Rixende
Elle faisait pas la fine et la caractérielle la Rixende, pour le coup elle était resté d'un sage étonnant. Même son frère semblait quelques peu pris au dépourvu par sa réaction. C'est qu'elle fut prise au dépourvu la Rixe, elle aime quand sa bouge, mais quand sa bouge et qu'elle est au courant. L'inconnu lui fait bigrement peur. Ed tente de la rassurer comme il peut, mais cela n'a pas l'effet escompté sur la jeune Normande qui reste là sans bouger. Il fallut le renfort de la dame pour mettre Rixe en mouvement.
Solidement campé derrière Edwald elle n'avait dit mot, ni décollé son frère d'un centimètre durant les quatre heures de voyages.
Un nouvel arrêt impromptu et la main de la petite Rixende se lève pour se glisser dans celle de son frère. Cela faisait des années qu'elle n'avait plus fait ça, mais elle en ressentait vraiment le besoin sur l'instant. Regard qui le fixe, qui en dit long sur le ressentit de la jeune fille.
Mais dans quoi m'a tu fourrés encore? Je sais bien que tu ne m'a jamais lâché c'est bien pour ça que je suis là aussi.
Mais quand même je t'avoue que j'ai très peur.
Elle avait sortie cette dernière phrase à voix haute sans même sans rendre compte, ces pensées avaient visiblement besoin d'être mise à jour.
Alors qu'elle se retourne elle aperçoit un chapeau qui s'agite surement le signe qu'il pouvait rentrer dans la ruine qu'ils avaient devant leurs yeux.
La canasson se mit en route doucement et le frère et la soeur suivirent.
La dame n'était plus seule et son accompagnant avait tout sauf l'air accueillant. Il filait plutôt même la chair de poule, il leur donne quand même quelques mots de bienvenu et Rixende ne put s'empêcher de regarder le lieux où ils allaient rentrer.
Alors que les deux se retourne pour entrer, Rixe tire un coup sur la main de son frère qu'elle tenait encore et lui murmure.
Fréro, je te suivrais partout, mais je te promets que là je suis vraiment pas rassurée du tout, pour pas dire que j'ai les chocottes de tout ce qui va arriver à partir d'aujourd'hui. J'espère que tu es assez sùr pour nous deux.
J'ai confiance en toi.
Elle tire alors sur la main pour rentrer au coeur de la ruine.
Elle fixe longuement l'homme qu'ils venaient de rejoindre, se disant en son fort intérieur qu'il lui faudrait un bon bain.
Elle était rentré certes mais était tout de même rester à distance des deux personnes qui leurs rendaient pourtant grand service. Elle n'avait toujours pas lâcher cette main consanguine qui la rassurait.
Solidement campé derrière Edwald elle n'avait dit mot, ni décollé son frère d'un centimètre durant les quatre heures de voyages.
Un nouvel arrêt impromptu et la main de la petite Rixende se lève pour se glisser dans celle de son frère. Cela faisait des années qu'elle n'avait plus fait ça, mais elle en ressentait vraiment le besoin sur l'instant. Regard qui le fixe, qui en dit long sur le ressentit de la jeune fille.
Mais dans quoi m'a tu fourrés encore? Je sais bien que tu ne m'a jamais lâché c'est bien pour ça que je suis là aussi.
Mais quand même je t'avoue que j'ai très peur.
Elle avait sortie cette dernière phrase à voix haute sans même sans rendre compte, ces pensées avaient visiblement besoin d'être mise à jour.
Alors qu'elle se retourne elle aperçoit un chapeau qui s'agite surement le signe qu'il pouvait rentrer dans la ruine qu'ils avaient devant leurs yeux.
La canasson se mit en route doucement et le frère et la soeur suivirent.
La dame n'était plus seule et son accompagnant avait tout sauf l'air accueillant. Il filait plutôt même la chair de poule, il leur donne quand même quelques mots de bienvenu et Rixende ne put s'empêcher de regarder le lieux où ils allaient rentrer.
Alors que les deux se retourne pour entrer, Rixe tire un coup sur la main de son frère qu'elle tenait encore et lui murmure.
Fréro, je te suivrais partout, mais je te promets que là je suis vraiment pas rassurée du tout, pour pas dire que j'ai les chocottes de tout ce qui va arriver à partir d'aujourd'hui. J'espère que tu es assez sùr pour nous deux.
J'ai confiance en toi.
Elle tire alors sur la main pour rentrer au coeur de la ruine.
Elle fixe longuement l'homme qu'ils venaient de rejoindre, se disant en son fort intérieur qu'il lui faudrait un bon bain.
Elle était rentré certes mais était tout de même rester à distance des deux personnes qui leurs rendaient pourtant grand service. Elle n'avait toujours pas lâcher cette main consanguine qui la rassurait.