Les Pupilles de la Reine

Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

A tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Dans un souci de renforcer l'image d'excellence de la Noblesse Française, nous créons ce jour la qualité de Pupille de la Reine.

Adoncques, sont attendues nombre de jeunes pucelles d'extraction noble désireuses d'entrer au service de Sa Majesté, qui pourvoira à leur éducation & veillera à la vertu de leur vie, condition sans quoi elles ne sauraient demeurer à son coté. Elles seront sous l'entière autorité de Sa Majesté & leur famille renoncera à l'exercice de tout droit parental sur elles.
Leur parentèle est invitée à envoyer une lettre de recommandation et de candidature à notre secrétariat personnel.*

Afin d'affermir cette décision, nous y apposons notre sceau, ce IXème jour du quatrième mois de l'an de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.

B.d.C.

A Sa Majesté Beatrice de Catselmaure-Frayner, Reyne de France,

De Nous, Davor d'Estissac, Comte de Charroux, Baron de Pouzauges et Seigneur de Saint Sauvant, membre de la glorieuse Noblesse française,


Avons pris connaissance de la déclaration de Sa Majesté la Reyne Beatrice de Castelmaure-Frayner, souveraine du Royaume de France, et de la création des Pupilles de la Reyne.

Souhaitons donc que notre unique héritière, Meileen d'Estissac de Montbazon-Navailles, ait l'honneur de pouvoir bénéficier de la faveur d'entrer au service de Sa Majesté ; nous lui confions
son éducation et la laissons sous son entière autorité. Nous souhaitons seulement pouvoir garder le droit de lui choisir un époux, avec l'accord de Sa Majesté bien entendu, ayant pour unique but que de lui trouver bon parti parmi les nobles du Royaume.

La demoiselle, vierge, est âgée de 11 printemps. D'apparence fort plaisante, elle a une intelligence déliée qui la prédispose naturellement à recevoir l'éducation que lui dispenseront Sa Majesté et son entourage.

Nous trouvons de plus qu'il s'agirait là d'une excellente occasion pour resserrer un peu les liens, parfois trop distendus, entre la Couronne de France et le Poitou, notre Comté.

Actons de notre souhait par apposition de notre scel, ce XIème jour d'avril de l'an Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.

A Sa Majesté Beatrice Ière de France,

De Nous, Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie, Duc dé Donostiri, Vescoms dé Gimoez, Senhor dé Cazarilh,


Avons pris connoissance de la création de la qualité de Pupille de la Reyne.

Souhaitons donc, en tant que chef de la famille La Duranxie, que nostre cousine, Lanceline de Valdesti, ait l'honneur de pouvoir porter la dicte qualité en entrant au service de sa Majesté; ainsi sommes-nous prest à lui confier tout droit parental et toute autorité afférente.

Saine de corps et d'esprit, la damisèla conserve un caractère calme et réfléchi qui feront d'elle une élève exemplaire.

Il est en outre évident que cela symboliserait un rapprochement significatif entre les provinces du Sud et la Couronne de France.

Scellé en nostre domaine donostiritar, le jour douzième du mois d'Avril de l'an de grasce Mil quatre cent cinquante neuf.


RCVLD

A Sa Majesté Beatrice de Catselmaure-Frayner, Reyne de France,

De Nous, Angèle louise de Castelnau de montmiral Cousine illégitime

Avons pris connaissance de la déclaration de Sa Majesté la Reyne Beatrice de Castelmaure-Frayner, souveraine du Royaume de France, et de la création des Pupilles de la Reyne.

Souhaitons donc que notre fille, Elizabelle de Castelnau de montmiral ait l'honneur de pouvoir bénéficier de la faveur d'entrer au service de Sa Majesté ; nous lui confions
son éducation et la laissons sous son entière autorité.

La demoiselle, vierge, est âgée de 13 printemps. fortement inteligente et d'une présence fort plaisante, l'éducation de sa Majesté ne lui fera que grandire ses nombreuse qualité tout en lui en trouvant de nombreuses autre

Scellé à Nevers, le jour treizième du mois d'Avril de l'an de grasce Mil quatre cent cinquante neuf.

Angèle

A Sa Majesté Béatrice 1ère, Reyne de France,
Culinaires salutations.

Nous, Eilinn Melani, Vicomtesse d'Avize par la grâce du Très Haut, proposons ce jour pour les Pupilles de la Reyne notre enfant adoptive Alice Liddell, agée de huit années.

Elle est de ces enfants pour lesquels une étoile a brillé à leur naissance.

Bien qu'orpheline, pourvue des particularités des albinos, Dieu a guidé ses pas jusqu'à ma demeure, ou elle a pu trouver un lit, une écuelle remplie et si ce n'est l'amour d'une mère, tout de même de la bienveillance et de l'Amitié.

Aujourd'hui encore cette étoile brille, alors que je la considère comme mon enfant adoptive, que je tente de lui inculquer les fondements de la religion d'Aristote, ainsi que les bases éducatives de tout enfant noble, et je décide pour cela de confier sa tutelle à Sa Majesté, si vous décidez, dans votre magnanime bonté, de la prendre pour pupille.

Nous scellons cette missive de sinople pour que jamais notre volonté de ce jour ne soit remise en question.

Rédigé à Paris, à la Saint Maxime 1459
Eilinn Melani,
Vicomtesse d'Avize.

Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

A tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Dans un souci de renforcer l'image d'excellence de la Noblesse Française, nous avons créé la qualité de Pupille de la Reine.
Il convient désormais de mettre à profit les heures où elles ne se trouvent pas en notre compagnie, en diverses activités destinées à affermir leur nobles qualités & leur aisance dans le monde.

Adoncques, nous recherchons :
* un Maître de Musique
* un Maître de Danse
* une Gouvernante chargée d'ordonner le quotidien des Pupilles
* un Maître de Théologie
* un Maître d'Histoire du Royaume de France
* un Maître du Trivium
* un Maître d'arithmétique, géométrie & astronomie

pour parfaire les aimables qualités de nos Pupilles.

Les Maitres sont invités à présenter leur candidature à notre secrétariat personnel.*

Afin d'affermir cette décision, nous y apposons notre sceau, ce XIème jour du cinquième mois de l'an de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.

B.d.C.

A Sa Majesté Béatrice 1ère, Reyne de France,

Veuillez considérer par la présente missive que je me porte candidate pour le poste de Maitre de Théologie.
J'ai obtenu par le passé le diplôme professoral du séminaire Saint Benoit de Noirlac, avant de devenir professeur de théologie, pour les pastorales et licences, et ensuite vice-doyenne du séminaire Saint Benoit de Noirlac.

Je poursuis à présent mes études en suivant la maitrise de Théologie du Séminaire Primaire de Rome, ainsi je pense être à même de pouvoir remplir ce rôle d'enseignement auprès des pupilles de la Reyne.

Je scelle cette missive de sinople afin que jamais ne soit remise en question ma volonté.

A Paris, le 17 Mai 1459,
Eilinn Melani
Vicomtesse d'Avize.

A Sa Majesté Béatrice 1ère, Reyne de France,

Moi, Wilky Pédia, ose m'adresser à vous ce jour pour vous présenter ma candidature au poste de professeur d'Histoire auprès de vos chères pupilles.

En effet, depuis mon plus jeune âge, ma passion n'est autre que l'Histoire de notre Royaume de France bien aimé. Mon noble ascendant, le regretté Petit Robert Pédia, roux de son état, avait eu à coeur de nourrir ma passion pour ceux qui ont construit et ont mené notre Royaume jusqu'à votre règne que nous autres vos sujets ne cesseront de louer, en me faisant lui même part de ses connaissances.

Je me passionne plus particulièrement pour la période pas si éloignée de la Fronde, qui, je le pense, doit être dans l'esprit de nos jeunes pupilles afin qu'elles sachent ce qui fut et ne sera, Aristote y veillera, plus. Je porte aussi une grande attention à ce mouvement qu'à pu être le phookaisme, et la lutte menée contre elle par ce célèbre personnage qu'on nomme Caedes. Tant de grands autres hommes me passionnent et je serais ravie, par le biais de l'enseignement à vos pupilles, de transmettre mon savoir.

Que le Très Haut veille sur Sa Majesté,
Fait à Paris, le dix septième jour du mois de mai de l'an mil quatre cents cinquante neuf.

Wilky Pédia.

De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

A vous, Blanche Mirolis, Comtesse de Douai, Dame de Ledringhem et du Sart,

Salut.

Votre candidature au poste de gouvernante des pupilles royales a retenu notre attention. Nous savons quelle conscience des valeurs morales l'on acquiert, lorsque l'on est élevée dans un couvent.

Nous vous convions donc séance tenante au Louvre où nous espérons être, au cours d'un entretien, tout à fait convaincue de l'utilité d'entourer nos pupilles de vos égards fermes et bienveillants.

Fait au Louvre, le 18 avril 1459.

B.d.C.