Afficher le menu
Information and comments (2)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP] La taverne des Macarons Enchantés, elle est carrée !

Dria_de_lostebarne


Dria eu les jambes chancelantes. Ce n'étais pas possible que tony était venu pour cela, tout avait été arrangé depuis des lustres et le voila qui revient à la charge.

Je ne partirai pas d'ici, ou alors faut que tu me tue, mais rentrer en italie a ton bras ça jamais


Elle prit une cruche sur la table qu'elle balança sur la tête d'antonio afin de l'assommer mais elle foira son cou. Elle replongea sous les tables pour échapper au cruel destin du bourreau

_________________
Arutha_gisors
Crotte d'un chien tout sale ! C'est Arutha pas Arthura

Le jeune garçon, effrayé par la scène qui devait se dérouler au dessus du bar, s'écria :
Nan, mais vous êtes un peu fous, vous deux. Pourquoi z'allez pas régler vos histoires ailleurs. Parce que moi, là, vous salopez ma taverne toute propre. C'est p'tete écrit qu'on peut tout faire... D'ailleurs, c'est pas écrit ! Mais c'est pas la solidarité peterismeniale. Alors, soyez sage, ou j'appelle... J'appelle... Euh... La marée-chaussée !

Et je ne suis toujours pas sous le comptoir.
Mieux valait prévenir que guérir.
_________________
Dria_de_lostebarne


Dria se faufila jusque le jeune Arutha.

Va vite chercher le lieutenant, ce fourbe est complètement dingue, faut faire quelque chose est le plus rapidement possible.


Pour essayer de distraire pendant que quelqu'un aille chercher de l'aide, elle sortit de sa cachette et lanca à Antonio

vient donc m'attraper si tu en est capable.


La dague entre ses dents, elle se sentait prête, prête pour démolir cet idiot vénitien et brutal

_________________
Arutha_gisors
Va vite chercher le lieutenant, ce fourbe est complètement dingue, faut faire quelque chose est le plus rapidement possible.

Compris ! Le petit blondinet s'élança hors de sa cachette improvisée, sous le comptoir, et courut dehors, sans s'arrêter. Soit on est athlétique, soit on l'est pas.

Oh, un chat ! Il était blanc, avec des petites tâches noires, et avançait doucement près de la porte d'entrée.
Coucou mon chaton. Comment que tu vas ? Tu veux un macaron ? Tu veux être mon chaton ? Je t’appellerai... Crapule ! Ou Filou. Ou Crapule-Filou. Tu veux être mon chaton ?

Et, gamin qu'il était, il avait, tout simplement, oublié d'aller prévenir la marée-chaussée.
_________________
--Antonio.


Antonio riait gras des bêtises de Dria, il se leva de la chaise et commença a jouer au chat et à la souris avec la noiraude dans toute la pièce.
Il sautait sur le bar, se roulait sous les tables, bref, la taverne était devenue un foutoir complet. Il en profita pour casser le pied d'une chaise afin d'avoir une masse pour assommer la donzelle. Elle ne se laissait pas faire, mais si il lui fallait casser toute la ville et même toute la France pour la récupérer, il le ferait

continuant sa course folle, Il n'avait pas pris attention au gamin qui sortait de là, et voyant que dria était a sa portée, il sauta pour la plaquer contre le sol, mais manque de chance pour lui il se vautra en se cognant les parties intimes contre un angle d'une des tables de la taverne.

Il s'étala de tout son long et vit Dria se réfugier vers son ami Aslas avant de tomber dans les pommes tellement la douleur était immense

le seul rale qu'on put entendre c'est DDDDRRRRiiiiaaaaaaa
Arutha_gisors
Alors, Crapule-Filou, je vais t'apprendre à nager. Et le gamin, pas bien net parfois, avait plongé le chaton dans l'eau de l'abreuvoir. Là, faut que tu bouges tes pattes pour avancer. Oh, te noies pas ! Tu dois apprendre à nager, pas à te noyer. Attends, je t'aide à sortir. Arutha l'avait repris et fait ressortir du bassin où il l'avait plongé.

Aïe ! Me griffe pas ! Va-t-en ! T'es un méchant chat ! Je veux plus te voir !
Casse-toi, connard !

Et le gisorien retourna, tranquillement, en marchant, dans sa taverne : Je devais faire quoi au fait ?
_________________
Aslas
Aslas s'était précipité dès que l'homme avait levé sa dague, il avait reconnu celle de Dria. Mais elle avait été plus rapide.
Il s'était alors abstenu de la déconcentrer mais quand il l'avait vu courir partout, il avait retenu son bras et l'avait plaqué derrière lui. Il tira son épée mais le fourbe se fit une traitre blessure tout seul, sans aide, tout idiot qu'il est. Il prit alors les choses en main.
Marchant vers l'homme assommé, il resta sur ses gardes, rangea son épée et sortit son poignard. Il retourna le corps inerte et posa son poignard sur la gorge avec la vitesse du guépard. Il observa alors le blanc de ses yeux et vit qu'il était s'était bel et bien assommé lui-même. Il le retourna, sortit sa corde de sa besace et lui noua les mains, ainsi que les pieds. il le traina dans un coin et le jeta violemment contre le mur.




Je n'ai aucune confiance en lui, c'est un rustre de la pire espèce. Tolosan, peux-tu me passer un seau rempli d'eau bien froide?
Où as-tu envoyé Arutha, Dria? C'est un enfant, j'ai peur qu'il ne s'en sorte pas seul.
Enfin, toi, ça va? Tu n'es pas blessée?

Se tournant enfin vers elle, il la regarda et vit qu'elle était fatigué et essoufflée de sa course. Il la fit s'assoir et lui donna un verre de calva pour lui redonner des forces.



Je crois que nous n'avons pas besoin d'explications. Nous avons tout compris. Enfin, il vient de Venise, c'est cela?

_________________
Jer45560
Jer passait dans la rue, juste a coté de la taverne et entendit des cris, il pensa tout de suite a une fête. Ilavait le sourire, ouvra la porte de la taverne mais au lieu de voir la fête a laquelle il pensait. Il vit la taverne dans un etat lamentable. Les tables étaient renversés, les chaises au sol, même une chose n'avait plus de pied. Là il pensa tout de suite qu'il se passait un truc. Il vit un homme allongé sur le sol, Dria, Aslas et Arutha. Il s'avança vers eux et leur dit :

Vous n'avez rien, mais au fait que se passe t-il ici?
Il les regarda tour a tour pour essayer de comprendre.
Dria_de_lostebarne


Dria but le calva que lui offrais son ami et raconta son histoire.

Quand j'habitais encore ma ville natale, mes parents ont tout fait pour que je puisse devenir une jeune femme belle intelligente, gracieuse afin de devenir l'épouse de quelqu'un d'important. A coté de cela je connaissais les clans a Venise et je leur ai demandé simplement d'apprendre a me battre a la dague. Ma souplesse et les entrainements m'ont appris à réagir vite. La dague que cet homme avait était celle que j'avais plantée dans le corps d'un vénitien pas correct qui avait décider de faire de moi son casse croute et qui sait de me tuer.

Tony est le fils du duc de Venise, il m'as demandé en fiançailles lors d'un bal somptueux soit disant en mon honneur, mais ce que les gens ne savent pas c'est qu'il possède un fameux harem . Je l'ai retrouvé ce soir la dans les bras de ma cousine victoria. j'ai fais mes valises pour arriver ici.


Puis essayant de reprendre sa respiration

Je ne pensais pas qu'il me retrouvrais

_________________
Tolosan
Dès qu'il reçu la demande d'Aslas, Tolosan sortit de la taverne en courant, en entrainant Arutha avec lui. "Désolé mon seigneur ptit père mais je peux pas te laisser seul ici dans ses conditions. Tu m'accompagnes". Peu de temps après, il était de retour avec son jeune compagnon dans une main et un seau d'eau bien fraiche dans l'autre. Il tendit alors ce dernier à Aslas "Tiens. Fais en bon usage!"
Aslas
Aslas hocha la tête, l'histoire de Dria concordait. il prit le seau et le renversa sur le fourbe avec l'efficacité du serpent.
_________________
Arutha_gisors
Tolosan était revenu le chercher. Ah ! On m'enlève ! On m'assassine ! Je me meurs ! Arutha est mort, vive Arutha ! Arutha est renaquis* !

Le syschopate était à terre ; il avait voulu faire un carnage. Antonia the Killer, Antonio the Ripper, Antonio the Syschopate ! Ces gens-là, faut absolument les enfermer, avec Zazie, dans des asiles !

Et le petit blondinet se dirigea, un peu inquiet, vers le bonhomme, à terre :
t'es mort ? Parce que faut que tu repayes tout ce que t'as cassé ! Tu casses, tu payes. C'est la loi Arutabagienne.

*Faute volontaire.
_________________
Aslas
Aslas prit l'épaule du petit garçon et le ramena derrière lui, en sécurité.



Je ne veux pas que tu t'approches de ce fourbe, est-ce clair, Arutha? Il pourrait faire n'importe quoi et pas de bonnes choses. Quoi qu'il fasse ou dise, ne t'approches de lui à moins de 2m. C'est pour que rien ne t'arrive.

Se tournant vers Dria, il dit :



Ce n'est pas grave mais j'espère qu'il va aimer à cette eau glaciale!

C'est alors qu'il vit Jer, son visage s'éclaira et il lui dit :



Bonjour mon ami! Je suppose que tu as entendu les explications??
Alors le voilà, cet Antonio!

Voyant que le gredin ne se réveillait pas, il le prit par le col et le secoua comme un prunier, sans effort. Il le plaqua contre le mur et l'envoya valser.



TE RÉVEILLERAS-TU?!
RÉVEILLES-TOI OU JE TE TRANCHE LA GORGE!

_________________
Keyliah
Encore à quelques pas de la taverne, la brune n’avait aucune idée de ce qui s’y tramait. Elle tout ce qu’elle savait c’est que c’était là qu’elle devait se rendre, au QG normand des mangeurs miniatures de macarons.
Elle était arrivée en ville quelques jours auparavant, et avait tenté de se créer des repères. Elle ne s’était jamais arrêtée à Honfleur si longtemps et puisqu’elle devait y faire son trou pour veiller sur la progéniture de feus deux grands normands, alors autant connaitre un peu la ville.

Et justement, celui qu’elle s’en allait connaitre était le petit Arutha. Elle avait été prévenue par sa précédente nourrice qu’il était parfois intenable, mais comme ce n’était qu’un enfant, c’était encore de son âge.


"TE RÉVEILLERAS-TU?!
RÉVEILLES-TOI OU JE TE TRANCHE LA GORGE!"


Drôle de façon d’être accueillie alors qu’elle n’avait pas encore passé la porte de la taverne. Qui pouvait bien hurler ainsi ? Était-ce après le petit noble ?
Peu patiente et mauvaise joueuse aux devinettes, la brune préféra entrer en trombe dans l’établissement quitte à passer pour une cruche, chose dont elle avait sensiblement l’habitude lorsqu’elle foulait le sol normand.

Restant plantée là un long moment, Keyliah tentait de comprendre la situation. Un homme en secouait un autre en le menaçant de mort, une minuscule tête blonde était aux basques du mécontent, une femme lui faisait de la concurrence avec sa chevelure noire de jais, et un dernier homme semblait être aussi spectateur qu’elle l’était.


Euh … Boujou !

Finit-elle par lancer en souriant timidement et en agitant la main de la même manière.
_________________
Aslas
Aslas ne vit même pas la dame arriver, il fulminait qu'un tel goujat soit dans sa ville, sa patrie. Il le secouait dans tout les sens, le pauvre bougre s'en prenait de partout! Aslas laissa sans vraiment le savoir sa colère se déchainer.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)