[RP] Du mécontentement du peuple

C'était le temps des affichettes mais elle avait choisit de causer seule ou au vent qu'importe, pourvu que elle puisse se comprendre déjà...

Peut être que la tempérance existe, il se peut que la raison domine parfois, aimer son prochain pardonner ne sont pas que de vaste mots, il est fort possible aussi que l’honneur vive, et peut être aussi que la folie d’aimer ressorte en bouffonnerie des hommes.
On la croira vexée possible, pour ce jour elle est porte-parole, ça en jette non ? C’est le poste que l’on refile quand on veut écarter quelqu’un, dans des centaines d’années, il existera une grande roue qui tournera avec des numéros dessus , la vice duchesse sera toujours blonde a forte poitrine, elle aura le sourire qui tue, de son bras elle tournera la roue, c’est ainsi que les hommes vivent, il faut parfois savoir s’élever.
Porte-parole…… Fallait pour cela avoir toutes les connaissances militaires, est ce qu’une greluche a forte poitrine peux faire effet en combat maritime, pas sérieux, pas conventionnel…alors pour user de son poste ce jour, elle avait foutu une robe, même qu’elle avait rembourré son corsage, fallait bien présenter, propre sur soi, le sourire commercial affiché aux bords des lèvres, le cœur en émoi, la boule dans l’estomac. Puis finalement, la roue tourne encore, on la juge inapte à porter la parole, elle sait plus trop ce qu’elle est dans ce conseil.


Amis du Bourbonnais Auvergne bonjour
Belle journée en ce jour, récolte a foisons, le château se porte à merveille, permettez je fais mon bilan avant l’heure, comme cela je suis la première, puis je suis porte-parole j’apporte la bonne parole, ne confondez pas avec l’autre poste qui sert a rien, moi je suis la pour mentir, tempérer, faire remonter vos doléances au duc je suis la pour tous les trucs quand le Duc n’en a rien a cirer , vous répondre, je commence d’ailleurs.
Ça se fait le petit message du matin pour la bienvenue non ? j’adore ça, le matin tous les maires d’Auvergne auront leurs dictons du jour.


Titre : c'est qui qui s'est fait?
bjour ça va?
je t'apporte la parole du matin toi le maire du Bourbonnais Auvergne,
"qui se couche le soir en tournant le dos a la fondation et les volcans se lèvent le matin le séant en feu" bonne journée .... votre porte-parole préférée.


Ça vous plait ?? c’est moi qui l’ai fait !
Alors voila, je vous explique, le topo, il existe un bureau porte-parole, c’est la qu’il faut geindre moi je serais derrière je vous regarderais l’air creux et simpliste, et je vous dirais, j’en causerais a mon cheval heu au duc, et le duc il me dira j’en ai rien à foutre de ces clampins je suis élu , moi je reviendrais vous voir en disant votre demande est prise en considération ! passons a autre chose a présent, comment ça j’ai pas la tête de l’emploi ? Pas crédible ? En même temps c’est un peu normal, voyez vous je sais rien faire d’autres que de la stratégie militaire moi,je ne suis même pas fichu de savoir broder ou cuisiner, et la COBA je la considère comme une famille avant tout, alors quand on m’a demandé de bien vouloir être en compétions pour le poste de capitaine, c’est avec joie que j’ai accepté, pouvoir prétendre apporter quelque chose a cette grande institution était motivant….Je suis amère oui ! mais je le suis d’autant plus quand je vois que sous prétexte d’une alliance sortie de nulle part, sous le couvert d’aucune négociation ! sous l’emprise de la déesse acherpé des chiabrenards ont tout simplement décidé d’écarter sa grandeur Tixlu, duc de Lapalisse, pair de France de toutes négociations !! en se foutant des votes et des postes en se foutant tout bonnement de nous ! je ne peux qu’être amer !
Le nouveau Duc aura sa couronne, sa tête en dépasse, éphémère et chimérique elle se mange pas il étouffera pas que le peuple en soit rassuré.

Porte-parole du matin, la pluie est en chemin ! vice duchesse au soir, horreur et désespoir vous connaissez ?

Alors mon rôle, c’est d’assumer a aider le ducaillon a tout faire, j’espère vraiment qu’il sait aller aux latrines seul, bah sinon je secouerais hein…. Je pense que je vais déclarer la guerre a la Bourgogne, une envie comme ca….on est folle dangereuse où on ne l’est pas…. Comme vous savez a Moulins il y a des gens je balance pas de noms désolé, qui pissent dans le fleuve, je sais c’est degueu, mais c’est une bonne raison pour déclarer la guerre, et si elle est pas suffisante, on en trouvera une autre, qu’importe…

Amis Bourbonnais Auvergne a bientôt et surtout faites attention en tournant le dos , marchez droit les fesses serrées.
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La Jeannette était là sur la grande place de Clermont, en ce jour où un nouveau duc était reconnu pour gouverner le duché dans lequel elle vivait depuis des années.
Elle regardait celle qui serait la colleuse d'affiches ou la vice pendant deux mois et qui râlait déjà devant tout le monde.
La Germaine s'approcha d'elle.

- Ah tin, b'jour la Germaine, alors toi aussi t'viens voir ce qui se passe.
- B'jour la Jeannette, ouais parait qu'y a du ragot !

Le sourire en coin de la Jeannette se dessina alors en même temps que sa comparse et elle commença à parler à voix basse.

- Alors s'tu veux tout savoir, t'a la Sofio qui crie au scandale et qui parle de ce qu'elle voulait.
- Ah bin dis donc, v'là qu'elle recommence, l'était mieux en voyage celle là.
- Ah ben c'est pas tout !
- Vas-'y raconte !
- Le pov' Rastero, tu connais ?
- Celui qui crie c'qui se passe sur les terrains de soule ?
- Ouais c'est ça ! Ben il a été désanobli, un truc comme ça, il était du Jargor de c'qu'ils disaient. La Sofio, parait qu'elle a eut plus de jargoriens dans sa couche que le Garde au seau a des titres.
- Ah ben ! T'm'étonne pas qu'elle s'ennuie ici.
- Ouais puis là elle est pas capitaine alors elle nous fait de l'animation !

Elle écoutèrent la fin du discours de la Sofio qui parlait de pisser dans le fleuve de Moulins, v'la qu'elle dénonçait le peuple maintenant.

- Parait qu'y a eut de la magouille ?
- Ouais...ben tu vois tous ils ont magouillé un jour et le Garde au Seau aussi.
- T'a raison, t'devient pas Père de la France parce que t'es beau.
- Le Titan, la Korydwen, z'ont magouillé eux aussi en votant les Fondationnistes.
- M'rappelle ouais, s'étaient tous les deux torchés du vote du peuple eux aussi.
- Bon elle a finit on dirait, on va voir c'qu'il se passe à la taverne ?
- C'est parti !

Les deux commères quittèrent la place pour aller voir si elles pouvaient se mettre d'autre ragots sous la dent.

Amusée, petit bain de foule, il y aura toujours les commérages de ceux qui n'y connaissent rien, ceux qui y étaient sans y être et ceux qui règlent leurs comptes au milieu des comptes qui se règlent.

Deux petites vieilles dont l'avenir est déjà incertain déchues de leurs jeunesses et souvenirs, titres de gloires d'un temps passée, les entend parler de Rastéro se souvient de l'homme qui voulait le pain, le beurre et l'argent du beurre qui finalement obtenu l'œuf pourri, amusée encore, elle garde le sourire des incrédules.

Salut Sofio ! Ca va ? La forme ? Prêt à donner de la voix ? Au moins, cela aura le mérite d'offrir divertissements à la foule ! Tu vois, un jour on insulte Volcan et le lendemain on le câline, on le dorlote...

C'est le jeu des alliances que ducaillon à répondu, faut t'il pour cela être dépourvu d'honneur je crois bien, il conduira la politique d'Auvergne ainsi, nous devrions attaquer nos alliés et se foutre copain comme cochon avec le Berry, ca aussi c'est le jeu des alliances.

Dire qu'elle aussi avait cru, par le passé avoir une ligne de conduite a tenir, avait cru que les élections n'avaient rien d'un jeu, pour se refiler une couronne en jouant avec.
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Reconduite à son poste de Prévôt , elle s'en estimait très chanceuse vu comment le temps des négociations avait été mis à profit , écartant son parti , le BAR , comme un pestiféré , de tout échange pour la composition du prochain Conseil Ducal , le jeu des alliances avait toujours eut court et cela lui importait bien peu en comparaison de l'écoeurement qu'elle avait ressenti en découvrant seulement les postes attribués aux baristes ... Ceux de leurs adversaires , elle les ignorait et ne les avait vu que le matin même de la nomination officielle du Duc .
Irrespect total envers eux , envers leurs électeurs et envers des personnes compétentes relégués à des taches minimes ...
Les deux mois seraient longs , très longs , trop longs et heureusement qu'elle avait la Prévôté et ses membres pour adoucir ce dégoût qui ne disparaitrait pas de sitôt .
Elle savait que Soso ferait un communiqué , elle en ignorait la teneur mais connaissant la rousse , elle se doutait qu'elle ne prendrait pas de pincettes .
A l'écart , elle écoutait son discours , regrettant que les connaissances exceptionnelles de Soso ne soient pas mises à contribution pour le duché , dans l'intérêt de celui-ci et uniquement cela , le meilleur Capitaine qu'elle aura eut et qu'elle avait hâte de retrouver , quitte à subir des remontrances pour les faire avancer , meneuse d'hommes hors pair , qu'elle même aimerait égaler , peut-être y parviendrait-elle un jour ...
C'est alors qu'elle se rapproche de deux petites vieilles , malgré l'odeur qu'elles dégageaient , elle resta là , attentive tandis qu'un sourire narquois étirait ces lèvres devant tant d'inepties proférées et juste avant qu'elles ne quittent le lieu , s'adressa à elles , les surprenant sans doute par sa discrétion .

Bonjour mes ptites dames , les commérages vont bien par ici ? Ne répondez pas , je vois bien que c'est le cas ...
Permettez moi de me présenter à vous ... je suis l'actuel Prévôt et je l'étais pour les deux derniers mois ...
Vous parlez de Rastero et de la perte de son titre , titre remis par le duché à la demande de l'ancienne régnante Princesselaure . Rastero se targuant d'avoir sauvé le BA contre des brigands , évitant que notre duché ne soit incendié ou pillé ... Hors , comment se fait-il alors qu'aucune de nos Institutions liés à la Sécurité du duché ne fût au courant ... ? Même pas le Duc ... Chef de notre duché je vous le rappèle ... Les preuves de son appartenance au Jargor nous les avons eut et il était alors hors de question qu'un tel homme , se moquant outrageusement du duché , conserve un titre remis par celui-ci .
Quant à dénigrer Sofio , je ne vous le permettrais pas , elle au moins , elle en a dans les braies !
Vous les commères , feriez mieux d'aller voir plus loin et de balayer devant votre porte , les odeurs nauséabondes qui vous entourent s'évaporeront peut-être mais c'est loin d'être gagné ...
Quant aux votes de Titan et de Kory , point de magouille là dessous , le BAR ne se présentant alors pas , ils ont décidés de donner leurs voix pour un des partis en lice , rien d'autre et comme le ferait tout un chacun ... Ravie d'avoir discuté avec vous , vous m'excuserez mais je ne supporte plus votre vue et j'ai besoin d'air frais et non de cet air vicié qui vous enveloppe .

Le timbre de sa voix aura conservé une note de moquerie mais ses prunelles , elles , ne reflètent rien d'autre que du mépris pour ce genre de personnes .
Se détourne , rejoignant les personnes déjà là , claquant une bise sur la joue de chacun .

Bonjour , bonjour ... quelle animation en ce début de mandat , le beau temps , le soleil lumineux , les oiseaux qui chantent et des pâquerettes à ramasser ... un charmant programme à l'horizon n'est-ce pas ?
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Pépère Hony arrivait de sa Provence natale, choisissant l’Auvergne pour la qualité de ses eaux que l’on disait souveraines pour les transits douloureux.
Le duché, qui lui avait un temps semblé aussi éteint que la lave des volcans dont il était né, était sorti de sa torpeur depuis le résultat des élections ducales.
Attiré sur la place publique par l’attraction de deux larges croupes plus que par les débats politiques qui s’y déroulaient mais ne le concernaient nullement, il s’était rapproché des deux fumelles, l’une dicte Jeannette et l’autre Germaine qu’il aurait eu plaisir à trousser n’avait été l’odeur et le poil aux pattes dont elles étaient largement pourvues.

« La peste soit des sodomites qui se déguisent ! ».

Finalement, l’œil attiré par une rouquine plutôt gironde qui n’avait pas la langue dans sa poche, il écouta ce qui se disait.
Il comprit qu’il était question d’un duc qui, n’ayant pas les faveurs du peuple, avait contourné le problème pour le prendre ‘à revers’, brossant dans le sens du poil un troisième parti autrefois laissé pour compte.
Ce troisième parti, fon… arf satané problème de mémoire s’agissant de retenir un nom… mais peu importait un nom que l’Histoire sans doute oublierait très vite au vue de son peu d’intérêt, ce parti donc, avait vu dans l’alliance l’occasion de se hisser à la hauteur des trous de ce nouveau duc. Hauteur jusque là, au demeurant jamais atteinte.

Hony gratta sa barbe naissante. Au final qu’obtenait-on ?
Un ducaillon dont la tête ployait sous le poids d’une couronne usurpée et qui chaque jour lui rappellerait qu’elle était imméritée, duc potiche qui n’avait encore pas eu le courage d’affronter la vindicte d’ailleurs...
Quelques conseillers dont certains placés là uniquement pour éviter que les légitimes prennent la place et qui auraient sans doute bien du mal à affronter le pire, si le pire devait arriver.
Quelques remarques acerbes mais qui sans doute s’endormiraient comme les volcans d’Auvergne.

Ainsi en est-il d’un duché, qui avait été grand.

Sur un dernier regard concupiscent en direction de la rouquine et un crachat qui s’éclaboussa les chausses des deux prétendues fumelles et il s’en fut en chantonnant ….

"Duché de lumière, qu’ont-ils fait de toi...."

Celui qui se cachait sous le masque d’Aristophane, et dont l’identité en étonnerait plus d’un, assistait aux divers échanges se déroulant devant lui. Il en apprenait beaucoup… et tant ailleurs… Les procédés ne l’étonnaient guère et ce qui le heurtait n’était certainement pas le fait de s’allier entre familles politiques. Des campagnes souvent pacifiques, voire soporifiques ou encore mielleuses – bref à en vomir – mais des coups bas dès les résultats connus. Les négociations pouvaient s’ouvrir et les sourires de façade se faisaient alors plus larges pour mieux entrevoir les canines acérées des rapaces que les têtes de liste étaient en réalité.

Le plus si jeune homme qui dissimulait ses yeux prenait quelques notes de temps en temps et pensait à la rédaction d’un nouveau texte, après avoir appris bon nombre de nouvelles informations. Car c’était bien son but : faire transpirer la réalité. Retransmettre des vérités, la plupart du temps cachées, et surtout : faire réagir la population. Car le peuple devait être au courant de ce qui déroulait dans les coulisses.

Au peuple de décider.

Finalement, après avoir été plutôt satisfait de sa première mouture, il décida d’entreprendre un nouveau texte. Il était d’humeur pamphlétaire… Un texte qu’il afficha tout à côté du premier…

Il y avait tellement de choses à dire, que Fabien ne savait même pas par où commencer.
En effet, le partage des votes avait donné naissance, deux jours après sa publication, à une répartition de ces derniers bien surprenante, et au clair désavantage du BAR, sans aucun doute.
La Fondation avait fait alliance avec Volcan, et avait remporté le trône ducal, comme cela s'était passé de nombreuses fois auparavant, manoeuvre à laquelle le BAR, qui avait la mémoire courte, s'était aussi adonné en son temps, en écartant un dénommé Melkio du pouvoir, malgré un score plus important au scrutin. Et qui retrouvions-nous en leader de l'opposition d'alors? Un dénommé Tixlu, dont le nom n'est curieusement pas étranger à l'affaire qui nous intéresse.

Ce n'était pas tout, mais il fallait réagir. Oui car s'il avait pensé ne rien répondre aux attaques fausses, exagérées et hypocrites dont il était victime, Fabien ne pouvait rester sans réagir. Ainsi donc on le disait lâche, avide de pouvoir, incompétent, égocentrique, ainsi qu'on l'affublait d'autres noms d'oiseaux tout aussi comiques.

Il était triste de voir combien l'aigreur d'une défaite inattendue pouvait déchaîner tant de haine, pouvait pousser les gens à retourner leurs vestes aussi franchement. Certains ne se gênaient pas pour agir de la sorte, ainsi l'on comptait dans les rangs des contestataires certains des membres de la propre famille du duc en exercice, et certaines personnes avec lesquelles ce dernier s'entendait généralement plutôt bien.

Bref, il fallait réagir, et c'était là le moment idéal. En effet le bon sens paysan commençait à faire apparition ça et là, et il fallait frapper un bon coup.

Il avait hésité à venir en personne expliquer la situation, mais s'il fallait recevoir des navets pourris en pleine figure, autant que ça ne se produise qu'une seule fois, au discours au peuple, qui devait avoir lieu dans la soirée.

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Fabien de la Fléchère Marigny, duc du Bourbonnais-Auvergne

Corti trainait dans les parrages, l'air inquiet et révolté parce qu'il entendait depuis quelques jours...

Il vit un attroupement..

Et ben, encore un ! j'espère que le duc a ouvert les yeux sur ses agissements...

Il s'approcha mais voyant la mine énervée de Sofio, il avait du mal à croire à un changement de ton..

Il se rapprocha donc de l'affiche et lit, malgré un mollard dégoulinant sur l'affiche..

Il lisa d'un air étranger..

Bla bla bla encore des paroles saines d'esprit !

Qu'il vienne nous le dire en face ! qu'il vienne voir le peuple ! Il a peur ou quoi ? il aime pas les oeufs pourris ?
Pourtant les magouilles et les coups bas ca se range dans le même panier, non ?

Corti était hors de lui, de moins en moins il se retenait. Il en avait marre de cette politique d'apparat, marre qu'on ne pense au peuple qu'avant les élections ! marre de ne pas se faire entendre !

Il regarda les gens autour de lui, on les sentait vidés, dépités, résignés...

Il leva le bras et pointa le chateau..

Vous voyez le type au chateau, il est même pas venu s'expliquer devant vous devant ses électeurs ! Et vous vous ne dites rien ? vous vous en foutez ?

Votre avenir est entre vos mains, pas chez le voisin !
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