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[RP] - Ma vie pour un brushing !

Juliette
Citation:
-« Le bain, il est chaud, c’est pour se laver, tu te déshabilles, tu te mets dedans l’eau, on frotte pour enlever le sale, t’es propre et tu sens bon, ça fait du bien en plus l'eau chaude, et là, ça refroidit, tu sais... Et tu arrêtes de faire l’enfant.. Parce que l’enfant, c’est MOI ! Et chut, Na’ elle dort ! »


le message avait le mérite d'être clair! et juliette n'avait que trop bien comprit la situation...ce laver oui elle en avait bien besoin en un sens, l'eau chaude oui pourquoi pas rien d'effrayant, mais pourquoi tant d'appréhension? la nudité! voilà le vrai problème!
mais que faire? juliette n'a pas vraiment le choix....elle n'a pas commencé qu'elle est toute rouge, en plus elle vient de ce prendre une soufflante par une gamine de 7 ans! elle qui veut bien faire, mais qui ne sait pas comment...
et c'est avec une face de pivoine, des yeux larmoyants, et les mains tremblante qu'elle entame le strip tease du siècle!

bizarrement elle commence par le bas....oh mon dieu....le problème avec les brunes ce sont les poils....et avec une épilation inexistante c'est un vrai massacre! les jambes sont pas bien grosses mais ferme! la marche ça muscle!
ça culotte au sole juliette commence à retirer toute doucement le haut...elle tremble un peu plus, et baisse les yeux, la chemise tombe et et ne reste plus qu'une suite de bandes serrées entourant ça poitrine.
lentement elle l'enlève et déjà des larmes coule sur son visage, mais pourquoi en faire tout un plat?
la bande tombe et le voile est levé! une poitrine plus que généreuse éblouie l'assistance! et sur ce corps bien maigre on ne voit que ça! un drame pour juliette! la puberté l'avait frappée tôt, et ce qui finalement lui posa le plus de soucis ce sont ses deux beaux seins que bien des femmes lui envieraient ! mais pour juliette, elle, si prude, si chaste, si timide, c'est un vrai fardeau! une infamie qu'elle essaye de cacher par tous les moyens!
elle a honte! nue comme un ver elle n'attend pas une seconde elle s'assoit dans le baquet, genou pliés les bras autour que pas un bout de seins n'en dépasse!
cachez ce seins que je ne saurai voir! mais pour juliette c'est bien compliqué.....elle est là tremblante malgré l'eau chaude, toute rouge, larmoyante et effrayé qu'on ce moque de ses mamelles.


euh euh pardon mamzelle, snif, m'excuse, snif, voilà chui dans l'eau chaude,snif.


une petit moue timide et la tête pencher angoissé sur ce qu'on allait encore bien lui faire juliette ce demande ce qu'il va encore lui arrivé, elle veut pas déplaire mais elle veut pas être vue comme ça, le baquet eut été plus profond qu'elle serait déjà sous l'eau.
Yolanda_isabel
Comme la pluie perce les nuages, les pleurs de Juliette crèvent le nuage de colère de Yolanda, tombée des nues sur le plancher de la chamber, elle observe sans comprendre l’adolescente qui pleure en se déshabillant. Est-ce si dur pour elle ? Peut-être souffre-t-elle d’une déformation ou d’une atrocité sans nom, mais rien, elle détourne pourtant le regard l’Infante, peu habituée à voir des gens nus, voire pas habituée du tout. Pas que ça la choque, non, juste qu’elle n’a pas l’habitude, alors elle s’abstient de la fixer, se contentant de regarder furtivement les jambes aux poils bruns, et quand elle ôte la chemise, la poitrine gonflée. Dans la famille, on ne peut pas dire que ce soit le décolleté qui arrive à séduire les hommes, Maman est un peu dépourvue à ce niveau-là, elle compense par une croupe accueillante, on fait de son mieux. Mais Juliette pleure toujours, tirant Yolanda de ses réflexions, alors l’Infante s’approche du baquet en se mordillant les lèvres.

-« Faut pas pleurer Juliette, je suis pas vraiment fâchée.. C’est pas méchant l’eau.. »

Elle aurait été plus âgée, elle aurait sûrement compris que Juliette, adolescente patentée, souffre tout simplement d’un complexe dû à un corps qui change, elle aurait sûrement compris que tout le monde n’a pas été habitué dès l’enfance à être lavé par une myriade de domestiques et par conséquent, vu nu par des paires d’yeux. Elle aurait été plus âgée, elle n’aurait pas regardé les domestiques tout à fait perplexe et attristée par les larmes qu’elle ne comprend pas. Mais parce que Yolanda est jeune, malgré une maturité avancée pour ses sept ans, une maturité dont la nécessité vient de pouvoir s’adapter au monde des adultes dans lequel elle évolue, elle ne comprend pas. Mais aussi, parce qu’elle est jeune, elle a des adultes avec elle, et la servante faisant aussi office de cuisinière quand la fillette vient à Paris, de la regarder en souriant doucement avant de chasser en les houspillant les autres servantes, parce qu’elle a été jeune fille aussi, et que si Yolanda n’a pas compris, il faut bien que quelqu’un comprenne pour elle. Un tabouret est approché du baquet, et elle se pose dessus l’Infante, avec un sourire qu’elle veut rassurant.

-« Sinon, tu fais toute seule ? Tu préfères, tu veux ? Je peux aider aussi, je crois.. »

Un coup d’œil à la servante, des fois que l’idée ne serait pas bonne, faut pas croire, elle sait se laver seule l’infante, elle sait quel savon il faut utiliser, nul autre que celui importé de Grasse dans le sud de la France, mais elle a tellement peur de mal faire qu’elle s’inquiète de tout. Elle a proposé son aide, mais cela serait bien un comble qu’une jeune fille de bonne famille ne lave sa camériste, pourtant elle l’a fait spontanément, à sept ans, la bienséance a des limites.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
Citation:
-« Faut pas pleurer Juliette, je suis pas vraiment fâchée.. C’est pas méchant l’eau.. »

yolanda ne semblait pas comprendre la peine de juliette, pour une adolescente une telle nudité était horrible! et si elle percevait la compréhension des servantes elle voyait bien le vide total du regarde yoli. pour le coup c'était pas elle la moins maline.
mais que pouvait faire juliette? plus vite elle serait propre plus vite elle pourrait s'habiller! mais ce laver en publique voilà bien une épreuve pour cette jeune fille pas encore totalement sortie de l'enfance mais dont le corps a bien changé.

Citation:
-« Sinon, tu fais toute seule ? Tu préfères, tu veux ? Je peux aider aussi, je crois.. »

toute seul? oui peut être, mais non surtout pas! seul ici et si un inconnu rentrait? du coup la présence des femmes devenait plus rassurante mais de là à ce que juliette en oublie ses complexes c'était pas gagné. finalement la meilleur façon de s'en sortir c'était de dire les choses, mais s'exprimer sur des peurs si intimes là aussi ce n'était pas facile.
snif s'pas ça, snif, j'aime pas qu'on m'voit nue voilà!
il y avait comme de l'agacement dans ça voix mais aussi du désespoir, comment ne froisser personne tout en s'affirmant? mais en y réfléchissant juliette ce dit qu'en parlant ainsi elle risquait de faire partir tout le monde et de ce retrouver seule.....

juste vous mamzelle, snif, juste vous qui reste, snif.
finalement c'était bien le regard de l'enfant qui était le moins gênant, les servante ne pouvaient que voir et regarder le détail, comparer juger, alors que pour yoli il y avait dans son ignorance de ces choses un regard innocent. c'est ainsi que juliette le voyait, et ne voulant être laissée ainsi elle préférait de loin la présence de ça petite maitresse potelet qu'à celle des autre femmes bien plus au fait des choses du corps.
et puis l'infante sourit, propose son aide, ce veut gentille, juliette semble ce calmer, regarde yoli et tente bien timidement de lui sourire tout en resserrant ses bras autour de ses jambes pour masquer encore plus ce dont de la nature bien encombrant.
Yolanda_isabel
Bien que la raison de ses pleurs soit ridicule, bien que la requête le soit encore plus, quand on a reçu l’éducation que Yolanda a reçu, on ne revient ni sur une parole, ni sur une promesse et pas moins sur une proposition, et elle lui a sur le coup de l’émotion proposé de l’aider. Bien. Elle va l’aider .. Bien. Seule .. Bien. Elle va aider à laver ce corps sale, couvert de crasse, toucher ces cheveux surement garnis de poux.. Bien. Et de déglutir, bien.. Comme il faut.

Qu’est-ce qui la panique ainsi ? Rester seule avec une presque inconnue ? Au regard de la minceur effrayante de l’adolescente, une simple poussée pourrait la faire tomber. Se débrouiller seule comme une adulte avec des responsabilités ? Elle a déjà Na’, les responsabilités, elle pratique au quotidien. Non, c’est surtout qu’elle regarde l’eau qui commence lentement mais sûrement à se teinter de saletés au fur et à mesure qu’elles laissent le temps s’écouler et le corps de Juliette tremper dans l’eau. Yolanda ne s’est jamais salie, une fois à peine, juste les mains, dans la boue, un peu sur la robe, et elle avait été fâchée. Jamais elle n’avait eu le droit de se salir, et là, devant l’ampleur de la tâche, elle a peur de salir sa jolie robe d’intérieur rose. Mais elle a été élevé avec des principes et des valeurs, et l’honneur prime sur la peur de la saleté, et la petite main potelée se lève en direction des servantes.


-« Allez.. Je vais faire.. Mais vous restez derrière la porte au cas où je sais pas ! »

Des fois que j’aurais besoin de poser des questions ou je sais pas.. Ouais, c’est ça.. Elle sait pas mais elle attend quand même que les servantes partent, et avec un sourire qu’elle veut assuré, elle attrape le linge doux et humide, puis le pain de savon. Avec le premier, elle frotte sur le deuxième et le tend timidement à Juliette.

-« Je regarde pas si tu veux ! Tu prends et tu frottes partout ! Mais pas trop fort, sinon après ça fait des traces rouges quand on frotte trop fort. »

Faut tout leur expliquer à ces gosses..

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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
quand on a jamais vue les bels gens, mais qu'on en a seulement entendu parler on ne peut s'en faire qu'une vague idée, des lors juliette savait ce que c'était un noble, certes ça vous écrase par sa simple présence, mais quand à 7 ans c'est capable d'un tel aplomb et d'une telle droiture cela force le respect!
où sont l'adulte et l'enfant? où ce trouve la limite entre l'adolescente et la gamine? mais quand votre maitresse ce penche sur vous d'un regard bien veillant alors vous ne pouvez que vous en incliner et apprécier plus que de raison la place qui est la votre.
les autres, parties, la bienveillance de yolanda, l'enfant avait beau être fragile juliette n'y voyait que force et prestance!

Citation:
-« Je regarde pas si tu veux ! Tu prends et tu frottes partout ! Mais pas trop fort, sinon après ça fait des traces rouges quand on frotte trop fort. »

allait elle la laisser faire? non! hors de question! juliette veut rendre ce qu'elle reçoit, et c'est ainsi qu'elle sèche ses larmes, prend sur elle, et entame un moment qu'une enfant ne peu percevoir mais dont tout homme rêverai....

juliette s'empare délicatement du linge, puis suivant les conseils de yoli, commence à ce fronter doucement l'épaule, elle tend ensuite délicatement le bras puis fait des va et viens le long de son membre.
ceci fait elle plonge le linge dans l'eau le savonne, elle s'applique, puis fait de même avec l'autre bras, déjà ce dessine sous la crasse, une peau de nacre, clair, préservée du soleil par l'ombre des arbres de la forêt.
ce lever? non pas de suite, toute timidité n'est pas encore partie, les fesses au fond du banquet elle tend une jambe qu'elle frotte délicatement jusqu'aux orteils, puis de même pour l'autre, et malgré une pilosité galopante la souillure partie ses jambes ne sont pas si laides, juste ferme avc un certain galbe.
elle n'a pas encore fait le devant, le plus dur, le plus angoissant! elle hésite ne sait ne peut mais doit, et pour donner le change elle ce décharge ainsi.


mamzelle ma maitresse le mot est dit comment j'fait pour les ch'veux?
de la part d'une camériste on friserai le ridicule si cela n'avait été accompagné d'un pur moment de féminité dont juliette elle même n'avait point conscience.
Yolanda_isabel
    « Il faut bien que je fasse tout comme à la TV, pour que le shampoing fasse bien effet. Comme dans la pub! Il faut que les acides de fruits descendent bien jusqu'aux pointes, sinon ça marche pas. » - Florence Foresti.


C’est un mélange de répugnance et de fascination dans les yeux de l’Infante. De répugnance parce que l’eau commence à se teinter lentement d’ocre au fur et à mesure que le linge humide évacue la crasse des membres de l’adolescente, de fascination parce qu’à la surface de l’eau, flotte des particules de crasse, une fine pellicule de saleté, et que c’est décidément bien sale d’être un gueux, à n’en pas douter. Il est vrai aussi qu’à son anatidaephobie, peut s’ajouter sans problème, la mysophobie, celle-là même qui alors qu’elle voudrait l’aider dans sa dure et laborieuse tâche, la retient de faire tout geste en direction de sa future camériste, de peur d’être souillée à son contact, ou d’attraper de la saleté aussi.. Alors elle l’encourage du regard, mais ne la touche pas, elle l’encourage de la voix, mais ne s’approche pas plus. Yes, you can !

Et là, elle pose la question, les cheveux.. Yolanda aime ses cheveux, parce qu’ils sont la copie conforme de ceux de Maman, parce qu’ils se situent à mi-chemin entre l’or pâle de la chevelure de Blanche, et le blé mûri au soleil des boucles de Clémence. Elle aime ses cheveux parce qu’ils sont doux et que certaines fois la nuit quand Na’ ne la rejoint pas parce qu’elle a eu peur du noir, ou qu’elle a fait un cauchemar, alors ces nuits-là où sa secrétaire ne la rejoint pas, elle défait ses boucles et les étale sous sa joue pour en apprécier la douceur, comme elle pouvait le faire auparavant avec les cheveux de Maman. Oui, à n’en pas douter, c’est sûrement ce que Yolanda aime le plus chez elle, ses cheveux, qu’elle a fort beau d’ailleurs, et par conséquent, ce qu’elle sait le mieux laver aussi.

-« Facile ! »

Oui, facile ! Il suffit de prendre le pot contenant les paillettes de savon qu’on a mélangé avec du jus de bette, jusqu’à obtention d’une pâte absolument immonde au regard, et pourtant parfaite pour nettoyer. Alors, elle prend le pot laissé au bord du baquet et le tend victorieuse.

-« Tu mets les cheveux dans l’eau ! Tu secoues bien tout partout pour qu’ils soient bien tout muillés. Après, tu mets le savon sur les cheveux, en frottant bien tout en bas, pour que ça va bien dans tout les cheveux ! Et après, facile aussi, on prend le seau et on rince ! »

Oui, vu l’état de l’eau, on va lui éviter de rincer les cheveux dedans, sait-on jamais qu’elle voudrait que le shampooing serve à quelque chose, hein. Et vas y qu’elle met tout ça en pratique pour lui montrer, des fois que, toujours. Mais dans le vide ! Les cheveux en arrière qui se balancent .. Pas vu qu’elle a des couettes, le frotti-frotta du savon sur les cheveux, sans ouvrir le bocal. Et le seau ? Le seau, ça va être une autre histoire tiens.. Et là, c’est le drame, comment on va le porter le seau ? Elle pourrait le faire, ça va être très lourd mais elle pourrait le faire.. Mais c’est cômmême une tâche de servante ça ! Humpf.. On avisera plus tard !

-« Tu fais ? »
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
Citation:
-« Tu mets les cheveux dans l’eau ! Tu secoues bien tout partout pour qu’ils soient bien tout muillés. Après, tu mets le savon sur les cheveux, en frottant bien tout en bas, pour que ça va bien dans tout les cheveux ! Et après, facile aussi, on prend le seau et on rince ! »
-« Tu fais ? »


dit comme ça rien de compliqué, oui mais il y a un mais sans lequel ce ne serait pas drôle.....déjà juliette n'a pas tout lavé, et puis pour ce mouiller la tête en générale faut ce pencher en arrière.....oui mais la non cela l'obligerai à pointer ses seins au plafond à la vue de yoli, ce qui, même s'il s'agit d'une enfant, ne plait pas du tout à juliette.....

mais quand on a pas de cervelle, ou du moins pas assez pour tout voir venir, on pense pas non, on agit.....et parfois faudrait mieux pas!
ainsi juliette tourne le dos à ça petite maîtresse bouffie, ce qui n'est déjà pas très correct, les bonnes manières il y a encore beaucoup de boulot! et la gueuse profite de ce petit espace d'intimité pour nettoyer le reste de crasse et dévoiler une belle poitrine laiteuse, convaincu que cette idée du dos tournée est la bonne, et ne peu poser problème, elle décide non pas de ce pencher en arrière, surtout pas ça mon dieu cacher cacher....mais ce qu'on cache à un bout on le montre à l'autre....
et juliette commet l'irréparable, pour ce mouiller les cheveux elle penche en avant, relevant le séant, le mettant, sous les yeux de l'enfant tout en frottant et donc en dandinant....du grand art de la grande classe : "la lune en 3D full HD!"

mais le carnage ne s'arrête pas là non loin de là, ce serait trop facile....juliette, convaincu au plus profond de son cerveau de poule, que cette posture est la bonne solution, à son problème, et ne peut donc en aucun cas gêner qui que ce soit; ce sent de plus en plus à son aise, et comme dans la rivière fait comme elle a toujours fait dans cette position :

et c'est un magnifique relevé de tête puissant et rapide !!!!!

splatsch !!!!!

mais au faites ? qui ce trouve derrière elle déjà? a-t-elle pensée une seul seconde à la masse d'eau crasseuse et de poux qu'elle vient de projeter en arrière? ce serait bien trop lui demander que de faire tout cela en même temps.....
et c'est sans plus s'en soucier qu'elle commence à ce savonner les cheveux, toute fière de s'en sortir si bien à l'abri des regards, et pourtant bras en l'air tout est à nue, balotte même,et de ce frottis frottas jaillit la vermine la plus bondissante qui soit..........

zavez vue maitresse j'fait ça bien hein.....
du moins en est elle convaincu.....
Yolanda_isabel
    « L’ aéronef Yoli58 demande contact avec la tour de contrôle. »
    « Parlez Yoli58, la tour de contrôle écoute. »
    « Nous approchons de la lune, je répète, nous approchons de la lune. »
    « Que voyez-vous Yoli58 ? »
    « C’est moche la vache.. »


Oui, c’est moche. Comprenez par là que jamais, ô grand jamais Yolanda n’a été préparé à ce qu’elle voit en cet instant. Un cul, cher Public ! Un cul juste devant ses grands yeux hébétés, le choc, quoi ! Elle déglutit de plus belle, parce qu’elle pensait, naïve enfant, que Juliette ferait comme elle lui a dit, pas qu’elle improviserait de la sorte. Et elle tremble un peu l’Infante, parce que c’est nouveau et très perturbant, alors elle attend, tremblante que Juliette daigne se relever, elle n’ose pas la toucher pour lui en intimer l’ordre, ça voudrait dire toucher.. Ce cul ! Celui-là même qui amorce un nouveau mouvement de basculement, voilà qui est mieux.. Tu parles, Charles !

Splatsch !


-« Je.. Oh.. Mais non .. »

Oui mais non… Dégoulinante et crasseuse, voilà ! Comme ça, c’est fait, c’est plus à faire. La bouche grande ouverte, elle suffoque presque, ruisselante, de l’eau sur le visage, dans les cheveux et sur sa robe. Oui mais non.. Parce que là, sur sa main, sur sa jolie petite main potelée, il y a un point qui sautille, et elle n’entend pas la question pleine de fierté de Juliette, trop occupée à fixer ce point-là qui saute et ressaute, suivi par un deuxième point qui s’extirpe des cheveux savonneux de Juliette pour rejoindre son compère. Elle sait bien ce que c’est ces points qui sautent sur elle. Des poux. Ce sont des poux .. Sur elle.. Et Yolanda de faire la chose la plus normale au monde. Crier.

-« HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! »

Tant pis pour Na’ qui dort, tant pis pour le calme apparent de Juliette, les petites mains s’activent pour arracher la jolie robe d’intérieur toute mouillée, et en simple chainse, elle se gratte, plus nerveusement que sous les morsures des poux qui sont encore sur la robe.

-« C’est sale… »

Tremblante, traumatisée, horrifée.. Des poux, sur elle ! Enfin, comprenez-la ! Et là, au milieu de la chambre de Maman, Yolanda ouvre la bouche pour crier de nouveau sur Juliette, avant de regarder sa robe au sol tâchée.. Salie. Et c’est un éclat de rire qui jaillit de ses lèvres, elle s’est salie ! Enfin ! La première fois ! Passé le choc des poux, c’est la joie enfantine d’avoir fait comme les autres au moins une fois dans sa vie, alors elle rit pour le plaisir, pour se calmer de sa frayeur aussi et quand le rire passe, elle rejoint à distance raisonnable son tabouret qu’elle attire vers elle et le plus loin possible des cheveux de Juliette.

-« Y faut que tu frottes fort pour enlever les poux… Parce que ça, c’est carrément beuuurk. T’as finiiiii ? »

Si les poux ne partent pas, on les tuera, c’est simple, avec la cohorte de domestiques dans l’hotel, il doit bien y en avoir une qui sache comment s’en débarrasser..
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
Citation:
-« HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! »


juliette s'arrête, comme figée! un cris! le sursaut est bref mais très nerveux!
ses mains sont tétanisées sur son crane! mon dieu que ce passe-t-il?! juliette est tétanisée! elle tremble, elle peur, dans son dos, sa petite maitresse mais que se passe-t-il mais que se passe-t-il? en plus elle est toute nue! l'horreur, la honte que faire mais que faire? au secours au secours!
un instant, une seconde en vérité cela ne dur guère longtemps mais c'est si intense! une véritable décharge électrique qui la traverse de part en part !!!
et le résultat lamentable de la frayeur ne ce fit pas attendre.....si l'eau n'eut été déjà si sale c'est bien jaunâtre qu'elle serait à présent......

Citation:
-« Y faut que tu frottes fort pour enlever les poux… Parce que ça, c’est carrément beuuurk. T’as finiiiii ? »

une phrase, une seul et c'est une vague de soulagement qui parcours juliette! puis un profond sentiment de honte, ce voyant sur ses joues aux vues de ce qui venait de lui échapper.....
la petite maitresse auraient eu peur des poux? peut être, sans doute, mais pour juliette pas de quoi en avoir peur, c'est peut être gênant mais ça ne fait pas peur et puis elle sait elle comment on s'en débarrasse, quand on vécu dans la nature on sait qu'à chaque problème correspond une plante!
et c'est pour faire son intelligente qu'elle annonce fièrement :

s'pas grave ça mamzelle hein pour la vermine faut juste de l'huile d'clou girofle puis c'est......
ce retournant en même temps, les deux mains sur le cœur, elle s'arrête nette! et vois le résultat.....une poupée blonde, rieuse certes, mais mais humide, en chemise de corps, ce battant encore avec quelques bondissant...
c'est dans un mouvement naturel, et plus que confuse, que juliette porte ses mains à ça bouche, poitrail au vent et oscillant, devant une telle vision, comprenant pour une fois du premier coup, qu'elle en était l'entière responsable......
Yolanda_isabel
Un fou rire fantastique qui vous coupe le souffle, vous broie les côtes, vous serre la gorge et vous laisse pantelante, vous voyez le genre ? Et bien, l’Infante est aux prises avec un fou rire de ce genre, un fou rire qui ne veut plus s’arrêter et qui la fait rire d’autant plus que la mine hébétée de Juliette se tourne vers elle. Juliette qui l’achève avec sa phrase sérieuse et si fière, Juliette qui en oublie sa pudeur, et elle rit l’Etoile, elle rit à n’en plus pouvoir à s’en faire presque dessus, alors que Juliette l’a déjà fait, elle, mais qu’elle ne l’a pas vue. Dieu que c’est bon de rire à gorge déployée, que c’est bon d’être assez enfant encore pour saisir l’opportunité de s’esclaffer pour une chose si stupide, un peu de crasse, quelques poux, et voilà, un rire qui naît, qui enfle et s’arrête finalement, parce qu’elle n’a presque plus d’air. Mourir de rire, c’est une jolie mort, et ça la fait encore plus rire pour le coup.

Alors, elle se plie en deux, les mains sur les genoux pour reprendre son souffle et étouffer dans l’œuf, les derniers éclats de rire. Du sérieux, Yolanda, de la bienséance, enfant.. Oui, voilà de la bienséance, voilà ce qui manque ici quand une héritière ducale doit apprendre à une gueuse comment se laver, et c’est d’autant plus drôle que la gueuse est propre et que l’Infante est sale. Du sérieux, mais pas trop, un sourire ravi qui s’étale alors qu’elle colle une pichenette à un pou resté sur la manche de sa chainse.


-« Ca, c’est de la bonne idée ! Tu sais des choses trop bien ! »

Oui, parce qu’à choisir entre savoir distinguer une couronne ducale ou comtale, et savoir se débarrasser de poux, même elle se rend compte que Juliette sera plus utile au quotidien qu’elle-même. Mais en attendant, il faut rincer les cheveux de Juliette, alors armée de bonne volonté, elle se dirige vers le seau encore rempli d’eau tiède, et prend les anses et..

-« Bon.. On va rincer, tu fermes les yeux parce que ça pique.. J’arrive. »

Oui, ça pique, Yolanda a testé pour toi, public, le savon dans les yeux, ça déchire sa race, encore plus quand on a les yeux clairs comme elle. Et le seau est empoigné et .. Bon sang, c’est lourd.. Levé de quelques centimètres avant d’être reposé en une gerbe d’eau. Sourcil haussé, avant d’employer une technique différente, et le seau est trainé jusqu’au baquet, parce que faudrait voir à pas se moquer du monde, là. Et au prix d’un effort sur-yolandain, le seau est hissé sur le tabouret.

-« Pfiou.. Tu fermes bien tes yeux hein ! »

Et le dernier cap à franchir est presque franchi, le seau s’élève, majestueux, et se déverse en grande partie sur les cheveux de Juliette, mais aussi sur Yolanda.

PLOUF !

Et qu’est-ce qu’elle répond au plouf ? Elle rit encore.

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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
Citation:
-« Ca, c’est de la bonne idée ! Tu sais des choses trop bien ! »
-« Bon.. On va rincer, tu fermes les yeux parce que ça pique.. J’arrive. »
-« Pfiou.. Tu fermes bien tes yeux hein ! »

et la petite maitresse rit et rit encore, un vrai déluge de fou rire! et comment ne pas sourire soit même quand une si jeune enfant s'exprime ainsi?
juliette confuse et honteuse au début ne peut que s'en détendre, elle qui s'attendait à une nouvelle soufflante ne pensait pas que ça amuserai yoli à ce point....
juliette ce met elle aussi à rire de tout ceci, les bras lui en tombent, la pudeur est bien loin, elle s'amuse, elle qui a grandit bien vite se voit offrir là une occasion de ce croire encore une enfant. oui c'est bien de cela dont il s'agit, l'enfance, l'insouciance, les rires sans grands fondement, la joie tout simplement...
yoli traine son sceau, juliette l'aurait peut être aidé si elle ne riait pas autant! la boulotte donne ses dernières recommandations, juliette obéis, on arrête pas une équipe qui gagne!
les yeux fermés, juliette ne pense plus qu'à jouer.

plouf !!!
ce n'est pas désagréable, c'est même très plaisant, juliette découvre de nouvelles sentions, l'eau chaude et la propreté. elle ce passe les mains sur le visage, ouvre les yeux et voit une petite maitresse rigolarde et trempée!
yoli version t-shirt mouillé c'est comme une saucisse bien ficelée au concours annuel de la charcuterie locale!
juliette rigole encore et encore, de tout de rien, de sa peur finalement bien ridicule juste d'être heureuse aussi.


hi hi hi hi ben mamzelle si c'est ça s'laver, moi j'veux bien l'faire plus souvent! hi hi hi ha ha ha


c'est bien jolie tout ça mais maintenant on fait quoi? ne le demandez pas à juliette, elle aurait déjà bien du mal à expliquer comment elle en est arrivée là, si elle est plus propre qu'avant ce qui n'est pas le cas de là dodue, on s'amuse on s'amuse et dire qu'elle est payée pour ça!
payé peut être mais une choses est sur la reconnaissance de juliette est de plus en plus acquise, elle ne ce voyait pas autrement qu'au service d'une autre, et si désormais le fait que ce soit pour cette petite boule ne fait plus le moindre doute, juliette sent en elle un nouveau sentiment ce dessiner, une chose que les gens de sa condition développent, la loyauté envers le maître, et cela ne fera surement que ce renforcer avec le temps, temps où elle sera amenée à tout faire pour cette infante.
Yolanda_isabel
Elle est blonde, Juliette est brune.
Elle est obèse, Juliette est maigre.
Elle est noble, Juliette est roturière.
Elle a sept ans, Juliette en a le double.
Elle est .. Sale et Juliette est propre.
Qu’est-ce qui réunit deux personnes que tout oppose, que tout sépare, que tout aurait pu pousser à ne jamais se parler, à ne jamais se regarder ? Qu’est-ce qui peut bien permettre à deux entités à ce point différentes de se frôler pour en former une troisième, la complicité ..

Le rire. La vie. La joie qui s’étale sur un visage comme la couleur sur la toile, comme la misère sur le monde, mais ce monde n’est pas le leur, leur monde est beau parce que riche en rire, parce qu’il est leur tout simplement, parce qu’il est fait d’éclaboussures, parce qu’il est fait d’enfantillages, parce qu’il n’y a rien de plus simple qu’un monde d’enfant, et pourtant, si complexe qu’un adulte n’arrive pas à franchir la porte qui sépare le monde de leur monde, derrière la porte, les domestiques doivent s’interroger, derrière la porte on a du s’effrayer de ce cri qu’elle a poussé, on doit maintenant s’inquiéter de n’entendre plus que des rires, mais ils ne comprendront pas, ils ne les comprendront pas. Elles vivent, elles rient. Avant, elle avait mal certains soirs, mal dans son cœur, parce qu’il était si lourd ce cœur à taper dans la petite poitrine grassouillette, mais il lui semble alors que Juliette rit avec elle, qu’elle n’est plus seule à s’esclaffer d’un rien, il lui semble que ce cœur est léger, qu’il a trouvé un compagnon dans son errance dans le monde des Grands. Alors, elle rit comme son cœur, d’un rire léger qui tue la solitude, qui écrase sans pitié la bienséance, qui enserre les pleurs d’alors, elle rit parce que cela soulage et parce que Juliette a raison, cela devrait toujours être comme cela de se laver. Une belle partie de rigolade.

Et toujours en riant, elle attrape le grand linge plié sur le lit pour le tendre à Juliette, pour le poser sur le bord du baquet, elle rejoint le lit pour en trier les vêtements déposés là par les servantes avant l’ouverture des festivités, colle en passant un coup de pied dans la sienne, un coup de pied dans la bienséance parce que ça fait du bien d’être insouciante et que même elle, et surtout elle, l’a compris. Les mains potelées se saisissent du bout des doigts des affaires les unes après les autres pour ne pas les salir. Les bandes pour la poitrine qu’elle n’utilise pas elle, mais dont elle connaît l’utilité pour avoir vu Juliette ôter les siennes avant le bain, la culotte longue aussi pour dissimuler ce qui est à dissimuler, bien sur que les femmes du peuple vont nues sous leur chainse, mais Juliette est désormais au service d’une famille de Hauts Nobles, et il convient d’y mettre les formes, la cotte bleue si simple mais pourtant d’un lin de bonne facture, les bas de laine avec les jarretières pour les retenir au haut du genou, de fins rubans et enfin, des poulaines en cuir solide. Oui, décidément, elle sera parfaite, alors une question se pose encore.


-« Juliette, quand tu seras habillée, et que je serais propre moi, tu me recoifferas encore ? »

Et encore, pour toujours..
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
RP mode [ON]
Citation:
-« Juliette, quand tu seras habillée, et que je serais propre moi, tu me recoifferas encore ? »

ça c'est une phrase qui fait tilt !!! comme quand on dit chasse à un chien fait pour ça, c'est instantané! juliette reconnecte son neurone le plus utile, mode servante [ON] :
oh oui mamzelle, avec plaisir, et autant qu'vous voudrezbrave bête
mode gamine qui veut jouer à la poopée[ON] aussi! irrécupérable
juliette accompagne le tout d'un large sourire. ensuite elle s'exécute, ce drape dans le linge blanc, sort du baquet puis s'essuie, élimine encore la vermine en brossant ses cheveux, s'emmitoufle encore dans dans le drap, comme si hors de l'eau la pudeur revenait, et voilà casper le petit fantôme qui avance à tout petit pas, comme le ferait E.T, vers les vêtements.

comme un ivrogne ce ruant sur une bouteille juliette ce jette sur les bandes!
mode bondage [ON] et c'est partie et un tour et puis deux et on sert on sert bien on aplatit le mont olympe autant qu'on peut! si la plus part des femmes en serraient malade pour juliette c'est un véritable soulagement!
maintenant la culotte longue.....mais quel idée ce truc?! va falloir l'enlever à chaque besoin! et puis ça peut pas aller en haut il manque un trop pour la tête....juliette pour le coup s'en sort bien! miracle! le drap est laissé et voilà une jeune fille en culotte longue et poitrine enserrée! top sexy!
maintenant la cotte bleu! le tissu est beau, c'est doux, et.....comment ça s'enfile? hmmm la aussi ça passe! mais......contrairement à ses haillons il y a quand même de prévue un bel espace bien trop large sous le menton....et sans les bandes on verrai que trop.....ouf les bandes sont là ! mais cela n'empêche pas juliette d'en avoir les joues bien bien rouges....

maintenant que reste-t-il ? les bas de laine, les jarretières, les rubans et les poulaines!
une poule qui a trouvée un cure dent!! mode et que vive le cirque [ON]
les rubans, trop fastoche ça !!!!! ni une ni deux juliette démontre sa dextérité! une tresse de chaque coté chacune fermée par un jolie petit ruban. les bas? pfff c'est juste des grandes chaussette hein, eller hop on enfile et les poulaines vue la forme trop simple on met les pieds dedans!
et les jarretières? mais à quoi ça meut bien servir ce truc?! boarf trop logique voyons! les tresse pendent trop! aller hop on les roule en deux petits chignons maintenu par une jarretière! le retour de la menace fantomes! Padmé Amidala princesse naboo en live! on ne verra pareil coiffure que dans une autre dimension!
en un sens c'est pas moche mais.....ce balader avec des jarretières sur la tête....heureusement que le ridicule ne tue pas!
et voilà cruche girl toute fière les bas au cheville les jarretières sur la tête qui va voir, toute fière, sa maitresse et dit avec un large sourire :

tadaaame! voilà mamzelle chuis prête!
mon dieu es ce possible? avec juliette tout est possible......surtout le pire!
Yolanda_isabel
Une jarretière est une pièce de vêtement masculin ou féminin consistant en un ruban ou une bande élastique placé au-dessus ou au-dessous du genou, et servant à maintenir et tendre les bas ou les mi-bas. Votre narratrice est tentée de vous faire remarquer que si la Comtesse de Salisbury avait porté sa jarretière dans les cheveux au lieu de la mettre à la place qui est la sienne, autour du genou, jamais Edouard III n’aurait eu à la ramasser devant la Cour d’Angleterre, et jamais alors, pour pallier aux quolibets des moqueurs, il n’aurait crée l’Ordre de la Jarretière en 1348, à l’époque où l’Angleterre et le Royaume de France étaient en pleine guerre de cent ans. Oui, sur que si comme Juliette, la maîtresse du monarque anglais avait porté sa jarretière dans les cheveux, alors jamais les Anglais n’auraient pu trouver cette petite distraction-là en pleine période de chaos. Comme quoi, les choses sont bien mieux à la place qui leur est assignée, et en l’occurrence, une jarretière se porte au dessus du genou pour maintenir les bas.

Etouffant un gloussement de joie, l’Infante se hisse sur la pointe des pieds à hauteur des cheveux de Juliette pour en ôter les jarretières, sans explication, avant que de se mettre à genoux pour remonter les bas sur les jambes brunes de poil de Juliette. « Honi soit qui mal y pense » Les bas sont remontés sans arrière-pensée, et les jarretières viennent trouver leur place acquise depuis que l’homme dans son intelligence à trouver comment mettre toujours plus de fanfreluches pour se vêtir.


-« C’est mieux comme ça ! »

Ce n’est pas de la moquerie, c’est une simple explication, et de courir vers la porte pour aller chercher les domestiques, les ordres sont à peine lancés que le ballet s’exécute, l’eau crasseuse est évacué, alors que déjà de nouvelles servantes viennent amener des seaux d’eau qu’elles mettent à chauffer dans l’âtre. La consigne est donnée d’apporter de l’huile de clous de girofle comme l’a dit Juliette, la petite robe sale et mouillée traînant au sol est ramassée du bout des doigts. Et elle ? Elle attend patiemment que tout s’installe pour retirer enfin, la chainse détrempée, et avec un soupir un peu triste, les jolis rubans dans ses cheveux. Adieu couettes, mais pas pour longtemps. Et plouf dans le bain tout propre l’Infante qui entame de sa voix de crécerelle une ritournelle qui n’a rien d’enfantin, puisque les seules chansons qu’elle connaît vraiment par cœur sont des chants de guerre appris par Eusaias et Aimbaud. Vas y que je me fais savonner, et comme si tout cela ne la concernait pas, alors que les domestiques écrasent les poux récalcitrants qui se seraient faufilés dans les boucles blondes, Yolanda de tourner la tête vers Juliette.

-« Tu sais, en vrai, Juliette ? J’ai jamais autant ri de toute ma vie ! »

Et j’ai sept ans, je sais ce que je dis !

-« Là, c’est un hotel pour quand je vais à Paris des fois, pour acheter des choses, mais de sinon, je vis en Bourgogne, à Corbigny, dans le château de Papa. Alors, tu viendras avec moi, et tant que tu viendras avec moi, je crois que tu seras toujours contente, parce que je suis contente que tu es là, alors je ferai pour que tu sois contente aussi. »

Elle ne lui dit pas qu’elle l’aime bien, c’est évident, on ne dit pas à une domestique qu’on l’aime bien. Elle aime bien Naelhy aussi, et Naelhy l’aime bien, mais elles ne le disent pas, question de bienséance. Néanmoins, tant que Yolanda est heureuse, elle s’efforce de tout faire pour que ceux qu’elle aime bien le soit aussi. Si Juliette se découvre une loyauté, l’Infante, elle, découvre les joies d’avoir à son service une domesticité exemplaire et qui la pousse à faire en sorte que ceux à son service ne manquent de rien et soient heureux d’être à son service. Regardez-les.. Sept ans et quatorze ans, et déjà, elles ont compris l’essentiel de ce qui lie une noble à sa domestique, pas de l’amour, pas de l’amitié, mais une complicité qui passe par la confiance et le respect.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Juliette
Citation:
-« C’est mieux comme ça ! »

Juliette avait bien compris qu’elle s’était plantée, elle en était rouge de honte, ne pas savoir ce vêtir correctement à son age ?! Pire même ce faire aider par une enfant de 7 ans! Mais il faut bien admettre que porté ainsi ses choses semblent bien plus à leur place, c’est même mignon pense-t-elle en regardant ses bas. Mais Juliette n’en reste pas moins honteuse….
Et puis le manège reprend, la petit boule enchaîne les ordres! Et tout le monde s’active autour d’elle, et là Juliette ce trouve fasse à une vision des plus déconcertante! sa petite maîtresse qui ce met nue comme un ver devant tout le monde!! Et ça ne semble pas la déranger plus que cela!
Déjà, yoli toute nue…..c’est un spectacle en soit! Vous avez déjà vue un sumo? Pareil en plus petit! Pas de cou le bonhomme Michelin en rose bonbon!
Et puis elle se fait laver! On la frotte on la tripote et tout ! Juliette n’en revient pas! Mon dieu mais elle serait incapable de cela! « Et ben si c’est ça la noblesse chui mieux comme chui moi! » ce dit Juliette!
Et puis tout en se faisant préparer yoli ajoute

Citation:
-« Tu sais, en vrai, Juliette ? J’ai jamais autant ri de toute ma vie ! »
-« Là, c’est un hotel pour quand je vais à Paris des fois, pour acheter des choses, mais de sinon, je vis en Bourgogne, à Corbigny, dans le château de Papa. Alors, tu viendras avec moi, et tant que tu viendras avec moi, je crois que tu seras toujours contente, parce que je suis contente que tu es là, alors je ferai pour que tu sois contente aussi. »

Juliette non plus ne s’était jamais autant amusé, et le fait que ça petite maîtresse en soit heureuse suffisait à son bonheur même si elle restait perplexe devant le bain de jabba the hunt!
La bourgogne un château? C’est pas un château ici? Pourtant c’est déjà immense! Pis c’est où la bourgogne? Juliette elle sait pas ! Et comment qu’on y va? Mais quand yoli lui fait comprendre que c’est dans le but d’un bonheur mutuel Juliette ce dit que cela ne doit pas être si terrible. Et puis réfléchir c’est commencer à désobéir! Alors n’y pensons pas trop ce qui pour Juliette n’est pas très compliqué…
Dans tout cela notre servante était restée bien passive tant tous s’activait autour de yoli et que tous ce bousculait un peu dans sa tête, du coup, et pour reprendre le dessus sur tout cela Juliette ce dit qu’en rentrant dans son rôle elle y reprendrait pied.
Elle ce saisie de la brosse, des petits nœuds roses, ce poste fièrement devant sa petite maîtresse et dit

Moi mamzelle j’veux que vote bonheur, vous m’dites et j’vous suis!

Juliette avec sa brosse en main, c’est comme un soldat avec son fusil au garde à vous! Le sourire en plus bien évidement.
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au service de Yolanda Isabel de Josselinière (propriété privée même!).
gueuse de 14 ans environ, forrest gump au féminin.
1,55 mètre, brune aux yeux verts.
poitrine généreuse, trop pour elle mais enserrée.
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