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[RP] Allégeances au duc Eusaias - 8 avril 1459

Armoria
Donc, il faut savoir maîtriser l'art du chuchotement. Autre élément important, dans la vie d'un noble, c'est avoir toujours un gant sur soi. Pourquoi ? Parce que les nobles sont frileux des mains ? Que non, que non.

Du reste, les gants, ils ne les portent pas toujours, les nobles. Cependant, ils ont en général soin d'en avoir toujours un à portée de main - huhu.

Armoria avait bien compris l'importance d'avoir toujours un gant sur soi. De fait, elle le sortit de son giron, se leva posément et alla se placer devant Angelyque, lui assénant ledit gant de façon calme mais franchement sèche.


Il est temps, madame, pour plaisanter, et ce temps s'arrête en général quand viennent les insultes. Même avec votre manque flagrant de maintien, même vous devriez savoir cela. Il est vrai qu'il faut de l'élégance pour taquiner sans se montrer injurieux, je comprends donc que vous ayez du mal à saisir cette nuance. Néanmoins, je vous ferai savoir le nom de mon champion, gourgandine. Du reste, avant que de traiter quelqu'un de "vieille peau", la moindre des choses est de n'être point grand-mère soi-même.

Elle se tourna ensuite vers Eusaias et Bourgogne.

Navrée de cette interruption.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Yolanda_isabel
Si les nobles ont toujours sur eux un gant, elle-même n’en a jamais, pour la simple et bonne raison que Yolanda a une arme ô combien plus redoutable. Un sourire.

Un sourire donc, d’être ainsi au centre des attentions pour une remarque somme toute relativement anodine et tout à fait enfantine, et quand on a sept ans, être le centre de son monde, cela compte beaucoup pour faire venir un sourire sur les lèvres d’une Infante. Alors elle sourit en réponse à Angélyque, mais se retient bien, parce qu’elle, elle le trouve gentil le Duc, même si fort vilain de n’avoir songé à elle pour épouser le Prince – Dieu la préserve d’être fiancée à un homme qui porte beau ses cinquante années révolues, si elle savait – mais ne lui en veut pas, car sûrement a-t-il gardé par devers lui, une bonne alliance la concernant, Tonton Eusaias peut se montrer certaines fois si prévenant à son égard.

Un sourire qui court sur les lèvres, comme l’allégresse dans ses veines, quand Armoria comble la lacune, alors en chuchotant comme il est bon de savoir le faire, elle répète pour les retenir les mots.


-« Des mamelles.. Des mamelles.. »


Mais déjà, l’attention se reporte sur le chuchotis qui parvient à son oreille, et auquel elle se retient de répondre par un moins discret « Oh chic ! Une histoire ! » Mais elle se retient parce qu’à ce moment, l’Angélyque pas nécessairement pure ni ailée, de revenir vers le public, et là, tout s’enchaîne, et que fait une enfant qui ne comprend rien à un enchainement trop rapide d’évènements ? Elle sourit béatement, et ne trouve rien d’autre à répondre au bruit mat du gant sur la joue.

-« Et paf .. »

Mais la question qui se pose est la suivante, une vache de beige rosé, vêtue de rouge et qui vient de prendre un gant dans la joue, qui laisse une jolie marbrure rouge, cela donne-t-il une vache à tâches ? Comment a dit Della ? Ca tâche .. Comme le mauvais vin rouge, heureusement que nous sommes en Bourgogne.
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« Tu l'as eu où ta bannière ? DTC ! »
Maathis
Mellecey parut, pâle et semblant un tantinet cacochyme. Nul ne l'avait vu depuis l'allégeance à la duchesse Angélyque, comme s'il s'était mis hors du temps. Ici, à Dijon sur les murailles, ou dans la verte vallée de l'Arroux près d'Autun, on aurait pu jurer voir son ombre, sans jamais être bien certain de l'y avoir vu.

Entrant le plus discrètement possible, il prit sa place parmi la noble assemblée. Il était en retard, comme souvent aux allégeances, s'exaspérant de devoir renouveler l'union de cœur à laquelle il n'avait jamais défailli, estimant que son serment allait au Trône et non à celui qui l'occupe. Le droit étant rarement commerce du cœur, il fallait se résigner à l'appliquer, et à venir confirmer, puisqu'il en était apparemment besoin, ce serment immuable.

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Arambour
Elle se passionnait -plus ou moins- pour cette cérémonie lorsque Bourgogne lui fit signe de s'approcher. Tout d'abord hésitante, elle finit par se lever et à s'approcher, constatant que ce regard lui était bien destiné.
Elle tentait de comprendre les chuchotements du Héraut parmi les jacassements du Duc. Ce qu'elle compris, c'est qu'elle devait se saisir de cette liste, et à en lire le contenu, il s'agissait des nobles bourguignons devant prêter allégeance.

La Chevaucheuse d'Armes venait donc de se voir affublée de la tâche d'appeler des différents nobles à prêter allégeance chacun leur tour, bien que le Duc semblait fort pressé par le temps et qu'il se chargeait de cela tout seul. Elle répondit avec un léger signe de tête à Irancy avant de réfléchir à la position adéquate.

Ce serait debout, non loin du trône, mais tout de même assez loin afin de garder l'ouïe sauve. Tout ceci dans l'attente du serment de la Dame de Salives et dans l'attente de l'appel du prochain.

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Angelyque
La Mirandole ne fit qu'hausser un sourcil puis répondit froidement à la vanillée.

Cela serait ainsi fait, je vous ferai également connaître le nom de mon champion également. Sachez votre altesse, que se faire traiter de gourgandine par une catin sur le retour est presque un compliment!

Un regard goguenard accompagna ces paroles.

Se rappelant de la présence de Yolanda, elle baissa ensuite la tête vers elle et tenta un sourire, qui malheureusement était un peu crispé malgré ses efforts pour ne pas l'inquiéter, la petite ne devait pas comprendre ce qui se passait, qu'en fait même si le duc avait le chic pour l'énerver et qu'elle lui criait dessus, elle l'aimait bien quand il ne la rendait pas hystérique...mais que celle qui avait murmuré quelques mots...bah elle lui tapait sur le système depuis un moment...elle ne savait comment réagir devant la petite...elle devait la prendre pour une furieuse, à chaque fois qu'elle la voyait il se passait quelque chose...alors qu'Angelyque ne cherchait jamais les problèmes...non non...ils venaient toujours tous seuls...

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[Blason en cours de réfection]
Duchesse du Charolais
Armoria
Armoria se contenta de lever un sourcil, et de laisser tomber un :

Pathétique...

Avant de se tourner vers Yolanda et de lui dire à mi-voix :

Alors voilà : c'est l'histoire du Duc qui veut passer la porte, la petite Yolanda arrive... et paf, le Duc !

Laissant l'enfant profiter - ou pas - de cette histoire, elle commença à réfléchir. Dame, il fallait qu'elle choisisse un champion, et qu'elle le choisisse bien ! Non pas forcément pour vaincre, mais, pourquoi pas, pour bien enfoncer le clou. Commença dans sa tête une sorte de partie de tarentelle, où les figures habituelles des cartes étaient remplacées par des nobles de sa connaissance. Mentalement, elle en faisait trois petits tas.

Le tas des "non, mauvaise idée".

Le tas des "moui, faut voir".

Et le tas des "ah oui, pas mal, lui".

Trois p'tits tas, trois p'tits tas, trois p'tits tas, tas, tas...

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Keltica
Keltica s'était levée à l'annonce de son nom, charmée, pour sa part, du gentil compliment l'accompagnant, mais s'était arrêtée en voyant la joute verbale dégénérer. La Dame de Salives s'immoblisa en soupirant ; pourquoi, chaque fois, c'était la même chose ? Des mises en scènes dramatiques pour... trois fois rien, ou presque...

Bref, elle attendit, patiente et posée ; quand le "paf" sec du gant de Son Altesse claqua la joue de la Duchesse de Charolais, que fut prit rendez-vous imminent pour la lice avec les quelques noms d'oiseaux de rigueur pour parachever le tout, Keltica estima qu'il ne fallait pas faire attendre plus longtemps le Duc. Elle s'avança donc au pied du trône, -le simple mouvement devrait suffire à détourner l'attention pour revenir sur le sujet, les allégeances -, réalisa une gracieuse et respectueuse révérence avant de déclamer son serment de désormais vassale.


En ce jour, nous, Keltica de Chancelley, Dame de Salives, jurons d'offrir toute aide, fidélité et conseil, à Sa Grâce Eusaias de Blanc-Combaz, Duc légitime et reconnu de notre grande et belle Bourgogne.

C'était certes un peu bref ; mais d'une part, la Dame de Salives n'était pas là en exhibition, elle n'était pas seule à rendre hommage à son Duc. D'autre part, un serment n'a pas besoin de fioritures, bien au contraire ; un serment ne demandait que sincérité, et c'était otut ce que contenait ses paroles. Keltica releva un peu la tête ; c'était sa première allégeance, elle espérait que tout était convenable, et guettait le regard aiguisé du Duc pour le savoir.
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Della
Navrante...l'attitude du Duc qui venait de perdre une étoile au guide Dellanesque des Grands Ducs. Remercier de cette façon Angélyque était une honte en soi.
Mais bon, peut-être le Duc avait-il mal digéré son repas et les lourdeurs de son estomac influençaient-elles sur son cerveau. A moins que ce ne soit la présence de sa...fiancée du moment qui le rende ainsi aigri. Dans ce cas, qu'il en change et vite !
Della baissa les yeux lorsque le Duc donna le baiser vassalique à sa mère, refusant de voir quel genre de baiser il lui infligeait.

Désolante...l'attitude d'Armoria, pardon, de la Princesse Armoria, qui sortit son gant pour le jeter à la Duchesse de Charolais. Il n'y a que la vérité qui blesse, disait-on. Ma foi, cela semblait vrai. On aurait pu rire de la scène si toutefois celle-ci s'était produite dans le cadre d'une représentation théâtrale à Paris. Mais là, l'on n'était pas assis en spectateur. Principalement Della qui secoua doucement la tête tout en soupirant.
Et dire que quelques minutes plus tôt encore, elle pensait s'ennuyer...

Découragée...la pauvre Railly. Elle retourna s'asseoir en chuchotant à sa mère :

Vraiment, je ne sais quelle mouche pique la Bourgogne. On se croirait à la Cour des Miracles.
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--Charles_v
Charles assistait discretement à la céremonie des allégeances... La roture n'était pas interdite en ces lieux, et le spectacle était... particulier.

Arriva l'allégeance de keltica, la Juge la moins qualifiée que la Bourgogne ait jamais connue, celle qui mettait d'abord ses sentiments personnels avant d'appliquer les lois qu'elle était pourtant sensée faire appliquer.
Celle qui acquittait ses amis accusés par Monseigneur Zippo, dont on sait qu'il est pourtant très bien informé des choses...

Celle qui se parjurait pour plaire aux puissants...
Celle qui, soit-disant fatiguée et malade au Tribunal, participait pourtant aux joutes, se contredisant par là-même, mais ce n'était pas la première fois, ni certainement la dernière...

Celle qui pleurnichait si volontiers pour attirer le récomfort et la pitié...

Durant sa brève allégeance, il regarda donc la langue de keltica, pour vérifier ce que tout le monde affirmait déjà : oui, elle est usée pour avoir autant léché les bottes des puissants de cette province...

Il sourit, en songeant aux haut-de-coeur qu'allait susciter hypocritement sa réflexion...eh oui, sa réflexion... il s'exprimait en pensées : le sport favori de cette "dame"...
Angelyque
Angelyque, après un dernier regard de défiance en direction de celle qui n'avait pas hésité lui faire ingurgiter son immonde potion sous pretexte de la requinquer, car Angelyque en était sûre, l'haleine de rat crevé qu'elle s'était tapé durant la céremonie d'allégeance de la péronnelle et du si beau Snell...ne pouvait être la conséquence de l'oeuvre d'une femme jalouse, elle aurait tout aussi bien pu l'empoisonner avec son air bienfaisant, Angelyque était tombée dans le piège à pieds joints! dire qu'elle avait du pincer le nez du baron de Montreal pour lui donner son baiser vassalique, quelle honte! le moment en avait été presque gâché !

Après un dernier sourire à la petite Josselinière, ce qu'elle était mignonne avec ses rondeurs! la charolaise retourna à sa place, sa fille à ses côtés, tandis que la dame de Salives prenait place.


Bah...je m'en rappelerai de ces allégeances, ma fille! ne fais pas comme ta mère, ne soit pas trop douce avec les autres!

Bon par contre on a un petit souci, il me faut à présent trouver un champion, et ça court pas les rues ce genre d'oiseau, il va falloir que je la joue fine sur le coup, Phelim doit encore courir après les pintades...

le Duc a l'air de mauvais poil aujourd'hui, rappelle moi de lui rendre la monnaie de sa pièce, je digère pas son comportement ! j'avais oublié à quel point les allégeances étaient mouvementées en Bourgogne! tu as raison, une vraie cour des miracles! Tu crois que c'est dû à sa fiancée? je suis certaine qu'elle doit le mener à la baguette! bien fait pour lui! j'ai toujours pensé qu'il lui fallait une femme à poigne qui lui tienne la dragée haute!

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[Blason en cours de réfection]
Duchesse du Charolais
Eusaias
petit mot pour charlesV. Vos attaques incessantes sur keltica et sa joueuse sont rasantes, je vous le dis en toute franchise. Si vous n'aimez pas le perso ou la joueuse, vous pouvez aussi l'éviter au lieu de venir verser votre bile en pensée afin de ne pas prendre de risque. Votre présence sur ce topic était loin d'être obligatoire et vous venez pour y déverser votre bile sur quelqu'un et de manière à ce qu'elle ne puisse pas répondre. Quel intérêt si ce n'est faire du tord à une joueuse ? Ridicule....


Yolanda sois sage et ne prends pas exemple sur les rombières !

Coup d'oeil à Amoria et Angélyque.

Au piquet toutes les deux j'ai dit ! Non mais...

Puis un sourire à Keltica qui s'avance renouveler son allégeance.

A ma vassale Keltica dame de Salive, je promets, protection, justice et subsistance car tel est notre bon plaisir. Puissiez vous faire prospérer cette terre qui vous est confiée.

Serment fait, baiser donné il se redressa et appela son vieil ami.

Que s'avance l'immense Baron de Cudot !
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Wolfar
Les cérémonies d’allégeances bourguignonnes ont ce petit quelque chose qui les rendent vraiment particulières. Non pas que cela dérangeait le Baron, il en avait vu tellement et puis c’était une bonne raison de ne pas s’endormir. Ce qui le l’embêtait un peu cette fois-ci, c’est que les deux nobles qui se disputaient étaient apprécié du Baron. Il ne valait donc pas mieux prendre parti…

Un appel le sortit alors de sa réflexion.


Que s'avance l'immense Baron de Cudot !

Wolfar réalisa alors que le Duc attendait qu’il s’avance pour prêter à nouveau allégeance à la Bourgogne. Il s’approcha du Duc, puis, après l’avoir saluer d’un signe de tête…

Votre Grâce, en ce beau jour d’avril de l’an 1459, je me présente devant vous afin de renouveler mon serment d’allégeance envers la Bourgogne dont vous êtes le représentant. Je continuerai à vous offrir conseil et aide lorsque vous en aurez besoin, ma fidélité restera sans égal envers mon Duché et par-dessus tout, mais vous le saviez déjà, mon épée est vôtre s’il faut occire quelque ennemi de la Bourgogne que ce soit. Que la Très Haut me foudroie si un jour je ne respectais pas ce serment.

Le Baron recula d’un pas en tendant la réponse de son Duc.
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Eusaias
Et alors vient le grand Cudot, fléau des bretons, exterminateur des crapules. Bien que le baron en n’était pas à sa prime allégeance, sa volonté de fer et sa conviction profonde dans ses propos n’avaient nullement perdu de force.

Nous le savons notre vassal et nous sommes fort bien heureux de posséder dans nos rangs épée telle que la votre. Puissiez vous demeurer le même mon bon baron. Nous vous jurons protection et subsistance, pour ce qui de notre justice, vous n’avez rien à craindre, elle vous sera toujours portée. Puissiez vous former quelques braves mâconnais à votre image afin que la bourgogne n’ait plus à craindre les vils.

Le baiser de paix fut donné et le dieu de gloire loué. Le Balbuzard appela alors la suivante et non pas la moindre, sa fille.

Que s’avance ma fille, la baronne d’Uchon afin qu’elle fasse allégeance.
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Yrysbleue
Yrys dans son coin assistait a la cérémonie observait, sans mot dire,
mais malgré tout elle était bien là.

Elle saluât de la tête Tonio et son épouse, et chercha du regard si la dame de Morey était là aussi.


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Mariealice
Ne pas l'étrangler tout de suite. Attendre un peu plus tard, entre quatre yeux. Ou alors jouer son jeu et le prendre à son propre piège. Elle réfléchissait la brune, cherchant des yeux qui pouvait être ce Seigneur de Stigny. Marie était loin de connaitre tous les nobles bourguignons sans parler de leurs fiefs.

Alors du coup, puisqu'elle réfléchissait, elle ne suivait les allégeances que de loin, le regard dans le vide, immobile alors que dans la caboche, ça tournait sec. Mais bon sang de bonsoir à qui faisait-il allusion ce bougre d'âne!

Et paf! Hein? Comment ça et paf? Où ça? Qui ça? Brune revenant à la réalité pour assister à la fin de l'altercation blonde Princesse versus Duchesse légère. Ouch. Décidément c'était la journée argument frappant. Petit sourire en coin. Avait-elle soudain une idée de sa réponse à Eusaias? Allez savoir, avec elle qui pouvait prévoir...

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