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[RP ouvert à tous] Enseigne Watelse - Orfèvrerie renommée

Kassy..
Kassy fut surprise par les dire de Pertacus, aucune bague ne lui plaisait.
Elle tourna son regard vers les vitrines et trouva les bijoux plus beaux les uns que les autres décidément cet homme était bien difficile.
Elle se tourna vers son employeur et eut à peine le temps de voir qu'il lui faisait signe de le suivre qu'il disparaissait dans l'arrière boutique. La jeunette jetta un dernier coups d'œil sur les vitrines et soupira...Elle ne pourrais jamais se payer un d'eux et lui badiner sur la grosseur ou la couleur...
Elle trottina pour le rejoindre et le suivit donc dans l'arrière boutique.
Watelse
Intérieurement, le Maitre se frottait les mains : quoi de plus coûteux que sa réserve? Une bonne affaire en perspective. Mais les œuvres de Watelse valaient bien le détroussage d'un énamouré.

Watelse, qui le conduisait vers sa caverne d'Ali-baba, se tourna vers le potentiel client pour estimer sa fortune. Riche comme feu Levan? Plus? Moins?

A son grand désarroi, deux dindes lui coller le train et déjà ses narines le démangeaient comme s'il était en présence de deux énormes graines de poivres. Et Watelse haïssait au plus haut point le poivre, et les femmes.

Aaaaaaaaaaaaaaaaatch........

Il éternua et saisit ce qui lui passait par la main (main gracieuse au demeurant) pour retenir son liquide baveusement watelesque.
--Pilar.





-Si tu n'étais pas parti, tu serais au courant, mais je vais t'expliquer.
A Saumur j'ai rencontré une demoiselle, elle s'appelle Aurile. Elle est magnifique, je te la présenterai un jour, car maintenant tu as intérêt de me donner des nouvelles.
Pour en revenir à ce que je disais, donc cette demoiselle qui est magnifique, je suis amoureux d'elle et je vais la demander en mariage, donc faut que je trouve une belle bague.


Elle le regarda les yeux exorbités. Perta ! Son Perta était amoureux ?! Qui donc, était la « poulette » du nom d'Aurile qui avait volé le coeur tendre de son « presque père » ? Oh ! Pas qu'elle soit jalouse, mais elle voulait être certaine qu'il serait heureux ... Elle penserait à cela plus tard, car Vlan !! Voilà que la porte claqua de nouveau sur une jeune femme ... Qui se dirigea sans hésitation vers eux. Est-ce que c'était elle Aurile ? Si c'était elle, elle était plutôt jolie, mais les paroles qu'elle prononça, lui indiquèrent que ce n'était pas elle ... Dommage ...

-Ne vole rien, enfin par pour le moment, tu verras avant de partir

Son attention fut de nouveau attirée par Perta qui lui parlait. Il lui avait chuchoté cette phrase pour que personne ne l'entende. Elle retira donc sa petite main, qui n'avait pas encore touché le bijou convoité. Perta avait dit, « pas avant de sortir » ce qui voulait dire qu'elle avait le droit d'en mettre dans ses poches ?! Chose qui, bien entendu, n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde et il ne fallait pas le lui dire deux fois ...

Elle regardait toujours cette belle bague, quand son regard fut de nouveau attiré par la blonde maniéré et pincé qui sortie d'une façon qu'on ne voyait qu'elle. Elle fit une petite grimace de dégout que personne ne vit. Elle se l'imaginait en vrai mégère, impossible à vivre ... Elle la suivie des yeux et une fois sortie, son regard fut attiré par le vieil homme revêche qui s'approchait d'eux et qui la regardait, comme si elle avait fait quelque chose de mal. Pourtant, elle n'avait même pas touché à la bague qui lui criait, « prends-moi ! Je serais la plus jolie à ton doigt », mais elle résistait à la tentation, aussi grande fut-elle ... Patience, patience, avant de partir ...

Noble mâle, vous faites preuve de beaucoup de goût en miroitant ces humbles petites choses, mais certainement, vos yeux pétilleraient beaucoup plus au regard de bagues provenant de ma réserve spéciale....

C'était ses yeux à elle qui s'étaient mis à briller aux paroles mielleuses du vieux rabougri. Alors comme ça, il y avait d'autres merveilles ailleurs ?! Finalement elle lui trouvait de l'intérêt à ce vieux canard boiteux revêche. Elle sut, qu'elle allait voir toutes ces belles merveilles, quand Perta raffermit encore sa prise sur sa main et l'entraîna à sa suite, ainsi que la jolie damoiselle qui était arrivée. Elle fit un sourire radieux au vieux bougon au passage, la caverne aux trésors de Maître grincheux était à porter de doigts ...

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--Giovanni_casanova
Le milanais tournait en rond depuis une bonne demi heure dans les galeries.
Il avait longtemps traîné ses chausses a paris, mais il était plutôt du coté de la cour des miracles, les galeries Lafayotte il connait pas du tout.
Mais il est en mission, et en plus une mission de haute importance commanditée par la Serenissima Signora des Juli.
Alors le Milanais joue de sa meilleure volonté, finit par trouver l’échoppe dont sa compatriote lui avait parlé.

Il se rappelait tres bien ses mots : Va aux galeries, a l'enseigne Watelse, Ouate elle seuuuh, si tu connais pas tu demande, c'est hautement important et sois discret, discreto! Ecco ?

Alors qu'il se maudissait intérieurement, il finit par tomber sur l'enseigne un large sourire illuminant son visage.


- Bongiurno! Sono Giovanni Casanova Di Milano, j'arrive de la part de la Serenissima Signora Di Juli, couturière royale aux Doigts d'or, j'ai un pli pour il signor Watelse...

Oui il avait une lettre et un message a delivrer.

Watelse
Watelse se mirait dans l'éclat d'une émeraude. Il s'y voyait minuscule dans ces petites facettes de pierre. Il se considérait pourtant bien grand: Le Grandissime Watelse. Ce bijou magnifique n'était-il pas la preuve de son Génie?

La porte s'ouvre puis se referme, perturbant son auto-contemplation.

Un regard distrait sur l'homme - et quel mâle ! - qui se présente à lui.

Un Italien? Voilà qui me ravit. Ma renommée toucherait-elle déjà Rome? Venise peut-être?

Et Georges Léonard Watelse s'enorgueillissait déjà de cette nouvelle et lança gaiement :


Georgio Leonardo Watelso le Grandissimoooooooooo !

L'enthousiasme gagnait ses yeux, ses lèvres, ... jusqu'à la moindre ridule de ses joues.

Et le coq sur la pointe de ses pattes de fier volatile s'approcha de l'étranger.

Rappelez-moi le nom de votre maitresse?

Se disant, il saisit la missive qu'il parcourut bien vite. Puis, levant des yeux incertains vers le messager, il finit par dire :

Je ne comprends guère l'Italien, pourriez-vous me la traduire...?

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--Giovanni_casanova
Il fut frappé lorsque le maitre des lieux se présenta.
Il ressemblait a s'y meprendre a son maestro, Severus NonRigolus.
Le jeune milanais s'appliqua des lors a cacher le trouble qui le saisit a la seule pensée de son maître et tenta de faire bonne figure effectuant une révérence lorsque l'homme se présenta.

Il répondit rapidement a l'homme tentant de ne pas baffouiller.


- Ma maitresse est la Serenissima Signora Attia Di Juli, couturière royale et Maitre de l'atelier renommé des Doigt d'Or.

Il sourit ravalant un élan de fierté qui lui gonflait la poitrine.
Alors que l'homme indiquait ne pas savoir lire l'italien, le jeune homme porta une main horrfié a la bouche. Méprise, il s'agissait d'une lettre a lui.

- Oh perdone, il s'agit d'une erreur, cette lettre est pour moi. La signora Di Juli est depuis fort longtemps installée en france, tenez...

Il lui tendit alors la bonne lettre.

Citation:
A Messire Watelse,
Directeur renommé de l'enseigne toute aussi renommée Watelse

Le bonjour vous va.
Je suis Attia des Juli, couturière, fournisseuse royale, et directrice de l'établissement d'art et de couture des Doigts d'Or. Si je vous écris ce jour c'est pour vous proposer un partenariat entre nos deux établissement.

Ces derniers mois, notre renommée nous a valu des clients issus de la plus fine couche de la societé du pays et nous avons l'honneur et le plaisir de compter dans notre clientèle sa majesté la reine Beatritz en Personne, la marquise de Nemours, la reine de Castille et Leon et meme le grand dug breton, sans compter de hautes eminences de la noblesse du Royaume.

C'est pour cette raison qu'il nous tient a coeur d'offrir a cette clientèle fort bien nantie, la meilleure des qualités et c'est principalement a cet effet que je m'adresse a vous ce jour.

Nous avons d'importants fournisseurs italiens en termes de tissus, nous recevons meme de la meilleure soie d'extreme orient grace a nos contacts aupres des comptoirs commerciaux, cependant, les robes et tenues que nous proposons étant presque toujours accompagnée de parures, il me semble d'une logique folle que faire appel a vous ne saurait que nous garantir les meilleures pièces qui puissent se faire dans tout le royaume et au dela.

Je sais combien votre enseigne est renommée, et en proposant a nos clientes des robes griffées, a la dernière mode et dans les meilleures tendances, ornées de pièces que dis je de chefs d'oeuvre issues de votre collection, je ne doute pas que nous réaliserions conjointement un bénéfice conséquent.

Mais je vous importune avec tous ces mots,pardonnez moi.
Pourquoi ne conviendrions nous pas d'un rendez vous afin de discuter de cela plus en détails ?
Votre jour et votre heure seront les miens.

Recevez messire, mes salutations les plus respectueuses, en esperant pouvoir vous rencontrer très prochainement.

ADJ


Watelse
La missive sentait le parfum femelle à plein nez. Les narines de Georges Léonard Watelse se plissèrent de dégoût. Mais soudain, son regard s'arrêta sur le terme "fournisseuse royale", et l'intéressé personnage trouva immédiatement l'odeur plus soutenable.

Georges Watelse ne gaspille pas l'adresse de ses mains avec de vaines écritures. Conduisez-moi à votre maitresse tout de suite. Les affaires sont choses qui ne peuvent attendre bien longtemps.

Watelse posa avec élégance son chapeau sur la tête, prit rapidement quelques broches et ornements précieux, échantillons de son illustre art. Il s'apprêtait à ouvrir la porte de son échoppe lorsqu'il se retourna vers le messager :

Je suis bien mal chaussé pour le voyage à pieds.... Allons valet, portez moi!
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Titoan_cv
Titoan déambula longtemps le long des halles avant de trouver l'enseigne Watelse. Il faut avouer que pour un jeune gascon fraichement arrivé en la capitale et ayant rarement vu une rue comptant plus de deux échoppes, les Halles avaient de quoi perturber. Des centaines de piétons s'y bousculaient, agressés à chaque pas par un boutiquier malhabile à dissimuler l'avidité de son regard.

Avisant une large et haute enseigne, la plus belle sans doute et celle d'où seuls de riches nantis sortaient, Titoan se dit que ce ne pouvait être que là. Il poussa la porte et vit que Watelse conversait avec un futur client.

- Le bonjour mon cousin, tu sors?

Le reconnaitrait-il?

- J'attendrai ton retour dans ce cas.
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--Giovanni_casanova
Le milanais sourit.
La serenissima serait contente, il lui ramenait le signor Watelse en personne.
Il etait pres a prendre les devants quand l'homme lui demanda de le porter.
Le milanais se retourna et regarda la silhouette de l'homme. Il etait pas bien gros mais tout de meme, cela ferait une sacrée charge.

Il aurait pu prendre son courage a deux mains et refuser, mais, il calcula les conséquences.
D'abord la signora des Juli serait certainement mise au courant, puis l'homme avait le meme faciès que son maestro non Rigolus, il devait avoir les coups faciles... Non il ne pouvait vraissemblablement pas se permettre et puis sa mission n'etait elle pas de servir au mieux les intérets de la signora des Juli ?

Avec un soupir depité, le milanais présenta son dos a l'homme.


- Andiamo.


Watelse
L'homme se courbait en un âne résigné au bon vouloir du Maitre. L'homme se courbait... se courbait.... encore... et encore.

Watelse devait se rendre à l'évidence :


Un seul homme ne peut supporter autant de Génie!

Un claquement de doigt à l'adresse de Titoan.

Toi, jeune puceau, viens t'en te rendre utile: porte moi comme ce vaillant serviteur le fait déjà. Tel deux titans, vous porterez le Monde... la planète Watelse... sur vos épaules!

Watelse situait vaguement Titoan dans ses souvenirs : il se souvenait de son prénom, fait plutôt rare. Il pensait se souvenir qu'ils avaient un lien de parenté.. Enfin bref, tant qu'il lui servait à quelque chose, Watelse voulait bien lui attribuer quelques regards.

Assis sur le fessier partagé entre les deux épaules des porteurs, Watelse, tel un Roi à son sâcre s'élança dans les rues Parisiennes. Un petit coup de canne parfois sur la cuisse du rital. Une baffe sur la tête du puceau.


Allons du nerf, plus vite! plus vite!!... Vite voyons!
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Gnia
Un seul bracelet ne tinte pas. Proverbe peul

[Mars 1459 - Paris - Quartiers des Halles et Galeries Lafayotte - Se ruiner utile en un rien de temps, leçon une : Le shopping compulsif. Suite et fin.]


Palsambleu ! C'était bien sa veine de se coltiner un prétendant qui se piquait d'être plus pince qu'un huguenot. Mais qu'à cela ne tienne, la Saint Just, qui avait toujours conservé certaine austérité sur le sujet des fanfreluches, escomptait bien cette fois-ci récupérer la mise. En moins d'un an elle avait perdu ce qui constituait son maigre acquis d'or et joyaux, le bel anneau de son premier mariage ayant terminé en dentier pour sicaire en mal de ratiches, sa si jolie bague de fiançailles échangée contre une maigre bourse d'écus transformée probablement ensuite en paris sur des combats de chiens ou en opiacés. Restait une imposante améthyste d'un rose tendre et enchâssée dans un bel anneau ouvragé qui dormait sur le velours d'une caissette à Montauban, et bien lui en avait pris de l'ôter un jour où elle était colère après celui qui lui avait offert.
En somme, elle était aussi nue qu'au premier jour et cela faisait à présent son jeu.

Elle n'avait pas attendu le Duc de Bourgogne pour s'engouffrer dans l'échoppe. Celle-ci n'était fort heureusement pas trop achalandée pour l'heure et la Comtesse put alors mirer tout son saoul les pièces d'orfèvrerie qui étaient laissées à la vue des clients. Autant de coupes et calices, de pièces de vaisselle, reliquaires et objets ostentatoire qu'affectionnait tant les papistes, et enfin, le Graal.
Quelques pièces de joaillerie qui attirèrent aussitôt l'oeil azur pétillant de malice de la Saint Just.

Penchée sur un comptoir où reposaient comme autant de serpents endormis lovés sur le velours, pectoraux, bagues, pendants d'oreille, bracelets, elel s'abîma un instant dans une solennelle contemplation puis plissa le nez et arbora une moue boudeuse. Relevant le chef et avisant le commis qui déambulait dans la pratique, elle le héla dans ces termes


Est-ce donc là tout ce que propose l'enseigne si réputée de Maître Watelse en matière de joaillerie?


Elle ignorait délibérément son compagnon qui s'était engouffré dans l'échoppe à sa suite et dont elle pouvait palper la colère mâtinée d'angoisse sans qu'il ouvre la bouche. S'il ne consentait pas à la dépense, la Saint Just saurait amèrement lui faire regretter.
Ainsi en avait-elle décidé.

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Eusaias
« Mieux vaut Pays ruiné que terres perdues »
Bertrand Du Guesclin


[Mars 1459 - Paris - Quartiers des Halles et Galeries Lafayotte – Ruminer contre la ruine et maudire la bourgeoisie. Suite et fin.]


La Garce ! La Garce ! La Garce ! La Garce ! La Garce ! La Garce…..

Voilà ce qui résonnait à chaque pas du Balbuzard. Mais ce fut un « m*rde ! » qui fut poussé en même temps que la porte de l’échoppe. Les yeux du balbuzard se portèrent de droite et de gauche afin de bien mémoriser ce qui allait le ruiner. Du moins, ce qui allait causer sa ruine c’était elle : La comtesse, cela il le savait que trop, mais dans quelle babiole !

Le regard d’oiseau de proie passa du dos de la comtesse, à l‘endroit ou devait, sous les jupons, se trouver sa croupe pour terminer sur la chevalière d’à côté.

Il fit quelques pas dans cette direction, les yeux toujours rivés sur le rubis qui rappelait la couleur vive dans les armoiries familiales du Balbuzard. Même la monture en elle-même n’était pas vilaine et un sourire naquit enfin sur le visage du piaf.

Le regard passa du bijou à la main gantée avant de retourner sur le bijou. Avec telle parure le bourguignon pourrait montrer sa richesse, fictive certes mais personne n’était sensé le savoir. De la richesse découlait le pouvoir, car sans elle nulle armée ne pouvait être entretenue. Il prit donc la parole sur un ton sans appel :


Elle n’est pas vilaine celle-là et on dirait qu’elle est à ma taille. Le rouge est proche de celui de ma famille !

Nouvelle découverte non loin : un diamant d’un bleu profond.

Celui là on dirait les couleurs de la Bourgogne, vu que c’est elle qui régale…

Loin des protestations qu’il avait les doigts se refermèrent sur les deux anneaux alors qu’un gant fut ôté.

Qu’en pensez-vous Agnès ? Un Duc avec des parures fait plus viril et sérieux non ?
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--Firmin.
Firmin était donc devenu apprenti orfèvre de Maitre Watelse. En plus de la connaissance des métaux précieux, l'adolescent apprenait les bons usages au contact de la clientèle.

Est-ce donc là tout ce que propose l'enseigne si réputée de Maître Watelse en matière de joaillerie?

Firmin était un fier Gascon, taillé à l'image du grand Watelse. Et quel outrage pour de tels coqs lorsque leurs œufs étaient pris pour de vulgaires cailloux! Au dédain de la cliente, le gamin lève le menton, dresse le front et ouvre la bouche avec arrogance :


Est-ce donc là toute ....aïe!

Firmin se frotte la tête.
Watelse
Watelse balança sa main baguée contre la tête blonde et écervelée de Firmin. Une baffe. Ce gamin méritait une baffe! Il reprit la phrase de l'adolescent où il l'avait coupée :

... toute la Beauté du monde qui s’immisce dans les murs de mon échoppe? Dame Soleil ne rayonnerait pas autant que vous, ... Duchesse?


L'oreille vive du quinquagénaire s'était attachée aux dernières déclarations de l'homme qui accompagnait la femelle, et l'orfèvre voyait déjà en eux une montagne d'or potentiellement bientôt dans ses coffres.

Sa pirouette galante faite à la dinde qui ne semblait avoir aucun goût pour les belles choses, il se dirigea à grands pas vers le digne mâle :


Viril? Vous n'avez pas besoin de cela Sieur, pour paraitre viril. Et connaissant la Bourgogne - Ma Personne vécut un moment à Cosnes - une parure aussi écarlate se perdrait dans une région où pleut le vin rouge à chaque heure de la journée. Hahaha!

L'Orfèvre rit de sa plaisanterie et l'installa dans un fauteuil. Oui, Watelse pensait bien que c'était lui le porteur de culotte du foyer et le gardien des cordons de la bourse.
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