Keridil
[On prend les mêmes et on recommence.]
Le lendemain matin, Keri, sa femme, sans le p'tit princeuh, se sont relevés, se sont rhabillés, sont redescendus, ont redis bonjour à des gens, en ont évité d'autres, et finalement, l'une s'est assise, et lui, l'époux charmant, a repris son sourire mode méga géant, et il est remonté sur l'estrade, sur son estrade, sa sienne.
Les troubadours avaient rejoués, et une voix de nouveau s'était levée, cette voix qui chaque matin résonnerait dans les jardins du Louvre.
Nobles sieurs et Nobles Dames, le Maître de Cérémonie, Keridil d'Amahir-Euphor !
Et ledit Amahir-Euphor de reprendre sa pavane et de s'avancer tel un paon en période de rut, un pas devant l'autre et les bras faisant la poule - non j'déconne - jusqu'au public, son public, parce que pour toi public, le brun fera tout - ou pas.
Et il est ravi, il est content, parce que la journée est radieuse, parce qu'il fait chaud, parce qu'il n'a pas croisé le Sévère, parce qu'en plus, il y a du monde, peut-être même plus que la veille, et parce qu'il a une surprise de taille, mais pour l'instant, le temps que chacun s'installe, le jeune Seigneur de Bréméan & de Railly s'écrie :
Bonjour Pariiiiiiiiis !
Oui gentil lecteur, le narrateur a craqué ! En effet, jamais le Maître de Cérémonie ne se serait laissé aller à tel manque de savoir vivre devant tant de monde, nenni ma bonne dame. Et la réalité fut plutôt telle :
Bonjour à tous et merci d'être là de nouveau ! Bienvenue pour cette deuxième journée dédiée à la mode ! Que vous ayez raté la journée d'hier ou non, je ne puis que vous souhaiter de passer du bon temps !
Et voilà, comment il ouvrait la seconde journée, sous le chant du rossignol dans le cerisier voisin, devant le sourire de la Dauphine, douce Dauphine. Sous le regard admiratif d'une épouse, sous celui satisfait d'une Maitresse Couturière, ou encore sous l'air jaloux d'un rapace aux cheveux gras.
La vie est belle au petit monde de Keri Keri.
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Le lendemain matin, Keri, sa femme, sans le p'tit princeuh, se sont relevés, se sont rhabillés, sont redescendus, ont redis bonjour à des gens, en ont évité d'autres, et finalement, l'une s'est assise, et lui, l'époux charmant, a repris son sourire mode méga géant, et il est remonté sur l'estrade, sur son estrade, sa sienne.
Les troubadours avaient rejoués, et une voix de nouveau s'était levée, cette voix qui chaque matin résonnerait dans les jardins du Louvre.
Nobles sieurs et Nobles Dames, le Maître de Cérémonie, Keridil d'Amahir-Euphor !
Et ledit Amahir-Euphor de reprendre sa pavane et de s'avancer tel un paon en période de rut, un pas devant l'autre et les bras faisant la poule - non j'déconne - jusqu'au public, son public, parce que pour toi public, le brun fera tout - ou pas.
Et il est ravi, il est content, parce que la journée est radieuse, parce qu'il fait chaud, parce qu'il n'a pas croisé le Sévère, parce qu'en plus, il y a du monde, peut-être même plus que la veille, et parce qu'il a une surprise de taille, mais pour l'instant, le temps que chacun s'installe, le jeune Seigneur de Bréméan & de Railly s'écrie :
Bonjour Pariiiiiiiiis !
Oui gentil lecteur, le narrateur a craqué ! En effet, jamais le Maître de Cérémonie ne se serait laissé aller à tel manque de savoir vivre devant tant de monde, nenni ma bonne dame. Et la réalité fut plutôt telle :
Bonjour à tous et merci d'être là de nouveau ! Bienvenue pour cette deuxième journée dédiée à la mode ! Que vous ayez raté la journée d'hier ou non, je ne puis que vous souhaiter de passer du bon temps !
Et voilà, comment il ouvrait la seconde journée, sous le chant du rossignol dans le cerisier voisin, devant le sourire de la Dauphine, douce Dauphine. Sous le regard admiratif d'une épouse, sous celui satisfait d'une Maitresse Couturière, ou encore sous l'air jaloux d'un rapace aux cheveux gras.
La vie est belle au petit monde de Keri Keri.
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