Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>

[RP ouvert] Jusqu'à ce que la mort nous sépare enfin!

Crapaudine
Crapaudine resta muette un long moment, étudiant le futur époux de sa nièce, essayant de déterminer si ses paroles étaient sincères. La jeune femme contempla les tombes que lui indiquaient Watelse.

Elle se mordillait les lèvres, ainsi donc il n'était pas tout à fait la brute épaisse qu'elle pensait. Le lieu était certe rédhibitoire mais les explications en justifiaient le choix.
Un regard sur Ellya et elle se décida.


Si ma nièce accepte ce lieu je suis prête à la suive que ce mariage se fasse ainsi...

Elle se détourna du fiancé et alla rejoindre l'officiant qui appelaient tout le monde à se rejoindre pour débuter la cérémonie.
Le mariage aurait donc lieu ainsi soit il.





[Je termine ainsi mes post mon perso a été assassinée en gargotte bourbonnaise avec Modsognir. Une pensée particulière à la joueuse d'Ellya avec laquelle il a été un régal de jouer. Plein de bonheur à tous. ]
Watelse
Son sang de Gascon bouillonna: il ne sera pas dit que Georges Léonard Watelse était un couard!

Il fit un signe de tête à l'adresse de son curé d'occasion se préparant à tout assaut. Mais l'homme à frapper n'était-il pas trop loin? N'aurait-il pas le temps de tirer avant même que Sa Personne ne fasse un pas? Il n'avait même pas sa canne pour lui écraser sur le crâne!


Cherchant à se rapprocher de son ennemi, il prit le parti de l'amadouer:

Voyons donc, vous voici! Nous vous attendions tant que nos pensées ont presque cru que Votre gracieuse Personne avait été écharpée, noyée puis émasculé par de mauvais plaisantins avéroïstes ou spinozistes...

Tout en parlottant, il fit quelques pas en sa direction.

Mais il est clair maintenant que nos peurs n'étaient pas justifiées et ...

Il sortit de sous sa cape la lettre qui l'auto-dénonçait pour le meurtre d'un ecclésiaste, horrible chantage de la part d'Odoacre (cf. RP Saint-Sulpice et PActe entre deux Bêtes sans Nom).

... je me dois de vous transmettre en mains propres votre inviation à célébrer à cette cérémonie.

Le ton était plein de sous-entendu. Le bras restait tendu vers l'arbalétrié se demandant si la feuille du parchemin pourrait être assez coupant pour égorger d'un coup "accidentellement" la gorge de son bourreau.

Il jeta un rapide regard à son curé de pacotille qui voulait dire clairement "Il suffira d'un signe..."

_________________
Riwenn


Qu'estait-il en train de se passer ? Qu'advenait-il ?

Riwenn ne comprenait pas tout. Déjà peu de monde avait pris garde à son arrivée et sa prise de parole. Mesme le futur marié. Heureusement qu'il avait amené avec lui sa poupée. Elle s'estait faicte remarquer, ce qui n'estait pas difficile dans son cas. Sourire de malice en y repensant.

Une cérémonie qui semblait commencer, prendre forme. Et soudain ! Un homme d'Église qui en boute un autre. Et une bataille de clercs a lieu devant les yeux de tous. Quel exemple ! Regard amusé à la Framboise.

And the winner is ... ?

_________________

Héraldique européenne
Odoacre
Se calmant un peu, le vieux Grec leva l'arbalète et décocha le carreau, son bras tressautant en raison du fort recul de l'arme, et le trait mortel alla éclater contre les murs de la cathédrale...

Puis, lâchant son arme, il se dirigea vers Watelse... le parchemin disparut prestement dans les plis de la robe du vieux Grec qui contenait maintes fentes et poches... pour rétorquer enfin


N'ayez crainte, celui qui aura ma peau n'est sans doute pas encore né !

Puis il alla prendre la place de l'officiant précédent, le sommant d'un geste impérieux de s'écarter

Vous qui êtes-vous ?! De quel diocèse dépendez-vous ?!
_________________
Archevêque de Rouen
Ellya
Marionnette dans les bras des uns et des autres, elle se laissait guider. Trainer, serait le terme juste. Tirer, si l'on veut bien expliciter.

Découragée. Même son frère Cistercien semblait s'être étrangement pris d'affection pour le quinquagénaire. Voilà qui avait de quoi faire perdre tout le peu d'aplomb de la nonnette.

L'arrivée de l'évêque armé suffit à lui donner un teint aussi pâle que la mort. Finalement, le décor était plutôt adéquat à ce qui se jouait à cet instant.

Quand le véritable officiant repris la parole, Ellya en était donc à un stade proche de l'évanouissement. Laissant les religieux dans leur querelle, elle en profita pour se poser contre la stèle qui se tenait derrière elle. Soupir de soulagement. Elle ne se doutait évidemment pas que son postérieur effleurait une tombe - son esprit étant totalement bouleversé - et encore moins que cette tombe n'abritait d'autre que LaFiole.


Hrp. Je m'excuse pour le temps que prend ce RP. Mais nous sommes en été et donc, pour certains, en vacances. Donc prenons notre temps, après tout! Rien ne presse. Je vous assure que ce RP aura une fin, il ne finira pas dans l'oubli.
Au revoir à JD Crap avec qui j'ai eu beaucoup de plaisir à jouer.

_________________
Watelse
Ne laissant pas au curé remplaçant le loisir de répondre, et ne voyant pas celui-ci lui donner l'ordre de ce jeter sur ce scélérat, Watelse prit sur lui de calmer les tensions. Mielleux:

Voyons, voyons, je pensais que vous approuviez tout à fait qu'un des vôtres, un ... fidèle serviteur d'Aristote... prépare vos ouailles à cette cérémonie. Il ne fait qu'attiser la foi et l'intérêt de ces personnes, et vous n'avez plus qu'à, maintenant, récolter cette piété avec la ferveur que l'on vous connait.

Foi. Piété. Ferveur... Watelse recrachait à tout va tout le vocabulaire qu'il avait entendu maintes fois de la bouche de sa dévote fiancée. Même Aristote y passa, et Watelse réprimait avec beaucoup de difficulté une grimace.

Voilà pour faire bonne figure devant l'assemblée de vivants et de morts.

Arrivé à sa hauteur, il lui susurra beaucoup moins courtoisement:


Vous avez eu ce que vous souhaitiez, alors maintenant, faites ce que vous avez à faire.

Son regard laissait transparaitre tout le mépris qu'il entretenait pour ce véreux personnage.
_________________
Solore
Dépassée la So, dépassée par ce qu’il se passe sous ses yeux et devant le vieil arbalétrier, se rencogne un peu plus derrière Chipolata, espérant que celle-ci soit toujours bien pourvu d’un de ses solides et inviolables bustiers. Enfonce un doigt dans le dos de la belle, juste pour s’en assurer. Grimace. La blonde est molle de partout … Où donc est passé le bustier ?

Tchooooonggggggg !

Bruit du trait fiché dans le mur. La voici arrêtée nette dans l’exploration de son bouclier humain. Plus le temps de se poser de questions, temps de se mettre à l’abri et vite. Veuve la Solore, mais elle tient encore à sa peau ! Petit pas de côté et la voilà qui se glisse derrière une croix de pierre. Observe.

Un faux curé ? Ah ? Hausse le sourcil, intéressée soudain. S’autorise un bref coup d’œil sur la scène. Papier qui passe de main à main, les deux curés qui se toisent, Ellya qui se recule discrètement … Riwenn et ses enfants, une Dame qu’elle ne connaît pas …

« N'ayez crainte, celui qui aura ma peau n'est sans doute pas encore né ! »

Mais si, mais si ! Il faut le tuer ce fou ! Tirer sur les gens ! Un curé ! Et avec une arbalète encore !

C’est qu’elle a du mal à se remettre dans le courant de la vie, Solore. Mais rien que de voir la tête de Maître Watelse à cet instant et la voici prise de contradiction. Elle ne l’aime pas, c’est un fait. Mais ils sont pays et l’entre-aide gasconne en moment difficile se doit d’être.

Regarde fixement la nuque poivre et sel de l’orfèvre, espérant qu’il se tourne vers elle. Plus de concentration, So ! Allez ! Retournez-vous Messire ! Plisse les yeux fortement, tendue vers l’homme dont elle veut attirer l’attention.

Peine perdue ! Avise la robe chatoyante de Chipolata, à portée de main. Et si … Oui, oui … La Blonde bougera certainement et sera perçue par Watelse ou au pire par le curé tueur.

Attrape alors le bas de la robe de Chipolata et tire dessus d’un coup sec.

_________________
Chipolata

Elle fatiguait la Saucisse... Elle n'aimait pas les curés qui jouaient aux fléchettes... Elle n'aimait pas voir traîner des gamins là où les flèches semblaient vouloir fuser... Elle avait relu déjà deux fois les noms sur toutes les pierres tombales... plus de lecture... elle avait faim, elle avait soif... ça commençait à bien faire... Elle n'osait même plus se demander ce que devait penser son beau vénitien, des français et de leurs mariages bizarres...

C'est alors que la Soso lui tripota le dos...
Mais que me veux-tu ??? ...Quoi ? Mon corset ??? Erf ! Prise d'un fou rire, Chipo lui montra la poche de Miglia... et chuchota... On en avait assez de poireauter, alors on est allés...euh.. jouer aux dés derrière les tombes ! Et euh... j'ai perdu ! ^^

Tchoooongggggg !

Ouch ! Voilà que ça fusait ! Chipo baissa la tête instinctivement et comme dans un ballet bien orchestré, fit un pas de côté en cadence avec Solore ! Mais sont-ils tous devenus fous ??? Elle bondit près de Miglia, fouilla rapidement dans sa poche et en extirpa le bustier rigide qui la protégeait habituellement. Sans vergogne, l'enfila prestement par dessus sa robe, sans gêne ni honte, l'heure étant au "sauve qui peut" général !

L'atmosphère se fit soudain pesante... Chipo se dit qu'ils étaient tous les bras ballants ne sachant que faire, avec ce fou au milieu ! Cette mascarade commençait à bien faire ! Envoyer Ellya au martyre était une chose, se faire trucider pour l'occasion en était une autre !


Elle hésitait encore sur la marche à suivre, lorsque Solore tirailla sur sa robe ! Ce fut le déclic ! Ne pouvant dresser son épée en travers des belligérants (emmène t-on son glaive aux noces ?), elle avança d'un pas en retroussant ses jupes et en extirpa un poignard, malgré tout de fort bonne taille ! Le dressant haut devant elle, elle hurla :

"à moi la Gascogne ! Va t-on laisser cet énergumène nous mettre en danger ??? Protégeons notre Duc au moins !" fit-elle en barrant de son corps corseté la distance entre le curé hargneux et un Riri béant d'incompréhension...

Tolosaaaaaaaaaaaa ! hurla t-elle pour appeler à la rescousse, sa chienne de garde restée dans le carrosse !
.

_________________
Solore
Se lève d’un bond au cri de ralliement de la Blonde et se met à brailler :

« Pour notre Duuuuc !!! Visca la Gasconhaaaaaaa !!! »

Et d’y aller, emboitant le pas à Chipanzer Division (pas pu m’en empêcher, pardon ^^), relevant le bas de sa jupe d’une main, moulinant l’air de son autre poing fermé, ne lâchant pas des yeux le corset salvateur.

Mais qu’est-ce qu’elle nous fait là ! Se mettre entre le Duc et le curé ? Mais ça va paaas !!!!!


Tolosaaaaaaaaaaaaaaa !

Ah nooooooon ! Pas elle ! Pitiéééééééé !

Quoique ….
_________________
--Tolosa


La matrone lascivement assoupie sur la banquette de cuir, se dit que finalement, c'est bien elle qui a la meilleure place ! Avachie parmi les coussins de soie, elle se gratte consciencieusement le bas du dos en pestant contre son mataf qui devait lui avoir refilé des locataires ! Va falloirrrrr que je le passe à la lessiveuse celui-là ! ronchonne t-elle entre deux vagues ronflements ! (voir : Au fil de l'eau... Sur les quais de Paris)

Soudain, un hurlement l'éveille en sursaut !
Chipo !!!! s'inquiète t-elle aussitôt ! Un tel cri n'est pas pour rien ! Connaissant sa patronne, c'est grave ! On me l'égorrrrrrge !!! on me l'assassine !!!

La mastondonte saute prestement du carrosse, serrant contre ses mamelles géantes, toutes les armes qu'elle put trouver dans la chariote. Agitant son double quintal gélatineux, mais pourtant si leste, elle surgit en courant dans le cimetière...

(ambiance)

Sacrrrrrrebleu la Chipo ! Qu'est-ce qui t'arrrrrrive ma drrrrrôlesse ? hurle t-elle en trouvant sa maîtresse et sa complice, poings et poignard dressés !

Ses gros yeux porcins et globuleux s'activant promptement pour distinguer l'ennemi parmi l'assemblée coite ! Dans le doute, elle se place devant les walkiries, les protégeant de son corps monstrueux, en grondant sinistrement et montrant les crocs !

Aucun détails n'échappant à son regard, elle repère deux curés louches et se dit, l'oeil soudain égrillard, qu'elle y reviendra après, ayant toujours été séduite amoureusement par la robe et, voluptueusement par le goupillon bénit !

Soudain aux cris des harpies, la mamelue s'interroge...


Mais qui qu'tu hurrrrrles à la Gascogne ? t'es plus gasconne !!!!

Solore
« Mais qui qu'tu hurrrrrles à la Gascogne ? t'es plus gasconne !!!! »

En reste le poing en l’air, la So.

Ah oui ! C’est vrai, ça !

Mais non ! La Gascogne elle l’a dans le cœur, elle est Gasconne et le restera ! Elle revendique son appartenance, force bien un peu son accent mais surtout le conserve. Un peu de mer, de ciel bleu et de soleil, c’est tout ça qu’elle offre aux Bourguignons, lorsqu’elle leur parle. Quand elle leur parle …

Et puis d’abord, c’est Chipo qui a commencé, elle a crié : « Sauvons notre Duuuuuc ! » Notre … Elle a bien dit "Notre" !

D’ailleurs, quand on y pense, elle ressemble bien à une de nos merveilleuses petites vachettes, la Chipo. Vive, agile … et teigneuse à la fois. « Notre Duc » … ne serait-ce pas plutôt « son Duc » ? Serait-ce l'explication de ce subit désamour de la Gascogne ?

Mais la voici qui s’égare, la Solore. Reste muette mais le poing toujours dressé, bien planquée derrière le vaste corps de La Tolosa. Remparts humains devant le Duc de Gascogne a qui elle jette de brefs coups d’œil intrigués. Aurait-il été un des mutiples amants de la Chipo ? Duc peut-être mais homme tout de même … Laissera t-il de faibles femmes le protéger ? Laissera t-il Chipolata prendre des risques ?

Retour sur le sérial-curé. Semble être plus calme. A déposé les armes … c’est peut-être le moment de montrer comment on fait le jambon à Bayonne …N’attend qu’un geste, peu importe d’où il viendra, mais qu’on en finisse !

_________________
Odoacre
A Watelse, sec et indifférent

Taisez-vous donc et priez, c'est le plus beau jour de votre vie après tout.

Le vieux Grec se plaça alors face aux deux époux, les toisa quelques secondes et d'une voix forte dit

Filles et Fils qui êtes venus célébrer l'es épousailles du boutiquier Watelse et de la demoiselle au sang bleu répondant au doux nom d'Ellya... bienvenue en cette terre consacrée accueillant les festivités gastronomiques de maints vers, asticots, insectes divers, porcs et chiens errants.

Observant les visages présents sur lesquels se lisait l'impatience.... en reconnaissant quelques autres également

Je suis Odoacre de Corinthe, archevêque de Rouen et Inquisiteur de la foy, plus grand théologien du monde connu et je vous invite instamment à performer votre foi par la lecture de mes brillants traités.

Où sont les témoins ?

_________________
Archevêque de Rouen
Watelse
Watelse vit avec amusement le manège des deux Gasconnes. Avec amusement, mais aussi avec un intérêt stratégique. Oui! Il tenait là sa sortie salvatrice contre le terrible Odoacre! Il avait trouvé un remplaçant à ce prêtre manipulateur. Il n'avait donc plus besoin de lui!

Faisant fi de ce que l'évêque déclamait à toutes ses ouailles, il hurla de la manière la plus patriotique possible:

Tous pour la gascogne et la suvie de notre Duc. Ce faux prêtre peut le tuer d'une flèche! Tous sur lui!

Et plus bas à Odoacre:

A vous de prier...

Le sang des Gascons, fidèles à leur terre, ne ferait qu'un tour: une partie de ballon allait bientôt se jouer avec la tête d'Odoacre sous le bras... Enfin, c'est ce qu'espérait Watelse.
_________________
Solore
"Où sont les témoins ?"

Cherche des yeux le second témoin. Ne voyant aucun mouvement, reste prudemment derrière Chipo et Tolosa.

"Tous pour la gascogne et la suvie de notre Duc. Ce faux prêtre peut le tuer d'une flèche! Tous sur lui!"

Galvanisée par les mots de Maître Watelse, voici la So qui se met à hurler :

TOUS SUR UN ET UN SOUS TOUSSSS !


Et de pousser devant elle la Chipolata, l'écrasant contre le dos imposant de La Tolosa qui, bien cambrée sur ses fortes jambes, résiste à la poussée des arrières.

Mais pourquoi n'avance t'elle pas, La Tolosa ! Elle n'en ferait pourtant qu'une galette de ce vieux curé ! Elle peste la So en tenant la position tout en faisant attention au moindre geste, au moindre mouvement.

_________________
Odoacre
Aucune autre récation que la main du vieux Grec forte de ses quatre gros anneaux épiscopaux qui s'en va dire le bonjour à la joue de Watelse, sans retenue.

Un soufflet odoacrien.

Et l'Inquisiteur de lâcher d'une voix forte


Reprenez-vous mon vieux.

Puis de toiser à nouveau l'assistance

Sans témoin, ce mariage ne pourra avoir lieu. Alors ?
_________________
Archevêque de Rouen
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)