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[RP]Les 10 Petits Bretons

--Jacobus


Une embarcation approche. A son bord deux hommes, celui qui rame est vêtu à la manière des gens du peuple et porte un chapeau à large bord, l'autre est vêtu d'une robe noire taillée dans un riche tissus, et porte un haut chapeau de même couleur ; assis sur une malle renforcée d'acier, il ne fait pas un geste pour aider le rameur. Arrivé au ponton, il parle avec son convoyeur et finit par lui tendre une bourse, à contrecoeur semble-t-il. Puis, aidé du majordome, il emporte sa malle à l'intérieur du château.

Arrivé dans la grande pièce, il reste un instant figé en découvrant les autres invités. Sans rien dire, il les détaille un par un d'un oeil inquisiteur. Son regard s'arrête sur le jeune homme richement vêtu qui parle à la femme blonde près de la fenêtre. Sans cesser de le fixer, il s'approche et vient le regarder sous le nez, presque à le toucher, en hochant mystérieusement la tête.


mmh, jeune sire, je vois à certains signes que mon arrivée en ces lieux est providentielle pour votre santé... Docteur Jacobus, de la Faculté de Paris. Il est impératif que nous ayons un entretien très vite....

Il fait signe au jeune homme de se pencher, et lui chuchote :

Il en va de votre vie...

Puis il le regarde avec insistance, d'un oeil plein de sous-entendus.
--Youenn_de_kergoat


Et voilà quelqu'un d'autre qui vient. Venue que regrettera aussitôt Youenn.
Haussement de sourcil caractéristique de celui ci lorsque le dénommé Jacobus approche.
Un mouvement de recul se fit de sa part, essayant de garder contenance quand il s'approcha de trop près. Légèrement plus petit, il faisait presque peur avec son air vicieux et son oeil noir.

Il allait lui dire qu'il n'était nullement intéressé par les hommes quand...


- mmh, jeune sire, je vois à certains signes que mon arrivée en ces lieux est providentielle pour votre santé... Docteur Jacobus, de la Faculté de Paris. Il est impératif que nous ayons un entretien très vite....

Le brun qui ne possédait certes pas la carrure d'un soldat avertie, surtout quand on savait qu'il avait passé des années cloîtré dans son bureau à rédiger des courriers et à gérer les finances avec une main ferme, ne montrait nullement signe d'une quelconque faiblesse. Il avait le teint pâle a force de côtoyer plus la lueur des chandelles que celle de l'astre, mais il ne fallait pas exagérer.
Il posa son regard glacé sur lui, se pencha pour écouter ses derniers mots sans le quitter du regard. Que faisait ce déluré icelieu ? Et pourquoi diantre avait-il jeté son dévolu sur lui ?


- Et qu'est ce qui vous fait dire cela ?

Il était parfois plus intéressant de pousser quelqu'un à raconter le pourquoi du comment plutôt que de rester dans l'ombre. Même juste pour ce faire une idée du personnage bien que ce fut mal parti pour ce cas.
Quand une idée lui vint soudainement en tête...Idée qui le grisa aussitôt. La jolie blonde allait croire qu'il était malade, et il en serait fini de lui !


- Vous devez vous tromper, sans aucuns doutes. Je me porte comme un charme.

--.nadel_douglas.


Elle se faisait royalement chier c'est le cas de le dire. Rien n'était prévu pour se divertir et c'était fichtrement agaçant. Alors qu'elle venait de se décider a aller faire du charme au nobliaux qui l'intéressait et pas qu'un peu, un nouveau personnage entra et le phénomène la surprit un peu.

Citation:
Docteur Jacobus, de la Faculté de Paris. Il est impératif que nous ayons un entretien très vite....

Elle regarde la scène d'abord surprise puis déçut. encore un homme de malade pour sur vu sa pâleur ce devait être le cœur. Arf une croix sur l'endurance donc finalement ça allait de mal en pire. Elle qui pensait l'attirait dans une chambre pour s'occuper en attendant le reste des invités ben elle devrait peut être faire une croix dessus.

A croire que tous les hommes sont de constitution fragile...

Ah tiens, elle venait de parler a haute voix. Tant pis pour ce qu'elle en avait a faire de ce qu'on pensait d'elle. Riche héritière elle obtenait toujours ce qu'elle voulait. De plus elle avait un emploi amusant et peu contraignant uniquement pour l'occuper. Cependant, elle était franchement déçut a penser que l'homme devait être malade mais bon si celui-ci était condamné, une dernière volonté pourrait se négocier...
--Youenn_de_kergoat


- A croire que tous les hommes sont de constitution fragile...

Il n'osa se précipité vers la donzelle, d'ailleurs peu habituer à faire cela.
Mais son coeur fit un bond. Adieu plaisir, adieu douce peau, adieu ces petits gémissements qui le comblait tant dans son propre ego. Adieu également le séjour qui lui avait paru soudainement plus agréable et qui s'annonçait au final des plus mornes.

Et tout cela à cause d'un médecin, ou plutôt un médicastre. Un baragouineur qui venait gâcher ses luxueux projets, et celui de la demoiselle à n'en point douter par la même occasion. Ah elle loupait là bien quelque chose, lui qui s'évertuait à donner son possible pour contenter au travers de ses prouesses.
Bon amant il était, bon amant il demeurerait ! Foi de Kergoat !

En direction de la jeune femme, après tout qui ne tente rien à rien :


- Vous n'allez point croire un homme qui puisse faire un diagnostic à la seule vue de la teinte du grain de peau. Ne jugez point avant d'avoir essayé !

...Ou comment essayer de récupérer son butin des premières minutes, à en oublier l'héritage..

--.nadel_douglas.


Elle est tirée de sa rêverie pas la réaction du nobliaux dans sa direction. Hum...faut avouer qu'il fait envie grain de peau pâle ou non celui-ci semble agréable au toucher. Elle se mordille un doigts d'un air mutin le jaugeant du regard plusieurs idée lui traversant l'esprit. Beau, riche, intéressée...voila qui lui plaisait beaucoup. Ce voyage lui permettrait peut être de faire d'une pierre deux coups. Elle n'avait été mariée que quelques jours son mari ayant trépasser a sa maladie la laissant sans le réconfort d'une nuit de noce et cela, ça manqué !!!


Satisfait ou rembourser donc ?

Se radosse a son fauteuil avant de poursuivre en ouvrant un bouton de son corsage qui comprimait sa poitrine et lui donner horriblement chaud en face de l'âtre.

C'est pas faux il ne faut jamais se fié aux préjugés !
--Youenn_de_kergoat


Satisfait ou rembourser donc ?

Petit sourire malicieux qui venait poindre sur son visage. Deuxième de la journée, décidément il s'octroyait un relâchement.
Mais à quoi bon rester impassible alors que son séjour revêtait à nouveau l'uniforme de petites vacances.
Sinon...Pas de remboursement, que du satisfait.

Les vacances pour lui ?
Femme, vin, château bien meublé. Comme tout homme qui aimait savourer et apprécier les bonnes choses que la vie avait pu offrir. Les plus belles à dire vrai.

Il lança un regard au Jacobus qui pouvait se sentir penaud d'avoir échoué dans sa tentative. Regard aussitôt rappelé à la raison.
Oui à la raison, car la blondinette avait ouvert un bouton de corsage, laissant apparaître des formes plus que désirables. Provocatrice à souhait, le brun appréciait.
C'était là le genre de femme qui ne l'encombrerait pas, bien qu'elle eu plutôt l'air de flairer l'argent également, et qui savait combler avec soin et ardeur les besoins d'un homme.

De plus, à part les deux vieilles, elle était la seule femme présente. Et qui avait de la valeur aux yeux de Youenn.
Non pas qu'il ne côtoyait jamais les petites gens, du moins il le faisait avant de se retrouver enfermé au conseil, mais ces deux là n'avait rien pour plaire. Physiquement bien entendu.
Soupire du jeune homme. Quelle tournure cela allait prendre avec tous ces gens ?


--Elanore_rochgarde
Dans une salle peu réchauffée tant par l'ambiance que par les quelques maigres buches se consumants dans l'âtre, elle arriva baluchon pour seul bagage toujours en mains pour la simple raison qu'elle ne voulu que le major d'homme le lui porte jusqu'à sa chambre. Intimidée par tout ce monde inconnu à ses yeux, Elanore Rochgarde, c'était son nom, se posta à l'entrée de cette salle qu'elle pu reconnaitre aux dires de son père qui lui comptait les merveilles de ce mystérieux château quand ce derniers était encore de ce monde.

Du haut de ses 17 printemps, de grands yeux verts pétillants mais craintifs, n'étant grandement vêtue face à cette communauté mêlée de bourgeoisie elle préférait ne pas se faire remarquer au vu de son retard visiblement. Seul son veston portant l'écusson de la famille Grettel aurait pu attirer l'attention sur elle.

D'un simple signe de tête elle salua toute personne se tournant vers elle sans oser pour autant ne piper mots gardant son bagage en main tombant sur ses jambes dans l'autre la missive fraichement reçue...


--Jacobus


Ce qui me fait dire ça, jeune homme ? L'expérience de longues années de pratique médicale, et croyez-moi, j'en ai vu !

il tourne autour du jeune homme en l'examinant sous toutes les coutures :

Hum, la base de vos ongle est bien trop pâle, et le blanc de vos yeux bien trop brillant... et cette langue chargée ! Oui, même si elle semble bien pendue...

Se plante à nouveau devant lui, pointant un doigt accusateur :

Vous aimez sans doute ce qui est bon ? ...hé bien, c'est très mauvais ! Continuez comme ça mon jeune ami, et vous n'en avez plus pour longtemps ! Allons, je vous aurai prévenu !

Il s'interrompt à l'entrée d'une toute jeune fille, qu'il détaille aussitôt du même regard froid et inquisiteur.
--Youenn_de_kergoat


Et voilà que le dit médecin repars dans ses délires, parlant comme si il prévoyait l'apocalipse proche.
Youenn se promis en son fort intérieur de consulter un des meilleurs médecins même si il se sait sain, histoire d'être à l'abri, son naturel méfiant toujours présent. Mais alors qu'il laisse le médecin parler et que son regard s'egard entre la rondeur des seins de Nadel, une jeune fille rentre en silence, contrastant avec l'energumène arrivé quelques minutes plus tôt.

De son œil habile, Youenn la regarde. Un drôle de sentiment s'empare de lui, pas son instinct paternel puisqu'il n'avait jamais connu cela et qu'il est tout de même encore jeune, alors qu'il contemple cette belle jeunesse, fleur à peine éclose et encore emprunte d'innocence en comparaison aux personnes déjà présentes, y compris lui. Il se sent bête et subjugué tout à coup par la finesse de ce corps, de ce visage où les rondeurs enfantines s'effacent tout juste.
Il a envie de la serrer dans ses bras, de la protéger de tout ce beau monde. Il se sent soudainement l'âme d'un preux chevalier.

Ses joues prirent une teinte rosâtre pour la première fois de sa vie et il reste figé telle une statue. Pour ne paraitre trop gredin il toussote légèrement afin de se reprendre, tentant de faire passer inaperçue le premier sentiment que son visage laisse transparaitre. Que dire ? Que faire ? Il ne sait plus alors il observe.
La jeune fille qui se tient encore dans l'encadrement de la porte est vêtue sobrement, mais son intention fut détournée un bref instant par l'eccusson brodé sur son veston. Etait-elle la fille de son ancien ami ? Curieux certes mais pas assez stupide pour toucher un tel sujet sensible.

Il s'approche, lentement, quelque peu dérouté mais n'en laisse rien voir. Pour une fois son regard se fait plus doux alors qu'il lui faire un baise main.


- Je me nomme Youenn de Kergoat. Bienvenue en ces lieux. Damoiselle...?

--Poline


Elle écoutait en silence tout ce petit monde se flatter ou se déplaire. Elle aussi aurait droit à une part du butin et sûrement une belle... Ils avaient beau la regarder comme une gueuse, mais elle aussi faisait partie de la famille Grettel, quoiqu'ils en disent..... Un sentiment d'orgueil la secoua, quand elle entendit un petit homme s'adresser au nobliau. Il était médicastre, fort bien, si l'on avait besoin de lui on savait où le trouver.....
Elle jeta un coup d'œil à la blonde quand elle défit le haut de son corsage et eut envie de se signer..... encore une de ces filles de rues, comme celle pour qui son mari l'avait quitté.....Elle avait envie de cracher son dégout....

elle était toute à son antipathie quand une belle enfant entra dans la pièce. Elle la salua à son tour et se présenta...

Demat Dimzelle, je suis Poline de Kermanach'..... soyez la bienvenue à cette réunion....
--Gontrand_grettel
C’est en plein cœur d’un orage violent, zébrant ponctuellement le ciel de lumières étincelantes, que Gontrand Grettel accosta sur une plage isolée, connue exclusivement des insulaires. Il leva les yeux, le sourire aux lèvres, appréciant le déchaînement subit des forces la nature, spectacle grandiose qui s’offrait devant lui.

Il inspira profondément, ferma les yeux et, pendant de longues minutes, savoura intensément la sensation délicieuse du ruissellement de la pluie sur sa peau blanchâtre. Trempé jusqu’aux os et transi par le froid, il attrapa d’une main son maigre bagage et entreprit sa longue marche vers le château.




L’île, il la connaissait par cœur et n’avait plus de secret pour lui. Ayant grandit en ces lieux et y ayant passé la majorité de sa vie, il pouvait s’y déplacer aisément, voir même les yeux fermés. N’ayant ni flambeau ni lampe en main, se déplaçant comme un fauve dans la nuit, aucune âme qui vive ne put remarquer sa présence.

Attiré par une lueur émanant d’une des fenêtres du château, il s’approcha en silence et se glissa aux abords de cette dernière. À l’intérieur, il put entrevoir une dizaine de personnes, certaines lui étant familières et d’autres, complètement inconnues. Caressant de ses longs doigts noueux la croix dorée de sa défunte mère, il resta donc là, tapi dans l’ombre, se contentant d’observer la brochette de personnages colorés convoquée par son frère.

L’argent avait toujours fait courir les foules, c’était bien connu, et l’avidité de l’Homme pour les richesses et possessions matérielles pouvait le pousser à commettre l’irréparable. Ça, il était mieux placé que quiconque pour le savoir…

Après quelques temps, lassé et détrempé, il partit en direction d’une des portes secondaires du château et s’y faufila incognito.
--Poline


Elle était également curieuse la vieille et plus elle vieillissait plus elle était aigrie et curieuse.... Et surtout elle voulait savoir en combien de parts serait divisé l'héritage...... Elle s'adressa alors à la blonde assise dans le fauteuil et lui demanda d'un air détaché...

Quels liens aviez vous avec le.. heu... décédé ? Si bien sûr je ne suis pas trop indiscrète.... haa ça indiscrète elle l'était pour sûr, mais bon.. elle voulait savoir... et puis c'était aussi une certaine façon de faire connaissance...
--.nadel_douglas.


Elle adressa un regard a la vieille femme avant de lui répondre.

Je suis sa belle soeur. J'ai épouser un de ses frères il y a peu malheureusement, celui-ci est décédé peu de temps après les noces, une maladie foudroyante ! Et vous ?

Elle avait répondu il n'y avait pas d'indiscrétion a ce niveau là. Elle n'avait pas besoin de lui dire qu'elle avait tout hérité de son défunt époux étant la seule couché sur le testament.
--Elanore_rochgarde
Maintenant adossée à la pierre gelée d'un mur orné de moult armes et bouclier, elle pu prendre plus de temps pour percevoir les différentes personnalité déjà présente. La jeune femme vit d'un œil peu assuré dans la pièce malgré la pénombre des lieux qu'il s'y trouvait une jeune femme fortunée d'allure élégante, cependant peut être mal a l'aise au vu de son haut de corsage dégrafé... La chaleur peut être? Une dame d'age avancé mais au traits familiers non loin d'elle, une autre dame plus richement vêtue qui semblait être l'exact opposée de la tavernière, oh un moine vêtue d'une bure sombre qui se voulait aussi discret que la petite au baluchon. Au coin d'une des fenêtre de cette grande pièce ce trouvait biensûr posté là le nobliau lassé et remarqué par les dires d'un docteur lui annonçant mort imminente.

Quand elle vit soudain que l'homme posté en fenêtre elle sentit sa gorge se serrer fuyant du regard préférant croiser le sol, mais quel fut là sa surprise lorsqu'elle sentit sa main n'être que légèreté.


- Je me nomme Youenn de Kergoat. Bienvenue en ces lieux. Damoiselle...?

Rougeotte la Rochgarde, elle le devenait à vu d'œil tournant légèrement la tête ne guettant que le sol, les yeux tremblants tellement affolé par tant de proximité.

- Je... el.. Elanore Rochgarde sir...

Sans avoir le temps d'ajouter quoi que ce soit, encore aurait il fallu qu'elle en ai le courage, la vielle dame au traits plus familiers vint se présenter à son tour.

Demat Dimzelle, je suis Poline de Kermanach'..... soyez la bienvenue à cette réunion....

Elanore répondit avec un sourir intimidé se répétant

- Elanore Rochgarde Madame... Enchantée...

La main toujours dans celle du bellâtre elle se sentit soudain comme observée, des frissons parcouraient son corps. Comme un réflexe elle tourna la tête vers la porte de la salle le regard lourd et profond cherchant dans le noir. Évidement rien... Prenant conscience de sa réaction elle tourna de nouveau la tête vers l'homme qui lui faisait face lui souriant timidement.

--Lepointuduraz
Le grand corbeau noir avait fait son travail... Le message envoyé du chateau était bien arrivé au palais du Duc de Douarnenez...

Enfin un message... Cela faisait longtemps... Moi qui la plupart du temps traite avec les petits gens analphabetes... Voyons qui nous écrit...

Son interrogation fut encore plus intense lorsqu'il decouvrit que cette missive avait été scellée... Cela ne faisait qu'atiser son excitation... Un message important pensait il... Peut etre le Grand Duc... Il fit ouvrir rapidement ce courier qui consumait sa patience...

Le duc survole alors le courier avant de s'attarder sur la signature... Un parfait inconnu... Quelle ne fut pas sa déception! Mais que lui annoncait il...?


2jours plus tard....

Le soleil se levait a peine sur la cote bretonne... Les embruns ne laissaient entrevoir qu'une bicoque sur laquelle on pouvait distinguer 2 rameurs et un homme debout, fier... à la limite de l'arrogance qui harranguait ses 2 rameurs pour qu'ils lui fassent atteindre la cote excarpée de l'ile des Grettel comme il aimait à l'appeler... Cette ile qui allait certainement devenir sienne suite à la future decision du Grand Duc de l'annexer à sa province... Le duc de Douarnenez allait arriver sur le rivage lorsqu'il entrevit le chateau... déjà quelque peu illuminé... Sans doute la veillée funeraire du defunt chatelain... avec sa descendance... enfin s'il en avait une... Cela lui importait guere... L'annexion etait proche et si descendant il y avait il lui appartiendrait tout autant....!!!

L'embarcation accoste tranquillement sur l'Ile et le Duc met pied a terre... et mer... Son serviteur avait beau avoir jeté sa chemise sur le bord de mer, cela n'empechait pas le Duc de tremper ses bottes au milieu des algues. Le Duc admire alors ce qui allait devenir sien...


Ah.... Enfin...

Attendez moi ici... le message dit qu'il faudra plusieurs jours... Je n'en aurais besoin que d'un..!! Je vous ferais porter une miche de pain sec aux heures des repas...

Loric de Kerensac, dit LePointuDuRaz de part la caracteristique pente de ses cavités nasales, venait de s'agenouiller et d'embrasser le rocher qui se trouvait devant lui... avant d'escalader d'un pas frele et alerte les quelques marches qui le separaient de l'entrée du chateau...

Allons voir ce bon vieux Grettel sur son lit de mort...

Un majordome l'aborde et lui demande ses bagages...
Le Duc etait parti avec tres peu de bagages... laissés en contrebas dans le raffiot avec ses serviteurs marins. Il entra alors dans la piece principale ou il vit que plusieurs personnes s'etaient déja engouffrés... Sans doute de la famille lointaine pensa t'il...


Loric toussoute...

RRhhhh... Je me présente... Loric de Kersensac, Duc de Douarnenez... Futur propriétaire des lieux par arreté ducal... A qui ai-je l'honneur...?
Vous la bas l'albatre et sa fille de joie, montrant Youenn et Nadel au decolleté avantageux... Indiquez moi ou trouver notre "ami" le defunt...que je lui embrasse les pieds à ce brave homme... Mieux valait il pour lui mourir maintenant que subir l'insolence de se mettre à mes pieds...
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