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[RP sur Invitation] Fashion Week - Jour 1

Cl0e
Aya, ça allait être son tour. Anxieuse, oui y'a de quoi. Primo, sa fille se trouve désormais de l'autre côté des coulisses, devant tout le monde, avec Yolanda, et donc sans sa mère. Elle espérait qu'elle n'étais pas trop effrayée. Mère naïve va.
Elle se tourna vers Bee et sa robe, et commença à l'enfiler, avec l'aide de l'Abeille et d'autres mains aguerries. On l'aida également à se préparer, coiffe, cheveux, tout ça.
Inquiète de savoir par où elle passerait pour parader dans la robe, elle se tourna vers Attia.


- Et par où on monte ? Les rideaux s'ouvrent ou comment ça se passe ?

Maintenant qu'elle y pensait, elle n'avait strictement aucune expérience en la matière, et elle chercha activement du regard l'accès des coulisses à l'estrade.

- Je vais mouriiiiiiiiiiiiiiiiiir !!! Il me faut de la violette, vite !

C'est ce qu'on appelle les bienfaits de la violette, même en liqueur. Surtout en liqueur. Et puis ça la détendrait. Un petit peu. Pas trop. Valait mieux pas ... Parce que là c'est sûr, elle allait mourir. Et sa faucheuse se ferait appeler Attia.
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Neyco
La mini biscuit souriante au jeune homme qu'elle avait soignée, hocha tête.

Hum je vois bon au pire gentilhomme m’aideront pour les descriptions.

Allant en mode mission aller en place qu'une main ferme ce posa sur son épaule. Se retournant son mini en ses bras.

Von...

Vous êtes en retard mon ami.

Lui faisant une bise délicate sur la joue, point besoin de plus de démonstration entre eux tout était dans les yeux.

Tu prends ton fils?

Le gratifiant d'un sourire.

Nous sommes à la troisième rangée. Par contre j'ai oublier mon coussin aussi vu ma petite taille il faudra m'aider. Aller au milieu devrait peut être aider? Enfin je ne sais.


Passant bras autour de celui de son chevalier après qu'il ai pris le petit bout, elle les conduisit à la rangée indiquée.
Quelques minutes pour s'installer que la cérémonie commençait. Faisant un chut à son fils qui commençait à ouvrir bouche, elle posa tête sur l'épaule de son chevalier attendant suite.

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Crysania
Sapristi que ça pouvait prendre du temps à arriver. Fallait bien que tout leur tombe sur la tête et finir comme à l'habitude de la Rousse, arriver en retard.
Nah franchement, c'était désespérant. Lieu de rendez-vous trompé, cheval blessé... rien allait dans le bon sens.


Quoi y aller que demain ? Non hors de question. J'en ai besoin, m'aérer l'esprit pis je veux voir cette première journée... Et toi aussi. Depuis le temps que t'es Baron, c'est le temps que tu te mélanges un peu aux gens de ton rang. Pas d'excuse qu'il y a toute la semaine.

Arrivé enfin. Devant, un gros morceau effrayant et un air pas très accueillant. Ils l'avaient bien dit, seul les invités seraient acceptés et ils avaient fait fort pour détourné ceux qui n'avaient rien à y faire.
La Comtesse présenta son invitation en se présentant.


Bonjour, Crysania l'Abramada, Comtesse de Pont de Camarès ainsi qu'Aster Boufflers, Baron de Saint Geniez d'Olt.

Ainsi le colosse et l'air sévère les laissèrent passé. Un murmure à l'oreille de son ami, Par là.. on trouvera bien des places proche d'un rang de l'autre.

Tant dis qu'ils prenaient place le plus discrètement possible, Le Maître de cérémonie avait déjà prit la parole et annonça déjà la Dauphine de France, qui ferait l'ouverture officielle de cette semaine de ... Folie !

Juste à temps à peine en retard... c'est presque un miracle... pensa t-elle.

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Chambellan du Rouergue
Attia.
[ Coulisses - Je suis la faucheuse, vous allez tous mouriiiir! ]

La gitane avait donné son feu vert a Keridil qui il fallait l'avouer se révélait etre d'une grande aide.
C'est vrai ça quel heureux hasard ou le heureux génie qui avait été sien de lui proposer le role ?
Bien sur il n’était en rien organisateur et sans la filiation mirandolienne il aurait tout bonnement été parfait. Mais la perfectitude ça n'existait pas, ça se saurait n'est ce pas.

Elle abandonne un sourire, et accompagne du regard la rosy princesse au prises avec ses deux poupées. Au moins dans l'assemblée elle ne manquerait pas le spectacle et la Des Juli aurait peut etre le plaisir d'avoir un compte rendu a la façon si enjouée et attendrissante de l'infante.

Les trompettes sonnent, et Attia ne s'occupe guere plus de ceux qu'elle a priés quelques instants auparavant de rejoindre l'assistance.
Non ce qui l'importe a la seconde précise c'est le trio qui ouvre la danse.

Bee qui habille ses filles, aidée de petites mains engagées pour l'occasion.
Une blonde qu'elle ne connait pas, et cloé qui stresse.
Cloé qui stresse?
Ah non!
Elle fait la moue la gitane alors que la blonde vient visiblement de se rendre compte que tout cet incroyable boucan n'était pas une petite blague de boulevard, mais bien la plus immense bétise qu'elles aient jamais réalisées. A croire qu'elles étaient toutes sous champi quand l'idée farfelue leur est venue avec les consequences diplomatiques et protocolaires qu'on sait.
Pour le coup, elle prend sur elle de la jouer diplomate.


- Caaalme toi Cloé toooout va biiiien se passer...

Ouais c'est ce qu'on dit.

- Tu vois les petites marches la sur les cotés ? Elle donnent sur l'estrade masquée par les rideaux d'ou on a vu emerger la tete de Keridil.

Comment s'ouvraient les rideaux ?
Bonne question. Par magie ? Certainement pas.
C'est en refreinant un élan de panique que la gitane chercha du regard un pseudo mécanisme compliqué avant de découvrir un jeune garçon une corde a la main.


- Le monsieur la bas, il tire sur sa corde, le rideau se leve et tu entre sur l'estrade en U, tu fais le tour jusqu'au bout, tu reviens, tu t'arretes au milieu qu'on te voie bien et tu reviens . C'est pas compliqué ...

Non pas compliqué. Tres simple meme quand c'est pas elle qui sera sous les regards.
Voila que la cloé ralliait sa cause, poussait son cry et... demandait de la violette!


- Nan mais ça va pas ? De la violette ? Ou veux tu que je trouve de la violette ? Et pis non, tu dois etre droite, pas titubante, et puis...

Soupir alors que le bras se pose sur l'épaule compatissante.

- Tu vas mourir.

Vous y aviez cru ? Moi aussi!

- Oui tu vas mourir si tu foires ! Tu seras bonne pour aller te caher au fin fond du pays imaginaire ou tu seras sure que personne ne pourra te retrouver, te reconnaitre.

Elle appuie sur l"epaule la gitane sadique qui par la fait peser tout le poids de la première impression que provoquera la blonde. Puis l’étreinte se relache et se fait caresse alors que le visage attileen se fend d'un sourire.

- N'oublie pas, tu es une égérie DO, pas n'importe quel mannequin. Tu es parfaite!

Parfaitement parfaite!

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--Ella_duree


Vous avez dit Violette ? Un macaron est extirpé du panier et enfoncé dans la bouche de l’Albizzi mère avec un sourire complice à Attia. Mission accomplie mon général ! Assise sur un tonnelet, elle écoute le discours de l’Amahir avec un plaisir non feint, une fierté presque maternelle en guise de sourire.


Il est doué hein ?!

T’y es beau mon fils ! Champion du monde ! Elle a loupé sa vocation, oui, elle aurait pu être une mère pied-noir, elle aurait pu les avoir tous pour enfants à la façon dont elle les sur-materne tous. Et un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche, elle devient rouge soudain.

Ne paniquez pas.. Dites vous que je vais devoir passer devant tout le monde pour leur présenter les macarons.. Et si quelqu’un n’aimez pas ?


Un air faussement angoissé avant d’offrir un clin d’œil à Attia, regarde comme je t’imite bien. Persuadée de mon talent, et pourtant angoissée de leur réaction. Si Attia se charge de la tenue et du moral, elle se charge, elle de l’apparente joie de vivre, c’est son truc la joie de vivre. Bee, puis Cloé, Lanceline, Calyce, Elisabeth sont pointées du doigt.


Imagine une boîte d’Etincelants que pour toi. Toi, dis toi que je te ferai un coffret à la violette.. Vous, je vous connais pas, mais prenez un macaron ! Un macaron à la réglisse mignonne, ça te dirait ? Toi.. Toi.. Vu ton ventre, j’crois que j’vais aller chercher le deuxième panier. Des Sourires ! Et que ça saute !

Oui, oui, la thérapie par le sourire et les macarons, y a que ça de vrai.
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Noeline
Les Vicomtes de Herisson et d'Issoire ayant été annoncés, ils furent donc priés par le Maitre de Cérémonie d'aller s'installer là où il convenait.
Noeline n'avait pas vraiment l'habitude de fréquenter le Louvre, Paris était loin de son Auvergne natale et les occasions étaient rares, très rares ...
Mais là, elle n'avait pas hésité une seconde, elle qui collectionnait les malles remplies de robes et de parures, forcement il n'avait pas été question une seconde de rater ça. Les bagages avaient vite été bouclés et le départ des terres de Challiers fait dans les jours qui avaient suivis, la route était longue, fallait pas traîner non plus.

Ainsi donc, pour en revenir au sujet du jour, se laissant porter par le flot et l'effervescence ambiante, elle avait pris place aux cotés de Fabien et s'imprégnait de tout ce qu'elle avait à portée de ses yeux clairs.
Les grands de ce monde rivalisaient d'élégance dans des toilettes toutes plus clinquantes les uns que les autres, elle n'avait pas à rougir de sa mise ni de celle de son époux cependant.

D'un coup tout s’accéléra, le brouhaha cessa.

Nobles sieurs et Nobles Dames, le Maître de Cérémonie, Keridil d'Amahir-Euphor !


La Clermontoise se redressa sur son séant et tendit le cou pour ne rien rater, "enfin ... ça commence" chuchota t-elle un peu survoltée par l'atmosphère, à Fabien.
La Dauphine fut alors priée de venir couper le cordon donnant le signe de l'ouverture des festivités.
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Aster
Bon il avait fait de son mieux pour essayer de passer une soirée tranquille, à déguster un vrai repas arrosé de quelque vin fin.....

Rien à faire, la comtesse l'avait tiré par les épaules..... Aujourd'hui et pas demain, avait-elle dit..........

Soit, allons y alors!

Il avait encore un peu traîné le pied pour leur faire manquer le début, de manière à ce qu'ils ne puissent plus entrer..... Il y tenait à son faisant rôti, mince!! Mais quand le destin s'en mêle, on ne peut plus lutter, et bien entendu ils étaient arrivés juste à temps... Au moment de se présenter, déjà, il fallait s'installer. Un angle, par pitié, qu'il ne se retrouve pas seul au milieu de tous ces gens qu'ils ne connaissaient pas. Lui de côté, la comtesse bien en face, mais chacun à sa place, on ne mélange par torchons et serviettes, n'est ce pas... ?

Un coup d'œil vers sa voisine.....
Toi, tu ne me la refera pas, celle-là! Tu vas me le payer...
Un clin d'œil complice....

Finalement, de côté, ce n'était pas si mal. Il pouvait tout à loisir contempler les plus belles dames du royaume, sans paraître grossier...
Finalement ce n'était peut-être pas une si mauvaise idée, d'être venus... Lui, un cœur à prendre, il allait peut être rencontrer l'amour.... ?? Allez savoir de quoi était fait demain.....

Nobles sieurs et Nobles Dames, le Maître de Cérémonie, Keridil d'Amahir-Euphor !


Il fut tiré de ses pensées par l'annonce. On allait commencer.... Avec un peu de chance, ça pourrait même être amusant! Rien que regarder la comtesse sautillante à ses côtés valait le déplacement!
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Baron de Saint Geniez d'Olt
Marievictoire
Marie accordait à sa toilette l'importance qui convient.
Paraître faisait partie de ses devoirs et l'attribut faisant en ce monde bien plus le moine qu'on ne voulait bien l'admettre, elle accordait à sa mise une attention particulière.
Elle ne prisait guère les fanfreluches, ni les toilettes trop ostentatoire... mais admettait qu'une robe de qualité asseyait l'autorité. Comme le soldat choisissant avec minutie sa cuirasse, elle prenait toujours soin de se vêtir selon son rang et de manière appropriée aux circonstances.

Ce qui impliquait parfois de renouveler les stocks, hélas pour son cher et tendre qui ne prisait guère les virées shopping parisiennes.

- Carissima...
- Mio caro ? Ce ne sera pas si terrible que ça vous verrez... Le consolait-elle en lui tapotant doucement la main. Et puis songer comme votre fille est heureuse d'assister à l'évènement.
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Firielle


Les froufrous, les couturières allant de robe en robe, les épingles cliquetant, les derniers raccommodages, on y était, l’ouverture de la fashion week.

C’est pourtant deux semaines plus tôt que la duchesse avait reçu une invitation l’avertissant de cet évènement, soucieuse d’être au top de la mode, soucieuse d’être la plus belle, elle avait poussé son mari à venir avec elle à Paris, durant cette semaine consacrée à la mode.

De l’argent plein la bourse (et pas celle de son mari), c’était le seul bagage de Firielle, nul besoin de vêtement puisqu’elle allait tout acheter ici.

Arrivée à Paris et de peur d’être en retard elle pressa son mari tout en le tirant par la manche
:


Riwenn, dépêches toi, nous allons être en retard ! J’ai l’impression que tu y vas à reculons ! Pourtant une promesse est une promesse.

D’un pas décidé, avec son mari ou non, la duchesse allait se rendre à cette fashion week.

Zieutant à nouveau son invitation et comparant avec l’adresse de l’endroit où le carrosse les avait déposé, la brune se rendit compte qu’elle était au bon endroit, argument confortant son idée, c’est que plein de jeunes femmes courraient un peu dans tous les sens.

C’est à ce moment là que les yeux de Firielle devinrent brillant, comme si elle allait ouvrir ses cadeaux d’anniversaire. Telle une petite fille, elle scrutait partout, admirait et se disait dans sa tête « veut ça, veut ça ».

Après ce moment d’égarement, la duchesse reprit ses esprits et se réfugia dans les bras de son mari.


« Sais tu où nous devons aller ? Y’a-t-il des rangs réservés pour les têtes couronnées que nous sommes ? »

S'adressant autour d'elle à l'aveuglette:

"Quelqu'un peut nous aider à nous placer, je suis Firielle de Castel Vilar, Duchesse de Donostiri."
Riwenn


Événement des plus attendus - particulièrement par Fifi - la Fashion week. Et tel un chat qui suit à pas de loup une souris, Riwenn estait aux costés de son épousée pour ce spectacle vestimentaire qui ravirait toute donzelle.

La route jusqu'aux jardins du Louvre s'estait admirablement passé. Il y avait bien entendu certains groupes de brigands à craindre, et il valait mieux prévoir, aussi le couple s'estait-il faict escorter dans son carrosse par quatre gardes - deux aux couleurs de Donostiri, deux aux couleurs de Gimoez, les deux valets qui conduisait portait les couleurs de Cazarilh. Mais fort heureusement, seuls des paysages ensoleillés et tranquilles avaient croisé leur route.

Paris apparut, et le Louvre et ses jardins ne tardèrent pas à leur faire face.

Le carrosse les déposa, et les divers gardes et valets s'occupèrent des chevaux et du véhicule tandis que le ducal couple gasco-armagnacais arrivait à l'entrée des lieux.

Firielle estait excitée comme une puce, et il demeurait mesme à penser qu'une puce aurait pu prendre peur et s'évanouir en voyant la nervosité de la Duchessa.


Sais tu où nous devons aller ? Y’a-t-il des rangs réservés pour les têtes couronnées que nous sommes ?

Riwenn,au contraire de son épouse, respirait le calme. Et c'est d'une voix douce et rassurante qu'il lui respondit tout en l'enlaçant.

Non, je ne sais pas amòr, mais ne t'inquiète pas, il va bien y avoir quelqu'un pour nous l'indiquer.

Quelqu'un peut nous aider à nous placer, je suis Firielle de Castel Vilar, Duchesse de Donostiri

Deux hommes semblaient postés à l'entrée.

Je gage que l'un de ces hommes pourra nous faire pénétrer les lieux et nous placer glissa-t-il à l'oreille de sa douce aimée avant d'ajouter à leur attention.

Et moi son époux, Riwenn de Castel Vilar, nous avons reçu invitation.

Bien entendu, ils estaient en retard, mais quel noble de haut rang reconnoitrait son retard face à deux simples hommes de la roture ?




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Héraldique européenne
--Severus_nonrigolus.


En silence, je vous prie, son Altesse la Dauphine va prendre la parole d'un instant à l'autre.

Voila, il ne pouvait pas signifier plus clairement sa désapprobation face à ce retard vraiment, vraiment malvenu. Il fit un geste vers le troll qui contrôlait aussi les entrées pour lui signifier de laisser passer ces deux là, mais de froncer les sourcils comme il le faisait aussi.
Arriver en retard à un événement ADJ, non mais on n'a pas idée! Scandalisé, il suivi les retardataires du regard, s'assurant qu'ils ne commettaient aucun impair. D'ailleurs ils furent interceptés par les petits placiers qui les dirigèrent directement à leurs places. Voila une bonne chose de faite.

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Della
[i]Et voilà ce que c'est de ne pas s'être levée plus tôt.
Ou d'avoir embauché déjà une nouvelle damoiselle de chambrée.
Ou d'avoir choisi une robe plus facile à enfiler.
Ou d'avoir brossé un peu trop ses cheveux...

Ca commençait et elle n'avait pas eu le temps d'aller prendre place.
Son Kéri Chéri faisait son entrée !
Qu'il était beau, qu'il était magnifique !
Quelle prestance...quelle allure...quel homme !
Le sien.
Son homme à elle, toute seule.
Ceci sous forme déguisée peut aussi être lu comme une mise en garde : "On ne touche pas à Kéri Chéri !"
Non mais des fois qu'une Duchesse ou une Baronne aurait des idées...Hum, voyez ce que je veux dire ?

Elle souriait, Della, en regardant son Prince ouvrir cette semaine de la Mode.
Elle était fière de lui.
Elle avait renoncé à aller s'asseoir et elle restait là, discrètement, sur le tapis rouge...

EDIT, pour suppression.
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Riwenn


Mercé.

Le Duc fit une signe de teste en guise de remerciement aux deux hommes et prit la main de son épouse afin d'entrer au cœur de la "cérémonie".

Ces jeunes garçons vont nous dire où les couronnés comme nous doivent se placer. lui chuchota-t-il tout en avançant tranquillement vers les petits placiers.

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Héraldique européenne
Chiara_cesira
Waoooouh ! La copie rose et petite de Maman lui touche les cheveux! La copie rose et petite de Maman lui parle même! Et plus que mieux, y'a même un petit truc tout rose et blanc rigolo qui fait des sourires baveux et gazouille quand on le regarde ou le touche. Claaaaasse!
Chiara s'émerveille tant et si bien qu'elle ne remarque pas sa mère s’éloigner, au grand soulagement des oreilles inconsciemment situées à proximité d'elle et de son harmonieuse voix de crécelle.


-« Soyez belles, et pas d’inquiétation ! Je s’occupe de tout, vous s’occupez de rien ! »*

C'est un sourire grimacé de joie qui orne alors le visage de Chiara, tandis qu'elle suit docilement la copie rose et petite de Maman dans une autre pièce, agrippant tout de même fermement -parce qu'on se sait jamais, hein- un pan de la robe rose qui fait des étincelles devant les yeux.
Et attention les gens... Faîtes place et admirez la maitrise et la magnificence de la petite Chiara Cesira Nora d'Albizzi, qui du haut de ses deux ans, trois pommes et de toute son innocente ignorance, vient prendre place aux côtés de THE enfants nobles et stars du royaume, eux-mêmes placés aux côtés de THE Reine du royaume, en ne songeant à rien d'autre qu'à ne pas marcher sur le petit ruban bleu qui traîne de son petit soulier. Parce que c'est supra-important de ne pas marcher sur le petit ruban bleu, du même bleu que la robe de sa Maman. Parce que, sinon, peut-être que si elle marche dessus et qu'il est tout chiffonné, elle sera fâchée et ne voudra plus faire les bisous tout doux sur le nez...
Préoccupation vitale aussi vite délaissée qu'arrivée, car ce sont des petits clapotements de mains qui se firent entendre lorsqu'elle se retrouva de nouveau transportée dans les airs, puis assise sur le genoux droit de la copie rose et petite de Maman, tout à côté de la framboise blanche amusante.


-« Moi, c’est Yolanda Isabel, on va s’amuser, z’allez voir. »

Petit hochement de tête tandis qu'elle promène son regard sur la plénitude lumineuse et colorée qui s'étale devant elle, du haut de son promontoire divin. Les présentations, ce sera pour plus tard.
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--Titi_pierre


Pourquoi lui parle-t-on alors qu'il ne comprend rien ? Il jette un coup d'oeil aux invitations tendues, émet un grognement approbateur signifiant peu ou prou qu'ils peuvent passer, sourit d'un air niais qui ressemble plus à une grimace sur sa trogne au gosse pour qui il rapproche le tonneau prévu pour qu'il s'assied en cas de fatigue.

Monter, groumpf.

A peine un coup d'oeil aux couronnes qui défilent, il y en a tellement et de toutes les tailles, seuls les placeurs savent à quelle couronne correspond tel banc. Alors, les placeurs placent aux Rangs IV les Barons, Seigneurs mais seulement les habitués invités exceptionnellement pour ces derniers, comme la roture d'ailleurs, rares présents ou pour la plupart, nobles non fieffés. Au Rang III, viennent s'installer les Vicomtes et Vicomtesses, au Rang II, il y a les Ducs et les Comtes et au rang I, peuvent s'installer, Marquis, Princes et autres Altesses de part et d'autres, du Trône Royal, vide pour le moment, à côté duquel, on a aussi disposé quatres petites fauteuils pour les enfants privilégiés des Doigts d'Or, leurs noms brodés sur chacun des dossier. Et les petits gosses des faubourgs parisiens placent après de respectueuses et exagérées courbettes les personnes.
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