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[IG/RP] La Traque

Falco.
Los Hamos dou Pendou (en français: Home sweet home)

Mon cher Cesaire, la tendance des autorités ducales en générale est de surestimer la puissance des bandits.
La ou ils devraient se disperser en minces escouades afin de scinder, débusquer et éliminer chaque groupuscule..Ils progressent à gros effectifs, frileusement.
Alors les marauds se faufilent, rient et frappent .
Alors...

Ton doctoral avec forces gestes de cure dent autours d'une marmite tiédasse.
Ils ont la belle vie ceux qui savent même pas si demain ils seront vivants.
Alors les Ducs se vexent et lancent leurs armées écraser toute vie, fauchant innocents comme amis, ennemis ou alliés.
Bon, pas tout ça..Mon Spadassin..Mais sommes Cartel..Pas des fifrelins.

Il se reléve , en craquant un peu. Passé plus d'une semaine à dormir n'importe où il couine un peu le Fossoyeur.
Sa main qui à l'aspect d'une invitation pour l'au delà se tend et aide son porte épée à se dresser.
Direction leur paquetage.
Il faut se dévétir, enfiler un gambison puis vérifier les sangles de la brigandine.
Pas trop serrer le gorgerin, sinon un coup de taille vous envoit le rebord dans la trachée de façon non drolatique.
Fixer l'épée à sa chaine, pour pas la perdre à cheval ou dans la mêlée.

Ce dernier point ne le concerne pas.
Son épée est restée coinçée aux portes de Dax.
Il portera jolie tige longue de frêne avec un fer de fortune.
Ca vaut pas un épieu de chasse ou de guerre, mais les armureries manquent en rase campagne.

Quand les deux chevaux sont sellés, les blasons au lézard barré de rouge sont nettoyés.
Le banneret aux mêmes couleurs fixé au troussequin.

Au final ils ont l'air de ce qu'ils sont.
Un hobereau sans titre, squelettique et rieur. Un reître taciturne au regard se levant souvent vers les étoiles pour y chercher la raison de tout ça.
Deux cavaliers legers.
Echos d'une troupe disparue dont l'ombre colle encore aux mauvais rêves de certains.

Deux cavaliers qui vont se poser à l'entrée de ce hameau pourri pour y lever l'Octroi.
Face au badaud ou face à une armée.
Ce sera égal.
Quatres coups d'éperons et une charge , lance basse pour l'un, épée le long de la botte pour l'autre.
Sans doute en disant jusqu'au dernier instant quelques idioties.
Au grand jamais ils n'accepteraient être confondus avec ces brigands furtifs quise coulent dans les bosquets.

Surtout pas devant tel public.
Car ces derniéres heures ils ont pu voir tout deux le vaste déploiement blindé rétrécir le cercle .
Faudrait pas rater la représentation.




_________________
Fossoyeur, marchand, gascon
Isadora.da.vinci
Ca fourmis ouvrieuses à mort dans l'coin... Faudra pas oublier d'aller saluer la reine mère sans quoi elle va encore se vexer. Tout de même ces gascons quel caractère... Confortablement juchée sur le dos de Tyran elle observe d’un œil circonspect les badauds, colporteurs, filles de joies et autres volontaires désignés d'offices s'écouler en un flot bruyant … Sont tous venus vendre leurs salades quoiqu’on en dise. Manquerait plus que quelques politicards et on aurait la panoplie complète. M’enfin y’a quand même des salades qui ont l’air plus flétries que d’autres… philosophie-t-elle en matant quelques gueuses à la cuisse légère venues arrondir leur fins de mois. Soudain quelques abrutis à la trogne avinée ont la mauvaise idée de venir se colleter en travers de son chemin. Elle les écarte sans ménagement d’un coup de botte dans le tarin et les abreuves, bien qu’ils n’en aient visiblement plus besoin, de tous les joyeux sobriquets qu’elle a glané dans son enfance auprès des charretier du domaine paternel.

-Bandes de trous du c %* °@!! On a pas idée d’être aussi c ¤§ ! La prochaine fois je laisse ce bougre d’âne vous piétiner ! Pas franchement jouasse du compliment le bougre d’âne en question hennit et cabre. oOooh ! Ca va quoi… si on peut même plus rigoler. Ah ! je le retiens lui avec sa traque au brigands… non mais regardez-moi ce ramassis de guignols ! C’est pas là-dedans que je vais trouver du monde pour la Compagnie moi ! Quoique…

D’un œil cet fois appréciateur elle jauge quelques silhouettes et se dit que finalement, il y aura peut-être moyen de joindre l’utile à l’agréable…
_________________
Isadora~
Maître provisoire de la compagnie des Cadets de Gascogne
Perce bedaine et casse trogne ce sont les Cadets de Gascogne.
Namaycush


Les deux soldats trinquent ensemble dans la tente des officiers,...lorsque un remue-ménage attire l'attention du commandant ......il se lève, sort et...coup d'oeil à Grin, sourire en coin....

Grin, on va bien s'amuser je te le promets....

Gascogne est là, avec sa verve, sa gouaille inimitable, son caractère...
se dirigeant vers elle


Ah te voilà Maître....sse Cadette, je croyais que les Cadets étaient les premiers à accourir au front moi ...mais je croyais trop....

Il l'a fait chuter du cheval dans ses bras, la rattrappe, et l'emmène vers la tente de commandement..

Viens boire avec des hommes, des vrais...

Poussant la tenture masquant l'entrée de l'abri de toile, entre, la pose sur la table à l'horizontale entre le lieutenant et lui....

Bienvenue chez les guerriers, Isa

Il rit...sait que la tempête va se lever, mais...il est contre les tempêtes de Gascogne, contre oui mais tout contre....
Il fait poster deux sentinelles à l'entrée, que personne ne passe...

_________________
Commandant du Renseignement Militaire Gascon
Louisnapoleon


Caserne de Labrit
Toute la journée la caserne avait eu une grande activité.
Les soldats passaient dans tous les sens, avec armes et vivres, pour préparer le voyage. Cela rompait le quotidien de la caserne... dormir, laver les armes, aiguiser les lames, nettoyer la caserne, l'ennui...

Le lieutenant Louis-Napoléon réunit une dernière fois les soldats avant le départ. Il vérifia que tous portaient parfaitement bien leurs uniformes et que leurs armes étaient impeccables. En effet les missions étaient rares et il fallait que tout soit parfait pour l'événement.
Il regarda tous ses soldats et dit un dernier mot avant le départ :


- Soldats ! Si tout le monde est prêt nous pouvons partir. Restez prudent, les brigands peuvent attaquer à tout moment. Mettez-vous en colonne, en avant, marche !

Ils quittèrent l'enceinte du village de Labrit au rythme d'un pas régulier.


Chemins entre Labrit et Mimizan
Louis-Napoléon se trouvait en tête de colonne et portait l'etendard pendant qu'il repensait au plan. Si les renseignements avaient bien fait leur travail, les Labritois devaient croiser les brigands et leur barrer la route. Mais les brigands éviteraient surement les routes. Il fallait donc scruter l'horizon en permanence.
Il ordonna à la colonne de s'ârreter pour une pause. Il profita de ce moment pour ecrire une lettre au commandant du renseignement militaire. Il prit une petite planche qui faisait office de bureau, elle permettait d'ecrire mieux que sur ses genoux, même si Louis-Napoléon écrivait toujours trés mal. En effet les longues heures passées dans les bureaux au cour de sa vie et la rapidité avec laquelle il devait écrire avait rendu son écriture à peine lisible.


Citation:
Commandant,
Le groupe composé du lieutenant Louisnapoleon, des soldats Bebe14, Anatol2 et Carolina42, est en marche vers Mimizan.
La preparation s'est parfaitement déroulée et nous marchons en bon ordre. Nous surveillons la campagne à la recherche des brigands que nous espérons bientôt trouver. Toutes les personnes rencontrées sont controllées, même si elles sont peu nombreuse en raison de votre annonce de fermeture des routes.

Je vous previens dés qu'il y a du nouveau,
Faict sur les chemins Gascons le VIII du moys d'octobre de l'an de grasce MCDLVI,
Par Louis-Napoléon Von Wittelsbach.


Il envoya la lettre et ils se remirent en marche. Alors que les soldats commençaient à être épuisés par de longues heures de marche, ils crurent entendre un bruit de galop au loin.
Louis stoppa la colonne et regarda en direction de la povenance du bruit. Deux personnes chevauchaient à vive allure mais elles étaient trop éloignées pour distinguer quoi que ce soit.
Il ordonna aux soldats de rester sur place et il alla se cacher prés d'un rocher plus proche pour mieux les examiner. Les deux cavaliers s'approchaient de plus en plus et Louis pouvait maintenant distinquer deux hommes et une banniére qu'il examina attentivement. Aprés quelques secondes de reflexions, il avait déjà vu ces couleurs quelque part à Labrit, portées par les personnes recherchées.
Il courut en direction du groupe de soldat et donna ses ordres :


- Soldats, les voici. Sortez vos armes. Vous avez aujourd'hui l'occasion de montrer votre valeur et cela arrive rarement.
Soldat Anatol et Bebe, vous allez vous positionner à leur gauche, avec des arcs et vos armes de corp à corp à portée. Soldat Carolina vous resterez avec moi, legerement décalée vers leur droite.
Je me positionnerais en face, ils seront obligés de me voir et je les sommerais de s'arrêter. S'ils refusent, tirez leur des flêches et tentez de les attaquer par le coté, nous sommes plus nombreux et nous pouvons les attaquer en plusieurs endroit. Attention, ils sont à cheval. Execution ! Et bonne chance...


Louis-Napoléon regardait ses soldats prendre place. Il repensait à un detail de son plan. Et si les brigands ne s'arrêttaient pas ? Louis serait exactement devant eux, sur leur trajectoire. Et il ne pourrait pas faire grand chose contre deux cavaliers. Mais il decida de ne pas trop penser, et de faire entiére confiance à ses soldats.
Il avança un peu, jeta un coup d'oeil à ses soldats en faisant un ochement de tête pour leur dire en quelque sorte : ma vie est entre vos mains.
Les cavaliers étaient maintenant extrêmement proche et ils devaient l'avoir vu.
Louis souffla un bon coup, mit l'étendard gascon bien en avant pour bien faire comprendre qui il était, et hurla de la voix la plus forte possible :


- Hola ! Je vous ordonne de vous arrêter ! Vous êtes trouvés, ne perdez pas la vie dans des combats inutiles, rendez vous et faites face à la justice de notre grande Gascogne !

Louis se tut, il avait mal la gorge aprés avoir hurler si fort. Les cavaliers avançaient vers lui, sa vie était entre leurs mains et celles de ses soldats.
Une angoisse importante s'empara de lui, il était peut-être en train de vivre les derniers moments de sa vie...

_________________


Il envoya la lettre et ils se remirent en marche. Alors que les soldats commençaient à être épuisés par de longues heures de marche, ils crurent entendre un bruit de galop au loin.
Louis stoppa la colonne et regarda en direction de la povenance du bruit. Deux personnes chevauchaient à vive allure mais elles étaient trop éloignées pour distinguer quoi que ce soit.
Il ordonna aux soldats de rester sur place et il alla se cacher prés d'un rocher plus proche pour mieux les examiner. Les deux cavaliers s'approchaient de plus en plus et Louis pouvait maintenant distinquer deux hommes et une banniére qu'il examina attentivement. Aprés quelques secondes de reflexions, il avait déjà vu ces couleurs quelque part à Labrit, portées par les personnes recherchées.
Il courut en direction du groupe de soldat et donna ses ordres :


- Soldats, les voici. Sortez vos armes. Vous avez aujourd'hui l'occasion de montrer votre valeur et cela arrive rarement.
Soldat Anatol et Bebe, vous allez vous positionner à leur gauche, avec des arcs et vos armes de corp à corp à portée. Soldat Carolina vous resterez avec moi, legerement décalée vers leur droite.
Je me positionnerais en face, ils seront obligés de me voir et je les sommerais de s'arrêter. S'ils refusent, tirez leur des flêches et tentez de les attaquer par le coté, nous sommes plus nombreux et nous pouvons les attaquer en plusieurs endroit. Attention, ils sont à cheval. Execution ! Et bonne chance...


Louis-Napoléon regardait ses soldats prendre place. Il repensait à un detail de son plan. Et si les brigands ne s'arrêttaient pas ? Louis serait exactement devant eux, sur leur trajectoire. Et il ne pourrait pas faire grand chose contre deux cavaliers. Mais il decida de ne pas trop penser, et de faire entiére confiance à ses soldats.
Il avança un peu, jeta un coup d'oeil à ses soldats en faisant un ochement de tête pour leur dire en quelque sorte : ma vie est entre vos mains.
Les cavaliers étaient maintenant extrêmement proche et ils devaient l'avoir vu.
Louis souffla un bon coup, mit l'étendard gascon bien en avant pour bien faire comprendre qui il était, et hurla de la voix la plus forte possible :


- Hola ! Je vous ordonne de vous arrêter ! Vous êtes trouvés, ne perdez pas la vie dans des combats inutiles, rendez vous et faites face à la justice de notre grande Gascogne !

Louis se tut, il avait mal la gorge aprés avoir hurler si fort. Les cavaliers avançaient vers lui, sa vie était entre leurs mains et celles de ses soldats.
Une angoisse importante s'empara de lui, il était peut-être en train de vivre les derniers moments de sa vie...
Jakethesaint
Il était en pleine dans ses paperasses à défaut de ne pas pouvoir participer à la traque. De l’encre était sur ses doigts à force d’écrire. La mission était abandonnée pour lui, il était un peu déçu. D’un coup, il entendit une voix qu’il reconnu entre mille.

Surpris par sa belle, d’un mouvement maladroit, son encrier tomba sur ses parchemins … Il grimace …


« Morbleu ! » s’exclama-t-il en regardant tout son travail à refaire.

Il sort de la tente et se dirigea vers celle du commandant, bousculant les sentinelles à l’entrée de sa carrure bucheronesque. Il vient à la rencontre d’Isa et vient l’enlacer, l’embrassant avec passion.


« Bonjour mon héraurine, content de te voir … »

Il attendait avec impatience son arrivée.
_________________
~ Jake de Valombre ~ Porte-Parole de Gascogne ~
Grinwold
Les deux officiers savourent le breuvage, agréable en bouche, d'une belle ampleur, quoi qu'un peu piquant à la longue. Oui, piquant, belle image...

Le regard vague, Grinwold pense. A lui, à l'autre, à d'autres. Drôle d'impression, sensation de manque.

Nouvelle gorgée, piquante. Le bruit ramène le voyageur sous la tente. Namay sourit, clin d'oeil. Inutile de préciser, le message est passé.

Son ami sort, court échange verbal, et le voilà qui réapparaît avec une italienne quelque peu agitée dans les bras. Diantre, les pluies charrient de bien étranges animaux !

Le bougre la dépose sur la table, dans une position dont la description serait quelque peu malvenue.

Namay s'esclaffe, et Grinwold ne peut s'empêcher de le rejoindre. Leur rire est malheureusement interrompu par quelques jurons provenant de l'extérieur. Les deux sentinelles avaient visiblement quelques difficultés avec un curieux.
Ils n'eurent cependant pas à se renseigner, puisque un bruit métallique informe de la chute d'un garde, rapidement suivi par l'entrée en fanfare de Jake.
Le conseiller file vers l'italienne et la papouille amoureusement, sans même prêter attention aux deux soldats.

Grinwold reprend sa coupe et la vide d'un trait avant de regarder Namay avec un sourire sarcastique.

Si on ne peut même plus s'amuser...

_________________
Commandant de l'Ost Gascon

Falco.
Aleou Jacta Ou (En français: Chargez!)

- Hola ! Je vous ordonne de vous arrêter ! Vous êtes trouvés, ne perdez pas la vie dans des combats inutiles, rendez vous et faites face à la justice de notre grande Gascogne !


C'est superbe, c'est du grand art militaire et le Fossoyeur de ne pouvoir s'empêcher d'exploser de rire derriére le vantail de sa salade.
Ce fameux rire, celui ou le diable joue aux dés avec des osselets.

L'officier a cet aplomb, d'ailleur le bonhomme lui dit quelquechose malgrés la cuirasse, de celui qui se sait adossé à une armée.
Un aplomb qui est la source du rire du maigrelet, car le déploiement de la petite escouade fait plutôt songer à de la diversion d'avant garde.

Genre une avant garde qui se retrouve un peu trop en avant du gros des troupes.
Ceci dit, il pavoise pas trop non plus le Fossoyeur, car avec son spadassin rêveur ils forment pas vraiment une phalange lourde.

Mais bon, puisqu'on l'interpelle, autant faire ça selon les régles.
Et la noblesse putentraille?
A distance de demarrage pour galop de charge il fait gicler de la boue sous les sabots. Pour répondre tout en ajustant sa prise sur sa lance de fortune.

Hola de rien du tout petit soldat!
Que veux tu au Maistre de Cartel?
Ôtes toi de la route avec tes traines rapiéres ou je vous jette au fossé!
Place!Place!


C'est de la mauvaise foi compléte, c'est absurde. Jouer l'innocence outragée est gros comme un oliphant de Carthage, mais comme dit l'adage..
Plus c'est gros..
Les coups de talons.
La monture redémarre dans une esthétique gerbe de boue et un nuage de feuilles.
Il manque le henissement terrifiant, mais c'est pas possible.
Parce que c'est un cheval dressé pour le braconnage. Il est muet.

Ils ont interêt à serrer les fesses en face.
Et gare au couillon de paysan qui aurait l'idée à cet instant de jaillir des fourrés pour demander sa route.

_________________
Fossoyeur, marchand, gascon
Jakethesaint
[Sous la tente du commandant]

Jake était rentré dans la tente voyant le commandant qui venait de déposer son hérauine sur la table et se tenait d’une façon dont la décence n’était pas digne d’une dame.

Il s’approcha de sa bien aimée, lui prit la main pour la sortir de ce traquenard, l’enlace et l’embrasse amoureusement.


« Bonjour mon héraurine, content de te voir … » avait-il dit.

Il n’aurait jamais cru ça de son ami Namay pourrait faire ça. Et il savait que Grinwold était l’ex de sa bien aimée. Il n’avait pas vraiment porter ce détail à conséquence, vu que c’était fini entre eux … mais là, le fait de les voir ainsi profiter d’elle d’une façon inconvenante, Jake n’apprécia pas du tout.

Alors il se détacha doucement de sa belle italienne et la poussa doucement derrière lui, puis il fit volte-face vers Namay et dans l’élan, le frappa d’un coup poing dans le nez d'une force furieuse.


« La prochaine fois que je vous vois la toucher de cette façon, je vous pete les rotules. Me suis-je bien fait comprendre ? »

Sa voix était froide et assurée. Personne ne le connaissait ainsi, c’était une partie enfuie en lui, celle du guerrier qui sommeille. Jake ne supportait pas que l’on puisse rabaisser une femme de la sorte, et encore moins sa compagne. Il foudroya du regard Grinwold et resta sur la défensive s’attendant à une riposte pour esquiver.
_________________
~ Jake de Valombre ~ Porte-Parole de Gascogne ~
Namaycush


Il l’avait fait exprès pour provoquer une réaction de Jake, mais de là à ..il riait tout seul, il y tenait Jake à son hérauine…le nez coulait fort, pas grave….il avait l’habitude le soldat, entre les guerres de Provence, de Gascogne, les duels….il était pas à ça près…allongé par le coup…mais il savait donner aussi…entre les rôdes, la guilde….c’était pas un fonctionnaire de bureau tout aussi costaud que lui qui allait lui expliquer le terrain….d’un croc-en-jambe le fait chuter, d’une manchette à décorner un bœuf lui frappe la gorge, du bras l’enserre et lui murmure….

Jake ça suffit, je te fais mettre aux arrêts, pour réfléchir et on s’en tient là…
Gardes ! Mettez cet homme aux arrêts pour la nuit, veillez à ce qu’il manque de rien !


Après qu’ils l’aient emmené, prit une gorgée du pichet, en rit encore…

Ah ben Gascogne, tu as trouvé là un amoureux …sérieux….

Le goût du sang lui fait retrousser les babines, se rappelle qu’il est soldat et que eux les quatre sont là, au chaud en buvant et riant tandis que d’autres se mettent en route vers leur destin…destin qu’ils ont soit choisi ou soit ont été irrésistiblement attirés …

Maintenant qu’ils sont là à portée d’épées, il a une pensée pour eux…il les a traqués dans toute la Gascogne, pire qu’une battues aux loups…ils ont dû se cacher…dormir dans le froid, vivre d’expédients, sens à l’affût, sommeil perturbé, léger interrompu au moindre bruit, au moindre craquement de brindilles….
Pensée pour le lieutenant avec ses petits gars, dans la nuit froide et humide d’automne, pourvu qu’il sache les garder…enfin demain il fera jour, sur la Gascogne, dans la tête de Jake…et il espère que le ciel sera aussi bleu que…l’azur…

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Commandant du Renseignement Militaire Gascon
Falco.
La Cavalcadou dé locco (En français: Petit poney enragé)

Les archers encochent leurs fléches, le cavalier au centre du chemin se retrouve dans une agréable position.
Celle ou la vessie se rétrécie comme raisin sec parce qu'on réalise que deux fois plus de 600 kilos au minimum vous foncent dessus.Le Fossoyeur Rugit dans l'air du soir, effrayant les cigales.

Place Soldat! Tu vas finir comme un herisson sur une avenue de la Capitale! Place! Taiaûûût!


Naseaux fumants, cavalier à demi blindé couché sur sa selle, pointant une lance qui n'a rien des jouets de joutes.
Sa pointe a été forger à la va vite dans le hameau abandonné avec un reste de piége à ours et une faux délabrée. Plus une poignée de clous pour l'équilibre.
L'écu aux couleurs éclatante de Cartel face aux soldats.
La vitesse d'un cheval pas de luxe éperonné au galop est assez impressionnante. Cela ne vaut pas l'effet produit par une ligne de chevalerie lourde dans la plaine,mais à cette echelle d'escarmouche c'est tout comme.
3 fantassins et un officier visiblement débutant d'une part.
2 cavaliers qui risquent leur va tout pour forcer le passage d'autre part.

C'est sans compter sur le destin.
La malediction du fourré qui bouge d'un coup pour faire naître un paysan ahuri sur la trajectoire.

Le malheureux a juste le temps de hurler.

J'suis Dokko! Chui innocent! J'allais la payer la taxe sur le blé! Pardon! Pardon!


Ou un truc du genre. Le Fossoyeur entend pas bien sur son bolide et n'a pas le temps de ralentir.
Une poignée d'écus vole en l'air.
Pas ma d'entre d'eux, saletés, se glissent dans le vantail, lui cognant les yeux!

Il est sorti du fourré comme un pet aprés un cassoulet ce pequenot! Trop vite pour qu'on puisse l'ésquiver.
Son baton, une de ses jambes aussi sans doute, disparaissent sous le cheval.

C'est le cataclysme.
1456 années de progrés dans la cavalerie anéantis par un type avec un gilet bleu à vomir.

Le cheval va s'imbriquer dans un superbe roncier.
Le cavalier s'offre un angelus avec les cailloux du chemin et son casque dans un atterrissage fleuri de jurons.

Le Cesaire?Il est où le Spadassin? Il ne le voit plus nulle part!
En fait il ne voit plus rien le maigrelet.
Malepeste! Chui aveugle! Chui aveugle! Crotte de lapinou!


S'il secouait sa tête casquée il ferait un bruit de tirelire et tomber les écus qui lui bouchent la vue.
Mais il n'y pense pas encore, tellement estomaqué par son manque de bol.
Citation:


09-10-2008 04:31 : Vous avez heurté Dokko qui possédait 10,53 écus.

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Fossoyeur, marchand, gascon
Aelyce_h
Pendant tout ce temps là, elle s'était isolée dans une tente sommant un sentinelle de ne laisser passer personne, et quand il la regarda un brin étonné, elle lui dit d'un air pince-sans rire sur un faux ton de confidence:
"-parce que je serai nue"

Elle eut à peine le temps de voir son visage se décomposer, et le sang inonder ses joues trahissant son émoi, qu'elle partit dans un rire franc tout en replaçant la toile devant l'entrée. La jeune femme était connue auprès de ses amis pour être espiègle, même sa grâce le duc n'y échappa pas et au mariage de son parrain, et à son baptême..elle se pinça la lèvre inférieure en s'estimant encore une fois chanceuse qu'il ait autant de flegme et d'humour.

"Un jour petite fôlatre ça te perdra" se dit elle en relevant ses manches qui faisaient office selon, de buvard improvisé, ou de tampon encrier. Avait noué les pans de sa chemise autour de sa taille fine, ramassé ses longs cheveux bruns une fois qu'ils auraient l'idée farfelues de se teindre à l'encre.
Elle s'affairait ainsi allongée à même le sol, le bout de la langue tiré trahissant sa concentration, à gratter les parchemins du bout d'une plume.


C'est ainsi qu'elle en usa quelques unes, vida un encrier, en jeta l'autre sur le visage du garde qui avait relevé légèrement la toile pour l'épier, et bousillé un parchemin où quelques grossières fautes d'orthographe s'étaient glissées. Mais à côté de tout celà, elle avait une volumineuse pile de courriers les uns sur les autres prêts à partir. à ses yeux, rien n'était à cet instant là plus beau à admirer que le fruit d'heures de travail.

-Casse bo...
même pas le temps de finir d'appeller le jeune homme qu'il entrait dans la tente en trombe, on aurait juré qu'il n'y eût que la toile qui les séparait sans aucune autre distance.

Il la dévisageait l'air un peu gêné. la jeune femme pencha instinctivement la tête et aperçut un peu plus loin de l'entrée le garde au visage repeint en noir qui baissait les yeux. quelques autres faisaient semblant de lacer leur bottine ou d'épousseter leurs braies où était logée une poussière imaginaire, ou ce dernier qui sifflotait en fixant une brnche d'arbre .
"De vrais enfants de choeur" pensa-t- elle tout haut


Sourire amusé de la jeune femme à casse_grains en lui tendant précautionneusement la pile s'assurant discrètement de la propreté de ses mains. Puis l'amusement se cantonna au regard tandis que la voix tonna ferme et volontaire, un brin menaçante :

-Tu vas m'attacher chaque courrier à un animal de ta ménagerie! et si jamais un des courriers n'arrivait pas..

casse_bonbons la regardait retenant son souffle, tandis qu'elle s'était approchée de lui et lui dessinait sur le cou du bout d'un doigt un sourire barbare.

-Ne fais pas cette tête, tu vas voir ce sera amusant, et tu sais quoi, prend tous ces hommes avec toi ils semblent s'ennuyer maintenant que la traque prend fin.

Pendant qu'il s'éloignait en grommelant, elle rajouta en élevant légèrement le ton de sa voix :


-Tu diras à parrain que je dois m'absenter dans les environs, des gens m'attendent.Si il a besoin de sa copiste tu me ramènes les instructions et le matériel, de là où je serai je m'en chargerai..

plongea son regard ambre aux reflets mielleux dans le sien puis poursuivit malicieusement..

-mais attention!..je dis bien de copiste, et seulement de copiste..s'il a envie qu'on lui gratte le dos tu le fais, s'il a envie de serveuse tu envoies la lavandière, s'il a besoin de danseuse du ventre..tu te dévoues..enfin vous vous débrouillez les enfants, je ne suis plus là.

-Ah une dernière chose...
le jeune homme qui allait riposter retenait à présent sa respiration..

-tu regarderas en même temps ce que fait Serena, parcequ'il semble qu'elle a disparu du campement.

Cette phrase suffisait pour que jaloux et inquiet, l'imposant ours se transforme sous ses yeux ahuris en étalon au trot. Elle mit une main sur son front tandis qu'elle le regardait courir attendrie. C'était un spectacle rare où à la fois on admirait la célerité d'une si imposante masse déchirant l'espace et à la fois on craignait que ses jambes ne se désarticulent.

Elle tourna les talons, et traqua le désordre là où il régnait : la tente, ses cheveux, ses vêtements, ses affaires qu'elle ramassa dans un bagage, et même dans ses idées, du moins elle essaya. Elle mit sa cape et ses bottes rapidement, sella un cheval et partit au galop, plus de temps à perdre. Elle était déjà en retard. un peu plus loin, à l'entrée du campement, elle croisa l'abbesse qui arrivait enfin, descendit de son cheval et se dirigea vers elle en s'inclinant humblement, elle releva la tête vers elle un sourire engageant aux lèvres, ravie qu'elle ait répondu présente à leur invitation :


-Bienvenue au campement dame l'abbesse, sachez qu'une tente a été aménagée pour vous accueillir, prenez vos aises, nos hommes attendent avec impatience votre bénédiction.


Les deux dames s'échangèrent encore quelques mots courtois, avant qu'Aelyce ne prit à nouveau congé, reprenant position sur sa selle, et détalant à la recherche du temps perdu.

Arrivée devant une cabane en bois à la sortie de la ville, elle descendit de sa monture l'attachant à un tronc d'arbre et tout en se dirigeant vers la porte,elle repensa à la traque qui se faisait à l'instant même, les malfrats s'étaient ils livrés? avaient ils gagné la bataille?
Une chanson hantait à présent sa tête :


Citation:
Il était une fois
Un beau petit bourreau
Pas plus grand que trois noix
Et pas beaucoup plus gros
Des hautes et basses OEuvres
Etait exécuteur
Et pour les basses OEuvres
Etait à la hauteur
N'avait jamais de trêve
Et jamais de repos
Et en place de grève
Il faisait son boulot

Pourtant couper des têtes,
Disait-il, ça m'embête
C'est un truc idiot
Ça salit mon billot
Pour nourrir ma vieille mère
Je saigne Paul ou Pierre
D'un geste un peu brutal
Mais sans penser à mal
Sentimental bourreau
Aïe, aïe, aïe,... aïe, aïe, aïe,...

Un soir de sa fenêtre
La femme du fossoyeur
Héla l'homme des têtes
Et lui ouvrit son cœur
Depuis longtemps sevrée
De transports amoureux
A vous veux me livrer
O bourreau vigoureux!
Je vous lance une corde
Du haut de mon balcon
Grimpez-y c'est un ordre
Allons exécution!

A partager sa couche
La belle l'invita
En quelques coups de hache
Il la lui débita
L'époux au bruit du bris
Survint un peu inquiet
Il partagea l'mari
Pour garder sa moitié
Comme la dame inquiète
Suggérait : " Taillons-nous ".
Il lui coupa la tête
Et se trancha le cou

Prince prenez grand soin
De la doulce Isabeau
Qu'elle n'ait oncques besoin
D'un petit bourreau beau.

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Cesaire_h
Il est là le spadassin. Juste qu'il se demande c'est quoi ce bordel, hésitant entre le rire grinçant et le soupir blasé.
On a perdu Maurice en plus...Et trouvé plein de copains de chemin.
Presque sûr qu'ils sont pas là pour rigoler...
Par contre, le Falco, il a jamais été aussi remuant, au taquet.


Citation:
- Hola ! Je vous ordonne de vous arrêter ! Vous êtes trouvés, ne perdez pas la vie dans des combats inutiles, rendez vous et faites face à la justice de notre grande Gascogne !


Sous le heaume, le sourire se pointe devant tant de candeur. Qu'ils viennent les chercher, faut pas déconner, ils ont du taf. Il en causera à son cheval le spadassin, histoire qu'on entende son rire hénissant. Et de poursuivre son action du jour, c'est à dire en lançant son canasson derrière le fou furieux relevant le Fossoyeur aux allures de tirelire chantante.Et de lui tapoter le heaume.

Citation:
09-10-2008 04:31 : Vous avez heurté Dokko, qui avait heurté Falco et qui possédait 10,53 écus


Citation:
Malepeste! Chui aveugle! Chui aveugle! Crotte de lapinou!


Mais non. Juste que t'as de l'or dans les yeux..

Sérieux le Césaire n'a jamais vu le Cartel aussi agité, il semble au faît du bonheur suprème, à croire que plus c'est le bordel, plus il sourit.
Il est dangereux pour lui même.


Donc si je comprend bien. On a tout l'OST au cul. Et on est sensés démonter la lance là bas ? Seuls tous les deux ? C'est cela le plan ?

C'est dit calmement, posément...C'est pas que ça l'ennuit, c'est pas qu'il aime pas les causes perdues, il s'en cale même, juste qu'il veut une confirmation.
Apres il avisera de l'option radicale à mettre à éxécution. Pas loin de penser que le sommeil profond de la promise a dû l'affecter plus qu'il n'y parait...

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Isadora.da.vinci
[sous la tente]

Du haut de l’impressionnant garrot de Tyran elle brandit un poing menaçant sous le nez sanguinolents des imbibés qu’elle continue à agonir d’injures latines – ce qui leur confère un lyrisme supplémentaire – quand soudain…

- …oOoola !!! @* §°

Prise par surprise elle choit sans aucune grâce dans les bras de Namay. Toujours particulièrement désagréable de s’apercevoir qu’on ne pèse pas plus lourd qu’une plume dans les bras de ces messieurs. Empettrée dans sa cape de voyage elle se débat sans grande conviction davantage dans l’espoir de parvenir à placer quelques coups de griffes vengeurs que de se libérer. Inutile de se demander qui la kidnappe ainsi sans aucune vergogne.

- Ah te voilà Maître....sse Cadette, je croyais que les Cadets étaient les premiers à accourir au front moi ...mais je croyais trop.... Viens boire avec des hommes, des vrais... Bienvenue chez les guerriers, Isa !

- Lâches-moi traître où je t’émascule ! Lâches-moi je te dis où je te promets que je t’arrache les couilles avec les dents !... Malgré l’envie qu’elle a de rire elle parvient à rendre ses menaces presque… menaçantes. Houfh !... Exhale-t-elle lorsque ses formes calypiges heurtent le bois rugueux de la table. Quelques mouvements rageurs et désordonnés parviennent à la dégager de l’ample manteau. La diablesse surgit hors de sa boîte, échevelée, les joues rouges, des nuées inquiétantes roulent dans son regard d’obsidienne transpercées par instants d’éclairs de colère dont elle entend foudroyer ad hoc les deux hurluberlus dont l’un est passablement vautré sur elle.

- Ha ça ! Vous avez l’air malin tout les deux ! Bandes de puceaux décérébrés ! Espèces de veaux lubriques !! Ma qué ! Il ne sera pas dit qué vous m’aurez assoiffée en plou dé m’avoir déshonorée !... Plus elle s’énerve et plus son accent se fait rocailleux, les insultent roulent dans sa bouche avec un gourmandise irrévérencieuse, mais lui donne soif ! Elle s’empare de la bouteille restée sur la table s’octroi une généreuse rasade directement au rouleau… Et cesse de m’appéler Gascogne j’ai rendou mes cadouç…

C’est cet instant précis que Jake choisit pour faire son entrée, la trouvant donc à moitié allongée sur la table, débraillée, buvant au gouleau et un homme entre les cuisses. De stupeur elle s’étrangle avec sa piquette et n’a pas le temps de reprendre son souffle que déjà son fiancé allonge Namay avec un belle précision. Du coup elle se redresse et s’assoit plus à son aise sur la table pour profiter du spectacle.

- Bravo mi amor ! Jolie droite !... mais la situation dégénère et son beau brun se retrouve au trou avant qu’elle ait eu le temps de dire ouf. Sachant qu’il est inutile de vouloir séparer les chiens quand il se disputent un os - et quel os ! – elle attend que Jake escorté de quelques bleus dont un avec une drôle de bosse sur le front soient sortis et se tourne vers les deux compères, poings sur les hanches et sourcils froncés des grands jours.

- Bon mainténant ça souffit les connéries ! hé ?! A quoi est-ce qué vous joués ? Santa Madona !... Non mais qui est-ce qui m’a fichou des idiots pareils… Se lamente-t-elle sur le ton Grand Chant tout en levant les yeux et les mains au ciel. Ahr !... Viens ici grand nigaud, tu pisses le sang… coq-à-l’âne-t-elle en attrapant fermement la tête de Namay pour lui flanque un coin de mouchoir dans la narine. Va bene… yé souis soure que le grand béta assis derrière et qui se bidonne dans sa timbale depuis tout à l’hore te trouvera oune autre bouteille pour anesthésier tout ça ! Et puis de toute façon c’est bien fait pour toi ! En vertu de quoi elle tourne subitement les talons dans un tourbillon de boucles brunes et quitte la tente dont elle envoi voler le rabat sur le planton de service resté à l’extérieur.

- Ma qué ?! Pourquoi tou mé régarde comme ça toi ? Tu veux qu’on s’explique ?... mama mia ! mama mi ….
S’assourdissant progressivement avec l’éloignement, la litanie de ses imprécations juteuses lui ouvre miraculeusement un passage à travers la foule.
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Isadora~
Maître provisoire de la compagnie des Cadets de Gascogne
Perce bedaine et casse trogne ce sont les Cadets de Gascogne.
Namaycush


[Tente de commandement de la traque]

Calembredaine d’italienne, furie, chimère, harpie, …voilà-t-il pas qu’elle lui met le doigt dans le nez avec sa délicatesse habituelle…, ne disait-on pas qu’elle avait tué plus d’hommes entre ses cuisses qu’avec sa lame…

Aie ! ….

Il rit la voyant sortir,….pensant qu’il lui avait sabrer les fesses de sa lame sur un pré de Dax, se ressert à boire, trinque encore avec le frère d’armes…

Les missives pleuvaient, allaient, revenaient, on avait même vu un hérisson aux couleurs de Gascogne filer….

‘tain il avait mal au nez le vieux, …tant pis…il se soulagera sur Casse-Roubignolles,


Casse-Tarin, de suite ..données d’ordres pour la copiste….

Disparue celle-là aussi, c’était la mode en ce moment décidément…
Il prend connaissance de la missive d’un merle…



Citation:
Mais voilà,
Nous avons quitté notre caserne hier à 20h00 étant accompagné de 4 Réservistes.
Nous sommes arrivé à Dax afin de récupéré un dernier qui était en voyage.

Pour mes mémoires et visions,

"Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé un groupe composé de Danjam34, de Jetfaze et de Qu3tin et Zelandra."

Après leur rapport personnel,tous mes réservistes ont le même résultat.

(entre nous je suis vraiment fier de mes réservistes, ils ont tous réagit très vite pour leur rapport)

Pour notre direction de la nuit prochaine et après avis de tout le monde,nous avons bien envie de se diriger vers le noeud entre Mimisan et Labrit.
Je sais que c'est là que se trouve Falco.et les deux autres bandits.

Enfin, j'attends vos ordres bien entendu, mais je crois que nous sommes de taille à les affrontés

En attente de vos ordres, je vous souhaite une bonne journée Commandant.

Merlin le Gascon, Commandant en Chef de la caserne des Réservistes de Bayonne


Hum…il me semble que j’avais ordonné un courrier à l’intention de Merlin hier !
Bref, qu’on le remercie, qu’on les fasse entrer au bercail, en précisant bien que mon rapport sera favorable malgré la vitesse de réaction, qu’on peut néanmoins mettre ça sur le compte d’un réglage…

Courrier à Louis Napoléon, lieutenant de Labrit, lui remerciant de son engagement et qu’il tâche de nous ramener les fugitifs vivants, ici même avant leur mise à disposition de la procure, histoire de….faire connaissance…et qu’ils les bousculent un peu au passage…

Courrier à la Duchesse Von Frayner, lui enjoignant de faire mouvement vers le nœud entre Labrit et Mimizan, d’apporter soutien au détachement de Labrit et d’escorter les prisonniers éventuels au sein de sa lance.

Tourne-toi…


Et lui donne un magistral coup de latte,…..ça arrange pas son nez mais ça fait du bien….

Azur du ciel, sans nuages, sourit…..l’esprit s’égare il aime le bleu, le soldat…
Drôle d’animal que la femme tout de même, elle engendre les passions, l’amour, rend les hommes faibles ou fous, paradoxe elle qui les aime forts, …elle a engendré des guerres, des meurtres….et l’homme chaque fois y retourne, fier de sa possession qu’il croit éternelle, gardien d’un trésor enfoui au plus profond de l’intimité féminine, oui …mais…qu’il est dur de garder un trésor dont tous les hommes ont la clé !….

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Commandant du Renseignement Militaire Gascon


Hum…il me semble que j’avais ordonné un courrier à l’intention de Merlin hier !
Bref, qu’on le remercie, qu’on les fasse entrer au bercail, en précisant bien que mon rapport sera favorable malgré la vitesse de réaction, qu’on peut néanmoins mettre ça sur le compte d’un réglage…

Courrier à Louis Napoléon, lieutenant de Labrit, lui remerciant de son engagement et qu’il tâche de nous ramener les fugitifs vivants, ici même avant leur mise à disposition de la procure, histoire de….faire connaissance…et qu’ils les bousculent un peu au passage…

Courrier à la Duchesse Von Frayner, lui enjoignant de faire mouvement vers le nœud entre Labrit et Mimizan, d’apporter soutien au détachement de Labrit et d’escorter les prisonniers éventuels au sein de sa lance.

Tourne-toi…


Et lui donne un magistral coup de latte,…..ça arrange pas son nez mais ça fait du bien….

Azur du ciel, sans nuages, sourit…..l’esprit s’égare il aime le bleu, le soldat…
Drôle d’animal que la femme tout de même, elle engendre les passions, l’amour, rend les hommes faibles ou fous, paradoxe elle qui les aime forts, …elle a engendré des guerres, des meurtres….et l’homme chaque fois y retourne, fier de sa possession qu’il croit éternelle, gardien d’un trésor enfoui au plus profond de l’intimité féminine, oui …mais…qu’il est dur de garder un trésor dont tous les hommes ont la clé !….
Falco.
Lou Maigrichou y sou Spadassou (En français: Les deux saltim-branques)

Donc si je comprend bien. On a tout l'OST au cul. Et on est sensés démonter la lance là bas ? Seuls tous les deux ? C'est cela le plan ?

Le Cesaire a l'intellect contaminé par leur environnement martial songe le Fossoyeur en retirant son casque et faisant pleuvoir quelques écus.
Il comprend l'essentiel, mais pas l'essence de l'acte.

Inspiration, aprés un bref coup d'oeil vers la troupe qui conserve de façon trés disciplinée sa position réglementaire.

Mon frangin disait ..Quand tu perds, arranges toi pour placer un bon coup dans la plus proche paire de robignoles.

Re fixage de casque, abandon du canasson, sont trop prés.
Bouclier , lance en position dite "Meurtre du Faon entre les yeux", regard empreint de tous le sadisme possible vers les fantassins au loin(mais pas tant que ça).

Et tu sais pourquoi?
Parce que l'entre jambe est le siége du respect chez le soldat ennemi. Ouala!
Lui secouer les clochettes c'est être certain que la prochaine fois ou tu le croises il s'en souvienne.
Un souvenir qui évite souvent cris, coups d'estocs, boucheries et tout ce bazar habituels..
Donc!

Sans attendre ou espérer de réponse de son spadassin, il ferme un oeil, jauge la distance.
Pose sa lance.
Ramasse un cailloux.
Le balance vers l'officier sur son destrier.
Raté.
Il a toujours été nul en caillassage de guerre, sauf du haut d'un machicoulis avec un moellon de 50 livres.
Donc..Ouep..On détruit leur avant garde puis on traverse le gros des troupes, ensuite on les encercle..Capish?

L'a une drôle de face l'Empailleur , un air de folie pas douce.
C'est à cause de sa quête de paladin afin de tirer de la glace sa promise au sourire de cheval qu'il a pas réussit.
L'Ost Gascon c'est comme un pis aller.
Il a pas trouvé de cadavre à rapporter à Labrit, alors il va tacher d'en fabriquer.

Foncer, Percer..Encercler..Plan simple.

A deux, c'est même d'une simplicité enfantine.

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Fossoyeur, marchand, gascon
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