Maitre d'Hotel entendait presque les trompettes des anges résonner, à moins que ce ne soit tout simplement le brouhaha de la foule qui se pressait à l'évènement. Eilinn sortit de sa reverie, et répondit avec joie à son amie, complimentant, chuchotant, caquetant sur tout et rien.


Bien sur, nous allons aller les voir !

Et non, il y a juste le diner de gala le dernier jour qui est servi par les Cuisines du Louvre, je vais pouvoir assister à pratiquement tout !

En tout cas, j'avais jamais remarqué que les élections comtales en Languedoc étaient drôles moi...


Et piapiapia.

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Vicomtesse d'Avize, Premier Maitre d'Hotel de Sa Majesté.
Keridil
[Ouverture de la Fashion Week Le Maître de Cérémonie en jette !]

Il était temps, il était grand temps.
S'il n'organisait pas la fête, il l'orchestrait, il en donnait le rythme, et c'était déjà bien assez.
Avisé par la couturière qu'il pouvait y aller, Keridil d'Amahir, après avoir souhaité bien du courage aux demoiselles et gentilshommes qui allaient défiler, se plaça derrière le grand rideau pourpre.
Un signe, un imperceptible signe, un regard, et au dehors, trompettes et autres instruments se mettent à résonner dans les jardins.
Le Maître de Cérémonie a vu grand, il voulait avoir la grande classe, faire une entrée du tonnerre.
Au dehors, un huissier.


Nobles sieurs et Nobles Dames, le Maître de Cérémonie, Keridil d'Amahir-Euphor !



Oui il se fait annoncer, parce que la mégalomanie d'Attia des Juli était contagieuse.
Et là, pas au pas de danse, mais presque à celui de la pavane, le brun s'avance sur le podium, et se rend, la démarche assurée, au centre.
Il fait fasse à un parterre non pas de fleurs, mais de têtes couronnées de France, d'Empire et de Bretagne même. Juste en face, le Royal Trône, à côté duquel est assise la Dauphine.


Bonjour ! Vos Grâces, Vos Grandeurs, Messeigneurs et Nobles Dames ! Merci d'être ici, merci de participer à cette semaine de la Mode, merci de mettre à l'honneur le goût Français !
Je ne ferais pas de discours pour ouvrir la toute première édition de cet évènement, non.
Veuillez pour cela accueillir son Altesse Royale la Dauphine de France, qui par son charme et sa grâce, saura vous séduire ô combien mieux que tout autre. Et remercions là de l'honneur qu'elle nous fait ce jour.


Et le brun de s'avancer, échine courbée et main tendue vers Elianor.
Derrière lui, deux enfants, vêtus à la mode Doigts d'Or, tendent déjà un ruban de soie rose, symbole d'inauguration, mais tissu ô combien en vogue.
Vous l'aurez compris, après son discours, la blonde Altesse va devoir faire coupe-coupe avec le ruban


Votre Altesse...si vous voulez bien.

Finesse oblige, le raffinement est de mise, et le bougre est comme un poisson dans l'eau. Béni soit le jour où on lui mis ses macarons à terre.
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Vonlichtenchein
Il arriva à la Fashion Week, encore un peu essoufflé comme à son habitude et toujours pour pas changer, il était en retard, il faut vraiment qu'il s'améliore pour cela, enfin nous verrons bien, pour le moment objectif, trouver Ney dans tout ce monde.

Il scruta un peu tout le monde, souffla un grand coup, bon ce coup si ce n’est pas gagné, mais bon je ne vais pas abandonner, je la trouverai bien, il reconnut quelques personnes pas forcément des gens qu'il apprécié mais bon ce n'est point grave pour le moment il avait une chose à faire de plus important que tout le reste.

Concentre toi un peu, bon on reprend on cherche un peu, non, non, toujours pas. Ferme un coup les yeux et recherche autrement, quelques instant plus tard, sans succès pas moyen de se concentrer.

Bon aller on tente le bon vieux truc de la chance, cela ma toujours réussit.

Il referma les yeux, les rouvrit et partit dans une direction comme cela d'un coup, un petit regard d'un côté, ah avait-il encore eut cette chance qu'on lui connait, il se rapprocha, pas de doute c'est elle, il lui posa une main sur l'épaule.


Bonjour vous je suis là, avec du retard mais présent.

Il sourit, tout juste à temps cela commencé.
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Senher de Saint Jean de Rives et Brassac
Axel2fersen
[Un peu perdue géographiquement parlant]

En retard, elle était en retard et pour cause elle ne trouvait pas le lieu du défilé, elle en pleurerait presque... cela faisait de très très longues minutes qu'elle déambulait, qu'elle poussait des portes, qu'elle interrogeait. On lui expliqua, on lui indiqua, mais cet endroit était pire que le labyrinthe de Dédale. Et bien voilà, ça y était... c'était bon cette fois elle pleurait, oh pas à chaudes larmes, bien entendu, ça ne se faisait pas pour une dame, il ne s'agissait que de lourdes larmes éparses, qui venaient brouiller sa vue d'une seconde à l'autre.
Et enfin... la délivrance, la lumière au bout du couloir. Elle y est enfin, elle s'annonce humblement présentant son [url=invitation ]http://img98.imageshack.us/img98/1079/inviation3.png[/url], ne sachant pas trop ce qu'il était d'usage de faire.


Dame Axel d'Irissari, cliente fidèle de Maître Attia.
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Béanours forever!
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