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Les recits de sire Malemort

Malemort
Malemort continua son histoire. Celle-ci touchait bientôt à sa fin...


Jehan parcouru la rue du regard. Servan, autrefois son ami et son partenaire, avait eu tout le temps de maitriser la trahison. De même que lui avait eu le temps de maitriser la destruction. Il courrut vers le nord de la ville...

Servan se toruvait sur l'un des six ponts de la ville. Edifice majestueux, reconstruit après la nuit de mort, le pont était la fierté de la ville. L'évêque avait fini de traverser quand un bruit de pas sur le pavé retentit. Un homme se tenait, une épée à la main...

_Jehan, tu as aussi tué notre ami Aïon???
_Oui, et tu sera le dernier que je tuerais. Pour que cette ville renaisse de nouveau.
_Me battre ne seras pas un problème pour toi, je le sais. Mais les habitants, pourras tu les affronter?
_Tu ne vas pas...
_La trahison de masse? Si, bien sur que si. C'est le seul moyen de t'éliminer.

Jehan sentit un frisson lui remonter dans le dos. Si les habitants l'attaquaient, il lui serait malaisé de se battre. Car il avait juré de sauver les gens de Köln, pas de les tuer. Il prit son courage à deux mains, et s'avança vers Servan.

_Jehan, tu sais ce qui se passera si tu meurs, lui déclara soudain l'homme d'Eglise, un sourire malsain aux lèvres. Car à la base, c'est avec lui que nous avons passé contrat. Tu sais ce que nous lui devons. Trente mille âmes, et nous sommes quite avec lui. Et ce soir, je serais affranchi.
_Tu te trompe, mon cher ami. Quoi que l'on fasse, on est jamais quite avec ce seigneur. Et à l'heure qu'il est, Aïon et Airiain brûlent déjà aux côtés du Malin.
_Jehan, tu vas alors les rejoindre.

Un grand brouhaha se fit entendre, derrière l'évêque. Le maitre forgeron reconnut sa femme, ainsi que certains voisins. Son regard parcouru la scène, et la solution vint d'elle même. Le fleuve était froid, et il était certain que les deux ne survivraient pas. Jehan s'élança vers Servan, et l'attaqua d'estoc, puis de revers. Il dut alors esquiver une flèche tirée par un haitant, puis une deuxième. Son adversaire le suivit et finalement l'accula contre le rebord du pont, alors que le peuple faisait cercle autour des deux anciens compères. Servan eut un sourire, et regarda le forgeron d'un air assuré.

_Tu meurs ici par la main de ceux que tu as aidé.
_Non, je préfère me jeter du haut du pont.
_Comme c'est touchant.
_N'est-il pas? Et tu sais quoi?
_Non.

Jehan se mouva rapidement vers l'évêque, le prit dans ses bras, et tous deux chutèrent du pont, dans une grand plongeon. La seule chose que le forgeron put faire, fut d'enfoncer l'épée jusqu'à la garde dans la poitrine de son compagnon de chute. Et la dernière chose qu'il sentit, fut la violence du choc avec l'eau, et une dague malsaine plantée entre les côtes...



Köln, doucement, se remettait. La ville avait eu le temps de se remettre, malré le nombre de morts, et les enterrements durèrent durant deux semaines. Deux semaines de noir. Deux corps avaient été retrouvés, l'un rempli de vers, l'autre en état de putréfaction avancée. Mais les deux héros de la ville, le forgeron Machefer, et l'évêque Servan, avaient été portés disparus. Leur obsèques furent grandioses. Et pourtant, deux personnes savaient ce qu'il en était. Le vieil Aldéric et Fiona regardèrent le premier cercueil avec dégoût, le deuxième avec tristesse.

Le lendemain de la nuit, le vieil Aldéric avait retrouvé Fiona et lui avait brievement expliqué ce qui s'était passé. Elle en avait eu les larmes aux yeux. Eux seuls savaient ce qu'il s'était passé. Et garder ce secrêt n'en était pas moins dur. A cela se rajoutait, mais ils ne le savaient pas encore, le fait que le vieil homme mourrait dans le mois...


La vieille femme fit boire l'homme allongé sur la paillasse. Celui-ci avait les yeux ouverts, mais ne disait rien.
_Alors, d'où venez vous?
_Petit, j'ai habité un petit village nommé Westwarfen. Et puis un beau jour de printemps, un homme est arrivé, un chien à ses côtés. Il était conteur, mais racontait des histoires très effrayantes. Nous étions quatre amis à l'époque. Et un soir, nous lui avons demandé d'où il venait. Il nous a dit venir d'un pays très lointain, la Helande. Et nous l'avons accompagné, car nous étions attirés par l'aventure. La seule condition qu'il nous a imposé: brûler notre maison, ce que nous avons fait. Pendant dix ans nous l'avons suivi, et finalement, nous sommes arrivés en Helande, un royaumes gris comme cendre le matin, brûlant et rouge le midi, noir et froid le soir. Il nous a donné des dons, et nous a renvoyé hors du royaumes, avec la condition suivante:

"A chacun un don, à chacun une chance de devenir prince de ce royaumes, mais à chacun une dette, trente mille âmes et cette dette sera effacée..."

Pendant encore dix ans, nous avons voyagé, nous avons tué. Et un jour nous avons rencontré un mendiant. C'était à mon tour de tuer. Ils partirent devant, me laissant seul avec le mendiant. Celui-ci me regarda, et m'annonça qu'à la prochaine ville, j'avais une chance de faire oublier ma dette. Il mourrut dans mes bras sans que je l'eusse tué... A partir de là, j'ai longuement reflechis, et je suis allé contre mon don. Ma quête s'est terminée il y a quelques jours.

_Donc, jeune homme, vous n'avez plus de dettes. Et maintenant, qu'allez vous faire?

Un long silence passa.

_Rattraper mes péchés, et construire aussi surement que j'ai détruit...
Mathahari
Mathahari, avait souvent ouvert la fenêtre de son bureau pour écouter les récits de Malemort.

Elle ne se lassait jamais d écouter un conte, elle aimait les écrire aussi, les raconter.

Alors profitant de ce jour de congé, elle entra dans la taverne, s'installa confortablement dans les bras de Cooljazz seul endroit ou elle était heureuse.

Et commença...

...On raconte qu'un jour, il y a bien longtemps, un pauvre moine mendiant allait de maison en maison pour demander l'aumône.
Comme le soir arrivait et qu'il était mort de faim, il frappa à la porte d'une ferme et demanda a manger.
Mais le paysan ne voulut rien lui donner.
Alors le moine dis:
- Tant pis .Puisque c'est comme ça, je me contenterai d'une soupe à la pierre.
- De la soupe à la pierre? Je voudrais bien voir ça! Répondit le paysan.
- Attendez, attendez, vous verrez! Dit le moine
Il se baissa, ramassa une pierre, l'essuya sur sa robe de bure et l'examina sous toutes les coutures pour s'assurer qu'elle était bonne à faire la soupe.

Comme les habitants de la ferme riaient tant et plus persuadés qu'il avait la cervelle fêlée, le moine leur demanda:
- Peut être pourriez me prêter un petit chaudron…
- Et comment! répondit le paysan qui s'apprêtait à passer un bon moment.

Il lui fit donner un chaudron: le moine alla le remplir avec de l'eau du puits et jeta la pierre dedans. Puis il demanda encore :
- Maintenant, si vous me permettiez de réchauffer cette eau sur vos tisons…
- Bien sur! Dit le paysan.
Et le moine d'entrer, et de poser le chaudron sur les tisons.
Quand l'eau commença à frissonner, il déclara:
- Avec un petit bout de gras se serait encore meilleur!

Le paysan alla lui chercher un morceaux de lard.
Tandis qu'ils avaient tous les yeux ronds et rivés sur le chaudron, le moine goûta la soupe qui mijotait doucement et dit:
- Elle est un peu fade…Elle mériterais bien qu'on lui ajoute quelques grains de sel…
On lui donna le sel. Il remua, goûta encore et soupira:
- Ah que des cœurs de choux iraient bien là-dedans! Ce serait si bon que même les anges en mangeraient!

La femme du paysan se rendit au jardin et lui ramena deux cœurs de choux bien tendres, qu'il lava, effeuilla et jeta dans le chaudron.
Quand le choux fut cuit le moine dit:

- Avec une petite tranche de bœuf bien fine, cette soupe serait divine…

Aussitôt on lui apporta un bon morceaux de bœuf qu'il ajouta dans le chaudron.
Pendant que tout cela finissait de cuire, il tira une miche de pain de sa besace.
Puis il se mit a manger lentement, en prenant tout son temps.
La soupe sentait si bon que les autres en avaient l'eau a la bouche.
Le moine la dégusta en se pourléchant les babines, et quand il eut tout fini la pierre apparut au fond du chaudron.
Les gens de la maison , qui ne le quittait pas de yeux, demandèrent:

- Et la pierre, Frère?
Le moine leur répondit:
- La pierre , je vais la laver et l'emporter avec moi pour une autre fois!

Et voilà comment il fit un excellant repas chez des gens qui n'avaient pas voulu lui donner une noix.
Diablotine47
Diablotine entra et écouta le récits de mathahari et se mit à rire de bon coeur à la fin de son histoire...

-Ca change des récits de malemort


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Hannalin
Hannalin qui passait par là fut surprise d'entendre une voix de femme à la place de celle de sire Malemort!!!!mais aimant tout type d'histoire, elle décida qu'elle méritait bien une petite pause!!!! alors elle choisit de s'installer confortablement et d'écouter!!!!

tel est pris qui croyait prendre, j'adore la morale de cette histoire, merci encore Matha!!!!
Malemort
Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois
vieillards avec de longues barbes blanches, assis
devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur
dit : ' Je ne pense pas que je vous
connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous
plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à
manger '.

- ' Est-ce que les enfants de la maison sont là ? '
demandent-ils.
- ' Non, ils sont sortis ' leur répond-elle.
- ' Alors nous ne pouvons pas entrer '.

En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de
l'école, la femme leur
raconte son aventure avec les trois hommes.

- ' Va leur dire que nous sommes à la maison et
invite-les à entrer '! Disent-ils à leur mère. La
femme sort et invite les hommes à entrer dans la
maison.

- ' Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison ',
répondent-ils. Un des vieillards explique :

-' Son nom est 'Richesse', dit-il en indiquant un de
ses amis et, en indiquant l'autre, lui c'est 'Succès',
et moi je suis 'Amour''.

Il ajoute alors, - ' Retourne à la maison et discute
avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous
voulez dans votre maison '. La femme retourne à la
maison et rapporte à sa famille ce qui avait été
dit.

- ' Comme c'est étrange '! S'exclament les enfants.

- ' Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse
'!

La mère n'était pas d'accord.

- ' Pourquoi n'inviterions- nous pas Succès? Votre père
en aurait bien besoin dans ses affaires...'

La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce,
s'exprime à son tour :

- ' Veux mamours, veux mamours.... '

Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine
et la mère sort inviter 'Amour' à entrer...

'Amour' se lève et commence à marcher vers la maison.
Les deux autres se lèvent aussi et le suivent.
Etonnée, la femme demande à 'Richesse' et 'Succès':

- ' J'ai seulement invité 'Amour'. Pourquoi venez-vous
aussi?

Les vieillards lui répondent ensemble :

- ' Si vous aviez invité 'Richesse' ou 'Succès', les
deux autres d'entre nous seraient restés dehors, mais
vous avez invité 'Amour' et partout où il va, nous
allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour,
il y a aussi de la Richesse et du Succès'
Mathahari
Mathahari écoutait Malemort avec beaucoup d attention et ne pus
s' empêcher de lui dire.

Que ta fable est belle Malemort! et tellement vrai.
Et puis, a quoi bon la richesse et le succès si ont a pas l'amour avec qui les partager.

J aime beaucoup tes récits; mais celui ci est le plus beau
.

Mathahari s'en allas rejoindre Cooljazz, l'homme qu'elle aimait et avec qui elle voulait tout partager
Candyss2
Candyss qui passait par là entendit tour à tour les histoires de Mathahari

et Malemort , elles étaient tellement prenantes .....qu'elle s'assied et écouta

jusqu'au bout ....

Elle ne put s'empecher de sourire à l'histoire de Mathahari , malin ce

moine !!!

Quant à l'histoire de Malemort , elle laissa Candyss bien émue car

tellement belle , et criante de vérité car le monde n'est pas monde sans

Amour et elle le savait bien .....

Puis elle se leva et suivi d'Imala toujours trés sage en société , pris la

direction de la maison , elle hata le pas et s'en fut retrouvé son Amour à

elle qui l'attendait chez eux ......
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Soldat
et chef des Maréchaux de Mortagne
Mathahari
Après avoir longuement travaillé au champs, Cooljazz et Mathahari,deciderenr de prendre un peu de repos a la taverne .
Mathahari avait prépare un nouveau conte pour égayer cette soirée
Après avoir attendu que la taverne se remplisse peu a peu, elle s installa auprès de l homme qu'elle aimais et commençât.

- Il était une fois , un brahmane,qui s'appelait «  Béni des Dieux »Il était marié et avait un fils.

- Le couple possédait également une mangouste apprivoisé, que la femme traitait comme son propre enfant.
- Elle la nourrissait de son lait.
- baignais régulièrement et lui appliquais des soins quand elle en avait besoin.

- Cependant elle ne lui faisait pas entièrement confiance, car elle pensait que la mangouste était de nature sournoise et restais malgré tout un animal sauvage.

- Un jour, après avoir déposé son fils dans son berceau, l'avoir bien bordé, elle pris une jarre et dit a son mari:

- Je vais chercher de l'eau, pendant mon absence,veille bien à ça que la mangouste ne fasse pas de mal a notre bébé.

- Mais des que elle fut partie,le brahmane sortit pour aller jouer au cartes et gagné quelques pièces d'or.

- Alors que la maison était vide,un cobra sortit d'un trou dans le mur et rampa vers le bébé endormi.

- La mangouste, ayant reconnu son ennemi naturel et voyant le bébé en danger, n'écouta que son courage et attaqua le cobra,qu'elle mit en pièces.
- Fière de sa victoire , le sang dégoûtant encore de ses babines, elle courut au puits à la rencontre de la mère.
- Mais lorsque la femme du brahmane vit le petit animal, du sang plein la bouche et visiblement très fière de lui,elle fut certaine qu'il avait tué le bébé.
- Animée d'une grande colère et sans réfléchir plus avant,elle l'écrasa avec la jarre pleine d 'eau.
- La mangouste fut tuée sur le coup.
- La femme laissant le corps où il était, se précipita chez elle.

- Naturellement, elle trouva le bébé en parfaite santé.
- aperçut aussi les restes du serpent qui gisaient près du berceau.
- Folle de chagrin a l'idée de ce que elle avait fait elle se frappa la tête et la poitrine.
- A cet instant son mari rentra une bourse pleine de pièces d'or qu il avait gagné.

- Sa femme remplie de détresse, l'accabla de reproches.

- Regarde ce que ton avidité a provoquée! Je t avais dis de surveillé la maison.
- Par ta faute notre mangouste est morte.
- Tu est un homme cupide.


« Ne souhaite pas la richesse. Juste assez suffit, car l avidité n'a pas de limites »
Mathahari
Depuis longtemps déjà, la voix de Malemort n'avait plus résonné dans la taverne, ses contes et histoires ne semblait plus distraire les villageois

Mathahari avait bien essayer, de remplacer un peu Malemort en son absence afin que les villageois ne sombre pas dans l'ennui.

Mais sans succès, en ce début d hiver tous restait confinés au coin du feu, ce qui était bien compréhensible avec l'arrivée des premiers frimas.

elle se demandais: faut t'il continuer a tenter de les distraire ?
Mathahari
Emmitouflée dans sa cape, Mathahari, tentait vainement d'intéresser quelques villageois a sa nouvelle histoire, mais en vain

A plusieurs reprise, elle dit Il était une fois ...

Rien personne, quelques passant pressés de se rendre au travail, d autres qui lui faisait un signe de la main en disant hé ho salut Math

Il était une fois ...
Toujours personne , elle repris alors le chemin de sa maison et la chaleur des bras de Cooljazz .

Vite se dis elle avant que tous ne la prennent pour une folle qui parle toute seule
--Le_voyageur
Le voyageur, dans sa cape sombre, s'installa au près de l'âtre, se réchauffant doucement. La neige tombait drue, et les quelques voix qui résonnaient le faisaient sourire.
Il prit un luth et composa quelques notes.

" _Par dela la colline, il y a une autre colline. Et par dela cette autre colline, une autre colline. De tout temps, les hommes ont voulu savoir ce qu'il y a derrière cette colline.

Il était une fois un vieil homme. Depuis toujours, il brulait d'envie de voyager. Mais le champ familial l'en avait empecher.

Chaque soir, il regardait le soleil se coucher, et chaque matin, il le voyait se lever.

Un jour, il abandonna champ et bicoque, et suivit le soleil. Il voyagea des jours, nourris de baies, abreuvé de rosée. Et enfin, il arriva devant la mer.

Pour un homme qui ne connait que la terre, voir toute cette eau à de quoi nouer le coeur. Et la il vit une petite bicoque, dans laquelle se reposait un homme encore plus vieux que lui. Ils se lièrent très vite d'amitié, mais il arriva un moment ou notre paysan demanda:

_Mais qu'y a t'il derrière les vagues?
_Je ne sais pas. Mais tout ceux qui sont partis ne sont jamais revenus.
_Y a t'il un moyen de savoir?
_Prends cette barque et tu saura. Mais il est possible que tu ne revienne pas ici.

Le vieil homme prit la barque, remercia son hôte, et partit en ramant. Il affronta chaque vague, il vit de nombreux couchers de soleil, et enfin, il vit une terre.
Tarlina
Tarlina aimait à entendre les histoires elle s'assied donc et ecouta celle ci. Une couverture sur les jambes afin de ne pas prendre froid elle evita de faire du bruit et attendit la suite.
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Fraxie
Attirée par le son du luth, Fraxie était entrée, un silence religieux entourait un homme, assis au coin du feu, et qui semblait juste commencer une histoire.
Elle fit tomber les flocons accrochés à son manteau, salua Tarlina d’un regard et s’assit discrètement un peu à l’écart.
Les yeux mi-clos, ravie comme une enfant, elle se laissa porter par les mots du conteur….
Hannalin
Hannalin entra, cela faisait très longtemps qu'elle n'avait pas pris le temps pour une histoire, trop de choses en même temps l'occupait!!!
Un homme qu'elle ne connaissait pas avait pris la place de Sire Malemort et de Matha....
Elle vit Fraxie et Tarli installées, elle décida de les rejoindre, s'approcha du feu et s'asseya bien confortablement en attendant avec impatience la suite....
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Un jour, peut être!!!
Mathahari
Math était arrivée tout doucement elle aussi, pour ne pas déranger le conteur.
Avant de s'installer elle fit un bisou a Tarlina et Hanna, puis chuchotas a l'oreille de Fraxie " Bienvenue a Mortagne"je crois que nous ne nous sommes pas encore rencontée

Elle écouta le vieil homme avec attention, elle pensait en souriant, enfin un nouveau conteur pour venir m'aider a distraire les villageois.

- Merci Messire, puis je vous offrir a boire? une boisson chaude peut être?
- Mais oui bien sur! a vous aussi les filles


Après avoir servi tout le monde, elle revint s'installer auprès de ses amies pour ecouter la suite de l'histoire.

Tout bas elle dis a Tarli: rechauffe moi je suis gelée
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