Watelse
[HRP : Par soucis de clarté, je scinde l'échoppe en deux parties : l'arrière-boutique, où se trouve dors et déjà : Chipolata, Solore, Everyl, Firmin et les ouvriers.... Watelse est retourné dans la boutique même, ouverte aux clients (l'autre rp ouvert).]
Le Maitre arpentait son échoppe, heureux et fier que son échoppe ameute autant de monde. Cependant, le monde nest jamais aussi beau que parmi le beau monde. Aussi entraina til Everyl, Firmin, la grognonne Solore, et le cochon-tirelire Chipolata dans larrière salle où se démenaient les employés de Watelse. Ces derniers jetèrent à peine un coup dil aux arrivants tant ils craignaient le coup de canne de leur maitre sils arrêtaient leur labeur.
Dames Chipotage et Sosogrenue, je vous conjure de ne pas montrer vos minois de paysannes encore trempant dans leur jus bouseux lorsque ces élégants futurs acheteurs sont proches de débourser !! Léclat de lor ne tolère pas le terne lisier.
Il prit un peu de papier et des plumes, la voix presque douce :
Pour vous, les enfants, faites un beau dessin de dessinez moi un beau bijou.
Le reste des fournitures atterrirent sans prévenir dans les bras des deux femmes, et voilà le Maitre qui montre étagères et placards :
Vous avez ici les matières premières là les productions Faites-en donc linventaire et nous en reparlerons ce soir.
Et se voulant grand prince :
Ce soir, je vous invite à manger en ma demeure. Et peut-être même ouvrirais-je une bouteille ou deux !
Et le paon s'en repart dans la boutique flatter quelques clients aisés.
_________________
Le Maitre arpentait son échoppe, heureux et fier que son échoppe ameute autant de monde. Cependant, le monde nest jamais aussi beau que parmi le beau monde. Aussi entraina til Everyl, Firmin, la grognonne Solore, et le cochon-tirelire Chipolata dans larrière salle où se démenaient les employés de Watelse. Ces derniers jetèrent à peine un coup dil aux arrivants tant ils craignaient le coup de canne de leur maitre sils arrêtaient leur labeur.
Dames Chipotage et Sosogrenue, je vous conjure de ne pas montrer vos minois de paysannes encore trempant dans leur jus bouseux lorsque ces élégants futurs acheteurs sont proches de débourser !! Léclat de lor ne tolère pas le terne lisier.
Il prit un peu de papier et des plumes, la voix presque douce :
Pour vous, les enfants, faites un beau dessin de dessinez moi un beau bijou.
Le reste des fournitures atterrirent sans prévenir dans les bras des deux femmes, et voilà le Maitre qui montre étagères et placards :
Vous avez ici les matières premières là les productions Faites-en donc linventaire et nous en reparlerons ce soir.
Et se voulant grand prince :
Ce soir, je vous invite à manger en ma demeure. Et peut-être même ouvrirais-je une bouteille ou deux !
Et le paon s'en repart dans la boutique flatter quelques clients aisés.
_________________