Cesaire_h
Un fossoyeur ça connait son métier, la terre n'a pas de secret pour lui.
Il fait confiance à son ouie, ayant quand même pris note des pièges posés, la bourde est si vite arrivée.
La Nyss a décollé motivation en pic, l'idée de leur faire la nique a dopé son allure, depuis silence, genre mission commando. Il l'imagine bien, en pleine nature à se demander où aller et où ils seront eux demain.
La monture marque un écart, snobant la corde tendue, serpentine, promue reine des fins de galops intempestifs. Il se marre du déploiement de moyens, appréciant les perspectives, les règles, le défaut de vivres en fonte a de quoi rendre vif, précis, efficace.
A la dure, sur le tas c'est là qu'on apprend le mieux, il va rabattre le gras des chemins. Genre de cul terreux, en point de mire sur la voix royale menant au piège.
Il sourit, l'homme a tant d'insouscience, regardant le voyageur trottinant à belle allure, c'est beau à voir. Rare aussi. Le Falco a ouie d'enfer, il confirme.
Impressionant pas à dire. Il va pister et ferrer la Nyss à coups d'ouie si ça se trouve.
Se dit il en chevauchant, trot peinard aupres de l'homme, qu' à pas l'air de s'affoler. Césaire hésite sur les raisons, grosse assurance du mec ou alors une béatitude imbcile, ce qui est sûr c'est que letype, s'engage en virage comme une fleur, se rabat de lui même, confiant dans son avenir, le pas toujours guilleret.
Césaire stoppe la monture et commence à compter en sourdine.
"Un"
"Deux"
Le vrac, l'homme heureux, a mis le pied au noeud...coulant.
Ya plus qu'à, le Fossoyeur, Césaire est prêt à parier que le type va pas tarder à se retrouver, tête en bas, bourrelets en effet de style pendouillants.
A l'arrêt sur le chemin, il se dit que c'est trop facile pour être réel, la chance aurait elle tourné ? Il reserve son jugement, l'homme prudent...Haussant les épaules avec nonchalence, l'air de dire,"cherche pas à comprendre et leve le gibier", à qui pourrait se demander comment il a fait. Pour rabattre. En l'occurrence, rien de particulier, il a suffit d'escorter...
Le charisme sans doute, la force tranquille...Chacun son truc et pourvu que la corde resiste, c'est du lourd.
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Il fait confiance à son ouie, ayant quand même pris note des pièges posés, la bourde est si vite arrivée.
La Nyss a décollé motivation en pic, l'idée de leur faire la nique a dopé son allure, depuis silence, genre mission commando. Il l'imagine bien, en pleine nature à se demander où aller et où ils seront eux demain.
La monture marque un écart, snobant la corde tendue, serpentine, promue reine des fins de galops intempestifs. Il se marre du déploiement de moyens, appréciant les perspectives, les règles, le défaut de vivres en fonte a de quoi rendre vif, précis, efficace.
A la dure, sur le tas c'est là qu'on apprend le mieux, il va rabattre le gras des chemins. Genre de cul terreux, en point de mire sur la voix royale menant au piège.
Il sourit, l'homme a tant d'insouscience, regardant le voyageur trottinant à belle allure, c'est beau à voir. Rare aussi. Le Falco a ouie d'enfer, il confirme.
Impressionant pas à dire. Il va pister et ferrer la Nyss à coups d'ouie si ça se trouve.
Se dit il en chevauchant, trot peinard aupres de l'homme, qu' à pas l'air de s'affoler. Césaire hésite sur les raisons, grosse assurance du mec ou alors une béatitude imbcile, ce qui est sûr c'est que letype, s'engage en virage comme une fleur, se rabat de lui même, confiant dans son avenir, le pas toujours guilleret.
Césaire stoppe la monture et commence à compter en sourdine.
"Un"
"Deux"
Le vrac, l'homme heureux, a mis le pied au noeud...coulant.
Ya plus qu'à, le Fossoyeur, Césaire est prêt à parier que le type va pas tarder à se retrouver, tête en bas, bourrelets en effet de style pendouillants.
A l'arrêt sur le chemin, il se dit que c'est trop facile pour être réel, la chance aurait elle tourné ? Il reserve son jugement, l'homme prudent...Haussant les épaules avec nonchalence, l'air de dire,"cherche pas à comprendre et leve le gibier", à qui pourrait se demander comment il a fait. Pour rabattre. En l'occurrence, rien de particulier, il a suffit d'escorter...
Le charisme sans doute, la force tranquille...Chacun son truc et pourvu que la corde resiste, c'est du lourd.
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