Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>

[RP ouvert] Des belles et des raclures...

--Torgnole


Le panneau d'entrée de la taverne en bordure des docks s'ouvrit brusquement, en un coulissement bruyant, libérant le passage à la haute stature du plus mastoc des sous-fifres écaillés, Torgnole. En grimaçant, il tira une chaise à lui, et s'assit lourdement, parfaitement inconscient de rompre l'épais manteau de silence qui enveloppait les lieux. Il ne décolérait pas. Le Borgne n'était pas même là, lui qui lui avait donné rendez-vous ici, et Mieko, furibarde, qui l'avait envoyé bouler alors qu'il ne faisait que lui transmettre les commandes de la plèbe... Quelle foutue corvée.

En soupirant sans retenue, il s'appuya des deux coudes sur la table de granit brut, passa ses grandes mains rugueuses dans sa chevelure en bataille, et se releva, d'un geste puissant, pour arpenter le comptoir nerveusement, à grands pas.


Il n'y a donc rien à boire, ici!! Où sont les frangines?! Mais...

La brute se retourna d'un coup, et fut soudain frappée par l'étrange vacuité des lieux... Et par la présence de Mieko, en personne. Allons bon, elle n'était même plus à la forge... C'était un comble. Enfin, il n'avait pas son mot à dire, et n'avait pas d'autre choix que de poireauter en attendant le Borgne. Avec fracas, il quitta la pièce pour se diriger vers l'onsen et, dès qu'il y aperçut les jumelles en train de se prélasser, il se mit à aboyer, soulagé de pouvoir enfin décharger son trop-plein d'agressivité sur quelqu'un.

Et alors, les donzelles??! Z'êtes payées à rien foutre?? Vous allez me renfiler vos petits kimonos et venir me servir une bonne bouteille de saké, et en vitesse mes mignonnes.

Joignant le geste à la parole, il s'empara de l'une d'elles par le bras, et la força hors de l'eau, avant de lui coller son vêtement entre les mains. Sans attendre de se faire malmener à son tour, la seconde jeune femme sortit prestement, et récupéra le léger tissu afin de se vêtir, avant de se reprendre, un léger sourire aux lèvres. Le kimono toujours à la main, dénudée, elle s'approcha du grand gaillard en rage, et tenta une approche plus douce, lui caressant le torse de sa paume libre, tout en tâchant de le flatter un peu.

Allons, allons, beau Lézard... veux-tu te joindre à nous, peut-être...? Nous saurons te détendre, tu sais...

L'oeillade qu'elle lui lança n'eut pourtant pas le temps de faire son effet, qu'une gifle magistrale s'abattait déjà sur le doux minois...

Je veux du saké, tu comprends! Allez hop, au boulot!!

La phrase fut ponctuée d'une grosse claque sur la croupe encore nue, en guise d'incitation à se dépêcher un peu. Quelques minutes plus tard, le trio était de retour à l'intérieur, et Torgnole était de nouveau attablé, toujours pestant à tout va, avec quelques bouteilles alignées sur la table, en face de lui. L'autre avait intérêt à se magner.
--Goro


Un beuglement précèda l'arrivée du Borgne, immédiatement suivie d'une bouteille vide, sifflante aux oreilles de Torgnole. Le motif était futile, mais les artères du molosse bouillonnaient d'alcool de riz visiblement mal digéré.

Et alors, elle est où, ma commande?

Encore méfiantes de leur mauvaise expérience récente, les tenancières échangèrent un long regard interrogateur, et, sur un haussement d'épaules, se précipitèrent pour servir le mécréant.

Mmbrggrl.

Non, décidément, le "merci" ne passait pas, et c'est un mot indéfini qu'il mâcha et recracha de manière indistincte, aux pieds des donzelles ahuries. Dire que la soirée s'annonçait finalement calme...

Je n'parlais pas de ça... Tirez-vous, les filles.

De son pas pesant, il s'approcha de son comparse, un rictus mauvais lui déformant la trogne.

Alors?
Tetsuma
Tetsuma nouvellement arrivée dans une ville qu'elle ne connaissait pas furetait à droite et à gauche.
La seule chose qu'elle portait était des guenilles et un poignard caché à ses reins.
Ses vêtements miséreux ne pouvaient cacher la beauté de Tetsuma.
Malgré tout elle essayait de se faire la plus discréte possible.
Elle se savait poursuivit par Hagewashi et n'avait pas envie de le recroiser, ni même que quelques mécréants lui donne son signalement pour quelques koban
.

C'est donc à l'aveuglette que la Tetsuma San errait par les rues de la ville.
Ses pas la conduisirent vers des endroits malfamés et son coeur se mit à battre
.

*Mais qu’est ce que je fais là ! Il me faut partir au plus vite, c’est sûrement pas ici que je peux espérer rentrer un Maître Samouraï qui pourra assurer ma protection.*

Les hommes qu’elle croisait était plus vilain les uns que les autres.
Les femmes qui vendaient leur charme la regardait en coin ayant peur qu’elle leur fasse de l’ombre
.

*Si elle savait à quel point je tiens à ma virginité*

Elle accéléra le pas, la peur au ventre et ça se voyant tant…….
Hideyoshi
La taverne Aux Fières Raclures était en général pour lui son endroit de prédilection pour boire depuis son arrivé à Kiyosu, mais le sake s'y faisait de plus en plus rare maintenant, il devait parfois attendre que quelqu'un se pointe avec sa propre bouteille pour dire à quel point le patron devait remplir ses réserves en alcool. Il avait bien la possibilité de boire du thé, tiens, ça s'est déjà vu une taverne en rupture de thé? Sûrement pas se dit-il, c'est tellement écoeurant à boire qu'il y en aurait toujours. On lui avait dit l'autre fois que ça grandissait l'esprit ou quelque chose comme ça. Conneries qu'il avait pensé à ce moment là, c'est certain que sa permettait de grandir l'esprit, car puisque qu'il vomissait juste à en boire, ça laissait de la place pour laisser entrer autre chose.

Arrivant maintenant en face de cette taverne aux allures plutôt accueillant pour quelqu'un comme lui et dont il avait entendu parlé de la beauté des jeunes donzelles qui y servaient les clients assoiffés, il vit une personne qu'il avait déjà croisé peu de temps auparavant. Celle-ci marchait d'un pas bien rapide pour quelqu'un à l'ordinaire, avait-elle peur de l'endroit? Se demanda-t-il. Il sourit d'un rictus malveillant, il passa sa main gauche dans ses cheveux crasseux et la ratrappa. C'est vrai qu'elle n'était pas moche et d'ailleurs avec ce qu'elle portait, étonnant qu'elle ne se soit pas encore fait violer quelque part dans le cloaque.


Si c'est pas la fille appeurée de tout à l'heure, t'a vraiment foutrement pas froid aux yeux pour rester dans ce secteur ou t'es juste un peu idiote. D'ailleurs, j'crois même avoir vu quelqu'un qui t' cherchait. Dit-il en sachant très bien qu'elle redoutait cette personne. Il lui prit un bras qu'il serra fermement et l'attira vers lui.

Allez, suis moi, je t'offre un putain d'bon bol de sake! Et tu seras plus en sécurité dans cette taverne que dans les rues.

C'était évidemment faux, à l'intérieur de la taverne devait probablement se trouver quelques une des pires merdes qu'on puisse rencontrer à Kiyosu, mais Hideyoshi voulait encore s'amuser avec elle.
_________________
Tetsuma
Citation:
Si c'est pas la fille appeurée de tout à l'heure, t'a vraiment foutrement pas froid aux yeux pour rester dans ce secteur ou t'es juste un peu idiote. D'ailleurs, j'crois même avoir vu quelqu'un qui t' cherchait


Les yeux écarquillés d'effrois elle réussit à ouvrir la bouche, la respiration se faisant de plus en plus bruyante.

Lâchez moi, je me suis perdue je veux m'en aller, je n'ai rien à faire ici, s'il vous plait, laissez moi.

Terrorisée elle poursuivit

Qui me cherchait ? Je vous en supplie laissez moi partir !!!

Il serrait si fort qu'elle ne put que le suivre, elle savait qu'il mentait, elle avait vu rentrer des horreurs.
Elle allait y laisser sa peau, assurément.

Dès qu'il ouvrit la porte elle eut un haut le coeur une odeur de fauve en rut lui parvint dans les narines.
Une odeur immonde, elle en était malade.

Elle regarda Hideyoshi suppliant mais il en avait que faire, elle était à sa merci....

Elle s'installa malgré elle à une table, les yeux convergèrent vers eux....
--Akushitsuna


Le bras droit d’Hagewashi n’avait pas assisté à l’exécution d’un des leur et pour cause.
Ce guerrier aux mille facettes, s’appelait Akushitsuna dit le vicieux.
Il préférait faire ses propres recherches et la suivre à la trace.
Il écoutait les différentes conversations de vieilles mégères ou tout simplement d’ivrogne.
Il n’hésitait pas à soudoyer, à menacer, à agresser pour obtenir des informations même à torturer si cela pouvait l’amuser.
Sa force n’avait d’égale que sa cruauté.
Aucune foi ni loi, ce n’est pas pour rien que le Maître lui vouait une admiration sans borne.
Si le chien galeux était de sorti, sur qu’il allait la retrouver et certainement la ramener.
De toute façon il ne reviendrait pas sans elle.
Comme un chien il sentait sa présence il savait qu’elle n’était pas loin, son parfum la trahissait.
Il connaissait bien ce parfum pour l’avoir si souvent senti lorsqu’elle dormait dans la maison de Maître Hagewashi, personne le savait, il était si ………..discret…..
C’est donc tout naturellement qu’il arriva à l’endroit mal fréquenté de la ville face à la taverne qui puait le bouc.
Ca sentait tellement mauvais que le parfum de Tetsuma disparut.
Il poussa la porte avec violence et regarda à l’intérieur de façon circulaire
.

Je cherche ma femme Tetsuma !
L’auriez vous aperçu ?
Si c’est le cas j’ai 500 kobans pour celui qui me dira où elle se trouve
.

Il la décrivit et fit sonner les kobans dans ses mains, persuadé que quelqu’un pour 500 kobans irait moufter.
Quand à le lui donner, c’était une autre histoire………….
Tetsuma
Mal à l'aise Tetsuma resta près de Hideyoshi et le maudissait tant qu'elle pouvait.

Je vous ouvrirais le ventre et je donnerais vos entrailles aux cochons.
Dès que j'en aurais la force je viendrais vous pourfendre, vous entendez.
Je finirais par avoir votre peau
.

Elle l'avait mauvaise.

Soudain un bruit de porte, son regard se porta sur l'inconnu et le reconnu sur le champ.
Et dans un cri étouffé elle se carapata sous la table aux pieds d’Hideyoshi.
Il pouvait certainement la sentir trembler contre ses jambes, elle se faisait toute petite, collée contre lui.

Elle n’était pas maîtresse de la situation, sa vie était entre ses mains.
Elle regrettait de lui avoir dit tout ça avant, allait il la dénoncer pour 500 kobans....
Hideyoshi
Il l'avait malgré elle, obligé à s'installer à une table avec lui après l'avoir fait entrer dans la taverne. Une odeure forte, caractéristique des lieux de ce genre, flottait dans l'aire. L'endroit était bel et bien digne de ce qu'on lui avait dit, il s'y était senti comme un poisson dans l'eau seulement quelque instant après avoir franchis le seuil d'entrer. Toujours assis confortablement à une table, il gueula aux tenancières des lieux.

Une bouteille de sake avec deux bols! Et on s'bouge le cul!

Quand il fut servi par une donzelle dont il n'accorda même pas un regard dans les yeux ni même un simple merci, il rempli vite fait son contenant qu'il apporta à sa bouche pour le vider d'un trait et le rempli de nouveau avant de pousser la bouteille vers Tetsuma en y renversant quelques goûtes de sake au passage. Tandis que lui buvait, il écoutait ce petit agneau qu'il pouvait égorger n'importe quand, l'insulté.

Je vous ouvrirais le ventre et je donnerais vos entrailles aux cochons.
Dès que j'en aurais la force je viendrais vous pourfendre, vous entendez.
Je finirais par avoir votre peau.


C'est qu'elle disait le fond de sa pensé la petite, il sourit lorsque le panneau d'entré s'ouvrit pour y laisser entrer un type aux allures louches, un camarade quoi. Il se retourna pour voir Tetsuma se précipiter au sol en dessous de la table, qu'est-ce qu'elle foutait là? C'était absurde, on aurait dit une petit gamine effrayée qui allait aux pires endroits pour se cacher. Il reporta son attatention au type qui venait d'entrer alors qu'il sentait Tetsuma tremblé contre lui sous la table.

Je cherche ma femme Tetsuma !
L’auriez vous aperçu ?
Si c’est le cas j’ai 500 kobans pour celui qui me dira où elle se trouve.


Le tout nouveau reptile, Hideyoshi, se dit tout de suite qu'à la réaction de Tetsuma que le type qui la cherchait n'était pas véritablement son mari, mais celui-ci offrait une récompense de 500 kobans à la personne qui lui dirait où elle se trouve. Il n'hésita pas, la somme était plus que suffisante, il n'allait pas pleurer sur le sort qui lui serait réservé. C'était une raclure sans coeur, sans état d'âme et il allit facilement se faire une jolie somme qu'il était mieux de recevoir. Il se leva pour aller à sa hauteur.

Elle est là bas sous la table à trembler de peur. Dit-il en pointant l'endroit. Va la chercher, fait ce que tu veux, j'men fout, mais donne moi les kobans!

Il serra son poignard qu'il gardait toujours sur lui, attaché à son bras droit et dissémulé par la manche de son kimono, on était jamais sûr avec ce genre de type qui offrait une somme si importante. Soit il était honnête, soit il se foutait de sa gueule. S'il avait choisis la deuxième option, il aurait bientôt plusieur nouveaux trou pour évacuer ce qu'il avait ingurgité plus tôt dans la journée.
_________________
--Akushitsuna


L'homme regarda dans la direction de celui qui venait de parler.
Il se dirigea vers la table, sans un mot, où se trouvait Tetsuma.
Il souleva la table avec une échange facilité et la tira par le bras avec un sourire sadique
.

Tu es attendu, mon aimée, tu m'as fait courir.

Il se mit à rire et avant de sortir jeta la bourse à l'homme, sans un regard.

Ils disparurent tous deux.
La bourse contenait à peine 100 kobans mais c'était déjà une belle somme, pour une si vilaine affaire...
Tetsuma
Quand elle sentit Hideyoshi se lever et surtout l'entendit la dénoncer son sang se glaça dans ses veines.

Il venait signer sa condamnation à perpétuiter.

Découverte et trainée comme une vulgaire poupée, Tetsuma était dans un état second
.

Hideyoshi, qu'avez vous fait ! Nonnnnnnnnnnnnnnnn !

Hideyoshi venait de vendre une jeune fille de vingt ans à ses bourreaux pour 100 kobans.
Terrifiée, elle savait ce qui l'attendait, jamais plus elle ne serait comme avant.
Sa vie allait virer au cauchemar..........
Sayassa
C'est à peine si, pour une fois, Keita portait attention à ce qui l'entourait. Mue par une habitude sans faille c'est tout naturellement que ses pas l'avaient menée dans les rues dites mal famées de Kiyosu, bien malgré elle car pour l'heure, elle se fichait pas mal de l'endroit où elle allait.

Elle ne prêtait pas plus attention aux odeurs mélangées de pisses, de sang, de nourritures écrabouillées dont même les rats ne voulaient pas, qu'aux badauts, brigands de tous genres, marins et filles de joie.

La Keita avait pour l'heure bien d'autres pensées en tête depuis l'arrivée à Kiyosu d'un certain Chan Ly, ex amant d'une vie passée mais pas tout à fait oubliée et la grande question tandis qu'elle longeait les ruelles puantes du quartier étaient 'partir, le suivre ? ou rester ?'

C'est alors qu'elle se retrouva devant sa taverne préférée 'Aux Fières Raclures' et décida d'y passer un moment, son intense réfléxion ne s'en trouverait que mieux avec quelques bols de saké.

Un pas à l'intérieur, un regard sondeur pour repérer la meilleure place et Keita sût de suite que quelque chose d'inhabituel se tramait au sein du lieu lugubre...Des bastons, des ivrognes qui gueulaient, des bouteilles cassées, tout cela n'aurait pas attiré son attention.

Keita porta sitôt la main sur sa hanche, observant la scène d'un oeil rapide mais efficace essayant de comprendre dans son esprit alors en alerte ce qui se déroulait sous ses yeux.

Deux mastodontes qu'elle avait croisés à maintes reprises au domaine et qui, il faut bien l'avouer, lui faisait horreur s'en prenaient aux soeurs jumelles...

Rien d'anormal jusqu'ici, les jumelles savaient parfaitement s'en sortir dans ce genre de situation plutôt banale,aussi Keita détourna bien vite son attention pour la porter sur la seconde scène ou un homme qu'elle ne connaissait pas, prenait la direction de la sortie en trainant derrière lui une jeune femme que Keita avait croisé quelques heures auparavant, mais dont le nom lui échappait à l'instant. Elle avait simplement compris que cette femme était pourchassée et avait peur.

Voilà sûrement en chair et en os, et surtout en muscle, la raison de sa peur, se dit Keita

Hideyoshi, qu'avez vous fait ! Nonnnnnnnnnnnnnnnn !

L'homme allait sortir sans guère prêter attention à Keita qui venait d'entrer et sans savoir ce qu'il lui prenait, elle se campa devant lui, bien droite et solide sur ses jambes et lui lança

Hé, le gros dur là

accompagné d'un sourire narquois

Tu te crois ou là ! et tu fais quoi à traîner cette femme ainsi, on t'a pas appris les bonnes manières ?

Un regard rapide vers Hideyoshi lui signifiant de ne pas intervenir puis elle planta son regard dans celui du colosse, sans vaciller, sans aucune crainte. Keita avait senti sa force grandir en elle depuis que la mort ne lui faisait plus peur, depuis surtout qu'elle l'attendait en vain.
--Akushitsuna


Avant de s'en aller se trouve nez à nez avec une sauterelle et se mit à rire

Tu n'as pas froid aux yeux la belle, dommage j'ai pas le temps.
Une autre fois, je m'occuperais personnellement de ton cas.
Je t'oublierais pas


Il lui balança un revers qui la déstabilisa à peine, il en fut surpris mais il avait une mission à accomplir.
--Akushitsuna



Ayant déposer Tetsuma au chef et ayant eu une permission pour s'amuser trois heures il revint à la taverne.
Poussa la porte avec violence, s'acheta deux bouteilles de saké et vint s'asseoir
.

Je veux des femmes et tout de suite !

Il but jusqu’à être légèrement grisé et retroussa deux femelles, sans plaisir juste pour se soulager sans plus.
Bien sûr il leurs laissa des traces de son passage éphémère.
On ne l’appelait pas le vicieux pour rien…..

Il n’avait qu’une hâte retrouvé la femme pour qui son sang bouillait.
Non pas qu’il était amoureux, l’amour étant banni de son vocabulaire et de ses sens, non la convoitise, ce besoin de posséder ce qu’il n’avait pas le droit, c’était si……excitant….
(retour à la "vie de Tetsuma")
Hideyoshi
Hideyoshi attrapa la bourse que lui jeta l'homme, il ne s'était jamais fait une somme d'une telle ampleure aussi facilement. Il retourna s'asseoir à une autre table pour y compter les kobans dans la bourse, il était mieux d'y avoir la somme exacte, il n'aimait pas trop les menteurs. Et cela s'annonçait mal, car il trouvait que la bourse était légère pour ce qu'elle devait contenir. Il l'ouvrit pour commencer son compte.

Alors, un, deux, trois... Comptait-il d'une voix à peine audible.

Il comptait tranquillement quand il entendit une voix qu'il reconnu facilement. Il se retourna pour jeter un coup d'oeil par dessus son épaule et vit Keita devant le type avec qui il venait de faire des affaires. Visiblement, Keita n'aimait pas comment l'homme traînait Tetsuma ou elle s'en foutait complètement et voulait juste l'emmerder, Hideyoshi pencha pour la deuxième théorie, mais quoi qu'il en soit, il vit Keita se prendre un revers. C'est le genre de chose qui arrive quand on veut déconner et le lézard le comprenait, mais le type venait tout de même de s'attaquer Keita alors que celle-ci broncha à peine sous le coup. Il aurait bien voulu intervenir, mais se demandait s'il devait le faire après le regard qu'elle lui avait porté, il retourna à son compte tout en restant vigilant aux conversations.

Et bordel, j'en était rendu où? Dit-il d'une voix un peu plus forte pour lui même.

Après environ une dizaine de minutes plus tard, oui, ces bases en mathématques remontaient à très loin, il arriva au compte de 100 kobans. Il relâcha un soupire de colère et avec un sourir faussement sincère il se leva pour aller à la rencontre du type qui c'était foutu de sa gueule. 100 kobans était une belle somme tout de même, mais il y avait encore une bonne marge avant les 500 kobans qu'il était supposer gagner dans cet échange de bons procédés. Malheureusement pour l'homme écaillé, le menteurs avait bouger son cul et n'était plus là. Qu'il en profite se dit-il, par simple principe, il retrouverait cet homme et le tuerait, mais attendant une occasion parfaite.

Allez les putains, c'est pas l'temps rien foutre, j'offre une tournée générale! Et pas une saleté de cochonnerie maison, j'veux le meilleur alcool que vous avez! Gueula-t-il aux tenancières des lieux, au moins il allait maintenant pouvoir boire à n'en plus être capable et avec de la qualité en plus.
_________________
--Hagewashi


Allant de gargote en gargote Hagewashi voulait absolument qu'on lui rapporte Tetsuma.
Qu'il puisse faire d'elle son jouet jusqu'à ce que mort sans suive pour avoir osé faire tuer son bras droit.

Il entra en trombe dans la gargote
.

Avis à toutes les racailles, aux lézards et autres.
Je veux Tetsuma, vivante, votre prix sera le mien.
Au plus vite
.

Il la décrivit, prit le temps de boire et poursuivit.

Cette garce a fait tuer mon homme de main je veux le nom de celui qui l'a tué également.

Il balança son verre de rage.

Propagez la nouvelle, je la veux vivante, elle est à moi !!!
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)