Yolanda_isabel
La pudeur reste un concept relativement abstrait si tant est quon a été élevé par une myriade de domestiques qui vous ont vu nue depuis votre naissance. Yolanda nest pour autant pas de ces jeunes filles qui plus tard, pour charmer, sappuieront avec nonchalance à la fenêtre en linge de corps en faisant mine de se délasser pour que les jeunes gens qui passent puissent en profiter, non, Yolanda ne se montrera à personne dautre que son mari, cest pour cela que ça ne la dérange pas que la domesticité la voit nue, il est bien connu que les valets ne sont pas vraiment des personnes à part entière, quelle servante irait dire quelle a vu nue sa maîtresse, quel planton se vanterait den avoir apprécié les formes ? Aucun. Elle naime pas son corps, mais ne le déteste pas, il est comme il est, rond, gros et gras, il est en chair, et cela prouve tout simplement quelle mange chaque jour que Dieu fait plus quà sa faim, cest bien cela, le plus important nest-ce pas ? Manger comme on le désire, ce quon désire et quand on le désire. Manger à sen faire exploser la panse quand tant de personnes meurent de faim. La pudeur trouve sa source dans les préceptes religieux, dans les pêchés mais surtout dans la situation sociale.
Elle na pas honte et quand elle sort du baquet nu comme un ver trop gourmand qui se serait enfilé un banquet royal de bonne terre riche en minéraux, elle sourit en voyant Juliette, indifférente du spectacle quelle offre. Séchée et rhabillée dune chainse sèche et dune petite robe à tassel rose pour changer, elle se dirige vers la coiffeuse.
-« Tu me fais des jolis cheveux, après on réveille Na et après, on rentre. Jen ai marre de Paris, on revient à Corbigny. »
Oui, marre de Paris, mais surtout, tant que Juliette est daccord, on ne va pas prendre le risque de la faire changer davis. Pas folle la guêpe, ou plutôt le gros bourdon.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
Elle na pas honte et quand elle sort du baquet nu comme un ver trop gourmand qui se serait enfilé un banquet royal de bonne terre riche en minéraux, elle sourit en voyant Juliette, indifférente du spectacle quelle offre. Séchée et rhabillée dune chainse sèche et dune petite robe à tassel rose pour changer, elle se dirige vers la coiffeuse.
-« Tu me fais des jolis cheveux, après on réveille Na et après, on rentre. Jen ai marre de Paris, on revient à Corbigny. »
Oui, marre de Paris, mais surtout, tant que Juliette est daccord, on ne va pas prendre le risque de la faire changer davis. Pas folle la guêpe, ou plutôt le gros bourdon.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.