Nashia
[Chinon, ou le départ d'une Savoyarde, au soir du 18ème jours d'Avril 1459]
Suson ! Mes armes ! Oui par dieu ! Celle qui mon servit durant la Guerre à Annecy ! Mais je me contre fiche que lécusson de Pettinengo soit abimé ! Je ne vais pas défilé pour montrer la puissance de Bielle et de Mosso ! Non d'un bouc sans corne ! Anime toi un peu !
La chambre de l'auberge où s'agitait en maugréant une italienne sous le regard gris de colère de sa Dame, n'était guère riche ni très grande. Pourtant, pour la Dame de Pettinengo, elle était aussi confortable qu'un palace. Il faut dire quaprès avoir guerroyé durant plus de deux mois, passer le plus claire du reste de son temps a cheval sur les routes ou dans une voiture des plus inconfortable, le moindre matelas de paille était des plus luxueux Le moindre baquet deau tiède, un vrai cadeau du ciel, combien de toilette à la neige foudue et a peine tiède avait elle fait avec pour garde porte son intendant ? Trop certainement...
Et pour lhonneur dun ami, pour son bon plaisir, et surtout pour laide quil lui avait apporté a plusieurs reprise alors quelle se mourrait de désespoir en Savoie, Nashia de Pettinengo celle quen Savoie on nommait aussi bien La Brave que la Terrible, et que peu encore osaient nommé la Gueuse, quittait tout cela. Elle reprenait ses armes, sa tenue de guerre
Celle qui avait été décoré pour service rendue lors de la dernière guerre qui avait frappé la Savoie, narrivait pas à comprendre comment un aussi grand groupe de Nobles arrivaient à trahir la confiance de leurs Gens, et surtout à commettre un acte de Haute Trahison envers le Duc élut par le peuple et par le conseil ! Non cétait aberrant pour la Savoyarde
Si aberrant quelle se faisait un plaisir dapprendre à ces nobles le mot loyauté puis aussi celui de foi à ces hommes qui parlait de Genève sans savoir ! Oh si elle le voyait ce Hans Elle irait lui raconter ce quil avait raté ! Avait il mit les pieds en Savoie ? En Genève ? Avait ils vue les horreurs commise par les deux camps ? Nash en doutait ! Et pour cause, elle avait dirigé les résistants dAnnecy, elle, elle avait servit son duché et elle serait morte sur les remparts si Dieu en avait décidé ainsi. Nash avait suivit ses armées. Elle sétait battue aux coté des croisés. Elle en avait été une ! Elles avait fauché, fauché de son épée, sans aucune pitiée, assassinée au noms du très haut, au nom de l'église. Combien était mort sous sa lame experte ? Vingt ? Trente ? Et ces hommes et femmes abattus étaient des ennemis ? Elle en doutait désormais...
Moui, elle ly trainerait à Genève, quil cesse den parler avec tant de légèreté Elle le mettrait devant les armées de Lions de Judas, de Loups de gevaudan, de leldorado, de la reforme, et de Helvétie Elle lui raconterait aussi comment les armées croisée, avaient agressé des Nobles savoyards venu en renfort. Comment ils avaient tué un Baron ! Son cur pleurait des erreurs commises par des capitaines incapables de reconnaitre des étendards Le blanc de ses robes en restait la terrible preuve
Droite au milieu de sa chambre, la Dame orchestrait les préparatifs de son départ tout en revêtant sa tenue élimée de combat Cette vieille tenue de cuir renforcé par quelque morceau de ferraille quelle utilisait du temps ou elle était maitre escorteur La colère de la gueuse se voyait dans ses yeux gris acier Les raisons énoncé par les feudataires de Touraine confirmait lavis quelle avait jà de la noblesse Française. De leurs lois héraldiques. Et surtout de lécart de culture qui séparait lEmpire Francophone de la France. Besogner Ces hommes oubliaient ils quavant leur grands titres ils avaient été gueux ? Qu'un jours les leurs avaient besogner la terre ? Où alors étaient-ils tous héritier de Grand Noble, dHomme qui avait véritablement gagné le droit de porté une couronne ?
Leur idiotie et cet actes si stupide quils commettaient aujourdhui était la preuve de la décadence de la Noblesse Française. Entre ceux qui prenaient un castel a cause dun refus Et ceux qui faute dautre occupation usurpait le trône de Touraine On en aurait décapité pour moins que cela ! Oui la Gueuse enrageait devant une telle décadence. Sa rage était telle quelle sortie papier et sceaux. Lettre a envoyer a ses compagnons de route. Aux siens en Savoie Puis elle se leva, attrapant besace et armes et sortie en trombe de la chambre ou saffairait encore son Italienne de gouvernante
Suson ! Fais seller les Chevaux ! Et paye laubergiste ! Nous partons de suite !
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En deuil...
Suson ! Mes armes ! Oui par dieu ! Celle qui mon servit durant la Guerre à Annecy ! Mais je me contre fiche que lécusson de Pettinengo soit abimé ! Je ne vais pas défilé pour montrer la puissance de Bielle et de Mosso ! Non d'un bouc sans corne ! Anime toi un peu !
La chambre de l'auberge où s'agitait en maugréant une italienne sous le regard gris de colère de sa Dame, n'était guère riche ni très grande. Pourtant, pour la Dame de Pettinengo, elle était aussi confortable qu'un palace. Il faut dire quaprès avoir guerroyé durant plus de deux mois, passer le plus claire du reste de son temps a cheval sur les routes ou dans une voiture des plus inconfortable, le moindre matelas de paille était des plus luxueux Le moindre baquet deau tiède, un vrai cadeau du ciel, combien de toilette à la neige foudue et a peine tiède avait elle fait avec pour garde porte son intendant ? Trop certainement...
Et pour lhonneur dun ami, pour son bon plaisir, et surtout pour laide quil lui avait apporté a plusieurs reprise alors quelle se mourrait de désespoir en Savoie, Nashia de Pettinengo celle quen Savoie on nommait aussi bien La Brave que la Terrible, et que peu encore osaient nommé la Gueuse, quittait tout cela. Elle reprenait ses armes, sa tenue de guerre
Celle qui avait été décoré pour service rendue lors de la dernière guerre qui avait frappé la Savoie, narrivait pas à comprendre comment un aussi grand groupe de Nobles arrivaient à trahir la confiance de leurs Gens, et surtout à commettre un acte de Haute Trahison envers le Duc élut par le peuple et par le conseil ! Non cétait aberrant pour la Savoyarde
Si aberrant quelle se faisait un plaisir dapprendre à ces nobles le mot loyauté puis aussi celui de foi à ces hommes qui parlait de Genève sans savoir ! Oh si elle le voyait ce Hans Elle irait lui raconter ce quil avait raté ! Avait il mit les pieds en Savoie ? En Genève ? Avait ils vue les horreurs commise par les deux camps ? Nash en doutait ! Et pour cause, elle avait dirigé les résistants dAnnecy, elle, elle avait servit son duché et elle serait morte sur les remparts si Dieu en avait décidé ainsi. Nash avait suivit ses armées. Elle sétait battue aux coté des croisés. Elle en avait été une ! Elles avait fauché, fauché de son épée, sans aucune pitiée, assassinée au noms du très haut, au nom de l'église. Combien était mort sous sa lame experte ? Vingt ? Trente ? Et ces hommes et femmes abattus étaient des ennemis ? Elle en doutait désormais...
Moui, elle ly trainerait à Genève, quil cesse den parler avec tant de légèreté Elle le mettrait devant les armées de Lions de Judas, de Loups de gevaudan, de leldorado, de la reforme, et de Helvétie Elle lui raconterait aussi comment les armées croisée, avaient agressé des Nobles savoyards venu en renfort. Comment ils avaient tué un Baron ! Son cur pleurait des erreurs commises par des capitaines incapables de reconnaitre des étendards Le blanc de ses robes en restait la terrible preuve
Droite au milieu de sa chambre, la Dame orchestrait les préparatifs de son départ tout en revêtant sa tenue élimée de combat Cette vieille tenue de cuir renforcé par quelque morceau de ferraille quelle utilisait du temps ou elle était maitre escorteur La colère de la gueuse se voyait dans ses yeux gris acier Les raisons énoncé par les feudataires de Touraine confirmait lavis quelle avait jà de la noblesse Française. De leurs lois héraldiques. Et surtout de lécart de culture qui séparait lEmpire Francophone de la France. Besogner Ces hommes oubliaient ils quavant leur grands titres ils avaient été gueux ? Qu'un jours les leurs avaient besogner la terre ? Où alors étaient-ils tous héritier de Grand Noble, dHomme qui avait véritablement gagné le droit de porté une couronne ?
Leur idiotie et cet actes si stupide quils commettaient aujourdhui était la preuve de la décadence de la Noblesse Française. Entre ceux qui prenaient un castel a cause dun refus Et ceux qui faute dautre occupation usurpait le trône de Touraine On en aurait décapité pour moins que cela ! Oui la Gueuse enrageait devant une telle décadence. Sa rage était telle quelle sortie papier et sceaux. Lettre a envoyer a ses compagnons de route. Aux siens en Savoie Puis elle se leva, attrapant besace et armes et sortie en trombe de la chambre ou saffairait encore son Italienne de gouvernante
Suson ! Fais seller les Chevaux ! Et paye laubergiste ! Nous partons de suite !
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En deuil...